Cours 7 Flashcards

1
Q

Les problèmes émotionnels et comportementaux peuvent v________ d’un c____________ à l’autre, parfois de façon importante.

A

varier | contexte

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2
Q

Vrai ou Faux: Quant à eux, les différents évaluateurs ne varient pas dans leurs capacités de bien observer les émotions et comportements, autant de façon intra-contexte que inter-contexte.

A

Faux! Ils varient dans leurs capacités de bien observer!

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3
Q

À quoi on recours les évaluatrices pour tenter de mieux comprendre les différentes présentations cliniques?

A

L’évaluation multi-informateur

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4
Q

L’évaluation clinique des adolescents.es ou adultes est en général très largement basée sur les a_______________, qu’elle se fasse par e___________ ou q______________.

A

autoévaluations | entrevues | questionnaires

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5
Q

Vrai ou Faux : les autoévaluations sont souvent à la fois essentielles et suffisantes.

A

Faux! elles sont souvent essentielles, mais non suffisantes.

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6
Q

En fait, la pertinence des évaluations par des i_______________ (autres que le.la client.e) - autant durant l’enfance, l’adolescence que l’âge adulte - est appuyée par de nombreuses é________.

A

informateurs | études

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7
Q

Des méta-analyses suggèrent que les évaluations des informateurs procurent une validité i_______________ (prédictive) significative au delà des a______________ pour prédire différents critères tels que l’e_________________ et la p____________ au travail, différents problèmes d’_____________, les troubles de p_____________ etc.

A

incrémentielle | autoévaluations | engagement | performance | adaptation | personnalité

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8
Q

Qu’est-ce que recommande le modèle compréhensif d’évaluation psychoéducative? (en lien les informateurs)

A

Recommande l’utilisation de plusieurs méthodes d’évaluation ET plusieurs informateurs.

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9
Q

Quelle est la chose la plus complexe de l’interprétation des scores provenant de sources multiples?

A

La chose la plus complexe est l’intégration de toutes les informations cliniques (différentes dimensions, différents contextes , différentes perceptions des informateurs) afin de répondre au motif de référence, porter un jugement clinique et proposer des pistes d’intervention.

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10
Q

Quelle est l’étape facile de l’interprétation des scores provenant de sources multiples?

A

Calculer les scores standardisés et les qualifier en fonction d’une norme pour différents informateurs.

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11
Q

Vrai ou Faux : l’accord inter-juges est généralement faible avec les échelles d’évaluation comportementale et émotionnelle.

A

Vrai :)

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12
Q

Quels sont les deux schémas (ou méthodes ou algorithmes) pour établir un statut clinique ou un diagnostic?

A
  1. Schéma complexe
  2. Schéma simple
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13
Q

En quoi consiste le schéma complexe?

A

On donne un poids différent aux différents informateurs.

Ex: Donner plus de poids aux enseignants pour problèmes d’attention, aux parents pour problèmes extériorisés et plus de poids aux jeunes eux-mêmes pour problèmes intériorisés.

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14
Q

En quoi consiste le schéma simple?

A

L’information des différents informateurs a le mm poids (c.à.d: la règle de « l’un ou l’autre »)

  • Un résultat est considéré significatif (on assigne un statut ou un diagnostic) si le critère est obtenu par n’importe quel informateur.
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15
Q

À l’heure actuelle, en dépit du fait que les études rigoureuses soient peu nombreuses, quel schéma est généralement préféré et pourquoi?

A

Les schémas simples sont généralement préférés pour établir un statut ou un diagnostic parce que les schémas complexes procurent typiquement une « valeur ajoutée » assez limitée.

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16
Q

Comment la connaissance de la documentation scientifique d’un.e clinicien.ne influence-t-elle l’utilisation des schémas complexes?

A

Si la clinicienne n’a pas une excellente connaissance de la documentation scientifique, les schémas complexes deviennent aussi davantage influencés par la théorie implicite et l’expérience clinique.

  • Peut être bon… mais peut être très négatif
17
Q

Avec les schémas simples, on assume que les ______ positifs (c.à,d, un diagnostic donné par un informateur alors qu’il n’y a pas de trouble en réalité) sont moins d_______________ que les _____ négatifs (c.à.d, un résultat d’absence de diagnostic alors qu’il y a un trouble en réalité).

A

faux | dommageables | faux

Attention : les faux positifs signifient offrir des interventions non-nécessaires, mais les faux négatifs peuvent vouloir dire ne pas offrir une intervention à une personne qui en a réellement besoin.

18
Q

Quels sont les raisons possibles d’un accord inter-juges faible?

A
  • Est-ce que les différences sont réelles?

Études suggèrent qu’il y a effectivement variabilité situationnelle des comportements, émotions, traits de personnalité, etc.

Ceci peut aider à clarifier les pistes d’intervention.

  • Quel est le niveau d’analyse?

L’accord est généralement plus élevé pour les traits généraux (cpt extériorisés) que pour les cpt spécifiques (ex: opposition à l’école)

  • Est-ce que les méthodes d’évaluation sont les mêmes?

Mm avec la mm méthode (ex: questionnaire), les items sont parfois différents (version parent vs enseignant)

  • plus d’items = fidélité et coefficient plus élevé
19
Q

Quels sont les trois facteurs clés d’un accord inter-juges faible?

A
  1. Le contexte d’observation : attente différentes mènent à des comportements différents.
  2. Le type de problèmes évalués

Plus facile d’observer des cpt observables (problème extériorisé) que des cpt épisodiques (intériorisés) ou difficiles à observer (ex: pensées suicidaires).

  1. L’âge des individus évalués

Le niveau d’accord entre les évaluations des informateurs diminue avec l’augmentation de l’âge des jeunes évalués. Au contraire, la fidélité des autoévaluations augmente avec l’augmentation en âge (l’accord inter-juges plus élevé en bas âge est donc en partie « contaminé»)

20
Q

L’évaluation des traits de personnalité avec une moins forte « o_____________ » (ex: liés aux pensées, aux sentiments/affects) est plus valide par a_________________, alors que l’évaluation des traits avec une forte « d____________ s_______ » (ex: amabilité, intellect) sera souvent considérée plus valide à l’aide d’i_______________.

A

observabilité | autoévaluation | désirabilité sociale|informateurs

21
Q

Vrai ou Faux : les enfants/adolescents rapportent davantage de problèmes extériorisés que les adultes, alors que les adultes rapportent davantage de problèmes intériorisés que les adultes.

A

Faux! C’est le contraire!

22
Q

Quel est la première question que doit se poser l’évaluateur.trice, selon le modèle, afin d’interpréter les convergences/ divergences entre informateurs?

A
  1. Variations réelles du comportement en raison des différents contextes ?
  • Est-ce qu’il est possible et explicable sur le plan conceptuel/théorique que le contexte cause des cpt différents? (ex, pression environnementale pour attention élevée à l’école)
  • Devraient idéalement être confirmées à l’aide de différentes méthodes d’évaluation.
23
Q

Quel est la deuxième question que doit se poser l’évaluateur.trice, selon le modèle, afin d’interpréter les convergences/ divergences entre informateurs?

A
  1. Variation de la sévérité clinique?
  • Plus il y a de convergence entre informateurs, plus cela suggère la présence de sévérité du problème.
24
Q

Quel est la troisième question que doit se poser l’évaluateur.trice, selon le modèle, afin d’interpréter les convergences/ divergences entre informateurs?

A
  1. Spécificités de l’informateur?

Peut inclure plusieurs éléments, surtout : - Sa perception de la problématique du ou de la cliente

  • Ses motivations, ses théories implicites sur la problématiques
  • Ses biais socio-culturels
  • Ses styles de réponses
  • Ses problèmes d’adaptation/ psychopathologiques.
25
Q

Quel est la quatrième question que doit se poser l’évaluateur.trice, selon le modèle, afin d’interpréter les convergences/ divergences entre informateurs?

A
  1. Erreurs de mesure?
  • Erreurs aléatoires associées à l’instrument de mesure
  • Erreurs systématiques / biais documentés par des recherches
  • Autres erreurs liées aux conditions physique inadéquat, fatigue du client due à une entrevue trop longue, des consignes non respectées, des caractéristiques de l’évaluateur.trice, etc.)