3. Stéréotypes: mesures Flashcards

1
Q

Comment est étudié les préjugés “ouvert” jusqu’aux années 1960 ?

A

Le préjugé « ouvert » : jusqu’aux années 1960s
• L’étude de la rumeur
• La liste des adjectifs
• Difficultés dans les mesures

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Q

Quand a été étudié les préjugé “subtil” ?

A

Depuis les années 1960

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3
Q

Quel est le but de l’étude la rumeur ?

A

Inaugurée par Allport et Postman durant la 2eGM (1945, 1947)

  • Expérimentateur décrit image à participant 1 à qui décrit à P2 à P3 à … P6
  • On observe la détérioration de l’information à travers de cette chaîne de transmission

• Soit seul soit avec public (200-300 pers.)
• Effet du public :
• Le nombre de détails retenus augmente en présence
du public.
• La qualité de l’information transmise (les distorsions),
est similaire dans les deux conditions

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4
Q

Qu’est ce que l’accentuation dans l’étude de la rumeur ?

A

L’accentuation (ou reproduction sélective de détails frappants) :
ex, lorsque la personne noire frappe par sa taille (cf. image), le nombre de Noirs apparaissant dans le récit passe de 1 à 4 ou « plusieurs »

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5
Q

Qu’est ce que l’assimilation/déformation dans l’étude de la rumeur ?

A

L’assimilation (ou déformation) : Ce qui est devient ce qui devrait
être, sur la base d’une attente ou d’un stéréotype.
- Participants blancs : Anticipation que la personne de couleur est
agressive ; le narrative change : le rasoir tenu par la personne blanche
passe au fur à mesure des récits à la main de la personne Noir
- Participants noirs : la couleur de peau est parfois oubliée et il n’y a
aucun changement apporté à l’identité de celui qui tient le rasoir.

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6
Q

Quand est ce qu’on peut également observer une déformation dans l’étude de la rumeur ?

A

On peut même observer cette déformation lorsque les sujets ne peuvent être soupçonnés de sentiments racistes. Il existe un stéréotype culturel inconscient du Noir violent et prêt à se servir d’un rasoir ou de toute autre arme.

Cette rumeur, bien que malfaisante, pourrait n’être que l’assimilation du récit à un cliché verbal et à une anticipation conventionnelle. En ce cas, la déformation ne serait pas le résultat d’une assimilation à des sentiments hostiles

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7
Q

Quel est l’étude de la liste des adjectifs de 1933?

A

Deux groupes d’étudiants blancs de Princeton :

Groupe 1 :
• 10 groupes nationaux et ethniques
• 84 adjectifs àassigner à des groupes (« présent / absent »)

Groupe 2 de 100 étudiants
• Doivent sélectionner 5 adjectifs les plus typiques par groupe

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8
Q

Quels sont les résultats de l’étude de la liste des adjectifs de 1933?

A

Résultats :
Le consensus : Estimation du degré d’accord entre les participants
• On calcule un indice correspondant, pour chaque
groupe-cible, au nombre d’adjectifs minimum pour atteindre 50% d’accord.
• L’indice varie donc de 2,5 (= grand consensus) à 42

• Consensus le plus fort chez pour le groupe de haut-statut proximal
• Mais la différence par rapport au groupe inconnu (Turcs ; 15,9) est assez faible !
• Les jugements sont donc très consensuels et ne semble pas pouvoir être
interprété comme découlant de la connaissance des groupes

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9
Q

Quel différence on constate entre les stéréotypes associé aux américains et aux afro dans l’étude de la liste des adjectifs de 1933 ?

A

Pour les américains (intra groupe) plutôt des traits positifs alors que pour les afro américains c’est plutôt négatif (hors groupe)

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10
Q

Qu’étudie l’étude de la liste des adjectifs de 1933 vs de 1935 ?

A
Etude 1933 (et d’autres) : étude des développements sociologiques de
l’amplitude, l’intensité et la direction des préjugés dans une culture

• Etude 1935 : analyse de « la nature psychologique des stéréotypes raciaux » et des mécanismes de base des préjugés

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11
Q

Quel est l’étude de la liste des adjectifs de 1935 ?

A

Plan expérimental :
Deux groupes d’étudiants effectuent deux tâches différentes
– Groupe 1 : évalue la désirabilité des 84 adjectifs en les appliquant « à leurs amis ». (Ces traits étaient
associé à des groupes nationaux et ethniques dans l’étude de 1933)

– Groupe 2 : ordonne les 10 groupes en fonction de la préférence à l’association avec leurs membres, et ce
dans deux conditions :
a) En fonction d’une consigne qui les incite à faire ce que la société suggère (mesure publique)
b) En fonction de leurs convictions personnelles (mesure privée).

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12
Q

Quels sont les hypo de l’étude de la liste des adjectifs `?

A

Hypothèses :
• Les auteurs s’attendaient à une meilleure évaluation de l’intra-groupe (en pondérant les réponses de l’étude précédente avec l’évaluation des traits),

• et à ce que la consigne privée donne lieu à moins de préjugé que la consigne publique.

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13
Q

Quels sont les résultats de l’étude de la liste des adjectifs de 1935 ?

A
  • Pas de différences notables entre la consigne publique et privée (seul Noirs).
  • Cela suggère que les stéréotypes exprimés par les participants sont authentiques, et que ces participants n’hésitent pas à adhérer, sur le plan personnel, à l’image sociale négative de certains groupes.
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14
Q

Quels conclusions peut on tirer des études de 1933 et 35 sur la liste des objectifs ?

A

• Les participants produisent des stéréotypes puissants de chaque groupe. Ces stéréotypes sont très consensuels. (étude 1933)

• Les participants évaluent fortement les groupes : certains groupes (l’intragroupe et les
groupes « Nordiques ») sont jugés de manière favorable, d’autres (minorités raciales,
groupes méridionaux) sont jugés de manière très défavorable. (études 1933, 1935)

• L’opinion personnelle des participants coïncide dans une large mesure avec ce que ces
mêmes participants attribuent aux croyances sociales. Les participants endossent sans
hésiter les préjugés qu’ils voient à l’oeuvre dans la société. (études 1935)

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15
Q

Quels sont les critiques de la mesure des stéréotypes dans l’étude des adjectifs ?

A

Difficultés avec la mesure de Katz et Braly
• Deux sortes de critiques ont émergé dès les années 1960 :
• Des critiques méthodologiques, adressées à l’instrument dont le caractère « fermé » contribue à faire émerger des stéréotypes exagérément uniformes et consensuels (p. ex., Ehrlich & Rinehart, 1965).

• Des critiques idéologiques, montrant l’inadéquation de cet instrument dans le climat
contemporain de l’opinion, surtout chez les populations étudiantes, où sont désormais menées la plupart des études sur le préjugé (contrairement aux études antérieures, où les échantillons étaient davantage traditionnalistes, conservateurs,
peu éduqués…).

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16
Q

Qu’examinent les auteurs dans le critique de l’idéologie ?

A

Les auteurs examinent :
• L’évolution du contenu des stéréotypes, de 1933 à 1968
• L’évolution de la favorabilité du stéréotype global de chaque groupe
• L’évolution de l’uniformité (ou consensus) des stéréotypes

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17
Q

Évolution du contenu ?

A

On observe une image moins
flatteuse de l’intragroupe entre 1933-35-67 et Une image moins négative, plus relationnelle (items qui sont apparus au fil du temps) et plus pittoresque (e.g., musical) du hors groupe

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18
Q

Evolution de la favorabilité ?

A

Ø Les conflits peuvent avoir un impact sur la favorabilité des stéréotypes (ex: Japonais -> 2ème guerre mondiale)
Ø On décrit l’intra groupe comme moins favorable

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19
Q

Evolution de l’uniformité ?

A

Un contre-balancement des traits négatifs par
des traits positifs justifierait-il le rehaussement
de l’uniformité du stéréotype (essentialiser les
différences afin de maintenir la distinction) ?

20
Q

Etude sur l’évolution des stigma chez les minorité

A

Etude de Clark et Clark (1947) :
• Enfants de 3 à 7 ans, Blancs et Noirs
• Tâche : choisir une poupée parmi quatre poupées, deux blanches et deux noires
• Questions (préférence pour jouer, esthétique, etc.).
• Résultat : le choix quasiment unanime d’une poupée blanche (même chez les enfants noirs ; « ingroup hate »).

Etude répliqué en 1970: Les enfants choisissent en majorité la poupée de même couleur qu’eux

21
Q

Que révèle la réplication de l’étude sur les poupées en 1970 ?

A
  • L’idéologie du « Black is beautiful » : Ces résultats signalent l’émergence d’une fierté groupale qui accompagne, même chez des participants très jeunes.
  • Ce phénomène avertit désormais de l’inadéquation d’une mesure aussi directe du préjugé et du stéréotype
22
Q

Quels sont les pbl avec la mesure des stéréotypes ?

A

§ Pas facile de qualifier le groupe (variation à travers les cultures et le temps) et puis pas de
scores individuels

§ Problème de désirabilité sociale, d’acquiescence

§ Plusieurs chercheurs et chercheuses commencent à remettre en doute « l’authenticité » du phénomène de la réduction des stéréotypes, faisant notamment l’hypothèse que des considérations de désirabilité sociale interviennent de plus en plus dans la formation ou l’expression de stéréotypes.

23
Q

En vu des pbl pour la mesure des stéréotypes des méthodologies plus sophistiquées ont été mise en place, lesquels ?

A

Début de l’imagination des méthodologies plus sophistiquées pour voir si le préjugé s’est niché ailleurs que dans les opinions ouvertes, explicites, des individus :
§ Mesures physiologiques, Bogus Pipeline (Sigal & Page, 1971)
§ Mesures spontanées, automatiques, implicites

24
Q

Bogus Pipeline
• reprenne la procédure de Katz et Braly, en y ajoutant une variante. Les participants jugent « les Américains » et « les Noirs » :
• Condition « classique » : selon la consigne classique.
• Condition « detécteur » : Des électrodes sont installés et ils sont amenés à croire qu’un « détecteur de mensonges » ou « détecteur de réactions physiologiques » va être actif pendant leurs réponses (technique dite du « bogus pipeline »).

Quelles sont les hypos ?

A

• Les participants vont exprimer des jugements plus défavorables (notamment sur les groupes stigmatisés) dans la condition de détecteur de mensonges (cette condition devrait donc inhiber leur tendance au biais de désirabilité sociale).

25
Q

Quels sont les résultats de l’étude de Bogus Pipeline ?

A

Résultats :
Le détecteur de mensonges produit une
énorme différence d’évaluation des deux
groupes.
C’est ce qui a conduit les chercheurs à faire
l’hypothèse que la décroissance du stéréotype
et du préjugé n’est qu’affaire de désirabilité
sociale…

26
Q

Dans l’étude des préjugé subtile on retrouve deux processus distincts lesquel ?

A
  • le système A

- le système B

27
Q

Qu’est ce que le système A ?

A
  • Apparait comme le “bon”
    Les attitudes explicites (ou
    contrôlées) sont tendanciellement égalitaires, du fait de la désirabilité sociale
28
Q

Qu’est ce que le système B ?

A
  • apparait comme “le méchant”
    Les attitudes implicites (ou automatiques) véhiculent encore les stéréotypes sociaux appris et intériorisés au cours de la socialisation ou, en d’autres termes, du conditionnement à associer des sentiments négatifs à certains groupes sociaux
29
Q

Exemple: Qui a dit quoi ?

A

Les erreurs intra-catégorie (BB ou WW) sont bien plus importantes que les erreurs inter-catégorie (i.e., on reconnait si la personne est noire ou Blanche, mais on confond les Noirs entre eux et les Blancs entre eux).

L’éthnie (et dans une autre étude le genre) servent comme catégorie pour le stoquage d’informations

30
Q

Ex: le biais linguistique implicite

On présente 2 images avec des réponses qui vont du concret à l’abstait. On associe l’image soit a un inconnu, soit a un prénom francais soit à un prénom typé.
Qu’est ce que l’on observe ?

A

Lorsque le prénom est typé on donne des caractéristiques abstraite pour les actes négatif et concrète pour les actes positifs (alors que c’est l’inverse qui est observé avec un prénom francais)

31
Q
Le biais linguistique implicit
• Le langage traduit la tendance
d’essentialiser (Wigboldus et al., 2000)
• VI : Participant-es : voient un-e
homme/femme avecun comportement
masculin/féminin.
• VD : Ps doivent décrire le
comportement

Résultats ?

A
Résultats :
Participant-es utilisaient plus de formes
abstraites pour les éléments congruents
avec les stéréotypes ; plus de formes
concrets pour les éléments incongruents
32
Q

Quelles relations entre les deux types de mesures ?

Ouvert/explicite ou subtil/implicite

A

• Les normes sociales «protègent» certains groupes mieux que d’autres, par exemple, « les
Noirs » plus que « les Gitans »
• Les jugements manifestes – explicite (i.e., contrôlés) devraient véhiculer des niveaux de préjugé différents (Gitans > Noirs).
• Mais les jugements implicites (i.e., spontanés) devraient être pareillement saturés de préjugé.

• Hypothèse : Si l’on capte le préjugé envers différents groupes à l’aide de mesures directes
et indirectes, on devrait constater :
• Un lien positif entre les deux types de jugements concernant un groupe qui n’est pas protégé sur le plan normatif
• Aucun lien, ou un lien négatif, concernant un groupe protégé sur le plan normatif (l’individu est donc motivé à inhiber le préjugé au niveau explicite, mais il l’exprimera au niveau implicite).

33
Q

Quel est la dissociation entre l’automatique et le contrôlé ?

A

Automatique -> connaissance

Contrôlé -> croyance personnelle

34
Q

Automatique -> connaissance ?

A

Connaissance :
Tout le monde connaît et partage le
stéréotype. Le stéréotype est activé
automatiquement et sans effort cognitif, à
savoir spontanément et nonintentionnellement
(e.g., en présence d’un membre du groupe-cible). L’origine en est la socialisation, et l’apprentissage d’associations fréquentes.

35
Q

Contrôlé -> croyance personnelle ?

A

Croyance personnelle :
Processus intentionnel, opinion ouverte et
explicite. En général, étant donné le nouveau climat de l’opinion (norme antidiscriminatoire) , il s’agit d’une réponse exprimant un plus faible niveau de préjugé

36
Q

Comment sont activé et transmis les stéréotypes ?

A

• L’étape de l’activation des stéréotypes ne requiert très peu de ressources cognitives
• Les stéréotypes sont transmis par l’apprentissage social, socialisation àactivés fréquemment
• Mais les croyances personnelles peuvent variées (haut vs bas en préjugés)
• Les individus bas en préjugés : vont créer des structures cognitives qui représentent ces croyances (ex en
égalité)

37
Q

Que montre Devine (1989) sur l’application des stéréotypes ?

A

Devine (1989) montre :
• Quel que soit le niveau de préjugé d’une personne, le niveau de connaissance d’un stéréotype est similaire.
• Pour chacun, le stéréotype est activé automatiquement en présence d’un individu du groupe en question. On ne peut pas y échapper.

• L’expression d’une opinion égalitaire requiert l’inhibition (contrôle) du stéréotype activé
automatiquement.

38
Q

Que disent les auteurs sur les préjugés ?

A

• Allport (1954) : Préjugé est la conséquence inévitable de la catégorisation sociale

• Devine (1989) : L’expression du préjugé n’est pas une conséquences automatique mais
peut être contrôlé (connaissance vs acceptation)

• Distinction : Stéréotype (collective-partagé ; connaissance ; automatique) vs attitude
(personnel ; contrôlable)

• Beaucoup de recherches s’intéressent aujourd’hui aux motivations d’appliquer les
stéréotypes (voir cours sur l’approche d’identité sociale)

39
Q

Ouvert ou subtil – aujourd’hui ?

A
  • Des études américaines sur la « pauvreté » (e.g., Cozzarelli et al., 2001) montrent également que les pauvres sont décrits par des traits qui ressemblent à ceux trouvés par Katz et Braly à propos des « Noirs » (voir aussi Kuppens et al., 2018).
  • Il ne faut pas exagérer l’importance du « subtil » par rapport au « ouvert / manifeste ». Une étude de Mellor (2003) par exemple montre que, du point de vue du stigmatisé, les formes les plus ouvertes de préjugé sont encore bien perçues, donc existantes.
40
Q

Comment définir le contenu des stéréotypes ?

A

Problèmes des recherches initiales sur le contenu des stéréotypes (Katz & Braly, 1933):
• Change à travers le temps, les groupes, les cultures, …
• Devient plus favorable et moins uniforme

=> Focus des recherches sur le processus de stéréotypisation

41
Q

Il existe deux dimensions sous-jacentes au contenu des stéréotypes qui sont communes à
tous les groupes, lesquelles ?

A

Chaleur/sociabilité et compétences => dimensions qui sont interdépendantes

42
Q

A quoi renvoi la dimension de chaleur et de sociabilité ?

A
  • Ami(e) ou ennemi(e)?

* Renvoie à la compétitivité : Intentions négatives ou positives?

43
Q

A quoi renvoi la dimension de compétence ?

A
  • Capable ou incapable?

* Renvoie au statut : Capacité de réaliser ses intentions ?

44
Q

Comment sont évalué les HG sur ces dimensions ?

A

Stéréotypes mixtes “ambivalent” => haut sur une dimension et bas sur l’autre

45
Q

Comment est évalué IG sur ces dimensions ?

A

Il est Haut sur les 2 dimensions

46
Q

Comment sont évalué les HG les plus stigmatisé sur ces 2 dimensions ?

A

Bas sur les 2 dimensions

47
Q

Résumé de la mesure des stéréotypes

A

• La mesure des stéréotypes a évolué suite a des critiques méthodologiques, idéologiques
et un changements des normes sociales (norme antidiscriminatoire).

  • Aujourd’hui : mesures implicites et explicites – les deux ont leur valeurs.
  • Deux (chaleur vs compétence) – voire trois dimensions (moralité) constituent les stéréotypes et c’est plutôt le statut que la nature des groupes qui détermine leur contenu.

• Modèle de contenu des stéréotypes : Les groupes sont souvent décrits par des
stéréotypes mixtes (chaleur vs compétence) qui ont une fonctionnalité (voir cours 7).