Définition Flashcards

1
Q

La productivité de la langue

A

nouveaux messages produits. 3 niveaux linguistiques :

  1. Phonologie à bcp de morphèmes ac peu de phonèmes : N=IL (N nb mots, L longueur de mot, I inventaire/nb phonèmes )
  2. Morphologie à inflexions (marque plusieurs) / dérivation (inter) / mots composés grâce à ces 3 critères on peut inventer des mots : néologismes
  3. Syntaxique à production d’énoncé. (p.ex. récursivité = je sais que tu sais…)
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2
Q

Les signes linguistiques

A

entrée lexicale dans le lexique mental (apprendre un mot). Propriétés :

  1. Dualité : forme (signifiant, mot) et sens (signifié, concept)
  2. Rapport arbitraire entre signifiant et signifié (pas de rapport motivé, pas de lien)
  3. Conventionalité : mot choisi repose sur accord collectif
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3
Q

Onomatopée

A

mot dont le signifiant et le signifié ont un rapport arbitraire (ex cris animaux)

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4
Q

Idéophones

A

association entre son et idée (sl = dégoutant)

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5
Q

Proto-langue

A

reconstruction probable d’une langue à l’origine d’un groupe de langues, d’une branche ou d’une famille ; basée sur les racines communes à chaque langue

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6
Q

[Phonétique]

A

description physique (acoustique, oscillomètre) et physiologique (articulatoire) des sons. 2 catégories : voyelles et consonnes :
- Traits articulatoires voyelles :
• Aperture [fermée, mi-fermée, mi-ouverte, ouverte]
• Lieu articulation [antérieur, postérieur]
• Arrondissement [étirée, arrondie]
• Nasalité [nasale, orale]
- Traits articulatoires consonnes :
• Voisement [sonore, sourde]
• Mode articulation [occlusive, constrictiveàfricative/latéral/vibrant
• Lieu articulation [bi-labial, labio-dental, apico-dental, dorso-palatale, dorso-vélaire, dorso-uvulaire]
• Nasalité [orale, nasale]

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7
Q

/Phonologie/

A

caractérisation des principes d’organisation (catégorisation et regroupement) des sons, basé sur propriétés phonétiques. Description binaire : + ou - nasale

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8
Q

Morphologique

A

caractérisation des règles qui permettent la création des mots

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9
Q

Syntaxe

A

caractérisation de la structure des phrases (arbre des phrases). Étude des principes et des règles régissant les relations et l’ordre entre les mots. 3 unités : mot/syntagme/phrase. [Voir plus bas dans les concepts…]

  • Mot = unité d’analyse de syntaxe
  • Syntagme = groupe de mot formant une unité de sens et une fonction ds la phrase [p.ex. SN=dét+N / SV=V / SP=prép+dét+N]
  • Phrase =
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10
Q

Sémantique

A

étude des significations linguistiques. (voir concepts) Plusieurs niveaux :

  1. Sémantique lexicale = signification des mots
  2. Homophonie = même forme phonologique pas même orthographe[maire, mère]
  3. Homographie = même orthographe mais pas même prononciation [fils, fils]
  4. Synonymie = même sens (ortho et phono diff)
  5. Polysémie = plusieurs significations mais 1 seule manière de l’écrire et prononcer
  6. Catégories = animal à mammifère à chien à berger allemand
  7. Sémantique compositionnelle = signification des phrases
  8. Sens d’une phrase déterminé par signification des mots et par la structure (ordre des mots ds la phrase) [chien mort homme=non intéressant / homme mort chien = rare donc intéressant]
  9. Relations sémantiques entre phrase ds discours
    - Hyponyme = dernier mot (précis) d’une catégorie [ex. berger allemand]
    - Hyperonyme = 1er mot d’une catégorie, super ordonné [ex. animal]
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11
Q

Pragmatique

A

caractérisation des facteurs contextuels qui conditionnent ou modulent notre utilisation du langage dans des interactions sociales. [contexte]. Étude du langage ds son contexte. Rapport entre signe, usagers et contexte. Facteurs de nos choix de langage ac autrui aussi. 2 type de traitements proposés (pr langage figuratif) à pragmatique expérimentale :

  • Opérations séquentielles : extraire signification littérale puis langage figuratif moyennant recalcul/correction [couteux pour acte indirect pq d’abord on entend que le collègue a froid, on se dit qu’il ne veut pas juste donner cette info (contexte) et donc qu’il faut fermer la fenetre, qu’il veut qu’on la ferme]
  • Opérations parallèles : signification littérale et figuratif en même temps [l’accès est direct et il n’y a donc pas de couts, on comprend tout de suite que le collègue veut fermer la fenetre]
  • Une expérience qui associe des images à des actes indirects penche pour la 1ère mais pas de réplication ac acte indirect marqué [ex peux-tu ranger ta chambre]. Par contre pour les métaphores on dirait que c’est le contraire car on ne met pas plus de temps à comprendre une expression métaphorique qu’une expression lexicale.
  • Conclusion du cours : actes + métaphore tous traitement parallèles…
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12
Q

Métaphore

A

figure de style sémantiquement différente des phrases normales qui compare qqch avec qqch d’autre [p.ex. cette femme est une lionne à elle n’est pas vraiment une lionne mais elle se comporte comme un chasseuse, on comprend comme chasseuse d’homme donc pas vraiment lionne vu qu’elle chasse que l’antilope mais on comprend cette métaphore) analogie entre 2 entités conceptuelles rapprochées. On reconnait par déviance sémantique.

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13
Q

Phonème

A

+ petite unité de son à inventaire fini de sons possibles. Unité de description phonologique, non porteur de signification, commutation permet chgmt de sens du mot. traits distinctifs : + ou – voisé/continu/nasal/arrondi/antérieur/postérieur

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14
Q

Paires minimales

A

2 mots qui se distinguent par 1 seul phonème (moche/mouche, pas rit/riz)

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15
Q

Allophone

A

variante d’un même phonème (p.ex r et r roulé)

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16
Q

Commutation

A

opération qui consiste à substitué un phonème à un autre

17
Q

Syllabe

A

phonologique : regroupe phonèmes selon structure [attaque C + rime[noyau V +coda C]] /phonétique : articulatoire [cycle mandibule ouvert/fermé] et acoustique [autour noyau vocalique]

18
Q

Contraintes phonotactiques

A

définissent combinaison phonèmes autorisés ds mot/syllabe. Sont spécifiques à la langue.

19
Q

Morphème

A

+ petite unité d’analyse grammaticale (à un sens et une forme). Exemples : morphèmes flexionnels (marque de genre, nombre, personne, temps), dérivationnel (construire nouveaux mots à peut changer le sens et la catégorie du mot à préfixes et suffixes, conversion (le travail/travailler) composition (mots composés)).

20
Q

Allomorphes

A

différentes réalisations formelles d’un morphème (ex morphème aller : je vais, il ira)

21
Q

Actes du langage (Austin)

A

la communication est réussie si l’intention de communication du locuteur = effet sur l’auditeur. Quand dire = faire à déclarations (je vous déclare mari et femme). 3 types :
- Actes illocutoires = prévenir [conseiller, interroger, ordonner, exprimer un souhait, suggérer, avertir, remercier, critiquer, affirmer, accuser, féliciter, supplier, menacer promettre,…] à actes que l’on peut commettre qu’en prononçant le mot
• Assertif = locuteur se prononce à diff niveaux [affirmer, conclure, infirmer]
• Déclaratif = change la réalité et crée situation [déclarer, condamner, démissionner]
• Commissif/Promissif = s’engage à [promettre, jurer, garantir]
• Directif = essaie de faire accomplir à qqun [ordonner, insister, demander]
• Expressif = exprime qqch [regretter, remercier, féliciter]
- Actes perlocutoires = provoquer un effet, empêcher, dissuader, retenir
- Actes locutoires = informer [dire qu’il n’a pas le droit]
- Langage direct vs indirect : direct = forme dit quel est l’acte [ranges ta chambre] (v. performatif + impératif) // indirect marqué = ne dit pas exactement l’acte peux-tu ranger ta chambre // indirect non marqué = rien n’indique ce qu’il doit comprendre [ta chambre est désordonnée] (compréhension parfaites des actes indirect vers 4-6 ans)

22
Q

Observation scientifique

A

processus actif à nécessité d’un objectif (pas de contrôle systématique des variables, nécessite recueil important de données)
- Ex. Erreurs de production : représentatif du bon fonctionnement de prod langage

23
Q

Méthode expérimentale

A

étude systématique des phénomènes langagiers (contrôle et manip var.)

  • Hypothèse Théorique : prédiction d’un lien variable sur comportement
  • Hypothèse opérationnelle : précise HT, met en relation VI et VD
  • VI = manipulé par expérimentateur // VD=ce qui est mesuré // VP=susceptible perturber résultats
  • Tâches primaires : lire, produire, comprendre, écrire // tâches secondaire (métalinguistique) : catégoriser, reproduire, détecter une cible, comparaison, produire par association
  • Mesures comportementales : calcul du TR // mesures psycho ou neurophysiologiques (mvt oculaires, EEG, IRM,…) // statistiques lexicales (p.ex. compter nb syllabes stressées…)
24
Q

Production langage

A

rapide (150-300mots/minute) et automatique (pas conscience processus) et précise (rares erreurs prod). Modèle : module conceptuel à encodage grammatical à encodage phonologique à module articulation.

  • Modèle globale de production :
    1. Conceptualisation (préparation conceptuelle) intention à message préverbal
    1. Intention communicative=veut faire passer une info, atteindre objectif
    2. Mess préverbal=structure conceptuelle qui contient info pr formulation
    3. Formulation (les 2 encodages) encodage grammatical=lemma : message préverbalàstructure de surface// encodage phonologique =lexème : structure de surfaceàplan phonétique
    1. Lemma = sélection lexicale (concept à lexique/lemma, on choisit un mot) concept tigre active lemma tigre + autres lemma (p.ex. lion) sélection du bon lemma dépend de son niveau d’activation (le + activé=tigre). Sémantiquement lié=même catégorie de concept // phonologiquement lié=mot ressemblant [sélection=mécanisme de compétition probabiliste basé sur nivo activation, candidats restreints à catégorie sémantique]
    2. Lexème = accès représentation phonologiques
    3. Encodage grammatical=formation syntaxique et sémantique de phrases
    4. Encodage phonologique = création phonologique de mots
    5. Articulation (syst articulatoire) plan phonétique à parole produite. = chaine de commandes motrices envoyée aux articulateurs (syst respiratoire/laryngé/supraglottal)
    1. Pauses : vides=silence // remplies=interjections (euhhhh, informatives du tps de de pause). + fréquentes aux frontières syntaxiques (p.ex. entre SN et SV) à production spontanée. Permet de respirer, planifier la suite, laisser le tps à l’autre de comprendre, passer parole
    6. Auto-contrôle : contrôle s’effectue sur diff niveaux traitement
    1. Pré-articulatoire à parole interne
    2. Post-articulatoire à parole produite
25
Q

Lapsus

A

FREUD : résultat action concurrente de 2 intentions différentes (94lapsus : substitution lexicale, similitudes phonologiques ou sémantiques à quasi toutes explicable linguistiquement) // linguistes pensent que peut être étudié sans motivation. Intrusion conceptuelle : on pense a un concept 1, pas relié ac un concept 2 et ds mess préverbaux différents : intention=concept 1 / intrusion=concept 2, dans la phrase 1 on met lemma du concept 2. à substitutions lexico-sémantik. Linéarisation = dans encodage grammatical : détermination ordre des mots à produire : échange de mots = lapsus. Existe aussi erreurs phonologiques : « erreurs subsitution/échange de phonèmes ».

26
Q

Perception de la parole

A

signal de parole à décodage à sens (études sur perception paroles/mots/phrases/langage). Propriétés de la parole : variabilité//continuité//phénomène directionnel ac chevauchement//caractère imparfait//rapidité
- Variabilité : entre individus, selon contexte, selon débit
- Continuité : frontières entre mots pas marquées
- Phénomène séquentiel/chevauchement sons : caractéristiques spectrales varient selon phonème qui suit (p.ex. d à /de/ vs /djo/
- Caractère lacunaire/imparfait : on ne prononce pas toutes les lettres p.ex.
- Rapidité
Les étapes du traitement lexical dans l’autre sens (bas vers haut) à perception parole (signal + représentation infra-lexicale) à traitement lexical (lexème + lemma) à compréhension (interprétation)

27
Q

PU

A

point d’unicité, c’est le moment ou plus aucun autre mot ne commence par le même début (p.ex. /sé/ ça peut faire célibataire ou céleri mais /maju/ ça peut faire que majuscule)

28
Q

Traitement lexical

A

L’auditeur/lecteur utilise des informations dans le signal pour localiser une entrée lexicale qui est stockée en mémoire à long terme dans le lexique.
si on prend le modèle (signal, repésentation, lemma/lexème, interprétation) le traitement lexical correspond au niveau « lemma [représ lexicales]/lexème [organisation lexique] » (décodage grammatical et phonologique à syntaxe, sémantique, orthographe et phonologie) ainsi que « la représentation infra lexicale » (identification lexicale, accès lexical, processus lexicaux).
- Identification lexicale, activation parallèle : suite à un stimulus, tous les candidats s’activent [candidats = ensemble des entrées lexicales qui commencent pareil è cohorte] puis on garde meilleur candidat lorsqu’il ne reste plus que le PU…

29
Q

Traitement de phrases

A

traitement lexical + compréhension de phrases [=auditeur/lecteur utilise info ds le lexique pour construire une interprétation qui n’existe pas en mémoire.]. Type d’info utilisée pour interpréter phrases : signal (info prosodique, intonation, pauses, …) // lexique (sémantiques et syntaxique) // phrase (ordre des mots) // contexte linguistique (interprétation discours) // connaissances extralinguistiques (de l’autre et du monde)
- Compréhension phrase : implique analyse syntaxique [parsing] // analyse sémantique [construire sens phrase] // analyse pragmatique [construire sens discours]
- Ambiguïté syntaxique : « la petite brise la glace » [la petite brise] [la] [glace] ou [la petite] [brise] [la glace]…
- Analyse sémantique : association (ex vase=fleur à inducteur=induit) gde stabilité inter et intra gens ds associations (surtout si fréquente), relations sémantiques des assoc :
• Super-ordination : chien/animal
• Coordination : chien/chat
• Subordination : chien/bouledogue
• Spreading activation model

30
Q

Langage non verbal

A

: forme de communication présente dans toutes les cultures mais pas universelles. Gestuelle pas appris par imitation (étude sur aveugles).Ces gestes n’ont pas de fonction communicative (on fait des gestes aux aveugles qd on parle) à se situe au niveau système langagier. Types de gestes :
- Gestes symboliques [coucou, pouce, poing, fuck,…]
- Gestes déictiques [pointage]
- Gestes rythmiques [simples brefs répétitifs (danse quoi…) pas lié traitement parole ?]
- Gestes lexicaux [complexes, iconique, longs, variés, lié langage, inconscient]
Geste accompagnent parole verbale même inconsciemment, paroles et geste=coordonnés au niveau temporel et contenu. Gestes liés aux représentations spatiales (si peut pas bouger parole moins fluide, surtout si spatial, + de pauses en dehors des frontières sémantiques si pas gestes).

31
Q

Latérisation cérébrale

A

pas mal de fonctions motrices agissent ds cervo du coté opposé de l’endroit ou il a reçu l’info. Les tâches cognitives sont latéralisée donc fonctionnent mieux d’un coté qu’un autre (parole, écriture, lecture, dessin, calcul, musique, orientation, …). Traitement du langage plutôt dans hémisphère gauche (traitement analytique)

32
Q

Méthodologie

A

La méthodologie est littéralement la « science (logos) de la méthode », le discours (logos) sur la méthode, la cartographie des méthodes ou tout simplement la métaméthode ou méthode des méthodes. Étude de groupes sains, de patients ou de cas uniques. Approches :

  • Comportementale
  • Expé neuro-imagerie fonctionnelle
  • Expé neuro-imagerie structurelle
  • Modélisation
33
Q

Aphasie

A

trouble langage cause lésion cérébrale d’un mec qui avait pas de trouble avt. Atteinte en production et/ou compréhension, écrit et/ou oral, 1 ou plusieurs niveaux phonologiques. Origine : svt AVC, maladies dégénératives, tumeur et infection, traumatismes, processus dégénératifs. à intéressant pq informe sur localisation cérébrale des processus du langage et informe sur représentations et processus (dissociation et double D). principaux types d’aphasies :

  • Aphasie de Broca [troubles de expression (parle peu, articulation, transformation phonétique, manque de mot, stéréotypisme, agrammatiste, manque de mots, v infinitif, dysprodie) répétition perturbée, compréhension relativement préservée] localisation : lésion frontale dépassant aire de Broca,
  • A de Wernicke [trouble majeur compréhension langage, discours aisé mais jargon (élocution très fluente, paraphasie phonétique et sémantique, néologismes), répétition perturbée, anosognosie(=pas conscience de sa maladie)] lésion tiers postérieur gauche
  • De condition [parle bcp, compréhension préservée, répétition très perturbée, conscience du trouble et tentative de correction] atteinte de la substance blanche
  • Globale [parle peu, compréhension perturbée, répétition perturbée] large lésion
  • Transcorticale sensorielle [comme Wernicke sans altération de répétition]
  • Transcorticale motrice [comme Broca sans altération de répétition, pas spontanéïté]
34
Q

Approche anatomoclinique

A

objectif = établir régularité entre troubles (ici langage) et siège lésionnels. Méthodes : recueil de données et observations.

35
Q

Syndrome

A

ensemble de signes cliniques qui tendent à se présenter ensemble et indiquer un atteinte commune.

36
Q

Classifications

A

expression orale (fluence, syntaxe) // compréhension // répétition

37
Q

Billinguisme

A

facteurs pertinents :

  • Niveau maitrise des 2 langues (pas besoin que ce soit des langues maternelles)
  • Age d’acquisition (billingue simultané/séquentiel précoce avt 6ans / séquentiel tardif après 6 ans en contexte scolaire)
  • Fréquence utilisation (vie de tous les jours)
  • Contexte de l’aquisition (scolaire ou pas)
  • Type de connaissance (oral/écrit)