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identité > Thème 5 > Flashcards

Thème 5 Flashcards

1
Q

Réseau social en sciences humaines et sociales

A

Réfère à un agencement de liens entre des individus et/ou des organisations, constituant un groupement qui a un sens (ex : la famille, les collègues de travail, un groupe d’amis, un groupe communautaire, une équipe sportive, etc.).

Important ici : Notion de sens → On est dans un groupe significatif pour nous.

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2
Q

Réseau social dans les médias sociaux numériques

A

Réfère aux différentes activités qui intègrent technologie, interaction sociale entre individus ou groupes d’individus, et à la création de contenu.

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3
Q

Théorie de Dunbar (1992)

A

Le nombre maximal de personnes que quelqu’un connaît réellement est de 150.

Ce nombre n’inclut pas les personnes que quelqu’un connaît personnellement mais avec qui la relation sociale est rompue, ni les vagues connaissances sans relation sociale persistante.

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4
Q

3 caractéristiques nécessaires pour qu’une personne soit considérée comme faisant partie du groupe dans la théorie de dunbar

A
  1. Personne qu’on reconnait
  2. On doit être capable d’interpréter/anticiper les réactions de la personne
  3. On doit avoir une relation stable avec elle
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5
Q

Dans l’étude de Dunbar (singes) on observe que…

A

Observe que + la taille du néocortex est petit → taille du groupe est +petit (vice-versa). Corrélation positive

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6
Q

Qu’elles sont les explications de la corrélation entre la taille du néocortex et la taille du réseau dans l’étude de Dunbar ?

A
  1. Cortex qui influence la taille du réseau
  2. Taille du réseau qui influence la taille du cortex
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7
Q

Quelle est la troisième variable qu’on ajoute aux deux autres variables de l’étude de Dunbar ?

A

L’environnement

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8
Q

Effet du petit monde : théorie des six poignées de main

A

Théorie de Karinthy (1929) selon laquelle la longueur de la chaîne des connaissances sociales requise pour lier une personne arbitrairement choisie à n’importe quelle autre personne sur Terre comporte six liens.

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9
Q

Quelle étude sert à test la théorie des six poignées de main ?

A

L’étude de Milgram

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10
Q

Quelles sont les résultats/conclusions et critiques de l’étude de Milgram ?

A

Résultat : Seulement 3 lettres se rendent à destination (sur 60) et ça prend + que 6 liens (6-7). *ne marche pas

Conclusion : Dit que les 6 liens marchent, mais n’a pas mentionné que seulement 3 lettres sur 60 sont parvenues.

Critiques : Chercheurs qui font des études similaires dans mathématiciens ou acteurs. On se rend compte que dans une communauté précise, ça fonctionne. Plus d’occasions de communiquer ensemble (ex : on nous donne une lettre à un étudiant. Ne fonctionn pas sur planète entière, mais dans une communauté le 6 liens fonctionne.

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11
Q

Étude faite en 2016 par rapport aux médias (réseaux sociaux) et à ce lien. Le chiffre et le nombre de lien à été calculé à…

A

3.5 liens pour rejoindre quelqu’un par les réseaux sociaux.

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12
Q

La valeur accordée à un réseau repose à la fois sur…

A
  1. Une évaluation des membres individuels
  2. Liens entre ces membres
  3. Réseau en tant qu’unité

Mais avant tout, il faut qu’un ensemble de personnes soit considéré comme un réseau, référant à la perception d’entativité

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13
Q

Entativité

A

Degré auquel un groupe peut être considéré comme une entité réelle, une unité cohérente

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14
Q

La perception d’entitativité dépend de l’évaluation de différentes classes de facteurs :

A
  1. Particularités chroniques du percevant
  2. Facteurs contextuels
  3. Propriétés du groupe
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15
Q

Quelles propriétés du groupe ont une corrélation positive avec l’entativité ?

A
  1. Interdépendance
  2. Importance
  3. Interaction
  4. Durée
  5. Similarité
  6. Structure
  7. Cohésion
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16
Q

Quelles propriétés du groupe ont une corrélation négative avec l’entativité ?

A
  1. Taille
  2. Perméabilité
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17
Q

Quelles propriétés du groupe n’ont pas été testées par les auteurs ?

A

Structure et Cohésion

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18
Q

Différence entre la cohésion et l’entativité

A

Entativité : Englobe bcp plus de choses, dont le contexte et les caractéristiques personnelles

Cohésion : Seulement si les membres du groupe se sentent liés les uns aux autres et liés au groupe.

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19
Q

Parmi les 4 grandes catégories de groupe, lesquelles ont un niveau d’entativité élevé ?

A
  1. Groupe intime : Famille; amis qui font des activités ensemble; gang de rue locale; voisins qui se côtoient; colocataires.
  2. Groupe de tâche : Équipe sportive; groupe de musique rock; orchestre; troupe de théâtre; groupe de soutien; club social de personnes aînées; comité d’étudiants; syndicat de travailleurs; jury; équipage d’un avion.

+ d’interactions interpersonnelles

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20
Q

Parmi les 4 grandes catégories de groupe, lesquelles ont un niveau d’entativité moyen/faible ?

A
  1. Catégorie sociale : Femmes; étudiants universitaires; Montréalais; médecins québécois; Juifs.
  2. Ensemble sans lien : File de personnes qui attendent à l’arrêt d’autobus; spectateurs à un concert; vacanciers à la plage; patients dans une salle d’attente à l’urgence; clients dans un magasin à grande surface.

Attachement symbolique + Dépersonnalisation

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21
Q

*Entativité permet de faire des nuances entre…

A

Gr qui se connaissent mieux, moins, + unicité ou + dépersonnalisation

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22
Q

Dans l’inclusion au réseau, on parle plus…

A

Des gens qui composent le groupe social

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23
Q

Insertion sociale

A

Inclusion d’un individu dans un réseau social

L’individu demeure différent des autres membres du groupe.

Personne qui entre et sort du groupe va respecter les normes du groupe, mais ne va pas les intérioriser

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24
Q

Gens sont différents (unicité) → Pas d’intérioration des normes du groupe

A

Insertion sociale

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25
Q

Intégration sociale

A

Incorporation d’un individu dans un réseau social.

L’individu conserve ses particularités, mais il accepte les normes et croyances du groupe de façon à constituer un tout.

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26
Q

Gens sont tjr différents des autres (unicité) → Intériorisation des normes du groupe

A

Intégration sociale

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27
Q

Identification

A

Action de s’identifier à quelqu’un, à un groupe ou à quelque chose.

Aspect cognitif : Je regarde quelles sont mes ressemblances avec les membres du groupe. Des informations qu’on compare avec celles du groupe.

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28
Q

Appartenance

A

Fait d’appartenir à un groupe, à un ensemble.

Aspect cognitif et affectif : Sentiment d’appartenance. Je ressemble aux autres et je ressens que j’ai un lien avec les autres.

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29
Q

On parle souvent d’une personne… La cohésion c’est plus le groupe

A

Identification + Appartenance

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30
Q

Cohésion

A

Caractère d’un réseau dont les membres sont liés les uns aux autres et sont liés au groupe.

Aspect affectif et conatif : Comment tous les membres sont liés entre eux. Conatif c’est en lien avec la motivation qu’on peut avoir à rester ensembles. C’est comme une colle.

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31
Q

Attraction sociale

A

Fait d’être attiré par un groupe. On n’est pas attiré par une personne, on est attiré par le groupe

Aspect conatif

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32
Q

Théorie de l’identité sociale

A

L’individu aspire à une identité sociale positive et distinctive

On veut faire partie d’un groupe :
- Positif
- Distingue des autres

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33
Q

Théorie de l’auto-catégorisation

A

L’individu se catégorise dans un groupe en fonction des ressemblances qu’il partage avec les autres

Favorise et contribue :
- Dépersonnalisation de l’individu
- Développement de son concept de soi

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34
Q

Étude de Badaoui, Lebrun et Bouchet (2015) : Choix vestimentaires des ados

Résultats :

A

Résultats : Lien important entre identité sociale + identité personnelle + vêtements
- Choix de la tenue vestimentaire = identité sociale
- Choix du type de produit précis/marque = identité perso

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35
Q

Étude de Badaoui, Lebrun et Bouchet (2015) : Choix vestimentaires des ados

Conclusions

A

Théorie de l’identité sociale :
• Dans le but d’obtenir une identité sociale positive, l’adolescent va s’identifier à un groupe qu’il valorise
• Les groupes associés à des styles vestimentaires peuvent ainsi participer à la construction identitaire de l’adolescent dans la mesure où celui-ci consomme et expose des produits et des marques signifiantes et identifiables par les autres.

Théorie de l’auto-catégorisation :
• En adoptant un style vestimentaire reconnaissable, l’adolescent se voit des ressemblances avec le groupe, ce qui favorise la dépersonnalisation. On se catégorise avec ce groupe
• Désir d’appartenance favorise l’adoption et le maintien du style vestimentaire

Par ailleurs :
- Identité personnelle : Modère cette appartenance (ainsi que la dépersonnalisation) grâce au recours à un agencement de produits et de marques particuliers.
- Identité sociale : Néanmoins, les choix personnels de produits et de marques demeurent dans les normes du groupe.

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36
Q

Dans la cohésion, on évalue…

A

La qualité des liens entre chacun des individus et c’est l’ensemble des liens qui nous permet de dire si l’ensemble du groupe est cohésif

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37
Q

La cohésion est favorisée par :

A

Le fait que tous les membres du groupe se perçoivent comme formant un tout.

38
Q

Plus la cohésion est grande :

A

+ membres éprouvent sentiment d’appartenance au groupe
+ ils s’identifient à lui
+ ils en sont dépendants.

Aussi :
+ conformité au groupe
+ recherche de consensus (comporter mm façon)
+ perception stéréotypique (gens ressemblent)
+ différenciation intergroupe (différents des autres groupes)
+ ethnocentrisme (groupe est le point de référence pour juger les autres gr)

39
Q

Plus l’interdépendance est forte :

A

+ les points de vue dans le groupe tendent vers l’homogénéité

+ sont sanctionnés les écarts et les déviations.

40
Q

La cohésion entre les membres du groupe est révélée seulement lorsque…

A

Le contexte est saillant

41
Q

Quand le contexte intergroupe ou intragroupe change…

A

La perception de l’endogroupe change aussi, ainsi que la perception de soi.

42
Q

Différents types d’attraction :

A
  1. Attraction personnelle :
    - Entre des personnes
    - Unidirectionnelle
  2. Attraction interpersonnelle :
    - Entre des personnes
    - Bidirectionnelle
  3. Attraction sociale :
    - Personne envers le groupe
    - Unidirectionnelle
43
Q

Attitude positive
Attraction sociale
Cohésion (liens forts)

Ces construits sont…

A

Indépendants

Mais peuvent se prendre en mm temps dans un groupe

44
Q

L’attitude positive entre les membres du groupe produit…

A

L’attraction

45
Q

L’attraction sociale favorise…

A

La cohésion

46
Q

Vrai ou faux. L’attraction sociale est tjr dépersonnalisée.

A

Vrai : Ce n’est pas les personnes qui nous attirent, c’est le groupe dans son ensemble.

47
Q

Les gens qui font partie d’un groupe qu’ils considèrent comme ayant un statut élevé ont plus tendance à…

A
  1. Penser que le statut du groupe est légitime parce qu’il est lié à des caractéristiques internes des membres.
  2. Penser que les groupes sont faiblement perméables.
  3. Affirmer qu’ils ne changeront pas de groupe (vision plus fermée/stable de leur groupe)
48
Q

Exclusion sociale

A

L’exclusion représente une condition dans laquelle un individu se trouve coupé de son réseau social.

49
Q

Verbe « exclure » signifie

A

Ne pas laisser entrer, ne pas admettre, chasser, tenir à l’écart.

50
Q

Stigmatisation sociale

A

La stigmatisation implique un attribut qui jette un discrédit profond sur un individu l’amenant à ne pas être considéré comme ordinaire et sain, mais comme impur et vicié.

51
Q

Le verbe « stigmatiser » désigne…

A

L’action de dévaloriser, de blâmer avec dureté et publiquement

52
Q

Distinction entre exclusion sociale et stigmatisation sociale

A

Stigmatisation est + négative → On met à l’écart la personne, car c’est une mauvaise personne (inférieure)

53
Q

La notion d’exclusion sociale a davantage été étudiée dans le cadre de quelle approche ?

A

Approche systémique

54
Q

La notion d’exclusion suppose l’existence…

A

De déterminants et de processus à la fois internes et externes (objectif ou subjectif)

55
Q

Déterminants

A

Déclencheurs de la situation.
- Cause interne
- Cause externe

56
Q

Processus

A

Ce qui se passe pendant l’exclusion. Facteurs qui contribuent au maintient de la situation.
- Processus interne
- Processus externe

57
Q

Vulnérabilité

A

Fait d’avoir peu de ressources internes et externes pour faire face à une situation.

La vulnérabilité d’une personne peut la mener à l’exclusion; et l’exclusion de la personne peut mener à la vulnérabilité.

58
Q

L’exclusion peut être vécue comme…

A

Un traitement injuste

59
Q

Qu’est-ce qu’on regarde dans la lutte contre l’exclusion sociale ?

A
  1. Anamnèse de la personne
  2. Ressources internes et externes
60
Q

4 niveaux à intervenir dans la lutte contre l’exclusion sociale :

A
  1. Niveau individuel : état biologique, psychologique et social
  2. Niveau social primaire : personnes significatives
  3. Niveau communautaire : ensemble de personnes (pauvreté et différences)
  4. Niveau collectif : sensibilisation auprès population
61
Q

Ontosystème

A

C’est l’individu : âge, sexe, bagage génétique, connaissances, capacités, déficits, attitudes, valeurs, personnalité, tempérament, intérêts, etc.
• Anamnèse : La personne elle-mm

62
Q

Microsystème

A

C’est le système qui entretient une relation immédiate avec l’individu : famille, garderie, groupe d’amis, école, etc.
• Réseaux primaires, personnes avec qui ont intéragit proche.

63
Q

Mésosystème

A

C’est le système qui est constitué de tous les microsystèmes. Il permet d’assurer une cohérence dans le contexte de vie de l’individu.
• Liens entre les micro-systèmes

64
Q

Exosystème

A

C’est le système des forces extérieures ayant des répercussions sur le microsystème : règlements, programmes éducatifs, situation financière, etc.
• C’est tous les comités, gouvernements, les groupes qui prennent des décisions sur des programmes (financiers, éducatif, lois, etc.)

65
Q

Macrosystème

A

C’est le système des forces éloignées qui ont des influences subtiles et à long terme sur le microsystème : valeurs, culture, religion, idéologies politiques, etc.
• Ne sont pas des personnes, se sont des façons de pensées véhiculées dans la société qui peuvent influencer les gens = + large

66
Q

Technosystème

A

C’est le système des nouvelles technologies utilisées par l’individu : téléphone, radio, télévision, ordinateur, internet, médias sociaux, etc.

67
Q

Chronosystème

A

C’est le système des transitions vécues par l’individu tout au long de sa vie et qui tient compte de l’époque et du contexte historique.

On le voit de deux façons :
- Dans la vie de la personne
- Histoire

68
Q

Selon le modèle écologique de Bronfenbrenner, on fait l’anamnèse selon…

A

Tous les systèmes

69
Q

Cibler l’intervention
1. Sur le plan individuel
2. Niveau sociale primaire
3. Niveau communautaire
4. Niveau collectif

A
  1. Ontosystème
  2. Microsystème + Mésosystème
  3. Exosystème + Microsystème
  4. Macrosystème + Technosystème
70
Q

Stigmatisation sociale : 3 facettes essentielles

A
  1. Méconnaissances : connaissances erronées, fausses infos
  2. Attitudes négatives : préjugés négatifs
  3. Comportements discriminatoires : exclusion
71
Q

Stigmatisation sociale : 3 différents niveaux

A
  1. Population
  2. Institutions
  3. Individu : Auto-stigmatisation
72
Q

Mécanisme de stigmatisation de Link et Phelan

A
  1. Étiqueter : Distinguer certaines différences superficielles
  2. Stéréotyper: Attribuer défauts
  3. Séparer : Dissocier eux de nous
  4. Discriminer : Mettre à l’écart
  5. Priver de pouvoir social : Perte de statut social
73
Q

Réactions de la personne face à stigmatisation

A
  1. Autostigmatisation
  2. Identité stigmatisée dissimulée
  3. Rejet la caractéristique stigmatisante (désaccord/déni)
74
Q

Communiquer clairement aux autres (processus)

A
  1. Représentation de mon identité par l’autre
  2. Rétroaction
  3. Réponse
  4. Représentation de mon identité par moi
75
Q

Deux grandes façons de se connaître

A
  1. Introspection : Penser à soi (maintenant/futur)
  2. Auto observation : Demander pourquoi réagit comme ça (passé)
76
Q

Prendre la perspective de l’autre : Attention à…

A
  1. Vocabulaire choisit
  2. Contextualiser l’info
  3. S’accrocher au vécu de la personne pour qu’elle comprenne
77
Q

À travers nos interactions avec nos amis, trois stratégies aident à définir notre propre identité…

A
  1. Se voir à travers l’autre → Faire ressortir ressemblances
  2. Se distancer de l’autre → Faire ressortir différences
  3. Reconnaître dans le réseau → Faire ressortir rapport
78
Q

Se voir à travers l’autre exige :

A
  1. S’engager dans l’interaction avec l’autre
  2. Communiquer clairement ses idée
  3. Que l’autre soit attentif au message et aux divers signaux
  4. Que l’autre réponde au message et aux signaux
79
Q

Se distancer de l’autre exige :

A
  1. Contraster ses propos de ceux de l’autre
  2. Adopter une attitude différente de l’autre
  3. Critiquer l’autre
  4. Cesser la relation avec l’autre
80
Q

Reconnaître sa position dans le réseau exige :

A

Individu non seulement reconnaît sa place dans le réseau, mais qu’il définisse son identité selon ses rôles dans le réseau, hors du réseau et par rapport aux autres membres du réseau.

81
Q

Réseaux sociaux numériques (dans contexte virtuel du Web)

A

Usage social d’internet ainsi qu’aux services de réseautage social, qui peuvent se définir comme l’ensemble des moyens en ligne mis en oeuvre pour relier des personnes physiques ou morales entre elles.
- Physique = chq individu
- Morale = Gr est une entité en soi

82
Q

Utilités des réseaux sociaux numériques relativement à l’identité

A
  1. Donne accès à variété de relations
  2. Donne possibilité de nous lier aux autres (id. sociale)
  3. Permettent de présenter aux autres ce qui nous distingue et nous rend unique (id. perso)
83
Q

Identité numérique

A

Lien technologique entre une entité réelle et virtuelle. Ce qui fait que nous en tant que personne réelle physique nous permet de créer une image de nous (réelle ou erronée).
- Pas uniquement visible en utilisant les réseaux sociaux
- Multi-dimensionnelle, comme l’identité traditionnelle (selon le contexte)

84
Q

L’identité numérique est caractérisée par deux types d’informations distincts mais complémentaires :

A
  1. Informations parcellisées : Attribuées par une autorité tierce (pas choisies)
  2. Infos multiples : Produites par l’individu (choisie par l’individu)

Sur internet, nous pouvons nous créer une identité numérique plus ou moins distincte de notre identité réelle, en manipulant ce deuxième type d’informations

85
Q

Types d’identité numérique

A

Id. civile : Ce que la personne est dans son être reflétant sa vie réelle (est réellement)

Id agissante : Ce que la personne fait sur Internet reflétant sa vie réelle (fait réellement)

Id virtuelle : Ce que la personne fait sur Internet à travers vie projective virtuelle (fait virtuellement)

Id narrative : Ce que personne est dans son être à travers vie projective virtuelle (veut être)

86
Q

Deux manières d’apparaître sur Internet

A
  1. Extériorisation de soi
  2. Simulation de soi (imaginaire)
87
Q

Deux particularités des réseaux sociaux numériques comparativement aux autres méthodes de communication :

A
  1. Temporalité
  2. Espace
88
Q

Quatre stratégies nous permettent de nous faire connaître des autres…

A
  1. Autodescription : Dire aux autres qui on est (écrite ou en mots)
  2. Déclarations sociales : Donner opinion sans dire «je»
  3. Comportements non verbaux : Tout ce qui est l’image
  4. Associations verbales : Mettre infos des gens avec qui on est.
89
Q

3 grandes raisons de se construire une identité numérique qui diffère de notre identité réelle :

A
  1. Pouvoir s’exprimer librement
  2. Échapper à la déception de ne pas atteindre le Soi idéal
  3. Obtenir la reconnaissance des autres
90
Q

Autrui généralisé

A

Intériorisation des connaissances à propos des différents rôles joués par chacun dans une interaction sociale.

91
Q

5 aspects négatifs des réseaux sociaux numériques pour l’identité

A
  1. Poursuite constante du Soi idéal : Enfermement virtuel (personne concentrée sur le «Je», manque id. sociale)
  2. Fusion avec le réseau : Enfermement réticulaire (personne contrée sur le «Moi», dépersonnalisation)
  3. Diminution estime de soi : Lié à la comparaison (ascendante)
  4. Développement d’une perception égocentrique : Saillance
  5. Constante attente de l’évaluation positive des autres et peur d’être ignoré
92
Q

Avantages des réseaux sociaux pour le dvp de l’identité :

A
  1. interagir avec les autres (autrui généralisé)
  2. créer liens
  3. exprimer sans les contraintes imposées par la société
  4. se comparer aux autres (point pertinent)
  5. prendre position relativement aux autres
  6. prendre conscience de nos goûts, intérêts, passions, opinions
  7. Clarification de notre identité

identité (3 decks)

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