LGBTQ+; santé Flashcards

1
Q

les lesbiennes voient plus médecin famille que femmes hétérosexuelles?

A

non!
* Les lesbiennes sont moins susceptibles que les femmes hétérosexuelles d’avoir une source habituelle de soins (ex : médecin de famille) et plus susceptibles de faire part de difficultés à obtenir des soins en raison de leur coût.

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2
Q

devrait considérer gais, lesbiennes et bisexuels comme un groupe homogène quand il s’agit utilisation des soins de santé?

A

NON!!!

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3
Q

bisexuels affirment que leur santé est…

A

plus passable ou mauvaise
*une proportion assez élevée de bisexuels a déclaré des problèmes de santé mentale.

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4
Q

v ou f: hommes gais et femmes bisexuelles ont tendance à déclarer un plus grand nombre de problème de santé chronique que hétérosexuels

A

vrai
(plus susceptible d’avoir eu au mois 1 journée d’incapacité due à une maladie physique)

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5
Q

au niveau de la santé mentale: plus de troubles de… sont déclarés dans tous les groupes sexuels minoritaires

A

troubles de l’humeur ou de troubles anxieux
**Surtout chez femmes bisexuelles

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6
Q

adolescents gais sont plus susceptibles de commencer plus jeunes…

A

consommer tabac, alcool et autres substances
*tentative de suicide (encore plus chez homosexuels)
*plus à risque ITS, VIH si relation seuxel anal, parasites, VPH et hépatites ABC

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7
Q

consultation:
qui consulte plus?

A

-hommes gais plus susceptibles que homme hétérosexuels d’avoir consulté un médecin famille, spécialiste, infirmière ou autre
-hommes bisexuels contact plus fréquent avec travailleur sociaux ou conseillé/psychologues que les hommes hétérosexuels
-femmes lesbiennes un peu moins susceptible consulter psychologue
-femmes bisexuels plus nombreuses consulter infirmière, psychologue ou autres

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8
Q

quoi faire durant les consultations?

A

=pas toujours nécessaire de procéder à un bilan complet mais comprend prélèvement urétraux (urinaires), pharynx et région anale (voir si gonorrhée, chlamydia, maladies vénériennes, cytologie anale, coprocultures; examen selles, tests de dépistage d’œufs et de parasites et un test dépistage VIH)
=vaccin contre VPH

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9
Q

pas de médecin de famille?

A

-une même proportion d’hommes gais, d’hommes bisexuels et d’hommes hétérosexuels ont déclaré ne PAS avoir de médecins de famille
-femmes lesbiennes et bi sont plus nombreuses SANS médecin de famille que les femmes hétérosexuelles

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10
Q

méfiance système de santé?

A

les gais, les lesbiennes et les personnes bisexuelles sont plus susceptibles que les hétérosexuels de déclarer des besoins de soins de santé non satisfaits ; toutefois, en ajustant pour les facteurs confondants, la valeur ne devient significativement plus élevée que pour les personnes bisexuelles.

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11
Q

mammographie et testpap

A

La probabilité qu’une femme ait passé une mammographie dans les 2 ans précédant l’ESCC diffère selon l’identité sexuelle.
* Chez les femmes de 50 à 59 ans, la prévalence est la même entre les lesbiennes et les femmes hétérosexuelles, mais est plus faible pour les femmes bisexuelles.
* La raison de la prévalence plus faible de la mammographie chez les femmes bisexuelles n’est pas connue, mais la surveillance demeure importante, car selon une étude américaine, les femmes bisexuelles de 50 à 79 ans seraient plus susceptibles que les autres femmes d’avoir un cancer du sein.

L’obtention d’un test Pap varie selon l’identité sexuelle.
* Les femmes lesbiennes ont subi un test Pap en nombre inférieur (< 66%) aux femmes hétérosexuelles (77,1%) et bisexuelles (76,2%). Suivant l’ajustement pour les facteurs confondants, les chances d’avoir obtenu un test Pap était même plus élevées pour les femmes bisexuelles.

**Les taux de prévalence de dépistage par le test Pap sont plus faibles chez les lesbiennes.
* Hypothèses possibles :
* Reflète une réaction à d’anciennes expériences négatives avec des prestateurs de soins de santé.
* Ont la conviction que le test Pap n’est pas nécessaire.
* Reflète le fait que l’absence générale de prise d’un contraceptif peut réduire les occasions de voir un médecin (car le renouvellement d’une ordonnance n’est pas nécessaire) et de discuter avec lui du test Pap et faire le dépistage.

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12
Q

épisode d’homophobie ou transphobie peuvent nuire à?

A
  • Chez les jeunes LGBT, les épisodes d’homophobie ou de transphobie peuvent nuire à :
  • la réussite scolaire (absentéisme, insécurité ressentie, difficultés de concentration, plus faible sentiment d’appartenance à l’école, aspirations scolaires plus limitées)
    o Risque de décrochage scolaire ou moindre persévérance scolaire
  • la santé mentale (troubles de l’humeur, détresse psychologique, forts sentiments de honte et d’isolement, faible estime de soi, épisodes de dépression, risque accru d’idéations et de tentatives de suicide)
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13
Q

Les femmes lesbiennes sont X susceptibles que les femmes hétérosexuelles de consulter un médecin.

A

MOINS
Certaines lesbiennes ne sont pas disposées à divulguer leur orientation sexuelle aux prestateurs de soins de santé. (Une étude a d’ailleurs démontré que les lesbiennes qui ont informé leur médecin de leur orientation sexuelle utilisent davantage le système de soins de santé.)
*possible aussi différence concernant la maternité
*expériences passées négatives

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14
Q

La prévalence de consultation des médecins de famille est X chez les hommes gais, les hommes bisexuels et les hommes hétérosexuels

A

PAREIL!!
toutefois hommes homosexuels ont plus de chance d’avoir visité professionnel de la santé au cours des 12 derniers mois (VIH)

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15
Q

Le taux d’utilisation des services de professionnels de la santé qui offrent un soutien émotionnel ou mental est X chez les gais, les lesbiennes et les personnes bisexuelles.

A

PLUS ÉLEVÉ
* Les femmes lesbiennes et bisexuelles considèrent que le counselling psychologique est important.
* Les collectivités gaies, lesbiennes et bisexuelles ont fait de l’utilisation des services de santé mentale une norme positive

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16
Q

3 facteurs qui pourraient faciliter leur résilience et aider à poursuivre leur parcours scolaire?

A
  • Facteurs personnels (acceptation de soi et coming out)
  • Facteurs interpersonnels (soutien manifeste lors d’intimidation, d’épisodes homophobes ou du coming out)
  • Facteurs communautaires (présence d’un groupe de soutien offrant un lieu sécuritaire et un espace de socialisation avec les pairs)