C1 - Introduction Flashcards

1
Q

la démonstration qu’une région est impliquée dans une fct donnée demande la ______________

A

mise en relation entre son activation et l’exercice de la fct

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Q

comment démontré qu’une région est impliquée dans une fct donnée ?

A

avec la méthode de régression

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3
Q

quels sont les 3 objectifs principaux de la neuropsy sensorielle

A

1- Développer des théories de la perception
- N.B. : L’anatomie et la physiologie du système perceptif contribuent à restreindre les explications possibles de phénomènes perceptifs comportementaux
- Associés d^-t5es facultés perceptives aux phénomènes
2- Améliorer l’interprétation des déficits chez les personnes atteintes de lésions du système perceptif
- Plusieurs troubles neuro sont associés à la perte/déficit des systèmes perceptifs
- Donc comprendre la perception permet de mieux comprendre et traiter ces troubles
3- Développer des méthodes d’intervention auprès des personnes avec lésions du système perceptif
- Méthodes d’entraînement
- Voies alternatives de traitement perceptif (ex. prosopagnosiques  utilisation du son de la voie (audition), vêtements (vision)
- Prothèses (lunette : problèmes optiques, implants cochléaires : audition, méthodes de stimulation de la rétine : vision)

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4
Q

quelle est la démarche de la neuropsy sensorielle ? (3)

A

1- Caractérisation fonctionnelle des processus perceptifs
- Les caractéristiques du fctionnement perceptif normal
- Ex. pour la perception du mouvement ;
 Seuils sensoriels
 Illusions de mouvements
 Perception mvmt local/global

2- Développement des connaissances sur l’anatomie et physiologie des système sensoriels
- Enregistrement activité de neurones individuelles
- Étude de l’anatomie du système (ex. qu’est-ce qui est branché à quoi, …)

3- Attribution des fcts et phénomènes perceptifs à des processus physiologiques qui sont exécutés par certaines structures
- Attribuer des aspects fonctionnels de la perception à des bases biologiques
- Expliquer le déroulement

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5
Q

nomme les 2 approches comportementale

A

1- Psychophysique
- + rare mtn
- Boîte noire
- Étudie pas nécessairement les processus cognitifs
2- Psychologie cognitive
- Pas emphase sur les structures physiologiques des perceptions

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6
Q

approches physiologiques (2)

A

1- Anatomie
- Aspects matériels du système
2- Physiologie

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7
Q

quelles sont les 3 approches neuropsychologiques (juste les noms)

A

1- les études en champ divisé
2- effet de lésions spontanées ou expérimentales du système perceptif
3- étude de l’activité cérébrale associée au fonctionnement perceptif (imagerie cérébrale fonctionnelle)

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8
Q

qu’est-ce que l’étude en champ divisé ?

A

étude de la latéralisation des hémisphères

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9
Q

que permet la latéralisation des voies nerveuses dans le système visuel et somesthésique ?

A
  • Cela permet présentation de stimulations dont l’encodage initial est latéralisé à HD ou HD
  • Exclu le méridien vertical
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10
Q

v ou f

les voies nerveuses du système auditif sont latéralisées

A

f

partiellement latéralisées
 Oreille droite envoie un signal aux 2 hémisphères, mais son signal sera + fort du côté controlatéral
 Cela permet une stimulation privilégiée d’un hémisphère ou l’autre
- Ex. tâche d’écoute dichotique = permet de démontrer la spécialisation fonctionnelle des hémisphères, notamment le langage (oreille droite est dominante chez la plupart des gens)

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11
Q

qu’est-ce l’approche des effets de lésions spontannées ou epxérimentales du système eprceptif

A
  • Altérations du système perceptif de l’individu pour examiner les effets sur son fonctionnement
  • Altérations spontanées :
  • Maladies (ex. dégénérescence maculaire) ou lésions/accidents (ex. AVC) qui touchent le système perceptif
  • Altérations expérimentales :
  • Lésions du système perceptif dû à l’expérimentation (animaux)
  • Altérations du fctionnement perceptif causées par l’administration d’agents pharmaco, drogues, etc. en stimulant directement le SN
  • Stimulation magnétique transcrânienne :
  • Application d’un champ magnétique sur le cuir chevelu qui entraîne une dépolarisation synchrone et le fonctionnement des neurones atteints par le champ magnétique
     Dépolarisation synchrone : tous les neurones vont produits Influx Nerveux, du potentiel – vers un potentiel +, met en panne le système
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12
Q

dépolarisation synchrone

A

tous les neurones vont produits Influx Nerveux, du potentiel – vers un potentiel +, met en panne le système

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13
Q

qu’est-ce que la méthode de l’étude de l’Activité cérébrale associée au fonctionnement perceptif (2 principes + 2 étapes importantes)

A
  • Principes de l’approche :
    1- Activité cérébrale produit un signal électromagnétique (photons ou flux magnétique) qu’on peut capter de manière non-invasive à la surface du cuir chevelu
    2- Cette activité serait peut-être corrélée aux événements mentaux, ce qui nous permet d’inférer sur les événements et l’activité cérébrale
  • 2 étapes importantes :
    1- Enregistrement d’un signal électromagnétique associé à l’activité cérébrale produite dans une condition expérimentale
     E.g. Au repos (moins conseillé) et en exécution de tâche (  )
    2- Traitement du signal électromagnétique capté dans le but de construire un modèle de la distribution spatiale 3D de l’activité cérébrale enregistrée
     Effectué à l’aide de procédures mathématiques basées sur un ensemble d’inférences relatives à la projection du signal des zones cérébrales actives vers la surface du cuir chevelu
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14
Q

qu’est-ce que la méthode soustractive

A

 1 Condition d’activation et 1 condition de niveau de base
 On soustrait les conditions d’activation aux niveaux de base = fonctionnement optimal
 Limite : ne tient pas compte des interactions possibles entre les différents mécanismes en jeu, pas super idéal à cause notamment de la condition au repos (préférable d’avoir autre chose come baseline, il faut que la tâche soit +++ spécifique car ça permet un meilleur « contrôle »)
 Ex. instruction baseline : les simples instructions données aux participants vont avoir un impact sur la P même sans faire la tâche  attention sera dirigée en périphérie visuelle dans l’attente d’un stimulus

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15
Q

qu’est-ce que la méthode de régression

A

 Analyse de corrélation entre activité cérébrale et variations dans les exigences de tâche pour un processus mental x (ex. niveau de difficulté de la tâche, ex. test optométrie)

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16
Q

qu’est-ce que l’approche des Potentiels évoqués (PE)

A
  • Activation d’une région cérébrale associée à la production de potentiels d’action synchrones par les neurones qui s’y trouvent (repose sur l’enregistrement électroencéphalogramme)
  • Neurones d’une région inactive produisent des PA asynchrones
  • Donc, activation cérébrale implique une forte densité de courant électrique primaire intracellulaire
  • Courant primaire : amène un courant secondaire qui est diffusé à l’extérieur des corps cellulaires en suivant la trajectoire de moindre résistance (ce qui altère le signal puisqu’il y a moins d’interférence)
  • Ex. l’os de la boîte crânienne à une résistance ++ marquée
  • Courant secondaire : capté par les électrodes sur le cuir chevelu
  • PE : obtenus ensuite par la moyenne des signaux enregistrés à travers les multiples essaies d’une même catégorie qui sont synchronisés (alignés dans le temps) sur un stimulus extérieur
17
Q

qu’est-ce que la magnétoencéphalographie (MEG)

A
  • Le courant secondaire produit par l’activité électrique cérébrale est associée à un champ magnétique
  • Ce champ ne subit aucune résistance par les tissus environnants
  • Capté par plusieurs magnétomètres placés sur le cuir chevelu
  • Traitement du signal permet une reconstruction 3D de l’activité cérébrale
  • Limite :
  • Cette technique permet de témoigner de la localisation du signal qui a été capté, mais pas de la zone cérébrale activée car elle n’analyse pas le cerveau en soi
18
Q

qu’est-ce que l’approche de Résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf)

A
  • Activité cérébrale associée à un signal électrique + variation du métabolisme
  • Meilleur résolution spatiale (!!)
  • Activité neuronale significative : réduction d’hémoglobine par rapport à la déoxyhémoglobine (2 sec.), ensuite suivie d’une phase de surapprovisionnement en sang oxygéné (5-8 sec + tard)
  • C’est le surapprovisionnement qui est mesuré indirectement dans IRMf (à travers son effet sur les atomes d’hydrogène)
  • Avantage IRMf sur MEG :
  • Aucune inférence requise pour localisation 3D (i.e. structures cérébrales) du signal capté  celle-ci est connue avec le signal lui-même
  • Limite :
  • Incapable de détecter des événements transitoires, ex. décharge épileptique
19
Q

qu’est-ce que l’approche de Tomographie par émission de positrons (PET)

A
  • Variété de molécules sont en jeu dans l’activité cérébrale (oxygène, glucose, neurotransmetteurs, etc.)
  • On peut introduire des molécules équivalentes porteuses d’isotopes (atome avec charge + en plus dans le noyau suite à un bombardement de protons) dans le flux sanguin = atome instable
  • Atomes instables libèrent leur proton excédentaire de manière graduelle (positrons) qui entrent en collision (trajet moyen : 1,5 mm) avec un électron
  • Collision produit une paire de photons (rayons Gamma) qui sont projetés dans des directions diamétralement opposées
  • Leur énergie est suffisante pour travers les tissus sans interférence
  • Capteur PET : détecteurs de scintillation, sert à détecter les photons, puisque leur vitesse est connue, on peut déterminer la localisation de provenance
  • Isotopes peuvent être attachés à des molécules variées, donc le PET permet l’imagerie fonctionnelle ou l’imagerie de récepteurs spécifiques
  • Limites PET :
  • Mauvaise résolution temporelle
  • Résolution spatiale limitée (puisqu’il y a un certain temps qui s’écoule pour que les photons
  • Utilisation de substances radioactives (isotopes)
  • Avantage :
  • PET permet imagerie de l’oxygène (comme IRMf) mais aussi imagerie du glucose, récepteurs de neurotransmetteurs particuliers (aucune autre technique en permet de faire ça)
20
Q

qu’est-ce que l’approche d’imagerie optique (SPIR)

A
  • Mesure locale de l’oxygénation sanguine cérébrale par la projection de lumière (composition spectrale proche de l’infra-rouge, 650-050 nm)
  • Lumière peut pénétrer jusqu’à qq cm dans le crâne et être réfléchi partiellement
  • Captation de cette lumière après l’interaction avec les tissus cérébraux permet d’inférer l’oxygénation sanguine
  • Interaction avec les tissus cérébraux altère la composition spectrale de ces derniers
  • Lumière proche de l’infra-rouge peut interagir avec d’autres chromophores (substances absorbant énergie lumieuse, oxy- et déoxyhémoglobine, cytochrome oxydase  marqueur du métabolisme neuronal)
  • Avantage :
  • Détecter des variations du volume neuronale lors de la production d’un influx nerveux (délai de 50 à 200 ms)
  • Limite :
  • Pas accès aux régions + centrales  why ?
  • Donc la SPIR a une excellente résolution temporelle