Chapitre 8 Flashcards
Décrire l'anatomie et la physiologie du système nerveux.
- Nommer les constituants du SNC et du SNP chez les vertébrés.
Système nerveux central: -Encéphale -Moelle épinière Système nerveux périphérique: -Nerfs crâniens -Ganglions situés à l'extérieur du SNC - Nerfs spinaux
- Nommer les trois étapes du traitement de l’information et préciser les contributions du SNC et du SNP: Étapes?
1- Réception de l’information sensorielle
2- Intégration
3- Émission
- Nommer les trois étapes du traitement de l’information et préciser les contributions du SNC et du SNP: Contribution SNC?
Contribue dans l’intégration de l’information sensorielle
- Nommer les trois étapes du traitement de l’information et préciser les contributions du SNC et du SNP: Contribution SNP?
Transmet l’information sensorielle
Transmet les commandes motrices
- Décrire la structure d’un neurone type de Vertébré et définir “synapse” et “neurotransmetteur”: Structure du neurone.
Organisation cellulaire hautement spécialisé
- Corps du neurone: Contient noyau et organites
- Dendrites: Prolongements
- Un seul axone: Transmet influx aux autres cellules ->
- > Cône d’implantation
- > Corpuscule nerveux terminal
- Décrire la structure d’un neurone type de Vertébré et définir “synapse” et “neurotransmetteur”: Synapse?
Cellule qui reçoit l’information transmise par jonction de l’axone.
- Décrire la structure d’un neurone type de Vertébré et définir “synapse” et “neurotransmetteur”: Neurotransmetteur?
Messagers chimiques qui transmettent l’information du neurone transmetteur à la cellule réceptrice.
- Définir un réflexe et décrire le circuit nerveux qui gouverne le réflexe rotulien, en précisant le rôle du neurone sensitif, du neurone moteur et de l’interneurone: Réflexe?
Réactions automatiques de l’organisme à certains stimulus.
Réaction rapide et involontaire qui protège le corps sous l’effet d’un stimulus.
- Définir un réflexe et décrire le circuit nerveux qui gouverne le réflexe rotulien, en précisant le rôle du neurone sensitif, du neurone moteur et de l’interneurone:
1- Stimulus du réflexe rotulien: Percussion du ligament patellaire relié au muscle quadriceps.
2- Récepteurs sensoriels détectent un étirement soudain dans le muscle quadriceps
3- Neurones sensitifs transmettent l’information aux neurones de la moelle épinière.
4- En réponse aux signaux des neurones sensitifs, les neurones moteurs transmettent au muscle quadriceps la commande de contraction, qui fait relever la jambe.
5- Les neurones sensitifs du muscle quadriceps communiquent aussi avec les interneurones de lamoelle épinière.
6- Les interneurones inhibent les neurones moteurs qui desservent les muscles ischiojambiers. Ceci empêche les muscles de se contracter afin qu’ils ne s’opposent pas à l’action du muscle quadriceps.
- Définir un réflexe et décrire le circuit nerveux qui gouverne le réflexe rotulien, en précisant le rôle du neurone sensitif, du neurone moteur et de l’interneurone: Neurone sensitif?
Neurones sensitifs transmettent l’information aux neurones de la moelle épinière.
- Définir un réflexe et décrire le circuit nerveux qui gouverne le réflexe rotulien, en précisant le rôle du neurone sensitif, du neurone moteur et de l’interneurone: Neurone moteur?
En réponse aux signaux des neurones sensitifs, les neurones moteurs transmettent au muscle quadriceps la commande de contraction, qui fait relever la jambe.
- Définir un réflexe et décrire le circuit nerveux qui gouverne le réflexe rotulien, en précisant le rôle du neurone sensitif, du neurone moteur et de l’interneurone: Interneurone
Les interneurones inhibent les neurones moteurs qui desservent les muscles ischiojambiers. Ceci empêche les muscles de se contracter afin qu’ils ne s’opposent pas à l’action du muscle quadriceps.
- Nommer et décrire le rôle des principaux gliocytes présents dans le système nerveux à maturité.
Gliocytes: Nourrissent les neurones, isolent les axones, régulent la composition du liquide extracellulaire.
Astrocytes -> Facilitent le transfert de l’information aux synapses et, dans certains cas, libèrent des neurotransmetteurs. Dilatation des vaisseaux sanguins. Assurent aux neurones un apport rapide en dioxygène et en glucose. Régulation des concentrations extracellulaires d’ions et de neurotransmetteurs.
7.1 Distinguer potentiel de membrane et potentiel de repos.
Potentiel de membrane: Différence de charge électrique (tension) entre les charges opposées de part et d’autre de la membrane.
Potentiel de repos: Potentiel de membrane d’un neurone au repos (lorsqu’il ne transmet pas d’influx).
7.2 Expliquer les deux paramètres qui sont à l’origine du potentiel de repos, soit les gradients ioniques et la pompe à sodium-potassium.
Les ions se déplacent en suivant leur gradient électrochimique.
Pompe à sodium-potassium retourne trois ions Na+ à l’extérieur pour deux K+ qui entrent -> Sortie nette d’une charge positive.
Il existe des canaux ioniques qui permettent la diffusion à travers de la membrane par diffusion. ->Sortie nette de K+ -> Donne une charge négative à l’intérieur de la cellule -> Essentiel au potentiel du repos
7.3.1 Définir canal ionique à ouverture contrôlée.
Canaux à l’intérieur des neurones qui s’ouvrent ou se ferment en réaction à des stimulus.
7.3.2 Distinguer les canaux chimiodépendants des canaux tensiodépendants.
Canaux tensiodépendants: Canaux qui s’ouvrent ou se ferment en fonction des variations de potentiel de membrane -> Permet le potentiel d’action
Canaux chimiodépendants: Récepteur protéinique qui lie les neurotransmetteurs et y réagit.
7.3.2 Décrire ce qu’on entend par potentiel gradué et expliquer ce qu’est l’hyperpolarisation et la dépolarisation.
Hyperpolarisation
L’hyperpolarisation est l’augmentation de l’amplitude du potentiel de membrane et rend l’intérieur de la membrane plus négatif. Causée par stimulus qui ouvre les canaux K+.
7.3.2 Décrire ce qu’on entend par potentiel gradué et expliquer ce qu’est l’hyperpolarisation et la dépolarisation.
Dépolarisation
Ouverture de différents types de canaux qui entraînent l’intérieur de la membrane moins négatif et cause une diminution de l’amplitude du potentiel de membrane.
7.3.2 Décrire ce qu’on entend par potentiel gradué et expliquer ce qu’est l’hyperpolarisation et la dépolarisation.
Potentiel gradué
C’est l’amplitude de la variation du potentiel de membrane causé par l’hyperpolarisation ou la dépolarisation.
7.3.3 Définir seuil d’excitation et potentiel d’action, puis décrire chacune des étapes de la production du potentiel d’action.
Potentiel d’action
C’est le changement radical dans la tension de la membrane suite à une dépolarisation.
7.3.3 Définir seuil d’excitation et potentiel d’action, puis décrire chacune des étapes de la production du potentiel d’action.
Seuil d’excitation
Valeur de tension atteinte lorsqu’une dépolarisation survient.
7.3.4 Expliquer pourquoi le potentiel d’action est un phénomène de type tout ou rien.
Quelque soit le courant créé par le stimulus, s’il arrive jusqu’au seuil du neurone il permettra une dépolarisation complète, mais s’il n’arrive pas au seuil, rien se passera.
7.3.3 Définir seuil d’excitation et potentiel d’action, puis décrire chacune des étapes de la production du potentiel d’action.
Étapes
1- État de repos: Canaux fermés
2- Dépolarisation: Stimulus fait ouvrir des canaux Na+. Potentiel d’action se déclenche.
3- Dépolarisation du potentiel d’action -> Milieu intracellulaire est positif par rapport au milieu extracellulaire.
4- Phase de repolarisation: Canaux Na+ se ferment et canaux K+ s’ouvrent. Milieu intracellulaire redevient négatif.
5- Hyperpolarisation: Canaux Na+ sont fermés, mais certains canaux K+ restent ouverts. Puis K+ se ferment et Na+ s’ouvrent se qui rétablit l’état de repos de la membrane.
7.3.5 Définir période réfractaire.
Période dans laquelle un deuxième stimulus dépolarisant n’a aucun effet sur le potentiel d’action à cause que les canaux Na+ demeurent fermés pendant la repolarisation et le début de l’hyperpolarisation. Détermine la fréquence maximale à laquelle les potentiels d’actions peuvent être déclenchés.
7.4 Expliquer comment le système nerveux distingue les stimuli intenses des stimuli faibles.
La fréquence à laquelle un neurone produit des potentiels d’action renseigne sur l’intensité du stimuli.