đŸ”± Clinique Flashcards

1
Q

Délire général causant une grande excitation, exaltation, euphorie .

A

La manie

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2
Q

Qui Ă©tait le prĂ©curseur de l’asile ?

A

Philippe Pinel 1745- 1826

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3
Q

Quels Ă©taient les quatre groupes de la nosographie de Pinel ?

A

La manie, le dĂ©lire mĂ©lancolique, la dĂ©mence, l’idiotisme.

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4
Q

VĂ©sanie

A

Égarement, dĂ©rĂšglement de l’esprit, sous la forme d’hypocondrie, manie, somnambulisme etc.

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5
Q

La Manie

A

État d’excitation intellectuelle et psychomotrice, d’exaltation de l’humeur, avec euphorie morbide, pĂ©riodique et cyclique, entrant dans le cadre de la psycho maniaco-dĂ©pressive.

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6
Q

La démence

A

Affaiblissement mentale globale frappant l’ensemble des facultĂ©s psychiques et altĂ©rant progressivement, avec l’affectivitĂ© et l’activitĂ© volontaire du patient, ses conduites sociales.

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7
Q

Le délire mélancolique

A

DĂ©lire exclusif sur un objet ou sur une sĂ©rie d’objets, humeur Ă©gale, ou au contraire, dĂ©goĂ»t de la vie.

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8
Q

Terme utilisé par Pinel regroupant à la fois le défaut du développement intellectuel congénital, les facultés déficitaires intellectuelles et affectives.

A

L’idiotisme

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9
Q

Les aliénistes

A

Philippe Pinel en Ă©tait le prĂ©curseur. Il Ă©tudia l’aliĂ©nation mentale.

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10
Q

Jean Martin Charcot

1825 Ă  1893

A

Il utilisa l’hypnose pour traiter l’hystĂ©rie. Il fut le premier Ă  s’opposer Ă  l’idĂ©e que l’utĂ©rus Ă©tait le dĂ©clencheur de l’hystĂ©rie mais lĂ©sions du systĂšme nerveux. ConfĂ©rences populaires ouvertes Ă  tous, avec exposition de patients hystĂ©riques sous hypnose.

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11
Q

Névrose causant une hyper expressivité des idées, images, inconscience, théùtralisme, suggestibilité, conversion.

A

Hystérie

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12
Q

Conversion

A

Conflit psychique causant des symptĂŽmes somatiques
( paralysie)
Ou sensitifs ( anesthésie)

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13
Q

Les 4 stades de l’attaque hystĂ©rique

A
  1. L’aura= douleur ovarienne
  2. L’attaque Ă©gal Ă©pilepsie, crĂ©er, valeurs, perte de connaissance, crispation.
  3. Phase clownique = grands mouvements, gesticulations thĂ©Ăątrale, mimisme D’émotions
  4. Phase résolutive = finale, pleurs, rires.
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14
Q

La méthode pathologique

A

ThĂ©odule Ribot (1839–1916) philosophe et psychologue, il plaida pour la psychologie rigoureusement scientifique. Une mĂ©thode scientifique basĂ©e sur l’expĂ©rimentation et l’observation. Il est possible d’apprĂ©hender le fonctionnement Des fonctions psychiques en Ă©tudiant la pathologie de celles-ci.

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15
Q

Les thĂšses organicistes

A

Emil Kraepelin (1856-1926), psychiatre allemand qui soutenant que les troubles mentaux ont un substratum organique, c’est-à-dire que les troubles mentaux une origine organique.

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16
Q

Les travaux d’Emil Kraepelin

A
  1. Classification détaillée des troubles mentaux basée sur des critÚres étiologiques ou cliniques
  2. Travail fondĂ©e sur l’articulation entre diagnostic est pronostique Ă  fin d’envisager l’évolution de la maladie
  3. A défini pour la premiÚre fois la psychose maniaco-dépressive et la démence précoce.
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17
Q

Maladie mentale caractĂ©risĂ©e par des dĂ©rĂšglements de l’humeur, qui Ă©volue par accĂšs se dĂ©tachant plus ou moins franchement les uns des autres et de l’état normal

A

Psychose maniaco-dépressive

18
Q

Maladie mentale chronique apparaissant Ă  la fin de l’adolescence et au dĂ©but de l’ñge adulte, caractĂ©risĂ©e par des troubles graves de l’intelligence et de l’affectivitĂ© et paraissant Ă©voluer vers un dĂ©ficit intellectuel progressif

A

Démence précoce

19
Q

Traitement des névroses

A

Pierre janet (1859–1947)

  1. Favorisa la MÉTHODE EXPÉRIMENTALE (à introspection).
  2. ConsidĂ©rĂ© comme le Freud français bien qu’en DÉSACCORD AVEC Freud, pour sa tendance Ă  tout ramener sur le sex.
  3. Privilégia les SOUVENIRS CONSCIENTS.
  4. Prise en compte de la PERSONNALITÉ DU MALADE DANS SON ENSEMBLE dans le TRAITEMENT DES NÉVROSES.
  5. Termes: SUBCONSCIENT, PSYCHASTHÉNIE
20
Q

Psychasthénie

A

NĂ©vrose se manifestant par:

  1. Etat anxio-dépressif chronique avec inhibition,
  2. Abolie,
  3. Sentiment d’incomplĂ©tude et d’auto dĂ©valorisation,
  4. Idées fixes et obsessions.
21
Q

Inhibition

A

Suspension ou suppression d’une fonction organique, psychologique ou psychique

22
Q

Introspection

A

Attitude psychologique qui vise Ă  recueillir de l’information sur ce qui se passe Ă  l’intĂ©rieur du sujet mĂȘme qui la met en Ɠuvre.

23
Q

La psychanalyse

= modĂšle psychodynamique

A
Sigmund Freud (1856–1939),  neurologue autrichien.
Il Ă©labora la psychanalyse Ă  partir de sa propre introspection, ainsi que l’auto analyse de ses rĂȘves. Ses observations tirĂ©es de l’analyse du discours de ses patients et diverses influences thĂ©oriques comme celles de Charcot, Janet, Lipps, Fechner.
24
Q
  1. ProcĂ©dĂ© d’investigation des processus psychiques,
  2. méthodes thérapeutiques,
  3. ensemble de savoirs sur la dynamique psychique.
A

La psychanalyse

Concepts

25
Q

Les recherches de Freud

A
  1. Appareil psychique
  2. Complexe d’Oedipe
  3. Mécanisme de défense
  4. Transfert
26
Q

La psychanalyse

définition

A
  1. MĂ©thode curative fondĂ©e sur la verbalisation, des pensĂ©es et associations d’idĂ©es qui se prĂ©sentent au sujet, dans un contexte oĂč ce qui a Ă©tĂ© refoulĂ© peut transparaĂźtre.
  2. Théorie de la vie psychique élaborée à partir de cette expérience.
  3. À partir d’un travail clinique, qui concerne principalement l’hystĂ©rie.
27
Q

L’appareil psychique #1

A
  1. Le préconscient
  2. L’inconscient
  3. Le conscient
28
Q

L’appareil psychique #2

A
  1. Le ÇA
    ( réservoir des pulsions)
  2. Le MOI ( Image incomplĂšte et figĂ©e de nous-mĂȘmes)
  3. Le SURMOI
    ( ensemble de rĂšgles morales, intĂ©riorisation de l’interdit parental)
29
Q

Méthode originale inventée par S. Freud pour faciliter la verbalisation de ce qui est pour le sujet, inaccessible par ce que refoulé.

A

La technique psychanalytique

30
Q

Lieu oĂč se dĂ©roulent des processus inconscients

A

Appareil psychique

31
Q
  1. Ensemble des investissements amoureux et hostiles que l’enfant fait sur les parents lors de la phase PHALLIQUE.
  2. ProcĂšs qui doit conduire Ă  la disparition de ses investissements et Ă  leur remplacement par des identifications.
    (En) Child’s feelings of desire for his or her opposite-sex parent and hostility toward the same-sex parent.
A

Le complexe d’Oedipe

Oedipal Complex

32
Q

Processus naturels qui nous permettent de surmonter des situations. Lorsqu’ils ne sont plus adaptĂ©s, le sujet peut perdre son Ă©quilibre (nĂ©vroses).
Selon Freud, ces mécanismes représentent la défense du moi contre les pulsions instinctuelles et les affects liés aux pulsions.

A

Les mécanismes de défense

33
Q

Liens affectifs intenses s’instaurant de façon automatique ( Ă  sens unique) du patient Ă  l’analyste (ou autre), Ă  la suite d’un sentiment fort et inconscient envers un‘objet’ (le plus souvent les parents), dans le passĂ© du sujet.

A

Le transfert

34
Q
JB Watson (1878–1958),  psychologue amĂ©ricain et fondateur du bĂ©haviorisme. 
 Il exprime l’idĂ©e que la psychologie ne peut ĂȘtre fondĂ©e que sur l’étude du comportement et son opposition Ă  toute forme d’introspection. Il a accorde une grande importance aux travaux de I. Pavlov  sur les lois du conditionnement classique.
A

Le conditionnement de la peur

35
Q
  1. Expérience sur le conditionnement de la peur sur le petit Albert pour expliquer le développement des phobies.
  2. ExpĂ©rience de dĂ©sensibilisation de la peur sur le petit Peter, grace Ă  Mary Cover Jones, une Ă©tudiante de Watson, qui donnera d’efficace rĂ©sultats sur la mĂ©thode de dĂ©sensibilisation sur le traitement des phobies.
A

Les expériences de JB Watson

Et son Ă©lĂšve, M C Jones

36
Q
  1. Introduction d’une souris blanche (stimulus neutre, SN) Ă  bĂ©bĂ© Albert ➖aucune peur (RĂ©ponse Neutre, RN)
  2. PrĂ©sentation Ă  nouveau de la souris (SN) avec un bruit violent (stimulus inconditionnel, SI) ➖ Albert est effrayĂ© (RĂ©ponse Inconditionnelle, RI)
  3. En association plusieurs fois la souris au bruit, la souris devient seule, un Stimulus Conditionnel ( SC) cela entraĂźnant une RĂ©ponse Conditionnelle ( RC ) de peur sur l’enfant.
  4. Le mĂȘme comportement sera retrouvĂ© face Ă  d’autres stimuli (lapin, barbe du PĂšre NoĂ«l etc.)
A

L’expĂ©rience de JB Watson

37
Q

Psychologue américain du XXe siÚcle.

  1. propose le terme de psychologie clinique comme étant la psychologie pour les personnes perturbés.
  2. En 1896 il fonde la premiĂšre clinique psychologique aux États-Unis, pour les enfants handicapĂ©s mentaux et physiques.
  3. Publication d’un ouvrage de plusieurs articles sur les fondements de la psychologie clinique et sa mĂ©thode.
  4. En 1947, officialisation de la psychologie clinique en tant que discipline scientifique par APA.
A

Lightner Witmer (1867-1967)

38
Q

MĂ©decin, psychanalyste et professeur de psychologie pathologique Ă  la Sorbonne, il est le un des premiers Ă  avoir introduit la psychologie clinique en France.
Pour Lagache, La psychologie clinique est “l’étude de la personne totale en situation”.
Il milite pour la crĂ©ation d’une Profession correspondant Ă  cette discipline avec ses objectifs et ses mĂ©thodes propres. DĂ©fense de l’unitĂ© de la psychologie en tant que discipline, avec pour objet la conduite humaine et ses diffĂ©rentes approches.

A

Daniel Lagache (1903-1972)

39
Q

Qui introduit la psychologie clinique en France ?

A

Daniel Lagache

1903-1972

40
Q

Philosophe, médecin et psychanalyste du 20Ú s.

  1. elle a créé le premier laboratoire de psychologie clinique en France.
  2. En 1968, création du premier certificat de maßtrise de psychologie clinique à la Sorbonne.
  3. Étude de la personnalitĂ© singuliĂšre dans la totalitĂ© de sa situation et de son Ă©volution.
  4. Une clinique humaniste aux mains nues”, basĂ©e uniquement sur l’observation et l’entretien.
  5. Distinction avec Lagache, en imposant l’idĂ©e que la psychologie clinique se diffĂ©rencie de la psychologie expĂ©rimentale. Selon elle, ce sont deux disciplines indĂ©pendantes.
A

Juliette Favez–Boutonnier

1903–1994