Cours 6 Flashcards

1
Q

Épidémiologie

A

L’épidémiologie est une discipline scientifique qui étudie les problèmes de santé dans les populations humaines, leur fréquence, leur distribution dans le temps et dans l’espace, ainsi que les facteurs influant sur la santé et les maladies de populations.

L’étude de la répartition et des déterminants des évènements de santé sert de fondement à la logique des interventions faites dans l’intérêt de la santé publique et de la médecine préventive.

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2
Q

l’histoire de John Snow?

A

On faisait saigner les gens
Fait du porte a porte et realise que ce n’est pas tout le monde qui était malade → trouve la source d’une pompe à eau qui causait les infections
Les Populations

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3
Q

Les populations ou les groupes en SP (sous population)

Définir des groupes ou des populations permet de :

A

Mieux les caractériser et comprendre les facteurs qui influencent leur santé
Dégager des enjeux «populationnels» qui guident les interventions visant les niveaux communautaire se sociétaux et structurels
Guider les actions qui visent à réduire les inégalités sociales de santé

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4
Q

Faire la description des populations ou des groupes peut renforcer la … et les …

A

Faire la description des populations ou des groupes peut renforcer la stigmatisation et les stéréotypes.

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5
Q

La recherche se concentre souvent sur les «…»

A

La recherche se concentre souvent sur les «déficits»

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6
Q

Les données représentent des moyennes: (2)

A

les individus dans une population sont hétérogènes

La présence et l’intensité d’une caractéristique X peuvent varier énormément.

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7
Q

En tant que futurs sexologues Toujours: (4)

A

savoir-faire la différence entre la population et une personne
éviter de généraliser une donnée sur l’ensemble d’une population
être conscient.es de la stigmatisation et le renforcement des stéréotypes dans vos «discours»
être conscient.es de vos privilèges

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8
Q

Groupes vulnérables aux ITSS au Québec (8)

A

les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes
les personnes utilisatrices de drogues par injection ou par inhalation
les personnes incarcérées ou l’ayant été
les jeunes et les jeunes en difficulté
les travailleuses et travailleurs du sexe
les autochtones
les personnes trans
les personnes originaires d’une région où l’infection par le VIH est endémique

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9
Q

Populations clés VIH - OMS (5)

A

hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes
personnes consommant des drogues par injection
personnes vivant en prison ou dans d’autres environnements clos
travailleurs du sexe et leurs clients
personnes transgenres.

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10
Q

Personnes originaires de pays où les ITSS sont endémiques

A

Endémique : l’infection est présente en permanence dans la régions ou dans un groupe (1% de la pop attrape quelque chose)
Pour le VHC : l’Égypte; le Pakistan; Taiwan; la Roumanie; l’Italie.
Pour le VIH : l’Afrique subsaharienne; les Caraïbes; la Thaïlande; l’est de l’Europe; l’Asie centrale.

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11
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique

A

Proportion importante de personnes atteintes du VIH sans le savoir.
Principalement de l’Afrique subsaharienne et des Caraïbes.
Transmission surtout hétérosexuelle.
exposition dans leur pays d’origine (avant l’immigration ou à l’occasion de séjours post-immigration) et dans leur réseau social québécois.
Problématique : pas assez de dépistage, ne savent pas qu’eils sont infectés,

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12
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique

L’impact de l’… et la question du biculturalisme vécus par plusieurs membres de la communauté;

A

L’impact de l’immigration et la question du biculturalisme vécus par plusieurs membres de la communauté;

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13
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique
La place de la …, qui peut influencer les rapports hommes/femmes, la sexualité et la représentation de la maladie comme le VIH/sida;

A

La place de la spiritualité, qui peut influencer les rapports hommes/femmes, la sexualité et la représentation de la maladie comme le VIH/sida;

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14
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique
La … qui est un pilier important où la famille élargie peut avoir un pouvoir de décision dans plusieurs sphères de vie;

A

La structure familiale qui est un pilier important où la famille élargie peut avoir un pouvoir de décision dans plusieurs sphères de vie;

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15
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique
Les rapports de … qui sont parfois inégaux et qui peuvent influencer le pouvoir décisionnel de certaines femmes face à la négociation et à l’utilisation du …

A

Les rapports de genre qui sont parfois inégaux et qui peuvent influencer le pouvoir décisionnel de certaines femmes face à la négociation et à l’utilisation du préservatif

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16
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique
Les … des jeunes filles vues par les parents;
Le … de certains hommes qui peut avoir un impact sur la transmission des ITSS;
Les perceptions liées à l’… et l’… peuvent être manifestées par des membres de la communauté. objectivisation
La … et le … à différents niveaux/milieux

A

Les grossesses hors mariage des jeunes filles vues par les parents;
Le multi partenariat de certains hommes qui peut avoir un impact sur la transmission des ITSS;
Les perceptions liées à l’homosexualité et l’homophobie peuvent être manifestées par des membres de la communauté. objectivisation
La discrimination et le racisme à différents niveaux/milieux

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17
Q

Personnes originaires de pays où le VIH est endémique : Comment intervenir? (6)

A

Prendre conscience des mythes et des préjugés individuels et collectifs
Intégrer les dimensions culturelles durant les interventions
Identifier et répertorier des ressources communautaires et institutionnelles
Mobiliser les communautés
Renforcer l’engagement des leaders et chefs spirituels
Développer une «compétence culturelle»

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18
Q

Les jeunes de 15 à 24 ans sont particulièrement touchés par l’infection à …, l’… et les infections par les … :
le taux d’incidence de l’infection à … étant … fois plus élevé que ceux que l’on observe dans l’ensemble des autres groupes d’âge;
Les … se transmettant surtout dans les … années de l’activité sexuelle.
Chez les jeunes Québécois ayant entre 15 et 17 ans, …% des filles et …% des garçons ont reçu au moins une fois un diagnostic d’ITSS au cours de leur vie.

A

Les jeunes de 15 à 24 ans sont particulièrement touchés par l’infection à Chlamydia trachomatis, l’infection gonococcique et les infections par les VPH :
le taux d’incidence de l’infection à Chlamydia trachomatis étant douze fois plus élevé que ceux que l’on observe dans l’ensemble des autres groupes d’âge;
Les VPH se transmettant surtout dans les premières années de l’activité sexuelle.
Chez les jeunes Québécois ayant entre 15 et 17 ans, 1,3% des filles et 0,4% des garçons ont reçu au moins une fois un diagnostic d’ITSS au cours de leur vie.

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19
Q

Principaux enjeux des jeunes de 15 à 24 ans (8)

A
  • sentiment de toute-puissance
  • vaccination contre les VPH et l’hépatite B
  • les jeunes adultes sexuellement actifs, la perception du risque de contracter une ITS est faible.
  • Les jeunes hommes ont moins recours au dépistage que les jeunes femmes.
  • services intégrés de type cliniques jeunesse mais leur offre reste très inégale d’une région à l’autre.
  • relations de courte durée qui se succèdent
  • La diversité des formes de partenariats sexuels chez les jeunes adultes célibataires
  • L’éducation à la sexualité reste très inégale d’un établissement scolaire à l’autre.
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20
Q

Sec 1 a 5 avoir eu des relations sexuelles consensuelles (orales, vaginales ou anales) au moins une fois au cours de leur vie …
…% en 2010-2011 à …% en 2016-2017.

A

avoir eu des relations sexuelles consensuelles (orales, vaginales ou anales) au moins une fois au cours de leur vie en baisse
37% en 2010-2011 à 33% en 2016-2017.

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21
Q

Sec 1 a 5 près de la … ont eu un seul partenaire sexuel, … % ont eu deux partenaires et …% en ont eu trois ou plus.

A

près de la moitié (49%) ont eu un seul partenaire sexuel, 20% ont eu deux partenaires et 31% en ont eu trois ou plus.

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22
Q

La proportion ayant utilisé un condom lors de leur dernière relation sexuelle consensuelle vaginale est passée de …% en 2010-2011 à …% en 2016-2017

A

La proportion ayant utilisé un condom lors de leur dernière relation sexuelle consensuelle vaginale est passée de 68% en 2010-2011 à 60% en 2016-2017

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23
Q

près de …% des élèves sont attirés exclusivement par des personnes de l’autre sexe, les filles dans une … proportion que les garçons

A

près de 83% des élèves sont attirés exclusivement par des personnes de l’autre sexe, les filles dans une moindre proportion que les garçons (76% c. 89 %).

24
Q

Les jeunes n’utilisent pas le condom

A

Faux

25
Q

Garçon ont leur première relation sexuelle plus tot que les filles a 14 ans

A

Vrai

26
Q

16-17 ans qu’ils ont leur première relation sexuelle

A

Vrai

27
Q

Les ados se dépêche d’avoir leur première relation sexuelle

A

Faux

28
Q

Les garçons disent porter le condom plus souvent que les filles (vaginal)

A

Vrai MAIS Les garçons pourraient sur évaluer, garçons ont plus de partenaires (explications plausibles mais non vérifié)

29
Q

Filles plus d’attirance du même sexe que les garçons

A

Vrai

30
Q

Étude pixel groupe d’age?

A

17 à 29 ans

31
Q

25 ans, ils sont 95% à avoir eu une relation sexuelle

A

Vrai

32
Q

Les jeunes sont plus précoce sexuellement

A

Faux : À l’âge de 17 ans, dix femmes sur vingt (50%) et huit hommes sur vingt (40%) ont déjà eu une première relation sexuelle. Ces proportions se maintiennent depuis 1980 (Blais et al., 2009). Les jeunes ne seraient donc pas plus précoces que les générations qui les ont précédés.

33
Q

L’âge aux premières relations orales et l’âge aux premières relations vaginales sont semblables.

A

Vrai

34
Q

En intervention, dire risque élever ou faible ou stat OU représenter le chiffre sur 10 ou 100

A

Représenter le chiffre sur 10 ou 100

35
Q

? jeunes sur dix n’ont eu aucun partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois et ? sur 10 en ont eu un seul. ? jeunes sur dix ont eu deux partenaires sexuels ou plus au cours des 12derniers mois.
Une ? proportion des jeunes a eu sept partenaires sexuels ou plus dans la dernière année.

A

2 jeunes sur dix (21 %) n’ont eu aucun partenaire sexuel au cours des 12 derniers mois et 4 sur 10 (41 %) en ont eu un seul. Quatre jeunes sur dix (38%) ont eu deux partenaires sexuels ou plus au cours des 12derniers mois.
Une faible proportion des jeunes (7%) a eu sept partenaires sexuels ou plus dans la dernière année.

36
Q

Le nombre de partenaires ne constitue pas un déterminant majeur du risque de contracter une ITS.

A

Faux

37
Q

?% des hommes ont déjà eu une relation sexuelle avec un homme et ?% des femmes ont déjà eu une relation sexuelle avec une femme.

A

10% des hommes ont déjà eu une relation sexuelle avec un homme et 20% des femmes ont déjà eu une relation sexuelle avec une femme.

38
Q

? jeunes sexuellement actifs sur dix ont eu un partenaire «de couple» ou plus, au cours des 12derniers mois. ? jeunes sur dix ont eu des relations sexuelles avec un «ami ou une connaissance» , avec une «fréquentation», ou avec un «partenaire d’un soir», alors que ? jeunes sur dix ont eu des relations sexuelles avec un «ex», au cours des 12 derniers mois.

A

Huit jeunes sexuellement actifs sur dix (84%) ont eu un partenaire «de couple» ou plus, au cours des 12derniers mois. Trois jeunes sur dix ont eu des relations sexuelles avec un «ami ou une connaissance» (33%), avec une «fréquentation» (32%), ou avec un «partenaire d’un soir» (26%), alors que deux jeunes sur dix (23%) ont eu des relations sexuelles avec un «ex», au cours des 12 derniers mois.

39
Q

Les hommes sont plus nombreux que les femmes à avoir eu un autre type de partenaire que «de couple» dans la dernière année.

A

Vrai

40
Q

Un peu plus de ? hommes sur dix et ? femmes sur dix ont indiqué avoir eu «quelques fois ou plus» des relations sexuelles sous l’influence du cannabis au cours des 12derniers mois.

A

Un peu plus de quatre hommes sur dix (45%) et trois femmes sur dix (33%) ont indiqué avoir eu «quelques fois ou plus» des relations sexuelles sous l’influence du cannabis au cours des 12derniers mois.

41
Q

Niveau de risque perçu est de ?

A

2

Les jeunes sous-estiment donc leur susceptibilité à contracter une ITS, même lorsqu’ils ont des comportements à risque.

42
Q

Parmi les jeunes ayant cherché à passer un test de détection des ITS au cours des 12derniers mois, les raisons évoquées pour reporter cette action à plus tard sont: (4)

A

Le manque de temps
La peur du résultat
Le malaise à discuter de sexualité
La honte de passer un test

43
Q

Parmi les jeunes ayant déjà eu une relation sexuelle au cours de leur vie, les femmes sont ? plus nombreuses que les hommes à avoir déjà passé un test de détection des ITS.

A

Parmi les jeunes ayant déjà eu une relation sexuelle au cours de leur vie, les femmes (57%) sont deux fois plus nombreuses que les hommes (26%) à avoir déjà passé un test de détection des ITS.

44
Q

Les jeunes âgés de 21 à 29 ans sont ? nombreux que les 17-20 ans à utiliser un condom avec leur partenaire «de couple».
? ont utilisé un condom lors de leur dernière relation sexuelle avec un autre type de partenaire que «de couple».

Trois jeunes sur dix (27%) ont utilisé un condom lors de leur dernière relation sexuelle avec un partenaire «de couple».

A

Les jeunes âgés de 21 à 29 ans sont moins nombreux (21%) que les 17-20 ans (32%) à utiliser un condom avec leur partenaire «de couple», possiblement parce qu’ils sont engagés dans des relations de couple perçues comme plus stables.
Cinq jeunes sur dix (48%) ont utilisé un condom lors de leur dernière relation sexuelle avec un autre type de partenaire que «de couple».

45
Q

?% affirment qu’il y a eu pénétration avant de mettre le condom lors de leur dernière relation sexuelle.

A

20% affirment qu’il y a eu pénétration avant de mettre le condom lors de leur dernière relation sexuelle.

46
Q

Usage du condom selon le type de partenaire (plus au moins)

A

One night stand
Fuck friends
Ex
Couple

47
Q

? jeunes sur dix utilisent une contraception hormonale

A

Sept jeunes sur dix (70%) utilisent une contraception hormonale

48
Q

? sur 10 rapportent avoir utilisé la contraception orale d’urgence au cours des 12 derniers mois. La plupart des femmes l’ayant utilisé l’ont fait ? fois fois au cours de leur vie.

A

deux sur dix (21%) rapportent avoir utilisé la contraception orale d’urgence au cours des 12 derniers mois. La plupart des femmes l’ayant utilisé ne l’ont fait qu’une seule fois au cours de leur vie.

49
Q

AVOIR VÉCU
UNE GROSSESSE
17-20 ans ?/20
21-29 ans ?/20

de ça
GROSSESSE NON PLANIFIÉE
?/10 chez les 17-20 ans
?/10 chez les 21-29 ans

A

GROSSESSE NON PLANIFIÉE
9/10 chez les 17-20 ans
7/10 chez les 21-29 ans

50
Q

INTERRUPTION
VOLONTAIRE DE GROSSESSE
(parmi les femmes ayant vécu une grossesse)

?/10 chez les 17-29 ans
donc ?% des 17 à 20 ans et ?% des 21 à 29ans ont eu recours à une IVG au cours de leur vie

A

INTERRUPTION
VOLONTAIRE DE GROSSESSE
(parmi les femmes ayant vécu une grossesse)

7/10 chez les 17-29 ans
DONC 3% des 17 à 20 ans et 16% des 21 à 29ans ont eu recours à une IVG au cours de leur vie

51
Q

Prévalence de la chlamydia détectée lors de l’étude Pixel % ?

A

3%
Le taux annuel de cas déclarés de Chlamydia a augmenté de 75% au Québec entre 2007 et 2016. Toutefois, une bonne part de cette augmentation pourrait être attribuable à l’augmentation du nombre de tests effectués, à l’introduction de modalités de détection plus accessibles, au recours à des tests plus performants, ainsi qu’à l’ajout récent de la possibilité de détecter aisément les infections extra génitales (gorge et rectum).

52
Q

Les jeunes adultes âgés de 17 à 29 ans évaluent leur bien-être sexuel des 12 derniers mois à ? sur une échelle allant de 0à10

A

Les jeunes adultes âgés de 17 à 29 ans évaluent leur bien-être sexuel des 12 derniers mois à 7 sur une échelle allant de 0à10

53
Q

PRINCIPAUX CONSTATS de l’Étude Pixel (8)

A
  • L’âge de la première relation sexuelle et le nombre de partenaires sexuels n’a pas significativement changé.
  • Les configurations relationnelles se diversifient et les relations qui s’entrecroisent sont fréquentes.
  • Les contextes de rencontre sont diversifiés, certains plus à risque.
  • L’utilisation du condom n’est pas systématique et varie en fonction du type de partenaire.
  • Environ 20% des femmes n’utilisent pas de méthode contraceptive ou utilisent une méthode contraceptive peu efficace comme le coït interrompu.
  • La plupart des grossesses sont non planifiées et sept sur dix sont volontairement interrompues.
  • Plusieurs obstacles minent l’accès aux services de détection des ITS pour les jeunes adultes.
  • La prévalence de la Chlamydia est importante chez les jeunes québécois. Dans l’étude Pixel, l’estimation de sa prévalence est vingt fois plus élevée que celle de l’infection gonococcique.
54
Q

Les jeunes qui sont considérés comme étant en difficulté sont (3) et pourquoi.

A

Les jeunes qui sont considérés comme étant en difficulté sont, notamment, les jeunes de la rue, les jeunes pris en charge par un centre de protection de l’enfance et de la jeunesse ainsi que les jeunes qui consomment des substances psychoactives. Ils fréquentent peu ou pas les services de première ligne ou les services intégrés de type cliniques jeunesse.

55
Q

Les ITSS sont beaucoup plus fréquentes chez les jeunes en difficulté que chez les jeunes en général

A

Vrai

56
Q

Chez les jeunes de la rue, ?/4 se sont injectés des drogues au moins une fois au cours de leur vie

A

Chez les jeunes de la rue, 24% se sont injectés des drogues au moins une fois au cours de leur vie

57
Q

Comparativement aux autres jeunes, ceux qui sont en difficulté ont des comportements les rendant plus vulnérables aux ITSS que l’ensemble des autres jeunes, dont : (6)

A

une sexualité plus précoce,
une utilisation moins constante du condom,
la consommation de drogue ou d’alcool, ou des deux, avant une relation sexuelle,
un nombre plus élevé de partenaires sexuels,
plus de relations sexuelles en échange d’argent ou de biens,
l’injection ou l’inhalation de drogues.