examen de fin de session Flashcards

1
Q

inclusion extentionnelle…

A

référence bonheur est inclus dans l’extension de sentiment = définition par inclusion (le bonheur est un sentiment)

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Q

inclusion intentionnelle…

A

sens, les traits sémantiques de bonheur inclus ceux de sentiment

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3
Q

hyponyme est spécifique…

A

par rapport à un hyperonyme générique

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4
Q

cohyponymes…

A

unités de même rang partageant un hyperonyme

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5
Q

relation partie-tout…

A

relation hiérarchique où une u.l. renvoie à une partie d’un tout auquel renvoie une autre u.l.

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6
Q

méronyme…

A

l’u.l. de la partie

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7
Q

holonyme…

A

u.l. du tout

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8
Q

la méronymie et l’hyponymie sont récurrentes?

A

Oui, ex. chanson l’arbre est dans ses feuilles

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9
Q

certaines u.l. peuvent entrer dans une relation d’inclusion et dans une relation partie-tout?

A

Oui, ex. xylophone par rapport à percussion (instrument de musique et section d’un ensemble de musique)

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10
Q

Dans les définitions métonymiques c’est…

A

la relation partie-tout qui est en cause

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11
Q

exemple partie-tout…

A
roue par rapport à voiture
abattant par rapport à meuble
pointe par rapport à tarte
arbre par rapport à forêt
joueur-équipe
hydrogène-eau
mois-année
entracte-concert
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12
Q

la synonymie est…

A

généralement décrite par la formule «formes différentes, même sens» «les synonymes ont le même signifié et des signifiants différents»
Mais, la formulation est fâcheuse, car elle donne l’impression que le signifié (les significations) est déconnecté du signe linguistique

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13
Q

conception référentielle de la synonymie…

A

plusieurs u.l. sont synonymes si elles peuvent désigner le même référent = leur signifié respectifs est similaire en quelque égard (chat-matou,pointe-sommet-tête-pic de l’iceberg, patate-pomme de terre, patente à gosses-machin chouette-cossin-bidule-zibouiboui)

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14
Q

Existe-il des synonymes absolus?

A

Non, ils n’ont pas exactement la même signification et les mêmes usages

patate et pomme de terre ne sont pas utilisés par toutes les communautés de locuteurs francophones, ou dans les mêmes contextes au sein d’une communauté

sonore et voisé n’entrent pas dans les mêmes systèmes théoriques – et la signification n’est pas constituée de la même manière du point de vue morphologique

théier et camelia sinensis: l’un donne lieu à des usages généraux, l’autre à des usages spécialisés (concernant les dénominations scientifiques en biologie, il y a souvent un écart avec la dénomination populaire.

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15
Q

On peut organiser les synonymes selon divers axes de variation d’usage…

A

diachronique : bombe et bouilloire
diatopique : bleuet et myrtille
diastratique : chelou et louche
diaphasique : courroux et colère

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16
Q

certains domaines donnent lieu à un florilège de dénominations synonymiques, particulièrement en ce qui concerne les réalités taboues

A

urine, pipi, pisse,

crottes, fèces, excrément, étron, selles, fientes, chiure, caca, merde, marde…

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17
Q

l’antonymie est…

A

une relation qui unit u.l. qui s’oppose par rapport à un ou plusieurs sèmes
beau-laid
grand-petit
partir-arriver

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18
Q

l’antonymie suppose…

A

une zone de recouvrement sémantique entre les antonymes

beau-laid [qualité] [jugement esthétique]

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19
Q

comme tout relation sémantique, l’antonymie concerne des significations particulières

A

partir ne s’oppose pas à arriver dans partir la voiture «démarrer» ou dans c’est parti!

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20
Q

antonymes contradictoires-complémentaires

A

la négation d’un antonyme suppose l’autre, les antonymes ne peuvent être tous niés
vivant-mort
jour-nuit
les antonymes contradictoires peuvent faire partie de paradigmes à plus de deux termes
printemps-été-automne-hiver
célibataire-marié-séparé-vivant en union libre-veuf-divorcé

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21
Q

antonymes contraires-gradables

A
les antonymes renvoient à des réalités qui se conçoivent sur une échelle à degrés variables
chaud-froid
sale-propre
marquage morphologique de l'antonymie
heureux-malheureux
possible-impossible
hypoglycémie-hyperglycémie
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22
Q

antonymes converses-réciproques

A

antonymes converses représentent différents rôles actanciels dans une situation
acheter-vendre
mère-fils
sur-sous
un test de permutation permet de vérifier que des antonymes sont converses
j’ai acheté la voiture à mon ami- mon ami m’a vendu sa voiture
alors que les antonymes contradictoires s’excluent mutuellement, les antonymes converses s’impliquent les uns les autres
il y a en anglais une paire de morphèmes assez productive qui forment des antonymes converses or ou er et -ee
tutor-tutee

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23
Q

cas particulier énantiosémie*…

A

antonymie entre deux significations d’une unité lexicale

louer «prendre à loyer» et louer «donner à loyer»

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24
Q

antonymes directionnels

A

les antonymes directionnels représentent les directions opposés d’un mouvement ou d’un état en changement partir-arriver
apprendre-oublier
perdre-retrouver
se marier-divorcer
hier-demain
à l’inverse des antonymes converses, les antonymes directionnels ne s’impliquent pas mutuellement

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25
Q

polysémie…

A

est la propriété d’une u.l. d’avoir plusieurs significations entre lesquelles les locuteurs reconnaissent un lien = perspective synchronique

pour un signe linguistique, il y a un signifié (le signifié se remodèle au fur des changements sémantiques qui y surviennet

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26
Q

polysémie affixale…

A

-tion : polysémie affecte régulièrement la même base «action ou résultat-effet de cette action»
re- : polysémie dont les significations changent en fonction de la base
«itération» = reprendre
«retour» = relâcher
«modification, rectification» = réorienter

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27
Q

une unité qui n’est pas polysémique est dite…

A

monosémique, surtout les termes techniques

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28
Q

homonymie…

A

est le rapport entre signes linguistiques qui ont un signifiant identique, mais des signifiés différents = on ne perçoit pas ou plus de lien sémantique entre les significations de chacune des u.l.
avocat
voler

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29
Q

On considère comme possible homonymes les mots qui sont homographes

A

pas les homophones

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30
Q

homonymie affixale

A

a- «contect» vs «privation»

in- «vers l’intérieur» vs «négation»

31
Q

le traitement de la polysémie et de l’homonymie dans les dictionnaires

A

en règle générale, on fait figurer une seule entrée et un seul article pour une u.l. polysémique, et des entrées différentes pour des u.l. homonymes

32
Q

paronymie est…

A

le rapport entre les unités lexicales quasi identiques sur le plan du signifiant
les paronymes sont souvent sémantiquement proches, ce qui expliquent qu’on les confonde
éruption-irruption
conjoncture-conjecture
affect-effect
induire-enduire

33
Q

Effet des changements sémantiques sur le sens

extension..

A

de l’extension u.l. acquière un sens plus général

arriver «toucher la rive» = «parvenir à un lieu»

34
Q

Effet des changements sémantiques sur le sens

restriction..

A

de l’extension u.l. acquière un sens plus spécifique

pomme «fruit d’un arbre» = «fruit du pommier»

35
Q

Effet des changements sémantiques sur le sens

déplacement..

A

u.l. acquière une nouvelle signification (un nouveau sémème)

coeur organe = siège des sentiments

36
Q

métaphore est…

A

une notion venant de la logique (rhétorique) qui désigne un changement sémantique sur un rapport de ressemblance

37
Q

métonymie…

A

(vient de la rhétorique classique) est un changement sémantique qui se base sur une continuité logique

le lien métonymique peut se perdre, en particulier lorsque le référent se modifie sans que la dénomination ne change également (fer à cheval)

ou bien lorsque une métonymie supplémentaire se produit (une (p)tite laine désigne en général tout vêtement chaud pour le haut du corps qu’il soit en laine ou non

38
Q

démotivation…

A

le lien entre le signifié et le signifiant peut s’opacifier avec le temps

39
Q

remotivation…

A

consiste en la réinterprétation du lien qui a autrefois motivé un signe linguistique

certains phénomènes de remotivations aboutissent à l’emploi d’un paronyme (infractus plutôt que infarctus ou omnibulé plutôt que obnubilé)

40
Q

troncation..

A

une partie du signifiant tombe généralement un morphème ou une syllabe

les unités lexicales résultant de la troncation sont… des unités lexicales

41
Q

amalgame…

A

fusion de segments communs de deux signifiants différents

définition élargie : fusion de deux signifiants au moins l’un des deux est tronqué

42
Q

siglaison…

A

juxtaposition de segments tronqués d’un ou de plusieurs signifiants, régulièrement les segments initiaux
LGBT2QI+

43
Q

acronyme…

A

un signe qui se lit comme un mot

UNESCO, cégep…

44
Q

les sigles sont…

A

des u.l. à part entière, dont l’usage diffère de celui de la forme longue correspondante

45
Q

variation linguistique

A

la notion de variation linguistique repose sur la mutabilité du signe

toutes les personnes parlant français ne prononcent pas toujours les mots de la même façon, n’emploient pas toujours les mêmes mots pour parler de réalités semblables ne construisent pas toujours leurs énoncés de la même façon

46
Q

la langue est…

A

à la fois stabilité et différence

47
Q

variation linguistique

signifiant

A

différences de représentations formelles (prononciation et graphie)

48
Q

variation linguistique

signifié

A

significations différentes associées à des signifiants identiques

49
Q

variation linguistique

signe

A

axe paradigmatique : mots différents pour désigner un référent similaire
axe syntagmatique : différences dans l’agencement des signes entre eux

50
Q

variation sur axe diachronique

A

variation linguistique envisagée dans le temps = correspond à un changement

changement dans le signifiant (fourmage, pume = fromage, pomme)

changement dans le signifié = acquisition d’une signification : souris (outil informatique), affaiblissement ou perte d’une signification (démanger = manger complètement)

changement concernant le signe linguistique globalement (courriel, rober n’est plus en usage)

51
Q

néologie…

A

phénomène correspondant à l’émergence d’un nouveau signe, d’une nouvelle signification, d’une nouvelle construction syntagmatique

les différences d’usages entre les générations permettent de percevoir les changements diachroniques à l’oeuvre

52
Q

variation sur l’axe diatopique

A

variation linguistique envisagée dans l’espace

variation dans le signifiant (soya-soja, yogourt-yaourt)

variation dans le signifié (AdN char = véhicule, E char = chariot)

variation concernant le signe globalement (panosse, moppe, wassingue)

les différences diatopiques s’expliquent en partie par des différences socioculturelles et référentielles (cégep)

53
Q

variation axe diastratique

A

variation linguistique en lien avec les communautés sociales particulièrement en fonction de la classe socioéconomique et du niveau d’éducation

concerne les spécificités linguistiques de groupes d’individus que l’on se représente comme partageant des caractéristiques sociales (langue des universitaire)

54
Q

variation axe diaphasique

A

variation linguistique en lien avec la situation d’énonciation (le contexte)
souvent abordé en termes de registres de langue
vulgaire ou très familier, familier, standard, soutenu

recoupe les domaines techniques, le moyen d’expression (oral-écrit), environnement, le destinataire, les participants

55
Q

les marques d’usage sont

A

dans un article de dictionnaire, donnent des renseignements sur les conditions d’emploi des unités lexicales définies

56
Q

marques diachroniques

A

marques relatives au temps
vieux-vx, anciennt, arch, mod, néol,

la terminologie des marques change d’un dictionnaire à l’autre

l’emploi de plusieurs termes pour faire référence au temps passé permet de cerner des nuances

anciennt = présente un mot ou un sens courant qui désigne une chose du passé disparue

vieilli = mot, sens ou expression encore compréhensible de nos jours, mais qui ne s’emploie plus naturellement dans la langue parlée courante

VX = vieux (mot, sens ou emploi de l’ancienne langue, incompréhensible ou peu compréhensible de nos jours et jamais employé sauf par effet de style)

mod pour moderne introduit généralement la première définition qui suit la ou les définitions marquées par vx, vieilli ou anciennt.

57
Q

marques diatopiques

A

marques relatives à l’espace

région. Québec, Canada…Nord, Sud (pour France)

58
Q

marques diastratiques

A

relatives aux groupes sociaux
les dictionnaires n’emploient pas de marquages diastratiques en tant que telles, les remarques de ce type sont prises en charge par le marquage diaphasique

59
Q

marques diaphasiques

A

relatives au contexte d’énonciation

rare, cour, fam, vulg, littér

60
Q

Autre marques d’usages

A

renvois synonymiques

marque annonçant un sens métaphorique ou métonymique (fig, par ext.)

marque d’antonymie (contr.)

marque de domaine (mus, méd, biol, artill, arts, joaill.)

61
Q

L’exemple et la citation

A

dans un article de dictionnaire, l’exemple et la citation permettent de raffiner la description sémantique apportée par la définition

exemple, généralement en italiques, indique des usages courants de l’unités lexicale, ou des expressions qu’elle constitue

le recours à une citation, mise entre guillemets et en italiques est issu d’une longue tradition lexicographique s’appuyant sur l’autorité littéraire

rarement une citation constitue partiellement la définition

l’exemple et la citation permettent aussi d’illustrer des usages liés à des significations différentes

62
Q

les normes déterminent…

A

influencent les choix linguistiques que nous faisons
choix des mots, constructions syntagmatiques, prononciation, sujets de conversation

la variation linguistique est indissociable des normes
ex. l’usage du vouvoiement en français dépend de plusieurs facteurs : proximité relationnelle, différence d’âge, différence de statut, culture-langue d’origine, personnalité, demande explicite)

63
Q

les normes sociales sont entretenues par les usages linguistiques

A

le vouvoiement attire notre attention sur une distinction à effectuer entre deux types d’individus par rapport à soi

certaines langues comportent un système d’adresse lexicalisé à plusieurs niveaux (japonais)

d’autres ne font pas (ou plus) de distinction (anglais)

64
Q

les dictionnaires des éditions Larousse

A

la maison d’édition Larousse et Boyer est créé en 1852

Le Petit Larousse illustré s’inspire du Grand Dictionnaire universel du 19e siècle

se démarque par sa section de noms propres et ses pages roses (contient des expressions latines et étrangères et des proverbes)

le dictionnaire général du français le plus populaire

Le Grand Larousse de la langue française (7 volumes)

65
Q

Les Dictionnaires Le Robert

A

en 1964 est achevée la rédaction du Dictionnaire analogique et alphabétique de la langue française sous la direction de Paul Robert appelé le Grand Robert en 1960 (6 tomes)

Le Petit Robert 1967
refonte en 1993

66
Q

Le Trésor de la langue française

A

dictionnaire de la langue française des 19e et 20e siècles
16 tomes
utilisation de l’informatique pour traiter le grand ensemble de documents lexicologiques qui sont à la base du dictionnaire
disparité entre les tomes : les articles des premiers sont plus étoffés que ceux des derniers tomes
informatisé en 2002

67
Q

Le dictionnaire Hachette

A

publié en 1980
conception encyclopédique
les noms propres sont intégrés à la nomenclature des mots usuels

68
Q

à partir des années 1980 : publication de dictionnaires qui décrivent principalement les usages linguistiques du français parlé au Québec

A

Dictionnaire du français plus (Claude Poirier, 1988)
Le Multidictionnaire de la langue française (Marie-Èva de Villers, 1988)
Dictionnaire québécois d’aujourd’hui (Jean-Claude Boulanger, 1992)
très critiqué pour avoir inclus des mots vus généralement comme des anglicismes condamnables ou n’ayant pas leur place dans un dictionnaire (chum, fun, astheure)
Usito (corpus lexicologique québécois, mais certaines définitions sont inspirées voire calquées du TLFI

69
Q

Les dictionnaires ont acquis la réputation…

A

d’être les gardiens du bon usage et aussi de référence en matière de connaissances sur le monde

les dictionnaires favorisent un ensemble de normes linguistiques - c’est la visée prescriptive ou normative du dictionnaire

les dictionnaires ne s’équivalent pas en matière de description des usages et de prescription d’une norme privilégiée

70
Q

verlan est…

A

un mode de formation lexicale par permutation de segments sonores au sein d’un mot

meuf-femme
keum-mec
chetron-tronche

l’ensemble lexical formé par les mots verlanisés est généralement associé à un registre familier et à des communautés sociales

Cependant l’usage le réserve a ceux qu’un pôle d’activités communes rapprochent. Sans être uniquement parisien, le verlan est cependant essentiellement un phénomène de grandes zones urbaines.

71
Q

le calembour est…

A

un jeu de mots basé sur l’identité (homophonie) ou la ressemblance (paronymie) sonore des signifiants de signes différents.

72
Q

contrepèteries consiste à…

A

permuter des séquences sonores dans un énoncé pour dissimuler un autre énoncé, souvent grivois

une gamelle de morilles - une mamelle de gorille

73
Q

Émojis-émoticônes

A

l’écriture, le principal médium de communication sur internet, masque le corps

les émoticônes désignent les regroupements de symboles qui représentent une émotion, une expression physionomique

les émojis (du japonais «visage et émotion») grâce à leur iconicité picturale, représente une variétét de choses, de personnes, d’émotions, de gestes, d’activités.

74
Q

émojis-émoticônes = u.l.?

A

les émojis et les émoticônes sane être des u.l. proprement dites, ont un comportement similaire aux mots

ils ont des usages
\:) placé à la fin de message
\:) placé à la fin d'un message défavorable
\:) en réponse seul
répétition

ils ont des variantes :-) ou :)
couleur de la peau
variantes entre les plate-formes

certains émojis peuvent être tabous