Questions de révision Flashcards

1
Q
  1. Quels sont les caractéristiques d’une approche de prévention de la récidive ? Quel est son but ?
A

Une approche de la prévention de la récidive possède des caractéristiques éducationnel et cognitive. Son but est de permettre à l’individu de réfléchir et de mieux se comprendre.

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2
Q
  1. Qu’est-ce que comprend la prévention à la récidive (phases) ?
A

La prévention à la récidive comprend une phase de cessation à court terme et une phase de maintien de l’abstinence à long terme.

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3
Q
  1. Le modèle de prévention à la récidive découle de quelle problématique ?
A

La toxicomanie

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4
Q
  1. Quels sont les 6 postulats de base de la prévention à la récidive?
A
  1. Un délit sexuelle ne résulte pas d’une cause unique, mais d’un ensemble de facteurs associé à différentes sphères de fonctionnement (cognitif, affectif, biologique, social, etc.)
  2. Un délit sexuel est une réponse mésadaptée à un ensemble d’agents stressant.
  3. Une chaîne d’événements négatifs précède l’AS
  4. L’AS est généralement précédée d’une chaîne de pensées, événements, d’affects et de fantaisies.
  5. La séquence et l’importance relative de chacune des composantes de la chaîne peut varier d’un individu à un autre. (importance d’un suivi adapté)
  6. La signification consciente des composantes de la chaîne est analysée en examinant les cpts + les contenus cognitifs et affectifs de l’individu.
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5
Q
  1. Quels sont les deux notions à aborder en thérapie et pour quel(s) raison(s) ?
A

La notion de chute et de rechute. Importantes à aborder, car si l’individu se croit invincible et considère la chute impossible, il est plus à risque de vivre une rechute (récidive).

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6
Q
  1. Quel serait le remplacement de la guérison pour un D.S. ?
A

La gestion du risque à long terme serait le remplacement de la guérison dans le cas de D.S.

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7
Q
  1. Quels sont les 7 étapes du traitement ?
A
  1. Identifier et réorganiser les éléments constitutifs de sa propre chaîne. (style de vie, délits dans le rapport de police, autobiographie du client, tests psychologiques, pléthysmographie).
  2. Redonner le matériel ainsi travailler au client en fonction de ses capacités d’abstraction.
  3. Favoriser l’apprentissage des différentes composantes de la chaîne (souvent faite en groupe si possible).
  4. Trouver des moyens précis et concret pour se sortir des situations de chutes.
  5. Les facteurs actuels et futures qui pourraient mener à la récidive sexuelle sont identifié.
  6. Apprentissage et application de stratégies de contrôle pour prévenir la récidive.
  7. Amélioration de la qualité de vie : réseau social de soutien, un travail valorisant, atteintes de buts positifs.
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8
Q
  1. Qu’est-ce qui pourrait augmenter l’efficacité des étapes de traitement ?
A

Lorsque le modèle est individualisé, pas trop compliqué et comporte des aspects pratiques.

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9
Q
  1. En quoi consiste les étapes de la chaîne, avec exemples.
A
  1. Conflit : La responsabilité du conflit est extériorisée sur autrui. L’agresseur se perçoit comme une victime ayant droit à une vengeance. Ex: dispute avec la conjointe.
  2. Malaise : Le malaise lié au conflit. Signes non spécifiques : anxiété, irritabilité, intolérance aux frustrations. La cause du malaise demeure non identifiée pour l’agresseur. Celui-ci montre une incapacité à identifier le conflit et à nommer de façon précise les affects ressentis. Ex: frustration
  3. Fantasmes déviants : l’émergence est plus ou moins rapide et plus ou moins envahissantes selon chaque agresseurs sexuels. La dimension réactionnelles des fantaisies sexuelles est variable. L’agresseur a recours aux distorsions cognitives pour rendre les fantaisies déviante égosyntones. Ex: contacts sexuels = affection
  4. Choix apparemment anodin : On voit apparaître une modification subtile dans le mode de vie de l’agresseur. Cette modification est rationalisée ou justifiée. L’agresseur ne voit pas de lien avec sa problématique ou son inclinaison vers la récidive. Ex. : entraîner une équipe de hockey junior.
  5. Situation à risque : Les choix anodins mettent l’AS dans une position de passage à l’acte imminent. La situation à risque est niée et n’est pas rattachée à l’histoire de l’AS. Ex: proposer d’aider un joueur.
  6. Acte abusif : l’acte sexuel déviant apporte un soulagement temporaire. Il y a diminution de l’état de tension. Ex: attouchement.
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10
Q
  1. Quels sont les deux modèles de prévention de la récidive ?
A
  1. Modèle de l’approche du risque et des besoins.

2. Good Lives Model

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11
Q
  1. Quels sont les 3 principes de l’approche du risque et des besoins ?
A
  1. Principe de risque
  2. Principe des besoins.
  3. Principe de la récidivité
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12
Q
  1. Quels sont les 2 éléments importants du principes du risques ? Quel problème existe-t-il avec le premier élément ?
A
  • Évaluer le risque : le jugement clinique/professionnel est considéré non structuré. Considère les caractéristiques individuelles qui augmentent ou diminuent la probabilité d’une récidive (fondée sur des données empiriques).
  • Le faire correspondre à l’intensité du traitement proposé.
  • Problème avec l’évaluation du risque : Les facteurs pris en compte sont souvent pas lié à la récidive. Et les DS se retrouve fréquemment avec un taux de risque faible, ce qui voudrait dire qu’ils n’ont pas besoin de traitement ???
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13
Q
  1. Quels sont les deux types de facteurs de risque ?
A

Statiques : se retrouve dans le passé et ne changera pas au fil du temps
Dynamique : peut changer dans le temps, comme des émotions, des attitudes ou des façons de penser.

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14
Q
  1. Qu’est-ce qu’un besoin criminogène ?
A

C’est l’équivalent du facteur de risque dynamique. C’est un facteur individuels directement liés au comportement criminel et qui est modifiable.

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15
Q
  1. Quel serait un exemple d’un besoin criminogène vs psychologique ?
A

Un besoin criminogène serait l’impulsivité vs psychologique qui pourrait référer à un sentiment dépressif (être heureux/malheureux).

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16
Q
  1. Pour quelles raison(s) le Good Lives Model a été conçu ?
A

En réaction au critique du modèle du risque et des besoins

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17
Q
  1. De quelle façon l’AS peut agir face à ses objectifs de vie en thérapie ?
A

Il pourra avoir tendance à ne pas voir ses besoins primaires, mais seulement secondaires. Il n’est pas conscient des objectifs de vie qui sont importants pour lui.

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18
Q
  1. De quelle façon le Good Lives Model est humaniste ?
A

Il met l’accent sur l’atteinte des buts et permettre d’améliorer le bien être et de mener une vie + épanouissante.

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19
Q
  1. Sur quoi est axé l’approche du Good Lives Model ?
A

L’atteinte de bénéfices personnels plutôt que de seulement chercher à éviter les problèmes ou les pertes.

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20
Q
  1. L’AS est une résultante de quoi selon le GLM?
A

L’AS serait une résultante de conditions personnelles, physiologiques et sociales qui mènent un individu à atteindre ses objectifs de vie à travers l’abus sexuel.

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21
Q
  1. En quoi consisterait l’AS selon GLM?
A

L’AS serait une tentative mal adaptée de satisfaire ses besoins fondamentaux. L’AS survient quand certains besoins fondamentaux sont recherchés, mais ne sont pas comblés.

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22
Q
  1. Quels sont les prémices de base du GLM?
A

Tous les individus possèdent un plan implicite de ce que constitue une bonne vie. Ce plan présente les conditions qui mèneront au bonheur, au bien être. Chaque individu accorde un poids différent aux divers objectifs de vie.

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23
Q
  1. Selon le GLM, à quoi est associé les limites/ difficultés de l’individu ?
A

Des tentatives de répondre à ses besoins de façon socialement acceptable.

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24
Q
  1. Quels sont les 3 générations des outils actuariels ?
A

1ere génération : jugement clinique non structuré
2e génération : l’évaluation actuarielle statique
3e génération : l’évaluation actuarielle dynamique

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25
Q
  1. Quels sont les inconvénients du jugement clinique non structuré ?
A
  • Différents cliniciens utilise différents ensembles de facteurs de risques
  • Plusieurs clinicien ne nomme pas les facteurs qu’ils utilisent
  • Les facteurs utilisés n’ont pas toujours des liens démontré avec la récidive
  • Souvent définis de façon différentes d’un clinicien à l’autre
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26
Q
  1. Pour quels raisons le jugement clinique non structuré est peu efficace ?
A
  • Les biais émotionnels
  • Mauvaises stratégies cognitives (sous-utilisation des taux de base, évaluation de la covariante)
  • Limites cognitives humaines (capacité à utiliser des informations additionnelles et combinaison complexe)
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27
Q
  1. Dans quels moment les instruments structurées surpasse le jugement professionnel ?
A

a ) Le nombre de variables à considérer est important
b ) L’effet possible de n’importe laquelle des variables est faible
c ) Les professionnels ne reçoivent pas une rétroaction rapide sur la justesse de leurs décisions.

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28
Q
  1. En quoi consiste le test statistique-99R ? Quels sont ses items ?
A

C’est l’instrument d’évaluation de risque le + utilisé. Item : âge de remise en liberté, n’avoir jamais vécu avec le même partenaire deux années ou plus, condamnation pour violence non sexuelle accompagnant la violence sexuelle actuelle, condamnation pour des infractions antérieures de violence non sexuelle, condamnation pour des infractions sexuelle antérieures, idem, mais sans contacts, au moins une victime sans lien de parentalité, au moins une victime inconnue et au moins une victime de sexe masculin,

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29
Q
  1. Quel est le problème avec les catégories nominales ?
A

Risque faible, modéré ou élevé, mais ça veut dire quoi ? Mesures spécifiques liés à des étiquettes. Elles ne sont pas toujours interprété de la même façon.

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30
Q
  1. Quels sont les 5 niveaux de risque standardisé ?
A

Nv1 : risque très faible : taux de récidive similaire au DNS
Nv2 : risque sous la moyenne : risque approximativement la moitié de ce qu’obtiennent les DS médiant.
Nv3 : risque dans la moyenne : regroupe les DS au milieu de la distribution
Nv4a : Risque au dessus de la moyenne : environs le double du groupe médian
Nv4b : risque bien au dessus de la moyenne : 4 fois plus que le groupe médian.

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31
Q

En ordre, quels sont les groupes les plus populé selon les niveaux de risque standardisé ?

A

Nv3, Nv4a et Nv2 égal, puis Nv4b et en dernier Nv1

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32
Q
  1. Quels sont les facteurs, caractéristiques de l’évaluation dynamique ?
A

Ils s’y retrouvent les mêmes facteurs que pour l’évaluation actuarielle statique, cependant les facteurs utilisés seront dynamiques.

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33
Q
  1. Quels seraient des exemple de facteurs dynamiques ?
A

L’hostilité, l’impulsivité, les paraphilies.

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34
Q
  1. Quels sont les deux catégories de facteurs dynamiques ?
A

1) Facteurs stables : caractéristiques persistantes de fonctionnement associé au risque chronique de récidive (manque de maîtrise de soi sur le plan sexuel)
2) Facteur aigus : facteurs de risque de durée brève ou instable, pouvant changer rapidement (ex. intoxication)

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35
Q
  1. Quelles situations pourraient causer problème pour l’évaluation de facteurs dynamiques ?
A

Lorsque les écarts sont très grands

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36
Q
  1. Qu’est-ce que la démarche d’évaluation des facteurs dynamiques favorise ?
A

Elle favorise la fidélité inter-juge.

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37
Q
  1. Quels sont les avantages et limites de l’évaluation des facteurs dynamiques ?
A
  • Les résultats sont de groupes, les variables étudiés sont prédéfinies et peuvent ne pas inclure certaines caractéristiques importantes du sujet.
  • les approches statistiques donnent des résultats statistiques et ne prennent pas compte de ce que l’individu a pu changer
  • Les échelles ont un fonctionnement optimale avec un certains type de récidive.
  • Certains outils peuvent moins bien fonctionner avec certains sous-groupes (ex. femmes)
  • Valeur prédictive modérée
  • Certains outils se contredise et donne pas le même image d’un même individu
  • Basée sur des facteurs associés empiriquement à la récidive.
  • éléments évaluer bien défini opérationnellement et lorsque la formation, la pratique et la supervision sont adéquates, on constate de très bon accords interjuges
  • Repose sur une démarche plus transparente
  • Meilleure façon de déterminer le % de chance que M. X recommette une infraction sexuelle
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38
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre la dynamique familial pathologique ?
A

Partie un, axe 2

39
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre le sentiment de rejet par les femmes ?
A

Partie un, axe 5

40
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre les effets recherchés lors de consommation ?
A

Partie un, axe 4

41
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre des histoire familial de victimisation ?
A

Partie un, axe 6

42
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre la répercussion d’abus sexuel ?
A

Partie deux, axe 1, victimisation

43
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre l’égosyntonie ou égodystonie de l’AS ?
A

Partie deux, axe 2, post-délictuel

44
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre la description du délit ?
A

Partie deux, axe 2, délictuel

45
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre les problèmes d’impulsivité ?
A

Partie un, axe 1

46
Q
  1. Dans quel axe pourrait-on mettre les dispositions émotionnelles avant l’AS ?
A

Partie deux, axe deux, pré délictuel

47
Q
  1. Quelles sont les trois types d’entrevue et leur but respectif ?
A

1) Entrevue d’admission (but : rapport, savoir si l’individu correspond au soin donné)
2) Entrevue clinique (but : cheminement avec client)
3) Entrevue spécialisé en délinquance sexuelle (but : rapport, souvent pour quelqu’un qui le demande, juge ou avocat)

48
Q
  1. Quel est la structure de l’entrevue clinique?
A

Partie un : Historique personnel et familial
Axe 1 : Développement personnel actuel et antécédents
Axe 2 : Figure parental
Axe 3 : Antécédents de trouble mentaux et délinquance non sexuel
Axe 4 : Histoire de consommation de substance
Axe 5 : Rapport à l’altérité, l’intimité et socialisation
Axe 6 : Événements traumatiques
Partie deux : Évaluation clinique de la sexualité
Axe 1 : Développement psychosexuel : enf, adolescence et victimisation
Axe 2 : Problématique d’agression sexuelle : pré, délictuel et post
Axe 3 : Évaluation du risque de récidive

49
Q
  1. Quel est le but du MIA?
A

Maintenir l’accessibilité et rétractibilité du donneur de soin

50
Q
  1. Le MIA est le noyau de quoi ?
A

Le MIA est le noyau de l’organisation de l’attachement

51
Q
  1. Quel est le rôle du MIA ?
A

Guider les actions de la personne envers ses expériences de vie et ses relations lorsque le système d’attachement est activé. Peut mener à des erreurs de jugement.

52
Q
  1. Qu’arrive-t-il au MIA durant l’adolescence ?
A

Le lien d’attachement au parent diminue durant l’adolescence pour augmenter auprès du partenaire amoureux et ensuite se diriger vers la parentalité.

53
Q
  1. D’où provient le MIA ?
A

Provient de l’attente de disponibilité de la figure d’attachement. Présent dans la mémoire, mais pas nécessairement dans la conscience.

54
Q
  1. Comment développe-t-on un MIA saint ?
A

Être compris et satisfait par la figure d’attachement. Reconnaître, comprendre et réguler ses états internes

55
Q
  1. Quels sont les formes d’attachement de l’âge adulte ?
A

Sécure, insécure ambivalent/préoccupé, insécure évitant/abandonné, insécure désorgannisé/non résolu

56
Q
  1. Qu’est-ce qu’un individu possédant un attachement sécure va valoriser ?
A

Les relations d’intimité mutuelle et les expériences d’attachement de façon générale.

57
Q
  1. De quelle façon l’individu possédant un attachement sécure va se sentir en lien avec ses expériences passé (négative) ?
A

Il va voir de quelle façon ses expériences négatives ont influencé sa personnalité et pardonné les parents.

58
Q
  1. Quel est le sous-groupe d’attachement insécure désorganisé/non résolu?
A

Insécure effrayé/effrayant

59
Q
  1. Que va-t-il arriver avec le temps à un individu avec un style d’attachement insécure évitant/abandonné
A

Son système d’attachement va se désactiver

60
Q
  1. De quelle façon la personne avec un style d’attachement insécure évitant/abandonné va évoquer ses souvenirs ?
A

De façon incohérente et contradictoire, description souvent idéalisé

61
Q
  1. Quels types de relation auront les types insécures préoccupé/ambivalent vs insécure évitant/abandonné ?
A

Préoccupé/ambivalent aura de multiples relations dans lesquelles il s’embarque rapidement et intensément, alors que l’évitant/abandonné priorise les relations sexuelles multiples à l’intimité

62
Q
  1. Selon chaque type d’attachement quels sont les conceptions face à la sexualité ?
A

Sécure : valorise l’intimité et les relations mutuelle. insécure évitant/abandonné : valorise la multitude au dessus de l’intimité. Insécure non-résolu/désorganisé va priorisé la quantité au dessus de la qualité des relations.

63
Q
  1. Quel type d’attachement démontre une rupture de schème organisé et de quelle façon se présente-t-elle ?
A

Insécure désorganisé/non résolu

64
Q
  1. Quels sont les marqueurs de la relation parents/enfants d’un style d’attachement non résolu : effrayé effrayant ?
A

La relation de l’enfant envers son parent est double, il est a la fois source de réconfort et de peur. Le parent a également une attitude craintive envers l’enfant. Le parent échoue à désactiver la menace quand elle est présente,

65
Q
  1. Quels sont les 3 principales théories neuropsychologiques sur la délinquance sexuelle ?
A

1) Théorie Classique de Flor-Henry
2) Théorie intégrée de Ward et Beech
3) Théorie des fonctions exécutives

66
Q
  1. À quelle époque commence l’idée d’un lien entre DS et facteurs neurologiques ?
A

Époque victorienne

67
Q
  1. Quelle partie du cerveau est associé de façon causale à la DS selon Flor-Henry
A

Fronto-temporal gauche

68
Q
  1. Quel problème de développement aurait lieu selon Flor-Henry et à quel moment pour causer DS ?
A

Selon Flor-Henry, la testostérone influence le développement du cerveau et ralentis le développement de l’hémisphère gauche. Dans un développement intra-utérin atypique le développement de l’hémisphère gauche (fronto-temporal) serait donc problématique.

69
Q
  1. Quelles sont les forces et faiblesses de la théorie classique de Flor-Henry
A

Force : - Les boucles neuronales fronto temporal sont liés au désir sexuel
- Des anomalies à l’hémisphère gauche cause des problèmes d’inhibition des fonctions de l’hémisphère droit
DONC basé sur des idées reconnus en neuro
Faiblesses : S’il existe un lien entre problématiques fronto-temporal et DS ils ne sont :
- ni causales
- ni uniquement présents chez les DS
l’anomalie fronto temporal gauche n’est pas uniquement présente chez les AS, mais chez les délinquant en général, manque d’inhibition

70
Q
  1. Sur quoi est basée a théorie intégrée de Ward et Beech ?
A

Le modèle des 3 système de Pennington (2002)

71
Q
  1. Quels sont les 3 systèmes de Pennington (2002) ?
A

1) Sys. émotionnel-motivationnel
2) Sys. perception mémorisation
3) Sys. sélection contrôle du cpt

72
Q
  1. De quoi dépendent les fonctions exécutives ?
A

La région préfrontal du cerveau (frontale antérieur)

73
Q
  1. Qu’est-ce que les fonctions exécutives permettent ?
A

Elles permettent l’exécution et l’harmonisation des différentes fonctions.

74
Q
  1. Quels sont des exemples de fonctions exécutives ?
A

inhibition de cpt, capacité de planifier, d’initier et gérer ses actions, la mémoire de travail, la résolution des problèmes, flexibilité cognitive et raisonnement.

75
Q
  1. Où en est la neuropsychologie de nos jours en terme de délinquance sexuelle ?
A

Peu d’études ont été faites sur la DS, mais augmentation depuis quelques années. La majorité sont sur les pédophiles. Toutefois, aucun signe neuropsychologique n’est identifié, encore moins démontré.

76
Q
  1. De quelle façon les AS et DNS contredit l’hypothèse de Ward et Beech ?
A

Les profils neuropsychologique des AS et DNS semble être très similaire.

77
Q
  1. De quelle façon les AS et ASE se distinguent sur le plan neurologique et en quoi est-ce pertinent ?
A

Les ASE semble obtenir des résultats moins bons de façon général en ce qui attrait de la neuropsychologie, en plus d’obtenir un QI plus faible. C’est pertinent, car ça montre qu’i est important de les considérer comme groupe distinct lors d’étude, car leur profils neuropsychologique semble différents

78
Q
  1. Quels sont les avantages/utilités des exams de neurologie sur le plan de la DS ?
A

Elles permettent de voir l’évolution, la stagnation ou la dégradation de l’état cognitif/neurologique du patient durant sa thérapie.

79
Q
  1. Pour quelles raisons la prévalence d’AS chez la femme peut être sous-estimé ?
A

1) Conception culturelle et sociétal de la femme
2) Biais professionnel
3) Dénonciation des victimes
4) Concidérations méthodologiques :
4. 1) Méthode de cueillettes de données
4. 2) population cible affecte la prévalence
4. 3) Définition d’AS et concepts adjacents
4. 4) Langage

80
Q
  1. Quels sont les catégories de la typologie d’AS femme ?
A

1) Femme qui agresse d’adolescents
2) Femme qui agresse d’enfant
3) Femme qui agresse en compagnie d’un homme
4) Femme qui agresse d’adulte

81
Q
  1. Quel type d’AS femme est le + enclin à s’être faite elle-même AS et le moins enclin ?
A

+ : femme qui abuse d’enfant

- : femme qui abuse adolescents

82
Q
  1. Quelle type comporte la plus grande proportion des AS femme ?
A

Femme qui agresse avec un homme

83
Q
  1. Quel outil(s) existe(nt)-il(s) pour évaluer le risque de récidive sexuel chez la femme ?
A

Aucun

84
Q
  1. Quels sont les 4 dynamiques traumatisantes chez les enfants victimes d’AS. Quel ajout fut-il à celles ci ?
A

1) Sexualisation traumatique
2) Stigmatisation
3) Trahison
4) Sentiment d’impuissance
Ajout : effet sur l’identité

85
Q
  1. Quelle conclusion peut on tirer des dynamiques traumatisante au sujet des AS commise par des femmes ?
A

Les agressions commise par des femmes ne sont pas nécessairement plus traumatisante, par contre il y a des facteurs aggravent à prendre en compte. (construit social, rôle de mère, déni des AS par les femmes)

86
Q
  1. De quelle façon l’aspect de stigmatisation est aggravé lorsque l’AS est commis par une femme ?
A

Puisque les agressions commise par des femmes sont rare, l’individu se sent encore plus seul et non compris par son expérience traumatisante.

87
Q
  1. De quelle façon la trahison pourrait-elle est accentuer ?
A

Si l’individu ayant commis l’agression est la mère

88
Q
  1. Sur quels plans ont-été expliqué les meurtrier sexuels ?
A

Biologique, psychologique et sociologique

89
Q
  1. Quelles sont les théories biologiques et de quelles façon sont-elles valides/invalides ?
A

Selon Money, la cause du sadisme est une lésion au niveau du sys. limbique. Une autre théorie veut qu’un déficit de testostérone engrainerait un comportement compensatoire d’hyper masculinité. Cohérent, mais repose sur aucune étude des facteurs biologiques.

90
Q
  1. Quelle est la théorie la + reconnu et + utilisé
A

Modèle motivationnel

91
Q
  1. Quelles sont les 3 autres théories psychologiques et leur avantages/désavantages ?
A
  • Conditionnement classique : association de stimuli (ex. : masturbation à de la pornographie violente)
  • Conditionnement opérant : Fantaisie sexuelle déviante sont des cpt opérants qui diminue le sentiment d’incompétence.
    PIstes intéressantes, mais besoin d’études empirique pour valider.
    Psycho dynamique :
  • Catathymique : matricide symbolique (incubation, meurtre, soulagement)
  • Compulsif : individu solitaire qui ont beaucoup de rage envers femme. Rumination fantaisies sexuelle sadiques gratification sexuelle = baisse de la tension. Victime inconnue, fait de faire mal est sexualisé.
    Ne peuvent pas être vérifié empiriquement, de nature descriptive,
92
Q
  1. Quels sont les 5 étapes du modèle motivationnel ?
A

1) Environnement sociofamilial inapproprié
2) Expérience de victimisation et l’exposition à des modèles inadéquat (compenser l’absence de contrôle)
3) Développement de traits de personnalité négatifs et stratégie d’adaptation inadéquat.
4) Actions destructrices afin d’exprimer les fantaisies agressives.
5) Évaluation et rétroaction suite aux actions violente : beaucoup de stresseurs qui vont provoquer le 1er actes et ensuite augmenter les fantaisies.

93
Q
  1. Comment sont les modus operandi : sadique vs colérique ?
A

Sadique : organisé et en accord avec ses fantaisies

Colérique : désorganisé

94
Q

Avantages et désavantages du modèle motivationnel ?

A

+ : fondement empirique

- : échantillon pas aléatoire, pas de groupe de comparaison et pas de distinction de type de victimes.