200.10 Flashcards

1
Q

Q1 - Donner la définition du départ normal

A

Commandé par un sapeur-pompier appelé « chef de garde », indifféremment à bord d’un engin-pompe (EP) ou d’un véhicule de liaison radio (VLR), titulaire des qualifications requises à l’exercice de cette fonction. En l’absence, un officier de garde compagnie (OGC) est sélectionné et le commande.
Le départ normal est gabarisé pour répondre à en feu de 70m2 située en étage accessible par les MEA et restant dans son volume.
Il est constitué de —> 2 EP + 1 MEA + VO (Commander par un chef de garde)

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2
Q

Q2 - Quelles sont les missions des EP

A
  • Réaliser les sauvetages
  • Combattre les feux
  • Secourir les victimes
  • Effectuer les opération diverses
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3
Q

Q3 - Armement d’un engin pompe

A
  • Citerne d’eau
  • Matériels de sauvetage et d’exploration
  • Lances
  • LDT
  • Pompe
  • Deux dévidoirs mobiles
  • Tuyaux de différents diamètres
  • Réserve d’émulseur
  • Moyen mouillant / moussant (sur certain EP) * Matériels SUAP
  • Matériels Divers
  • Ligne d’attaque
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4
Q

Q4 - Quelles sont les missions des MEA

A
  • Réaliser les sauvetages et mise en sécurité
  • Faciliter les reconnaissances
  • Participer aux missions de ventilation
  • Effectuer les opérations diverses
  • Etablir des lances
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5
Q

Q5 -De quoi doit se munir le Chef d’Agrès pour effectuer un sauvetage ?

A

Dès lors qu’il doit s’engager pour réaliser un sauvetage, le chef d’agrès du MEA doit se munir du harnais du LSPCC avant d’aborder la victime.

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6
Q

Q6 – Armement d’un MEA

A

2 lances de 500L/min
Tuyaux
ARI + cagoule d’évacuation
LSPCC 60m
Module de ventilateurs électriques opérationnels (DOP, porte-voix…)
Matériels divers
Support brancard pour EPAN

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7
Q

Q6 - Armement d’un Camion d’accompagnement

A
  • Lance canon à eau/mousse
  • 6 tuyaux 110 mm x 40 m roulés sur eux mêmes
  • 2 x 1600 m de tuyaux de 110 mm pliées en écheveaux
  • 2 divisions 100/100 X 2 x 50
  • 90 obturateurs
  • 2 raccords 100 x 100 avec prise mâle x 50 mm raccord d’injection de produit
    « émulseur - mouillant »
  • 8DFT
  • Chariot de transport DFT
  • 2 tenues d’approche
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8
Q

Q7 - Quand à lieux la vérification du matériel

A
  • Tous les matins à la prise de garde à l’issue du rassemblement
  • Dans la journée à chaque changement de piquet d’incendie notamment pour vérifier l’état de l’ARI et de l’appareil de protection respiratoire filtrant
  • Après une phase de réarmement et/ou au retour d’une intervention importante. Il s’agit alors d’effectuer le remplacement la remise en condition et le nettoyage du matériels
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9
Q

Q8 - Quel est l’engagement tactique du MEA sur feu

A
  • Se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages
  • Laisser la place à la mise en oeuvre d’un second MEA
  • S’engager conformément au principe de la manœuvre et au règle de sécurité associé au types MEA
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10
Q

Q9 - Quels sont les devoirs généraux du chefs d’agrès MEA

A
  • Transmettre un message de présentation et afficher le canal tactique
  • Faire developper son agrès sur ordre du COS ou à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou mise en sécurité
  • S’équiper de l’ARI et se munir de la cagoule d’évacuation
  • Positionner son ventilateur conformément au BSP 200.14
  • Rendre compte au COS
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11
Q

Q10 - Quels sont les devoirs généraux de l’échelier

A
  • Revêtir les EPI et le GHV
  • Stabiliser l’agrès une fois la mission donnée
  • Procéder au balisage de l’engin
  • Rejoindre le poste de commande principal afin d’être en mesure de développer l’agrès ; à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou de mise en sécurité ; sur ordre
  • Recenser les matériels divers donnés aux équipages en cours d’intervention
  • Positionner les DFT
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12
Q

Q11 - Quels sont les devoirs généraux de l’équipes

A
  • Réaliser les missions ordonnées par leur chef d’agrès
  • Rendre compte de l’exécution de leurs missions et/ou des difficultés rencontrés
  • Prévoir un itinéraire de repli pour toutes missions entreprises
  • Se tenir obligatoirement, à la disposition de leur chef d’agrès dans leur engin d’affectation s’ils n’ont pas reçu de missions
  • Le deuxième servant recueille les renseignements nécessaires à l’établissement du rapport d’intervention
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13
Q

Q12 - l’engagement tactique du 1er EP ?

A
  • Dépasser largement l’entrée de l’immeuble et si possible l’adresse de l’intervention
  • S’alimenter systématiquement sur l’hydrant le plus proche
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre
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14
Q

Q13 - l’engagement tactique du 2ème EP ?

A
  • S’assurer de la présence effective du 1er engin-pompe à l’adresse de l’intervention
  • Transmettre un message de présentation (status et phonie) et afficher un canal tactique
  • S’alimenter systématiquement à l’hydrant le plus approprié à la manœuvre
  • Veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels moyens de renforcement (MEA…)
  • S’engager conformément aux principes de la manœuvre
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15
Q

Q14 - Quelles sont les différentes couleurs de PI

A
  • Rouge (60 m3/h à 1 bar)
  • Jaune (Poteau relié à un réseau surpressé)
  • Vert (borne de puisage non utilisable par les sapeurs pompiers)
  • Bleu (Poteau d’aspiration)
  • Rouge et jaune (120 m3/h à 1 bar)
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16
Q

Q15 - Que doit on vérifier lors d’une tournée BI/PI

A
  • Le débit au moins une fois par an
  • La pression de l’hydrant trimestriellement
  • Le bon fonctionnement de l’hydrant
  • La présence et le dégagement de l’hydrant
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17
Q

Q16 - En quoi consiste la reconnaissance opérationnelle des citernes incendie ?

A

La reconnaissance opérationnelle des citernes incendie consiste à vérifier une fois par an :
► l’accessibilité
► la signalisation
► le volume d’eau disponible
► l’état des raccords d’alimentation

18
Q

En quoi consiste la reconnaissance opérationnelle des aires d’aspiration

A

La reconnaissance opérationnelle des aires d’aspiration publiques et privées sans dispositif d’aspiration consiste à vérifier une fois par an :
► l’accessibilité
► la signalisation
► la présence d’eau
► la hauteur d’aspiration La mise en œuvre d’un engin de lutte contre l’incendie n’est pas obligatoire. Elle peut cependant être réalisée dans le cadre de la formation permanente.

19
Q

En quoi consiste la reconnaissance opérationnelle des aires d’aspiration publiques et privées avec dispositifs d’aspiration ?

A

Les aires d’aspiration équipées d’un dispositif d’aspiration font l’objet d’une mise en œuvre annuelle afin de contrôler la disponibilité du dispositif. La mise en œuvre est effectuée par le centre de secours territorialement compétent. Si le PEI est privé, la manœuvre s’effectue après accord du propriétaire. Cette reconnaissance vaut contrôle technique fonctionnel obligatoire. Le propriétaire du PEI assure l’entretien des crépines installées sur le dispositif d’aspiration.

20
Q

Inscription obligatoire BI

A

Les inscriptions obligatoires sont :
► bouche incendie
► Ø de la conduite maîtresse
► numéro du PEI (avec notion de privé le cas échéant)

21
Q

inscription obligatoire poteau BI

A

Les inscriptions obligatoires sont :
► bouche incendie
► Ø de la conduite maîtresse
► numéro du PEI (avec notion de privé le cas échéant)

22
Q

plaque murale BI

A

Les inscriptions obligatoires sont :
► bouche incendie
► Ø de la conduite maîtresse
► numéro du PEI (avec notion de privé le cas échéant)
► distances latérale et en ordonnée

23
Q

signalisation aire aspiration

A

Les aires d’aspiration sont signalées au moyen d’un panneau apposé à proximité immédiate de l’aménagement prévu pour la mise en station du ou des engins-pompe. Cette signalisation est complétée par un panneau de signalisation routière « arrêt et stationnement interdit ».

24
Q

signalisation citerne

A

Les citernes sont signalées au moyen d’un panneau apposé à proximité immédiate de l’aménagement prévu pour la mise en station du ou des engins-pompe. Cette signalisation est complétée par un panneau de signalisation routière « arrêt et stationnement interdit ».

25
Q

Quels sont les différents barrages de gaz

A
  • OCG (sur trottoir ou façade)
  • Robinet de pied de colonne montante
  • Robinet de branchement particulier `
  • Robinet de compteur
26
Q

Quels sont les points clés pour barrer le gaz

A
  • Un quart de tour dans le sens des aiguilles d’une montre
  • Ne pas forcer sur un barrage
  • Ne jamais revenir en arrière
  • Apres ouverture d’un barrage de gaz sous trottoir, refermer le couvercle
27
Q

Où trouver les coffrets de coupure rapide

A
  • En façade
  • Dans les halles d’entrée
  • Dans les sous sols exceptionnellement
    Compte tenu de l’apparition de nouvelles sources d’énergie électrique, de l’évolution et des modifications des réseaux existants, ces dispositifs ne sont plus installés depuis 2004, EDF n’étant pas en mesure de pouvoir garantir la mise hors tension d’un immeuble par la seule manœuvre du CCR.
28
Q

Quels sont les différents types de métro

A
  • Métro fer
  • Métro pneu
29
Q

comment poser un court-circuiteur ?

A

Avant toute intervention :
* retirer le ceinturon ainsi que tout objet métallique
* baisser l’écran facial du casque
* poser la partie inférieure du court-circuiteur sur le rail de roulement (dit « négatif »).
* ne pas se positionner dans l’axe du courtcircuiteur
* approcher la partie supérieure du rail conducteur (dit « positif ») et tourner la tête à l’opposé
* plaquer fermement le court-circuiteur sur le rail conducteur sans le lâcher, la tête toujours tournée à l’opposé

30
Q

Où ne faut il pas poser les court-circuiteurs ?

A
  • Sur le coupons de protection
  • Sur les barres de guidage côté quai
  • Sur les plans inclinés situés aux extrémités des rails de traction
31
Q

Qu’est-ce qu’un GOLDORAK ?

A

Utilisé uniquement par les agents de la RATP, cet appareil n’est pas un court- circuiteur mais un détecteur d’absence de tension.

32
Q

Citez les règles d’établissement des tuyaux

A

► faire une grande réserve en boucle au point
d’attaque ou à la division pour les gros tuyaux et au
point d’attaque pour les petits tuyaux
► dérouler le premier tuyau et successivement tous les
autres en serrant le plus près possible la bordure
du trottoir ou du mur
► éviter de couper les rues, si cela est indispensable,
disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de
la chaussée. Cette opération doit se faire le plus
près possible du point d’attaque
► employer le moins possible de tuyaux en leur
faisant prendre le chemin le plus court et en évitant
leur enchevêtrement
► éviter de leur faire subir des torsions, des plis ou
des coudes brusques surtout aux angles des murs
► ne pas les laisser reposer sur des décombres
brûlants
► les mettre à l’abri de la chute des matériaux

33
Q

Expliquer la mise place des DFT

A
  • Disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de la chaussée
  • Placer les éléments et régler leur écartement en fonction de la nature des véhicules
34
Q

Définition point fixe

A

Tout objet d’une certaine masse ou structure convenablement ancrée dans le sol ou dans les murs sur lequel il est possible de s’amarrer constitue un point fixe
Il doit : Résister aux forces exercées lors des amarrages Résister aux chocs produit par la chute d’un sapeur pompier

35
Q

Définition d’un frein de descente

A

Il est constitué par la corde engagée dans le descendeur « type 8 ». La vitesse de descente se contrôle en retenant plus ou moins fortement le brin libre appelé « garant », et en l’écartant de l’autre brin appelé « tirant ».

36
Q

Citer les différents dispositifs

A
  • Amarrage : Le dispositif d’amarrage est constitué au moyen de 2 anneaux de sangle sur 1 ou 2 points fixes reliés entre eux à 1 mousqueton à virole à vis.
  • Descente : Le dispositif de descente est constitué d’un dispositif d’amarrage auquel est ajouté un frein de descente. Il permet de laisser filer la corde de sécurité, de la freiner ou de la bloquer.
  • Renvoi : Le dispositif de renvoi est réalisé avec les mêmes matériels que le dispositif d’amarrage auquel on ajoute éventuellement une poulie.
    Il permet de :
    ► dévier la corde d’une trajectoire où elle pourrait subir des dommages ► placer la corde à l’aplomb de la victime
  • Préhension : Le dispositif de préhension permet au sapeur-pompier de disposer d’une prise en main efficace sur la corde de sécurité lors d’une manœuvre de remontée. Appelé aussi « nœud français », il est réalisé avec 1 anneau de sangle.
  • Remonté : Ce dispositif est utilisé pour remonter une victime ou un sauveteur. Il est constitué :
    ► d’un dispositif de descente
    ► d’un dispositif de préhension
    ► d’un ou de plusieurs dispositif(s) de renvoi si nécessaire ► d’un mouflage si nécessaire
37
Q

Longueur limite dispositif de remonté

A

12m

38
Q

Quels sont les ordres pour manœuvrer les échelles ?

A
  • Porter l’échelle.
  • Dresser l’échelle.
  • Développer l’échelle.
  • Abaisser l’échelle.
  • Poser l’échelle.
39
Q

Quels sont les ordres pour manœuvrer les échelles à crochet ?

A
  • Porter l’échelle.
  • Dresser l’échelle.
  • Accrocher l’échelle.
  • Tourner l’échelle.
  • Abaisser l’échelle.
  • Poser l’échelle.
  • Monter à l’échelle à crochets.
  • Descendre à l’échelle à crochets.
40
Q

Où se situe le point d’attaque sur une EPA ou EPSA ?

A

Le point d’attaque doit se situer un demi-niveau au dessus du feu afin de le dominer en dehors du cône d’expansion