Module 4: attitude Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la mémoire à long terme ?

A

Celle à laquelle on réfère lorsqu’on parle de mémoire elle est illimitée.

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Q

Qu’est-ce que l’encodage?

A

C’est le processus de mise en mémoire

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Q

Quels sont les 3 types de mémoire

A
  • La mémoire procédurales
  • La mémoire sémantique
  • La mémoire épisodique
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Q

Qu’est-ce que la mémoire procédurales ?

A
  • C’est la mémoire des savoir-faire.
  • Elle réalise des opérations motrices.
  • Stocke des mouvements complexes ou des séquences de mouvements.

Ex. faire du vélo, jouer du piano, marcher, parler, attacher ses souliers

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Q

Qu’est-ce que la mémoire sémantique ?

A
  • Mémoire des savoirs, des connaissances, et culture générale
  • Concepts, des notions, des symboles et des significations.
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6
Q

Qu’est-ce que la mémoire épisodique?

A
  • Mémoire des événements passées, des noms, des lieux, des dates
  • Propres à notre histoire personnelle.

Ex. première journée d’école, dernière fois dans un bar

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7
Q

Quelle activité requiert les trois types de mémoire?

A

Jouer au tennis.
Mémoire procédurale : savoir jouer au tennis
Mémoire sémantique : connaître les règles du jeu
Mémoire épisodique : se rappeler qui a fait le dernier service

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8
Q

La mémoire a-t-elle la faculté d’oublier?

A

Non. La mémoire n’oublie pas et ne perds pas l’informations qui y ai stocké. Elle reste dans notre mémoire à long terme (tout le temps).

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9
Q

Qu’est-ce que le phénomène de l’oubli alors?

A

C’est une difficulté à réactiver l’information plutôt qu’une détérioration ou l’effacement d’une information.

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10
Q

Qu’est-ce que le phénomène du bout de la langue?

A

Ça exprime la difficulté à ramener en mémoire des éléments qui se trouve loin.

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11
Q

Qu’est-ce qu’une interférence?

A

C’est l’effet d’un apprentissage sur une nouvelle information.

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12
Q

Quelles sont les deux types d’interférences?

A
  • L’interférence rétroactive

- L’interférence pré-active

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13
Q

Qu’est-ce que l’interférence rétroactive?

A

-Les nouvelles informations viennent s’empiler sur les vieilles et rend difficile la récupération des vieilles informations.

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14
Q

Qu’est-ce que l’interférence pré-active ?

A

Les anciennes informations vont venir nuire à l’apprentissage du nouveau matériel.

Ex. apprendre son nouveau numéro de téléphone, au début il n’y a que l’ancien qui nous vient à l’esprit et après plusieurs mois on l’a appris.

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15
Q

Qu’est-ce que la surcharge informationnelle?

A

L’exposition à une charge élevée d’information, de textes, de courriels, de publicité.

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16
Q

Quels sont les principaux facteurs qui explique la surcharge informationnelle?

A
  • L’accroissement de la production industrielle et commerciale (supermarchés 12000 produits tous accompagné de publicité)
  • L’augmentation du nombre d’annonceurs (avant 560 publicités, maintenant 3000 par jours)
  • Explosion du nombre de canaux d’information (86 bulletins de nouvelles, milliard de pages web)
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17
Q

Qu’est-ce que la fatigue informationnelle?

A

Un phénomène qui explique le sentiment de surcharge.

On réclame le droit à la non-information par fatigue.

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18
Q

Qu’est-ce que l’homéostasie informationnelle ?

A
  • Capacité de notre cerveau à traiter l’information.
  • Notre cerveau va s’ouvrir et se fermer aux nouvelles informations qui lui parvient
  • Va traiter seulement ce qu’il peut.
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19
Q

Qu’est-ce que l’homéostasie physiologique ?

A

Ensemble des mécanisme biologiques qui vont réguler les différentes fonctions du corps.

Ex. la sueur quand on a chaud, grelotte quand on a froid.

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20
Q

À combien de litres d’informations on est exposé par années?

A

26 millions de litres, soit 50 fois plus que ce qu’on peut traiter.

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21
Q

Qu’est-ce que le pattern recognition (processus de comparaison)?

A
  1. Stumuli entre en mémoire sensorielle
  2. Le stimuli est comparé avec l’information qu’on a dans la mémoire à long terme en fonction du contexte
  3. S’ils sont reconnus et considéré comme neutres, ils ressortent instantanément
  4. S’il n’est pas reconnu, le stimuli va être porté à la conscience et on va y porter attention
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22
Q

Quel est le but du processus de comparaison?

A

C’est d’identifier la nature d’un stimuli sensoriel, il peut être de 3 natures (neutre, positif, négatif).

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23
Q

Qu’est-ce qu’un stimuli inconnu?

A

C’est un stimuli qui n’est pas prévu dans le contexte.

24
Q

Qu’est-ce que la tension?

A

C’est le processus conscient lorsque le stimulus atteint le siège de la conscience (mémoire à court terme).

25
Q

Quelles sont les propriétés fondamentales de l’attention?

A
  • L’intensité (vigilance)
  • La distribution
  • La sélectivité
26
Q

Qu’est-ce que l’intensité (vigilance) ?

A
  • On peut être plus ou moins attentif à un stimulus.
  • C’est l’énergie cognitive
  • Intimement lié au niveau de vigilance car l’activation de notre niveau d’activation physiologiques détermine une grande partie de nos capacités attentionnelles.
27
Q

Qu’est-ce que la distribution?

A

C’est la manière dont on distribue l’attention dépendamment d’un contexte et du niveau d’intensité.

28
Q

Quels sont les trois types de distribution de l’attention ?

A
  • Attention concentré/focalisée
  • Attention diffuse
  • Attention divisée
29
Q

Qu’est-ce que l’attention concentrés/focalisée?

A

C’est lorsqu’on se focalise sur un stimulus en particulier

30
Q

Quel est le problème de l’attentions focalisée/concentré?

A

On risque de perdre des éléments périphériques.

31
Q

Qu’est-ce que l’attention diffuse?

A

C’est une attention qui permet d’avoir une vision plus périphérique d’un environnement. Ça nous permet d’avoir un portrait global.

32
Q

Qu’est-ce que l’attention divisée?

A

C’est quand on divise notre attention sur deux stimulus différents. Ex. écouter la radio en même temps de lire une pancarte routière

33
Q

Qu’est-ce que la sélectivité ou l’effet cocktail?

A

Propriété qui va nous permettre dans un endroit remplit de stimuli de concentrer notre attention sur une conversation.

Ex. Lorsqu’on est dans un endroit (party) où on est bombardé de stimuli (bruit) on va sélectionner certaines informations et notre système nerveux central va nous alerter dès qu’il y a une expression familière (votre nom).

34
Q

Qu’est-ce que l’attention?

A

Processus conscient et sélectif de la perception d’un stimulus. On sélectionne les stimuli en fonction de la pertinence pour nous.

35
Q

Quelles sont les deux principales procédures expérimentales de l’attention auditive?

A
  1. Split span (attention divisée)

2. Double masquage

36
Q

Qu’est-ce que le split span?

A

On présente dans chaque oreille des pairs de chiffres en même temps. Ensuite, on demande aux gens de dire les chiffres et ils se rappellent les chiffres seulement par oreille. Donc, chaque oreille est un canal d’information.

37
Q

Qu’est-ce que le double masquage?

A

On présente deux messages en même temps dans chaque oreille et on leur dit de se concentrer sur une seule oreille. Ensuite, on leur demande de dire ce qu’ils se rappellent avoir entendu dans l’autre oreille ce qui laisse croire à la théorie du filtre.

38
Q

Qu’est-ce que la théorie du filtre?

A

On constate que le cerveau laisse filtrer certains paramètres de l’information dont on ne porte pas attention. Même si dans le test du double masquage, les gens ne se souvenait pas du message 2, ils pouvaient quand même rappeler certaines caractéristiques. Ex. le ton doux/fort, la voix femme/homme.

39
Q

Quelle est la limite de la théorie du filtre?

A

La théorie du filtre n’est pas véridict car quand le message à traité ne fait pas de sens, le cerveau va outre passer cette règle (attention concentrée) et va chercher à reconstituer le sens.
Ex. lecture texte en jaune. Si la théorie avait été vrai, on aurait lu exactement ce qui était écrit en jaune, mais ce n’est pas ce que le cerveau a fait.

40
Q

Vrai faux. L’analyse physique facilite la sélection de l’information, mais elle s’accompagne d’une étude plus approfondie de la signification des stimuli.

A

Vrai.

41
Q

Qu’est-ce que l’encodage sémantique ?

A
  • L’encodage en mémoire à long terme (MTL) se fait plus souvent de façon sémantique
  • On encode la signification générale de l’information plutôt que les détails spécifiques.

Exemple de la pièce : Lorsqu’on demande aux gens de trouver la pièce exacte d’un sou, les gens n’y arrive pas car ils n’ont pas appris les détails de la pièce, mais plutôt leur forme et allure générale.

42
Q

Qu’est-ce que le paradigmes de la mémoire sur les faux souvenirs?

A
  • Mémoire basée sur un processus de reconstructions des souvenirs
  • On a tendance à reconstruire certains souvenirs sur la base d’informations suggérés par d’autres personnes

Exemple de la première journée d’école : La plupart d’entre nous avons de la difficultés a se souvenir de notre première journée. Nous utilisons les informations que nous donnes nos proches (parents, amis) ou des photos pour reconstituer notre souvenir.

43
Q

Vrai ou faux. Il arrive que notre reconstitution de souvenir ne soit pas véridique.

A

Vrai. Il arrive que notre reconstitution de souvenir ne soit pas véridique et qu’elles aient été volontairement ou non déformés. Cela induit de faux souvenirs.

44
Q

Quels sont les deux paradigmes de la mémoire des faux souvenirs?

A
  1. Le paradigme de la désinformation

2. Le paradigme des faux souvenirs enrichis

45
Q

Qu’est-ce que le paradigme de la désinformation?

A
  • Lorsque des gens sont exposés à une fausse information à propos d’une expérience vécues.
  • Cet élément erroné vient parfois modifier le souvenir de l’expérience.

Exemple du portrait-robot : On présente une photo d’un homme a des gens pendant 30 sec. Ensuite, on divise le groupe en deux et l’un deux reçoivent une description de la photo avec une erreur. Ensuite, quand on demande aux gens de décrire la photo qu’ils ont vu, 30% font l’erreur qu’ils ont vu dans la désinformation et 5% décrivent la photo exactement.

46
Q

Quel constat on a fait suite à l’exemple du portrait robot?6

A

Le souvenir suggéré dans la condition de désinformation a influencé plusieurs dans la reconstitution des souvenirs à partir d’une fausse information.

47
Q

Qu’est-ce que le paradigme des faux souvenirs enrichis?

A
  • Cela consiste à recueillir auprès des familles des sujets, le récit d’un événement véridique qui s’est réellement produit dans l’enfance et d’y ajouter un événement inventé.
  • On raconte ensuite l’histoire enrichie aux sujets.

Exemple du centre d’achat : On fait croire aux sujets qu’ils se sont perdu dans un centre d’achat durant un voyage d’été et qu’ils ont été secourus. On leur dit que l’événement est corroboré par la famille ce qui est faux, la famille n’a fourni que les détails véridiques sur le voyage. Plusieurs mois plus tard on demande aux sujets de raconter leur voyage et 25% d’entre eux mentionne l’incident du centre d’Achat alors que ce n’est pas arrivé.

48
Q

Il y a-t-il une conséquence des faux souvenirs sur le comportement ?

A

Oui. La mémoire est vulnérable et malléable. Parfois, les faux souvenirs vont influencer certains comportements.

Exemple empoisonnement œuf : On fait croire a des gens qu’ils ont déjà été empoisonné alimentaire causé par l’indigestion d’œufs quand ils étaient jeunes (faux événement). Plus tard dans un questionnaire on demande aux gens s’ils voudraient manger des œufs a la prochaine rencontre. La plupart déclarent ne pas vouloir manger d’œufs.

Exemple des asperges : On convainc les étudiants qu’ils adoraient les asperges plus jeunes contrairement a ce qu’ils avaient prétendu au départ, finalement l’expérience leur a donné le goût de manger des asperges, d’en manger plus souvent et de les payer plus cher.

49
Q

Est-ce que les faux souvenir ont des effets à long terme?

A

Oui. Les faux souvenir ont des effets à long terme, car le comportement se maintient même si le stratège est révélé.

50
Q

Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles est/sont vraie(s) à propos de la mémoire à long terme (MLT)?

A.Plus les informations sont organisées en fonction de leur signification, meilleur est l’encodage en MLT.
B.Les travaux sur la persistance des faux souvenirs soutiennent que l’information erronée suggérée aux participant.e.s des études n’est plus intégrée à leurs souvenirs une fois le stratagème révélé.
C.La mémoire est basée sur un processus de reconstruction des souvenirs.
D.L’oubli serait causé par une détérioration des informations en MLT et donc une perte de souvenirs impossible à récupérer.

A

A.Plus les informations sont organisées en fonction de leur signification, meilleur est l’encodage en MLT.

C.La mémoire est basée sur un processus de reconstruction des souvenirs.

51
Q

Que fait le processus de pattern recognition (reconnaissance des structures physiques)? Cochez la ou les réponse.s appropriée.s.

A.Il filtre les stimuli provenant de la mémoire à court terme (MCT) en transférant ceux qui sont connus jusqu’à la mémoire à long terme (MLT).
B.Il agit à un niveau pré-attentionnel en comparant tous les stimuli parvenant à la mémoire sensorielle avec les informations déjà stockées en MLT.
C.Il permet à l’humain de s’adapter face à des stimuli inconnus en les amenant à la conscience (MCT).
D.Il porte à la conscience (MCT) les stimuli connus positifs et négatifs.

A

B.Il agit à un niveau pré-attentionnel en comparant tous les stimuli parvenant à la mémoire sensorielle avec les informations déjà stockées en MLT.
C.Il permet à l’humain de s’adapter face à des stimuli inconnus en les amenant à la conscience (MCT).
D.Il porte à la conscience (MCT) les stimuli connus positifs et négatifs.

52
Q

Associez les propositions suivantes avec le type de mémoire principal auquel elles sont associées.

  1. Se rappeler du nom de son premier amoureux.
  2. Confectionner ses propres vêtements.
  3. Planifier un weekend de ski la semaine prochaine.
  4. Jouer à un jeu de connaissances générales.
  5. Pouvoir reproduire fidèlement, avec tous les détails, le dessin d’un paysage regardé pendant quelques minutes.
A

1.Se rappeler du nom de son premier amoureux.
Mémoire épisodique

2.Confectionner ses propres vêtements.
Mémoire procédurale

3.Planifier un weekend de ski la semaine prochaine.
Mémoire épisodique

4.Jouer à un jeu de connaissances générales.
Mémoire sémantique

5.Pouvoir reproduire fidèlement, avec tous les détails, le dessin d’un paysage regardé pendant quelques minutes.
Mémoire photographique

53
Q

À quel type d’interférence correspond la situation suivante? Camille est en troisième année du baccalauréat en communication publique. Elle a de la difficulté à se souvenir de la matière d’un cours suivi lors de sa première session universitaire.

A

Interférence rétroactive

54
Q

Lorsque l’on dit de l’attention qu’elle peut être concentrée (focalisée) et inversement diffuse, on fait référence à sa :

A

Distribution

55
Q

Vrai ou faux? Dans la procédure d’écoute dichotomique de double-masquage, l’attention focalisée sur un canal (ex.: message distribué dans l’oreille gauche) empêche complètement d’enregistrer l’information provenant d’un autre canal (ex.: message simultanément distribué dans l’oreille droite), y incluant les caractéristiques superficielles (ex.: ton de la voix) du canal masqué.

A

Faux.