Cours 2 Flashcards

La perception sociale

1
Q

La perception sociale

A
  • La machine humaine
  • L’attribution de causes au comportement
  • L’intégration de l’information et l’exactitude de l’impression
  • La cognition sociale
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2
Q

La machine humaine

A

Une usine de fabrication de croyances

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3
Q

Une croyance c’est:

A

Une conviction relative à un objet
psychologique.

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4
Q

Un objet psychologique:

A

est tout ce qu’il est possible de se représenter, y compris les individus

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5
Q

Vrai ou faux. Un objet psychologique peut être concret ou abstrait, réel ou imaginaire

A

Vrai

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6
Q

L’acquisition de croyances se fait par:

A
  • expérience personnelle,
  • information donnée par autrui,
  • inférence,
  • supposition
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7
Q

Comment Pascal en est-il venu à croire que se faire tatouer est douleureux?

A
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8
Q

Fonctionnement par schémas

A

La mémoire nous amène à intégrer les nouvelles informations aux croyances que nous possédons déjà et à faire des inférences, pour pallier aux informations que nous ne possédons pas.

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9
Q

L’attribution à partir d’un seul comportement

A
  • Théories des inférences correspondantes :
    –Attribution d’une disposition (ou d’un trait) qui correspond directement à la nature du comportement observé.
  • Nous essayons de comprendre le comportement d’une personne en faisant un lien entre le comportement observé et les disposition/traits de personnalité de la personne.
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10
Q

Théories des inférences correspondantes :

A

Attribution d’une disposition (ou d’un trait) qui correspond directement à la nature du comportement observé.

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11
Q

Afin de faire une inférence, nous allons nous demander :

A
  • Si la personne avait le choix d’agir autrement
  • Si le comportement correspond aux attentes des autres
  • Quelles sont les conséquences particulières de son comportement?
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12
Q

Si la personne avait le choix d’agir autrement

A
  • Si la personne n’avait pas le choix, nous allons penser qu’elle a agi par obligation, pas parce qu’elle possède un trait de personnalité particulier
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13
Q

Si le comportement correspond aux attentes des autres

A
  • Si le comportement correspond aux attente sociales, nous sommes susceptible de penser qu’elle s’est simplement conformé aux attentes, et que son comportement ne reflète pas sa personnalité
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14
Q

Quelles sont les conséquences particulières de son comportement?

A
  • Nous serons plus susceptibles d’attribuer une disposition à une personne si son comportement a des effets distinctifs, particuliers
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15
Q

La théorie des inférences correspondantes

A
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16
Q

L’attribution à partir de plusieurs comportements

A
  • Selon la théorie de la covariation de Kelley, en présence de nombreuses données, nous procédons généralement à la manière d’un scientifique pour déceler la cause d’un comportement.
  • Cette théorie explique l’attribution par la perception d’un lien entre le comportement et la cause avec laquelle il varie systématiquement dans le temps.

–

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17
Q

Les trois critères que nous utilisons pour faire une attribution sont:

A

-> la constance
-> le caractère distinctif
-> le consensus

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18
Q

Critère de constance

A

Lorsqu’une personne se comporte d’une manière inhabituelle, on fait une attribution externe aux circonstances.

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19
Q

Critère de caractère distinctif

A

Lorsqu’une personne agit de cette manière uniquement envers ce stimulus (personne, activité), on fait une attribution externe à l’entité.

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20
Q

Critère de consensus

A

Lorsque les autres ne se comportent pas comme la personne, on fait une attribution interne à la personne.

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21
Q

Pascal dort pendant le cours de psychologie sociale. Pourquoi?

A
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22
Q

Les biais liés à l’attribution: Erreur d’attribution fondamentale

A

Tendance à sous-estimer l’influence de la situation et à surestimer celle des facteurs internes en tant que causes du comportement d’autrui. (la psycho essaie de contourner ça)

Exemple: Journaliste se vante de Fidel Castro, est-ce que le journaliste est fan du fidel Castro?

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23
Q

Les biais liés à l’attribution: Pourquoi ?

A
  • Dans plusieurs cultures, on nous apprend que chaque personne est responsable de ses actes.
  • À cause de la saillance perceptive, nous avons tendance à attribuer la cause à l’objet de notre attention.
  • Les attributions internes demandent moins de travail cognitif.
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24
Q

La saillance perceptive

A

C’est la tendance à attribuer Influence plus importante à des personnes plus possiblement en correspondance.

Exemple: qui avait plus de contribution dans la convo! Réponse selon le POV de la personne.

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25
Q

Est-ce que l’observateur à tort quand il attribue les actions des autres aux causes internes?

A

C’est relatif! Le sys. interne qui choisit même si les contraintes situationnelles sont évidentes

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26
Q

Le modèle tridimensionnel de Weiner

A

Nos attributions peuvent être catégorisées selon trois dimensions:

-> les causes sont internes (attribution des succès) ou externes ( plus facile, plus de protection, attribution des échecs),
-> les causes sont contrôlables ou non contrôlables, –
-> les causes sont stables ou instables.

Le type d’attribution aura un impact sur la réaction affective et les attentes de la personne qui fait l’attribution.

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27
Q

Le type d’attribution aura un impact sur …………….. et …………….. de la personne qui fait l’attribution.

A

1) la réaction affective
2) les attentes

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28
Q

Le modèle tridimensionnel de Weiner: Pourquoi Pascal a-t-il raté son examen de méthode quantitatives ?

A
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29
Q

L’intégration de l’information: Formation d’impression

A
  • La formation d’une impression est le processus cognitif par lequel nous organisons divers éléments d’information se rapportant à une personne afin de former un tout. Ce processus repose sur l’attribution et l’intégration de l’information. (Gestaltiste)
  • L’intégration de l’information, c’est-à-dire la combinaison des traits attribués, aboutit à une perception unifiée. C’est ainsi que nous nous formons une impression globale d’une personne.
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30
Q

L’intégras de l’information: Les étapes de la perception d’autrui

A
31
Q

Deux approches rendent compte de l’intégration de l’information en matière de perception d’autrui :

A

➊ Les traits attribués à une personne n’ont de sens que les uns en fonction des autres.
➋ L’impression globale est plus ou moins positive, selon que la somme des traits évalués
indépendamment les uns des autres est plus ou moins positive.

32
Q

Approche de l’interaction entre les traits (Asch, 1946) : Effet de centralité

A

Les traits importants organisent l’impression et influent sur le sens retenu pour les autres traits de la personne.

33
Q

Approche de l’interaction entre les traits (Asch, 1946) : Effet de centralité

A
34
Q

Approche de l’interaction entre les traits (Asch, 1946) : Effet de primauté

A

Tendance à accorder plus d’importance aux premières informations reçues dans la formation d’une impression.

35
Q

Voici Raymond. Il est…

A
36
Q

Approche de la somme des traits : Modèle de la moyenne (Anderson, 1981)

A

Modèle de la moyenne pondérée : L’impression générale est la somme des produits de l’évaluation de chaque trait par son poids (l’importance que lui accorde la personne), divisée par le nombre de traits.

La grande différence entre les 2 approches indépendance relative des traits entre eux!!

Les 2 modèles coexistent

37
Q

La cognition sociale

A

C’est la façon dont l’humain arrive avec une remarquable rapidité et une efficacité entachée de nombreuses avers logiques, à donc un sens à son environnement social et ainsi pourvoir s’y adapter et au besoin le contrôler

38
Q

La cognition sociale:
L’être humain fait appel à deux systèmes de pensée lorsqu’il doit juger son environnement social.

A
39
Q

L’exactitude de l’impression

A
  • Certaines caractéristiques comme l’extraversion sont assez faciles à percevoir correctement, ce n’est pas le cas d’autres traits. ( la polistesse, indépendante)
  • Les premières impressions sont particulièrement résistantes au changement.
40
Q

Les schémas (1)

On traite des informations nouvelles en fonction de nos connaisances au paravant.

A
  • Les schémas sont des structures cognitives qui permettent d’organiser l’information complexe se rapportant aux personnes et aux situations.
  • Les schémas orientent la perception de l’environnement, l’organisation des informations en mémoire et les inférences.

On a notre propre lunettes, notre propre schéma et celle pour les autres .

Un jury a souvent une perception de la conclusion! Mais il doit avoir des lunettes pour faire l’analyse de la situation.

41
Q

Les schémas (2)

A
42
Q

Théorie implicite de la personnalité

A

Type de schéma que les individus utilisent pour inférer les traits de personnalité qui s’accordent généralement.

Qqn qui s’habillent de manière XY, on dit qu’elle a TDAH , mais elle est bien médicamentée

43
Q

Les règles heuristiques

A

Un processus cognitif qui permet de faire rapidement des estimations.

44
Q

Les règles heuristiques: Disponibilité

A

Juger de la fréquence ou de la probabilité d’un événement en fonction de la facilité avec laquelle on peut s’en remémorer des exemples.

45
Q

Les règles heuristiques: Représentativité

A
  • Estimer la probabilité d’appartenance d’un objet à une classe donnée à partir de sa ressemblance avec un cas prototypique de cette classe.

Centre Bell fit combien de personnes

46
Q

Les règles heuristiques: Ancrage et ajustement

A
  • Estimer une grandeur en se fondant sur une quantité connue, puis ajuster cette grandeur pour tenir compte des particularités d’un nouvel événement semblable.

Concert AG-> Concert sont dangereux

47
Q

Les autres biais courants (1)

A

Biais de la positivité:

une mauvaise crème et on le sait-> une amie dit que c’est une bonne crème-> on l’achète

Négligence de la ligne de base
Fumer n’est pas bon pour la santé-> une personne riche fume-> c’est unique

48
Q

Les autres biais courants (2)

A

Corrélation illusoire

Groupe a eu une bonne note-> mais là on dit que c’est aléatoire

49
Q

Les autres biais courants (3)

A

Raisonnement contrefactuel

  • Médaille de bronze! WOW, car il aurait pu pas avoir de médaille!

-Médaille d’argent! YAGHK, car il aurait pu avoir une médaille d’or.

-Veut un numéro de plaque d’auto spécifique car ce numéro fait pas d’accident

50
Q

Une croyance bâtie sur un raisonnement ou sur une combinaison d’autres croyances est une

a) inférence.

al valeur

c) attitude

d) opinion

A

a) inférence.

51
Q

Selon le modèle des inférences correspondantes, nous serons d’autant plus portés à faire une attribution à sa personnalité si un individu a un comportement

a) agressant

b) différent de celui auquel on s’attendrait compte tenu de son rôle social

c) différent de ce qu’il aurait fait s’il avait eu le choix.

d) ne correspondant pas aux options qu’il avait

A

b) différent de celui auquel on s’attendrait compte tenu de son rôle social

52
Q

Selon le modèle de la covariation, lorsque le comportement d’une personne à l’endroit d’une autre ne correspond pas à sa manière habituelle de se comporter, nous aurons tendance à attribuer son comportement à

a) un problème de personnalité.

b) l’entité

c) des circonstances particulières

d) Toutes ces réponses,

A

c) des circonstances particulières

53
Q

Selon la théorie de la covariation, quel est le principal critère qui nous fera déterminer si un comportement est dû à un stimulus particulier?

a) La distinction.

b) Le consensus

c) La constance.

A

a) La distinction.

54
Q

Dans le modèle d’intégration d’Asch, le trait qui avait le plus d’influence sur l’impression globale était

a) le caractère généreux.

b) le caractère rationnel.

c) le caractère chaleureux.

d) l’intelligence.

A

c) le caractère chaleureux.

55
Q

La métaphore de l’avare cognitif explique l’utilisation de l’erreur d’attribution fondamentale par le désir

a) de gagner du temps.

b) de faire une attribution interne plutôt que de tenir compte de facteurs situationnels.

c) de réduire l’effort cognitif

d) Aucune de ces réponses.

A

c) de réduire l’effort cognitif

56
Q

La principale différence entre le modèle d’Asch et celui d’Anderson est

a) le caractère mesurable

b) la dépendance des traits par rapport au contexte.

c) l’indépendance relative des traits entre eux.

d) d’ordre culturel.

A

c) l’indépendance relative des traits entre eux.

57
Q

Le système 1 défini par Kahneman est

a) rapide et automatique.

b) rationnel et automatique.

c) lent et automatique.

d) rapide et réfléchi

A

a) rapide et automatique.

58
Q

Les schémas nous aident non seulement à définir les informations en fonction de ce que nous savons déjà, mais aussi à les transformer et à les

a) construire.

b) lire.

c) nier.

d) interpréter.

A

d) interpréter.

59
Q

Selon Kahneman, la confiance qu’ont les individus dans leurs convictions dépend essentiellement

a) du renforcement positif qu’ils reçoivent en exprimant ces convictions.

b) de la qualité de l’histoire qu’ils peuvent raconter sur ce qu’ils voient.

c) de la qualité de leurs convictions liées à l’image que la réalité leur renvoie.

d) du réalisme de ces convictions.

A

b) de la qualité de l’histoire qu’ils peuvent raconter sur ce qu’ils voient.

60
Q

L’heuristique de disponibilité nous amène à

a) approfondir notre réflexion en nous poussant à chercher des exemples d’événements

b) interprêter la réalité en fonction des exemples qui nous viennent le plus facilement en tête.

c) trouver des solutions rapides à des problèmes de logique.

d) corriger nos premières impressions en fonction de la disponibilité de nos théories implicites de la personnalité.

A

b) interprêter la réalité en fonction des exemples qui nous viennent le plus facilement en tête.

61
Q

L’heuristique de représentativité s’appuie essentiellement sur

a) des prototypes.

b) des statistiques.

c) des estimations.

d) des mécanismes de défense.

A

a) des prototypes.

62
Q

L’ancrage sert à définir un point de repère pour que nous obtenions des estimations

a) exactes.

b) conformes au modèle que nous avons en face de nous.

c) imagées.

d) chiffrées.

A

d) chiffrées.

63
Q

Le raisonnement contrefactuel

a) est nécessairement nuisible à l’estime de soi.

b) est la plupart du temps ascendant.

c) permet de s’imaginer un monde cohérent.

d) est une forme de reconstruction du passé.

A

d) est une forme de reconstruction du passé.

64
Q

Glibert, votre grand arms, vous raconte qu’il a ratè un test de sélection pour un poste de serveur dans un restaurant l’exercice consistait à faire le service à une table et il a renversé la soupe bouillante sur la personne chargée de l’évaluer. En appliquant les trois critères du modèle de Kelley, formulez les questions que vous vous poserez pour comprendre les causes du comportement de votre ami En fonction de vos réponses à ces questions, énoncez vos conclusions.

A

Pour comprendre les causes du comportement de Gilbert dans le contexte du test de sélection pour le poste de serveur, nous pouvons appliquer les trois critères du modèle de Kelley : la constance, le caractère distinctif et le consensus. Voici les questions que nous pourrions poser pour chaque critère :

  1. Constance :
    • Est-ce que Gilbert a déjà eu des incidents similaires dans des situations similaires par le passé ?
    • Comment se comporte-t-il généralement dans des contextes de service ou d’évaluation ?
  2. Caractère distinctif :
    • Est-ce que Gilbert a tendance à agir de manière similaire dans d’autres situations ou est-ce un comportement spécifique à ce contexte de test ?
    • Y a-t-il des facteurs particuliers liés à ce test de sélection qui pourraient expliquer son comportement, comme la pression, le stress ou l’inconfort ?
  3. Consensus :
    • D’autres candidats ont-ils également eu des problèmes similaires pendant le test ?
    • Y a-t-il des témoignages d’autres évaluateurs ou observateurs qui ont noté des comportements similaires chez Gilbert ou d’autres candidats dans des situations similaires ?

Conclusions possibles en fonction des réponses à ces questions :
- Si Gilbert a une histoire constante de comportements maladroits ou similaires, cela pourrait indiquer une tendance générale.
- Si le comportement de Gilbert est distinctif à ce contexte particulier et n’est pas observé dans d’autres situations, cela pourrait suggérer des facteurs spécifiques au test.
- Si d’autres candidats ont également eu des problèmes similaires, cela pourrait indiquer que le test lui-même peut être stressant ou difficile.
- Si le consensus parmi les observateurs est que le comportement de Gilbert est inhabituel, cela pourrait suggérer une singularité de son comportement dans cette situation précise.

En combinant ces informations, on pourrait obtenir une meilleure compréhension des causes potentielles du renversement de soupe bouillante et formuler des conclusions sur le comportement de Gilbert lors du test de sélection pour le poste de serveur.

65
Q

Trouvez dans votre propre expérience un exemple d’application de la règle heuristique d’ancrage et d’ajustement

A

Une expérience courante illustrant la règle heuristique d’ancrage et d’ajustement est souvent observée dans le processus de négociation, en particulier lors de discussions sur les prix. Imaginons que vous visitiez un marché pour acheter un objet, et le vendeur vous propose un prix initial assez élevé. Cet ancrage initial, même s’il est inattendu, peut influencer votre évaluation ultérieure du prix juste de l’objet.

Ensuite, en tant qu’acheteur, vous ajustez votre offre en fonction de cet ancrage initial. Vous pourriez proposer un prix qui est moins élevé que l’ancrage initial, mais toujours plus élevé que ce que vous auriez offert si vous n’aviez pas été exposé à cet ancrage initial.

Dans cette situation, la règle heuristique d’ancrage et d’ajustement est à l’œuvre. L’ancrage initial fournit une référence à partir de laquelle vous ajustez votre offre, même si cet ancrage n’était pas nécessairement une indication précise de la valeur réelle de l’objet. Cette règle montre comment notre processus de prise de décision peut être influencé par des points de départ arbitraires, même lorsqu’ils ne sont pas logiquement liés à la décision en question.Lors d’une négociation, j’ai fixé un prix initial (ancrage), puis ajusté le montant final après discussion. Cela a influencé la perception de la valeur par l’autre partie.

66
Q

Vrai ou faux? D’après les théories de la formation d’une impression, nous accordons tous la même valeur aux traits de personnalité.

A

Faux : Selon les théories de la formation d’une impression, les individus accordent différentes valeurs aux traits de personnalité en fonction de leurs propres expériences, préjugés et perspectives.

67
Q

Pourquoi le modèle de Kelley ne serait-il pas applicable à la suite de l’observation d’un seul comportement chez une personne?

A

Applicabilité du modèle de Kelley

Le modèle de Kelley pourrait ne pas être applicable car il nécessite des informations sur plusieurs comportements pour établir des schémas. Un seul comportement peut ne pas être représentatif du caractère global de la personne.

68
Q

Déterminez des situations dans lesquelles l’exactitude de la perception d’autrui est particulièrement importante

A

Situation d’importance de l’exactitude de la perception d’autrui:

Les situations professionnelles, les relations interpersonnelles critiques, les entretiens d’embauche, les négociations commerciales.

69
Q

Avez-vous déjà été victime d’une erreur d’attribution fondamentale? Dans quelles circonstances? Comment vous êtes-vous senti?

A

Lorsqu’une personne m’a coupé dans la circulation, j’ai attribué son comportement à une personnalité agressive plutôt qu’à une simple distraction. Cela m’a fait ressentir de la frustration.

70
Q

Une personne qui vient de subir une rupture amoureuse tombe par hasard sur le modèle de Weiner. Elle tente de classifier les diverses causes de cette rupture qui lui viennent en tête. Trouvez des exemples de ce qu’elle pourrait écrire dans chaque case d’un tableau semblable au tableau 2.4.

A

Bien sûr, voici une liste d’exemples de causes de rupture amoureuse classées selon les dimensions du modèle de Weiner :

Internes :
1. Manque de communication de ma part.
2. Problèmes personnels non résolus qui ont affecté la relation.
3. Incompatibilité de personnalités.

Externes :
1. Pression extérieure de la famille ou des amis.
2. Changements de circonstances indépendants de la volonté (emploi, déménagement).
3. Influence négative d’événements extérieurs sur la relation.

Contrôlables :
1. Manque d’effort de ma part pour résoudre les conflits.
2. Choix conscients qui ont contribué à la rupture.
3. Défauts de personnalité qui auraient pu être modifiés avec un effort conséquent.

Non Contrôlables :
1. Maladies ou problèmes de santé qui ont impacté la relation.
2. Facteurs génétiques ou familiaux influant sur la dynamique de couple.
3. Événements inattendus et inévitables (catastrophes naturelles, accidents).

Stables :
1. Problèmes de confiance persistants.
2. Différences fondamentales dans les valeurs.
3. Incompatibilité de longue date.

Instables :
1. Conflits temporaires liés à des situations spécifiques.
2. Changements temporaires dans les circonstances.
3. Étapes de vie qui ont temporairement impacté la relation.

Cette liste reflète comment les attributions peuvent être catégorisées en fonction de leur nature interne/externe, contrôlable/non contrôlable, stable/instable dans le contexte d’une rupture amoureuse.

71
Q

Donnez des exemples de ce que serait la cognition sociale si les schémas n’existaient pas

A

La cognition sociale serait plus lente et exigerait une évaluation détaillée à chaque interaction. Les schémas facilitent le traitement rapide de l’information sociale.

72
Q

Quel lien existe-t-il entre la négligence de la ligne de base et l’heuristique de disponibilité?

A

La négligence de la ligne de base peut conduire à des jugements inappropriés. L’heuristique de disponibilité pourrait être utilisée de manière excessive si la ligne de base n’est pas correctement établie.

73
Q

Dans quelle situation, selon les études récentes de Gigerenzer, l’utilisation d’heuristiques est-elle particulièrement appropriée?

A

Dans des situations où le temps est limité et l’information est complexe, l’utilisation d’heuristiques peut être particulièrement appropriée pour prendre des décisions rapides et efficaces.