TROUBLE DÉPRESSIF MAJEUR Flashcards

1
Q
  • Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
  • L’insomnie prend typiquement la forme d’une insomnie de milieu de nuit (c.-à-d. un réveil au milieu de la nuit et des difficultés à retrouver le sommeil) ou d’une insomnie terminale (c.-à-d. un réveil précoce et une difficulté à se rendormir). Il peut également s’agir d’une insomnie initiale (c.-à-d. une difficulté d’endormissement).
  • Les individus présentant une hypersomnie peuvent avoir des épisodes de sommeil prolongé pendant la nuit ou une somnolence diurne.
A

V: PHYSIQUE/COMPORTEMENTAL
C: PERTURBATION DU SOMMEIL

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2
Q

• Diminution ou augmentation de l’appétit (hyperphagie) presque tous les jours.
Certains sujets déprimés signalent qu’ils doivent se forcer pour manger. D’autres mangent davantage et sont attirés par certains aliments (p. ex. les sucreries ou autres hydrates de carbone).
• Absence de gain de poids attendu à cet âge.
• Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime (p. ex. modification du poids corporel excédant 5% en un mois).

A

V: PHYSIQUE/COMPORTEMENTAL
C: MODIFICATION DE L’APPÉTIT ET/OU DU POIDS CORPOREL

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3
Q
  • Agitation (fébrilité, ou p.ex. l’incapacité à rester tranquille, aller de gauche à droite, se frotter les mains, tirer ou frotter la peau, les vêtements ou d’autres objets)
  • Ou ralentissement psychomoteur (p. ex. ralentissement des mouvements corporels, p. ex. la toilette et l’habillage matinaux lui prennent plus de temps) presque tous les jours. L’altération peut devenir catatonique. Posture voûtée.
A

V: PHYSIQUE/COMPORTEMENTAL
C: MODIFICATIONS PSYCHOMOTRICES

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4
Q
  • Les personnes déprimées présentent fréquemment des plaintes douloureuses (p. ex. céphalées, douleurs articulaires, abdominales ou autres).
  • Dyspepsie (digestion douloureuse et difficile, survenant sans lésion organique, après les repas).
A

V: PHYSIQUE/COMPORTEMENTAL
C: SYMPTÔMES SOMATIQUES

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5
Q
  • Fatigue, lassitude ou perte d’énergie presque tous les jours.
  • Signale une fatigue marquée sans rapport avec des exercices physiques. Un individu peut se plaindre que la toilette et l’habillage matinaux sont épuisants.
A

V: PHYSIQUE/COMPORTEMENTAL
C: ASTHÉNIE

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6
Q
  • Il peut négliger sa tenue vestimentaire, son apparence ou son hygiène.
  • Il ne prend plus soin de lui-même. Laisse le désordre s’installer autour de lui.
A

V: PHYSIQUE COMPORTEMENTAL
C: NÉGLIGENCE

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7
Q
  • Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer presque tous les jours.
  • Peuvent être aisément distrait.es. Des actions comme se concentrer sur une tâche, lire le journal ou suivre une conversation peuvent s’avérer impossibles pour des clients dépressifs.
A

V: INTELLECTUEL
C: DIFFICULTÉS DE CONCENTRATION

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8
Q
  • Incapacité à s’organiser, à commencer ou à terminer une tâche.
  • Peuvent se plaindre de difficultés de mémoire.
  • Chez les sujets âgés, les troubles de la mémoire peuvent être la plainte principale et ne doivent pas être confondus avec des signes d’entrée dans la démence.
A

V: INTELLECTUEL
C: PERTURBATIONS DES FONCTIONS EXÉCUTIVES

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9
Q
  • Ralentissement de la pensée. Indécision presque tous les jours. Diminution de l’aptitude à penser.
  • Altération de la capacité à prendre des décisions même mineures, comme l’habillement le matin ou les achats à l’épicerie.
A

V: INTELLECTUEL
C: PERTURBATION DE LA PENSÉE

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10
Q
  • Peut s’exprimer par des ruminations sur des erreurs passées mineures.
  • Les sujets interprètent fréquemment à tort des évènements neutres ou triviaux comme la preuve d’une déficience personnelle.
  • Les sujets ont un sentiment exagéré de responsabilité par rapport à des événements fâcheux.
A

V: INTELLECTUEL
C: ERREURS COGNITIVES

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11
Q
  • Sentiment de culpabilité excessive et délirante (p. ex., une personne peut être convaincue qu’elle est personnellement responsable de la pauvreté dans le monde, qu’elle est la criminelle dont les journalistes parlent à la télévision).
  • Idées délirantes (p. ex., croit qu’il est recherché par la police, qu’il va être jugé et condamné, que les médecins de l’hôpital sont des gardiens de prison déguisés, il est surveillé par des espions, il est impliqué dans un complot, se croit malade ou déjà mort)
  • Hallucinations (auditives sont particulièrement fréquentes)
A

V: INTELLECTUEL
C: SYMPTÔMES PSYCHOTIQUES

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12
Q
  • Déni. La tristesse peut être déniée initialement. Certains patients mettent en avant des plaintes somatiques plutôt que des sentiments de tristesse.
  • Le fonctionnement peut apparaître normal, mais au prix d’efforts accrus.
A

V: INTELLECTUEL
C: UTILISATION DE MÉCANISMES DE DÉFENSE

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13
Q
  • Ralentissement du discours, augmentation des délais de réponse, diminution du volume, diminution de l’inflexion, diminution de la quantité et de la variété du contenu du discours.
  • Il répond lentement aux questions.
  • Mutisme
A

V: INTELLECTUEL
C: DISCOURS DÉSORGANISÉ ET/OU ALOGIE

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14
Q
  • L’humeur peut être irritable (ou «grincheuse») plutôt que triste/découragée. Tendance à s’opposer et à se plaindre de douleurs et d’affections somatiques sans fondement. • Se sent triste, déprimé, vide, insensible, sans espoir, sans courage, «au trente-sixième dessous». Être sur le point de pleurer, tendance à pleurer.
  • Déprime quasiment toute la journée, presque tous les jours.
  • Irritabilité accrue (p. ex. colère persistante, tendance à répondre aux événements avec des explosions de colère, tendance à blâmer les autres, sentiments de frustration démesurés à propos de problèmes mineurs). Souvent plus importante le matin.
  • Se plaint d’être anxieux.
A

V: AFFECTIF
C: HUMEUR DÉPRESSIVE/IRRITABLE

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15
Q

• Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours.
Certains signalent que leurs loisirs «ne leur disent plus rien» ou n’éprouvent plus aucun plaisir pour des activités qu’ils considéraient comme sources de plaisir antérieurement (p. ex. un joueur fanatique de golf antérieurement qui cesse de jouer, un enfant qui avait l’habitude de prendre plaisir à jouer au football trouve des excuses pour ne plus le pratiquer). Déconnexion ou incapacité à ressentir des émotions. Les objets paraissent inutiles, les événements insignifiants.
• Se plaint de ne rien ressentir.

A

V: AFFECTIF
C: PERTE D’INTÉRÊT/ANHÉDONIE

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16
Q
  • Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité presque tous les jours. Peut s’exprimer par une évaluation négative irréaliste qu’a la personne de sa propre valeur. • Diminution excessive de l’estime de soi. Sentiments d’impuissance. Il se sent indigne, incapable, idiot, mis en échec.
  • Ses réalisations lui semblent lui paraissent dérisoires.
A

V: AFFECTIF
C: FAIBLE ESTIME DE SOI

17
Q
  • Enfants = peuvent présenter une anxiété de séparation.
  • Les personnes déprimées présentent fréquemment des ruminations obsédantes, une anxiété, des phobies, une inquiétude excessive à propos de leur santé physique.
A

V: AFFECTIF
C: ANXIÉTÉ

18
Q

Diminution significative de la libido

A

V: AFFECTIF
C: DIMINUTION DE L’INTÉRÊT POUR LA SEXUALITÉ

19
Q
  • Les idées de mort, l’idéation suicidaire ou les tentatives de suicide sont fréquentes. Ces idées vont d’un souhait passif de ne pas réveiller le matin, ou de la croyance que les autres seraient mieux si l’on était mort, aux idées de suicide transitoires, mais récurrentes, à de véritables plans spécifiques sur la façon de se suicider. Les personnes les plus gravement suicidaires peuvent avoir mis leurs affaires en ordre (p. ex rédiger leur testament, réglé leurs dettes), s’être procuré de quoi commettre l’acte suicidaire (p. ex. une corde ou une arme) et avoir identifié le lieu et le moment où elles commettront leur suicide.
  • Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir) sans plan précis.
  • Tentatives de suicide ou plan précis pour se suicider.
  • Motivations pour se suicider : désir d’abandonner devant des obstacles considérés comme insurmontables ou un souhait intense de mettre fin à un état émotionnel atrocement douloureux perçu par la personne comme ne pouvant avoir de fin, une incapacité à anticiper un quelconque plaisir dans la vie, ou le souhait de ne pas être un poids pour les autres.
A

V: AFFECTIF
C: DÉTRESSE

20
Q
  • Anesthésie affective. Affects émoussés ou plats.

* N’éprouve plus d’émotion : ni amour, ni humour, ni colère, ni peur.

A

V: AFFECTIF
C: PERTURBATION DE L’EXPRESSION ÉMOTIONNELLE

21
Q
  • Les membres de la famille notent souvent un retrait social. Le client peut se retirer de sa famille et éviter les interactions sociales.
  • Ne répond plus au téléphone.
A

V: SOCIAL
C: ISOLEMENT

22
Q
  • Évite le contact visuel

* Détresse conjugale

A

V: SOCIAL
C: PERTURBATION RELATIONNELLE

23
Q
  • Chute rapide de notes.
  • L’efficience dans l’accomplissement de tâches peut être perturbée.
  • Ceux qui ont des activités nécessitant un bon fonctionnement cognitif sont souvent incapables de travailler.
A

V: SOCIAL
C: PERTURBATION PROFESSIONNELLE