Structure identitaire et construction de l'identité Flashcards

1
Q

Vrai ou faux? Des jumeaux identitques peuvent avoir la même identité.

A

Faux

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2
Q

Qui suis-je? Facteur identitaire faisant réfèrence à se qu’on pense de nous-mêmes, comment on s’évalue.

A

Facteur cognitif

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3
Q

Vrai ou faux? Un stéréotype est un ensemble de personnes ayant les mêmes caractéritiques.

A

Faux; il s’agit d’une catégorie. Un stéréotype est un ensemble d’informations qui permettent de décrire les membres de la catégorie.

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4
Q

Qui suis-je? Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe.

A

Assimilation

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5
Q

La combinaison de ces deux phénomènes amène les gens à
percevoir à tort que les membres del’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe. Quels sont-ils?

A

L’assimilation et la différenciation

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6
Q

Vrai ou faux? L’estime de soi correspond à un facteur identitaire cognitif.

A

Faux; c’est un facteur identitaire affectif

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7
Q

1) Je me perçois comme une étudiante lorsque je suis à Montréal et davantage une intervenante lorsque je travaille au Point d’appui pendant l’été. Quelle structure identitaire ai-je utilisée?
2) Quelle stratégie cognitive vais-je utiliser s’il y a une incohérence entre ces deux identités, par exemple si je réalise un travail sur les agressions sexuelles selon une perceptive de psychologie évolutive qui entre en contradiction avec ma fibre féministe d’intervenante?

A

1) La compartimentalisation, puisque mes caractéritiques saillantes dépendent des contextes. En intervention, je ne mets pas mon identité d’étudiante de l’avant, bien que ce que j’apprends à l’école est encore là.
2) En fonction de la structure de compartimentalisation, j’effectuerais un isolement cognitif. Pendant mon travail d’école, j’ignore mon identité d’intervenante pour me mettre complétement dans cette théorie.

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8
Q

Quelle structure identitaire est-il question? En cas d’incohérence, la différenciation est faible et on sépare les informations (pas d’intégration). C’est la structure qui demande le moins d’effort cognitif.

A

L’intersection

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9
Q

Qui suis-je? Structure identitaire qui nous met plus à risque d’entretenir des préjugés.

A

L’intersection. En effet, on fait partie de moins d’endogroupe et ceux qui ont la moindre différence de nous ne fait pas partie de notre groupe.

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10
Q

Je me perçois comme une jeune femme avant tout, mais ayant comme caractéristique d’avoir les cheveux bruns.
1)Quelle est la structure identitaire utilisée?
2)Est-ce que mon endogroupe peut être composé d’hommes aux cheveux bruns?

A

1) La dominance; ma caractéristique principale est d’être une femme.
2) Non, car ils ne possèdent pas ma caractéristique principale.

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11
Q

Qui suis-je? Structure identitaire qui utilise la transcendance comme stratégie cognitive en cas d’incohérence.

A

La fusion. En effet, la transcendance consiste à créer une nouvelle caractéristique qui englobe celles en conflit. C’est possible car la personne qui utilise la fusion se perçoit en considérant toutes ses caractéristiques.

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12
Q

Qui suis-je? Stratégie cognitve utilisée lors d’incohérence par une personne ayant une structure de dominance.

A

Le renforcement

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13
Q

Quelle structure identitaire utilise la stratégie cognitive de la différenciation cognitive en cas d’incohérence?

A

L’intersection

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14
Q

Pourquoi la fusion est la structure identitaire la plus complexe?

A

Elle demande plus d’effort cognitif en cas d’incohérence. En effet, l’individu en dissonnance va faire preuve de différenciation en considérant l’incohérence au lieu de l’ignorer et combine les informations pour la résoudre (intégration).

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15
Q

Qui suis-je? Structure identitaire la moins à risque d’entrenir des préjugés.

A

La fusion

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16
Q

Qui suis-je? La personne établit les critères précis à utiliser pour classer les gens. Si quelqu’un d’autre utilise ces critères, elle arriverait au même groupe de personnes.

A

La catégorisation basée sur le sujet

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17
Q

Vrai ou faux? Les catégories “bons à l’école” et “mauvais à l’école” sont basées sur l’objet.

A

Faux; c’est plutôt une catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet, car les critères pour être bon ou pas sont subjectifs (à partir de quelle note on dit que c’est bon? est-ce qu’il suffit d’être en haut de la moyenne?).

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18
Q

Coraly est éducatrice spécialisée. Je la décris donc comme étant empathique et ayant le bien-être des enfants à coeur. J’ai utilisé mes catégories en faisant de l’/la _________.

A

la déduction

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19
Q

Qui suis-je? Niveau d’auto-catégorisation utilisé lorsqu’on fait des comparaisons intergroupes.

A

Niveau intermédiaire

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20
Q

Quel niveau d’auto-catégoristion fait davantage référence à l’identité par une perception d’unité?

A

Le niveau subordonné (comparaisons interpersonnelles et intragroupes)

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21
Q

Je me perçois comme un bon exemple de ma catégorie jeune étudiante en psychologie à l’UDEM et je mets l’accent sur mes ressemblances avec les autres étudiantes. Quel concept est souligné?

A

La dépersonnalisation

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22
Q

Vrai ou faux? La comparaison croisée est le processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales.

A

Vrai

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23
Q

Je commence à m’entraîner en m’inscrivant à des cours de zumba. Judy et Mel sont pour moi des points de comparaison pertinents pour me situer par rapport à mon endurance. Vrai ou faux?

A

Faux; je ne suis pas au même niveau qu’elles. Il s’agirait plutôt d’une comparaison ascendante.

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24
Q

Vrai ou faux? La première façon de s’évaluer est en se comparant aux autres par rapport à leurs aptitudes et opinions.

A

Faux; on cherche d’abord à se situer à l’aide de moyens objectifs non sociaux. Par exemple, je peux situer mes peformances scolaires par mes notes. Dans le cas où mes notes ne me permettent pas de me situer précisement ou que je n’ai pas de rétroaction sur un examen, je vais alors tenter d m’évaluer selon les performances des autres et leurs réponses.

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24
Q

Vrai ou faux? La comparaison descendante a l’inconvénient de moins nous porter à faire des efforts pour nous améliorer.

A

Vrai (on se compare à des personnes inférieures à soi)

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25
Q

Lorsqu’il y trop de différences intragroupes, il est plus difficile de se comparer et ainsi clarifier notre identité. Quelles sont les possibilités pour retrouver l’uniformité? (3)

A

1- Changer nous-mêmes (ex; se ranger à l’opinion des autres)
2- Essayer de changer les autres
3- Rester comme on est tout en soulignant et mettant de l’avant un point commun du groupe

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26
Q

Les pressions à l’uniformité dans un groupe dépendent de deux facteurs. Quels sont-ils?

A

L’importance qu’on accorde au groupe et l’importance accordée aux aptitudes ou opinions différents dans le groupe.

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27
Q

De quoi dépend la façon dont on organise les différents éléments de sorte à créer une image unifiée de soi-même? (2)

A

De nos capacités cognitives et notre degré d’ouverture ou de rigidité aux nouvelles informations.

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28
Q

Quels sont les types de processus qui contribuent à la construction de l’identité? (3)

A

Les processus sociocentrés (relatifs aux groupes sociaux)
Les processus égocentrés
Les processus relationnels et dynamiques

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29
Q

À quel type de processus correspond l’auto-catégorisation?

A

Les processus sociocentrés

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30
Q

Qui suis-je? Processus de comparaison sociale où l’individu, qui veut autant ressembler aux autres que se démarquer, s’affirme comme étant en plus grande conformité que les
autres aux normes sociales du groupe.

A

Le processus de la conformité supérieure de soi (articulation entre similitude et différence)

31
Q

Vrai ou faux? L’observateur a tendance à faire une attribution en regardant le contexte en premier.

A

Faux; il regarde d’abord l’acteur

32
Q

Une personne qui fait une attribution interne et incontrôlable à un échec vivra quelle émotion en particulier?

A

De la honte, car elle n’a pas été capable de réussire.

33
Q

J’échoue à compléter toutes les tâches de ma to-do list du jour parce que je me sentais fatiguée et pas motivée cette journée-là. Selon Weiner, quelle émotion suis-je suspectible de ressentir?

A

De la culpabilité, car j’attribue cet échec à une cause interne (c’est ma faute) mais contrôlable (je peux faire mieux).

34
Q

Vrai ou faux? Une attribution est un jugement objectif.

A

Faux; c’est subjectif. Quelque chose d’interne pourrait être externe pour une autre. Par exemple, arriver en retard pourrait être parce que j’ai de la difficulté à gérer mon temps (interne) et pourrait être à cause de l’état des routes pour Annabelle (externe).

35
Q

Qui suis-je? Tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facteurs externes.

A

Biais de complaisance

36
Q

Vrai ou faux? Le biais de complaisance suvient lorsqu’on interprète le comportement d’autrui.

A

Faux; c’est quand on se juge soi-même.
En d’autres mots, ce biais est utilisé par l’acteur.

37
Q

Mise en situation:
Une fille que je n’aime pas se fait voler son manteau au bar. Je me dis “karma is a bitch”. Quel biais ai-je utilisé?

A

La croyance en un monde juste

38
Q

Après avoir obtenu une mauvaise note à un examen, je me traite de bonne à rien. Quand j’obtiens une bonne note, je regarde la moyenne du groupe et me dis que c’était juste un examen facile. Quel biais ai-je utilisé?

A

L’autodépréciation

39
Q

Qui suis-je? Biais contraire à l’autocomplaisance.

A

L’autodépréciation

40
Q

Quelles conditions doivent être présentes pour qu’il y ait de la résignation acquise? (3)

A

La personne subit des épreuves qui sont
1) incontrolâbles
2) répétées
3) douloureuses

41
Q

Quels sont les deux moyens de faire du favoritisme à l’endogroupe?

A

1- Valoriser l’endogroupe
2- Dévaloriser l’exogroupe

42
Q

Vrai ou faux? L’erreur d’attribution ultime suit le même principe que l’erreur d’attribution fondamentale mais appliqué à des groupes.

A

Faux; l’attribution interne ou externe dépend si le comportement du groupe (endogroupe ou exogroupe) est désirable ou non, ce qui n’est pas le cas pour l’erreur d’attribution fondamentale. Cette atribution s’applique aussi à l’endogroupe, ce qui n’est pas le cas de l’erreur d’attribution fondamentale qui juge le comportement d’autrui seulement.

43
Q

Qui suis-je? Suggère que l’assimilation-accomodation et l’évaluation sont les processus à la base du développement de l’identité.

A

Breakwell

44
Q

Selon la théorie sur les processus relationnels et dynamique de Grotevant, quelles sont les caractéristiques individuelles qui jouent sur la probabilité qu’une personne s’engage dans un travail
identitaire (questionnement)?
(6)

A

1) L’estime de soi
2) Les capacités cognitives
3) La résilience
4) L’ouverture/la rigidité d’esprit
5) Le contrôle de soi
6) L’identité actuelle (claire ou non)

45
Q

Qui suis-je? Théorie selon laquelle la culture, le réseau social, le type de communication dans la famille et les groupes sociaux primaires détermine la probabilité qu’une personne entame un questionnement identitaire.

A

La théorie des processus relationnels et dynamiques de Grotevant

46
Q

Quelles théories des processus relationnels et dynamiques mettent l’accent sur l’influence bidirectionnelle entre la personne et le contexte?

A

Les processus selon Grotevant et les processus selon Kunnen et Bosma

47
Q

Qui suis-je? Style de traitement de l’information proposé par Berzonsky où la personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle.

A

Style orienté vers la norme

48
Q

Qui suis-je? Style de traitement de l’information minimal, subject aux distorsions d’informations et le déni des informations négatives.

A

Style orienté vers la diffusion

49
Q

“Les individus orientés vers l’information sont ouverts au
feedback et ils sont prêts à réviser leurs schémas d’eux-mêmes.” À quel concept cela fait-il référence?

A

L’adaptation

50
Q

Selon la théorie de Berzonsky, les individus orientés vers ___________ ont une perception de soi rigide.

A

la norme

51
Q

Quels sont les 3 types de représentations identitaires?

A

1) Personnelle
2) Sociale
3) Collective

52
Q

Qui suis-je? Image que la personne a d’elle-même qui tient compte des comparaisons avec les membres de son endogroupe et les membres des exogroupes (identité personnelle et sociale).

A

Représentation personnelle

53
Q

Comment se forme la représentation personnelle d’un individu?

A

Elle se forme par étapes (4) qui ont lieu tout au long de la vie, mais qui sont plus centrales selon les une périodes de développement.
De 0 à 5-6ans: Caractéristiques observables
De 6 à 12 ans: Les compétences
De 12 à 15 ans: Les relations avec autrui
Adolescence (et continue à l’âge adulte): En unifiant les caractéristiques observables, les compétences et les relations avec les autres

54
Q

Qui suis-je? Type de mémoire qui concerne nos connaissances générales et les informations factuelles.

A

Mémoire sémantique

55
Q

Vrai ou faux? La mémoire épisodique conserve les choses telles qu’elles ont été vécues
objectivement.

A

Faux; on se souvient des événements comme on les a vécu subjectivement. Ce type de mémoire penche vers le côté émotionnel plutôt que factuel.

56
Q

Quels rôles joue notre représentation identitaire personnelle dans le traitement de l’information sur soi? (4)

A

1) Se valoriser en sélectionnant/modifiant l’information disponible pour se représenter positivement
2) Se vérifier/confirmer ce qu’on pense de nous
3) S’évaluer adéquatement
4) S’améliorer en faisant de la comparaison ascendante

57
Q

Vrai ou faux? Dans la vérification, l’individu veut vérifier s’il possède une force, une qualité.

A

Faux; dans la vérification, l’individu cherche plutôt à confirmer s’il possède telle force en se comparant et ce, dans un souci de cohérence dans son identité.

La question réfère plutôt à la qualité de l’évaluation de soi

58
Q

Qui suis-je? Image que la personne a des catégories sociales et des groupes sociaux.

A

Représentation sociale

59
Q

À quoi sont liées les représentations sociales? (2)

A

1) Aux croyances partagées par les groupes concernant un objet social
2) Aux asymétries des positions sociales (hiérarchies selon le capital économique, le genre et le capital culturel)

60
Q

Quel type de représentation identitaire suppose que l’existence de croyances générales qui traversent une société dans son ensemble?

A

Représentation collective

61
Q

Les différences entre les valeurs des cultures individualistes et collectivisites un exemple de ___________.

A

représentation collective

62
Q

Dans les cultures individualistes, l’homogénéité endogroupe est __________, ce qui renvoie davantage à l’unicité.

A

faible

63
Q

Quel est l’avantage d’utiliser la catégorisation croisée ou la catégorisation multiple?

A

Diminue le risque d’entretenir des préjugés car ça renvoie à une structure de fusion. La personne se voit comme appartenant à deux ou plusieurs catégories/groupes.

64
Q

Vrai ou faux? L’identité personnelle est objective et subjective.

A

Vrai; le fait que chaque individu est unique, différent de tous les autres par son patrimoine génétique est la composante objective. Cependant,
elle a surtout un sens subjectif : elle renvoie au sentiment de son
individualité (« je suis moi »), de sa singularité (« je suis différent
des autres et j’ai telles ou telles caractéristiques ») et d’une continuité dans l’espace et dans le temps (« je suis toujours la même
personne »).

65
Q

Qu’est-ce qui constitue constitue la base et le support privilégié du sentiment d’identité?

A

Le corps

66
Q

Qu’est-ce qui marque la première émergence véritable du sentiment d’identité?

A

L’utilisation du “Je” dans le discours de l’enfant, après l’objectification et l’appropriation de son corps, de son être.

67
Q

Vrai ou faux? L’identité se construit par une addition successive d’informations.

A

Faux; plutot par des remaniements et des tentatives d’intégration.

68
Q

Quel est le contraire du biais de complaisance?

A

L’autodépréciation

69
Q

Quels sont les rôles des représentations personnelles dans le traitement de l’information sur soi? (4)

A

La valorisation de soi, la vérification, la qualité de l’évaluation de soi et l’amélioration de soi

70
Q

Qui suis-je? Rôle des représentations personnelles dans le traitement de l’information sur soi qui conduit l’individu à rechercher des situations lui permettant de réaliser les évaluations de soi les plus exactes possible.

A

La qualité de l’évaluation de soi (découvrir si j’ai X qualité en mettant des critères en place)

71
Q

Qui suis-je? Théorie selon laquelle les changements dans la personne ou le contexte peuvent
conduire à des changements dans les engagements.

A

Processus selon Kunnen et Bosma

72
Q

Dans cette étape de l’itération, la personne change sa perception de la situation ou la situation elle-même.

A

L’assimilation

73
Q

Vrai ou faux? Dans les processus selon Kunnen et Bosma, l’assimilation après un conflit même au maintien des engagements.

A

Vrai

74
Q

Après l’échec de l’assimilation, modification des engagements afin qu’ils soient plus réalistes.

A

Accomodation