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Psychophysiologie examen 3 > Épilepsie > Flashcards

Épilepsie Flashcards

1
Q

Épilepsie définitions

A

Trouble physique caractérisé par des changements soudains et brefs dans la façon de fonctionner du cerveau (ne fonctionne plus de manière normale)

caractérisée par l’avènement récurrent de crises de divers types (des douzaines) qui sont associées à une perturbation +/- importante de la conscience, des activités motrices et des activités sensorielles

Survenue épisodique d’une décharge brusque, excessive et rapide d’une population +/- étendue de neurones

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2
Q

Epilepsia

A

pendre possession, s’emparer de

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3
Q

L’épilepsie peut avoir un aspect …..

A

ponctuel (possible crise puis 5 ans avant la prochaine)

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4
Q

Décharges neuronales (4 caractéristiques) (quantité, voyagent)

A

anormales, excessive, paroxystiques (grande intensité) et hypersynchrones (en même temps)

grande population font même chose au même moment, peut voyager hémisphère à l’autre, lobe à l’autre

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5
Q

Vrai ou faux, l’épilepsie est une maladie

A

faux

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6
Q

L’épilepsie est considérée comme… se manifeste sous forme de…

A

un symptôme d’un dysfonctionnement qui touche le cerveau (manifeste sous forme de crises)

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7
Q

Paroxysme

A

Période d’une maladie où les symptômes sont les plus aigus (pic d’intensité)

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8
Q

Vrai ou faux l’épilepsie correspond à des manifestations cliniques paroxystiques en rapport avec une décharge excessive et hypersynchrone d’une population +/- étendue de neurones du Cx

A

vrai

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9
Q

prégnant

A

qui s’impose à l’esprit

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10
Q

Symptôme d’une…..

A

hyperactivité cérébrale paroxystique

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11
Q

Différence entre prévalence et incidence

A

Incidence: nombre de nouveaux cas par année

Prévalence: tous les cas en général

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12
Q

Prévalence au Canada (%, tient compte de …., prévalence sans doute ……. car…..)

A

0,6% de Canadiens sont atteints

Tient compte des individus qui prennent des anticonvulsivants et de ceux qui ont présenté une crise au cours des cinq dernières années

Prévalence sans doute beaucoup plus élevée, car plusieurs individus seraient réticents à en admettre le diagnostic et à se faire traiter

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13
Q

Incidence globale (nb de personnes, 60% nouveaux patients……(2))

A

Annuellement diagnostiquée chez 15 500 personnes en moyenne (incidence)

Environ 60 % des nouveaux patients sont de jeunes enfants ou des personnes âgées

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14
Q

Vrai ou faux, l’épilepsie est l’affection neurologique la plus fréquente après la migraine

A

vrai

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15
Q

Vrai ou faux, on ne trouve souvent pas la cause de l’épilepsie

A

vrai

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16
Q

Vrai ou faux 3/5 cas épilepsie possibilité disparaissent (ex: à l’adolescence)

A

vrai

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17
Q

Courbe bimodale montre

A

enfants et personnes âgées qui sont plus touchées par l’épilepsie

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18
Q

Courbe grimpante montre

A

le risque augmente avec l’âge

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19
Q

Risque plus élevé chez les personnes âgées pourquoi

A

Multimorbidité (plusieurs médicaments pour les personnes âgées souvent peut augmenter le risque)

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20
Q

Emplois et épilepsie (statistique)

A

Le taux de chômage des individus souffrant d’épilepsie serait 3 fois plus élevé;

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21
Q

Facteurs pouvant rendre compte de la dissociation socio-économique (5)

A

Les crises elles-mêmes;

La dysfonction cérébrale sous-jacente;

Les effets secondaires des anticonvulsivants;

Les troubles de comportements de certains patients;

Un résidu de peur et de préjugés historiques.

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22
Q

L’épilepsie peut souvent être idiopathique (signification + stat, apparait spontanément……)

A

pas pu trouver de cause médicale connue) 50-60% des cas)
Apparaît spontanément en l’absence de toute autre maladie connue du système nerveux;

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23
Q

L’épilepsie peut aussi être symptomatique (4 causes possibles)

A

Tumeurs, AVC, et TCC;

Infection ou maladie chez la mère pendant la grossesse;

Séquelles d’une infection (méningite, encéphalite virale);

Intoxication due à l’abus de drogues ou à l’alcoolisme.

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24
Q

agent tératogène

A

peut affecter la vie intrautérine (dans la grossesse) (monstre)

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25
Q

Pour définir une épilepsie lors d’un diagnostic, il faut prendre en compte: (4)

A

Les types de crises qu’elle comporte (partielles ou généralisées)

Le terrain sur lequel elle survient (âge, facteurs génétiques, lésions du système nerveux central, retard mental, etc.)

Les données de l’imagerie cérébrale (notamment IRM) (objectiver atteintes cérébrales suite à un TCC, ou si tumeurs ne verra pas épilepsie)

Les données de l’électroencéphalogramme (EEG)

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26
Q

Symptômes fréquents de l’épilepsie (3 symptômes, 3 exemples pour le 1er)

A

La présence d’une aura qui signale la survenue très probable d’une crise :
Hallucination olfactive
Un effet visuel
Une sensation de déjà vu, etc.

La perte ou l’altération de la conscience durant la crise avec amnésie de la crise elle-même

La présence de mouvements pour les crises qui ont une composante motrice (dépend d’où se passe la crise)

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27
Q

Vrai ou faux, une aura annonciatrice d’une crise peut varier en sa nature d’une personne à l’autre

A

vrai (odeur, goût,…..)

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28
Q

Types de crises épileptiques généralisées (2 principales (2 noms))

A

Crises d’absences généralisées (autrefois appelées petit mal);

Crises tonico-cloniques (autrefois appelées grand mal).

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29
Q

Crises généralisées (3 caractéristiques générales) (caractérisées par…, peuvent être…., entrainent habituellement)

A

Caractérisées par une activité électrique anormale dans de nombreuses régions du cerveau

Peuvent être convulsives ou non

Entraînent habituellement une perte de connaissance

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30
Q

Les types de crises généralisées (6)

A

Absences/Petit mal

Crise tonique

Crise clonique

Crise myoclonique

Crise atonique

Crise tonico-clonique/Grand mal

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31
Q

Crises absences/Petit mal

A

le malade semble regarder dans le vide et/ou a des convulsions musculaires

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32
Q

Crise tonique

A

contraction des muscles, le plus souvent au niveau du dos, des bras et des jambes

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33
Q

Crise clonique

A

Convulsions répétées des 2 côtés du corps

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34
Q

Crise myoclonique

A

Convulsion de la partie supérieure du corps, des bras ou des jambes

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35
Q

Crise atonique

A

perte du tonus musculaire normal, le malade tombe ou non involontairement avec chute de la tête

36
Q

Crise tonico-clonique/Grand mal

A

Mélange de symptômes: raidissement du corps et convulsions répétées des bras et/ou des jambes avec perte de connaissance

37
Q

Vrai ou faux, les crises épileptiques peuvent varier beaucoup d’une personne à l’autre

A

vrai

38
Q

Crises tonico-clonique/Grand-mal (fréquence, difficile 2 aspects)

A

plusieurs crises par jour

difficile au niveau neurodéveloppemental et maintenir travail

39
Q

Crises d’absences généralisées (Petit mal) (caractérisé par …. la personne peut….., non…. et préservation de…, évènement critique (temps), précédé de.., suivi de…., fréquence chez les enfants, peuvent évoluer vers…, diminuent habituellement……)

A

Caractérisées par une perte de connaissance complète :

La personne peut fixer dans le vide et sembler rêvasser ou étourdie

Non convulsives et préservation du tonus musculaire

Événement critique habituellement inférieur à 10 sec.

Ne sont pas précédées d’un aura et sont suivies d’une activité normale
Fréquente chez les enfants : (quasi-exclusivement enfants)

Peuvent évoluer vers d’autres types de crises

Diminuent habituellement à l’âge adulte

40
Q

Absences (2 def)

A

plus rien ne se passe, arête ce qu’on fait (pendant qu’on parle, qu’on conduit)

La personne peut fixer dans le vide et sembler rêvasser ou étourdie

41
Q

Convulsions

A

secousses et/ou raidissements musculaires violents, involontaires impliquant une grande partie du corps.

42
Q

Danger des absences

A

Chutes

43
Q

Crises d’absences généralisées (Petit mal) (altération de…., EEG décharge….., peut précéder….., regard…, réactivité, raidissement…, prévention)

A

Altération brusque de conscience

EEG décharge paroxystique bilatérale (2 hémisphères ont des points épileptiques sur EEG)

Peut précéder d’autres types de crises (partielle ou tonico-clonique)

Regard vitreux

Aréactivité au stimuli

Raidissement du tronc

Petit mal peut pas le prévenir (par une aura)

44
Q

Crises tonico-cloniques (Grand mal) (3 phases noms et durées)

A

Phase tonique (≈ 30 secondes)

Phase clonique (habituellement < 1 minute)

Phase de récupération (plusieurs minutes à heures)

45
Q

Vrai ou faux la crise tonico-cloniques (Grand mal) est la crise classique quand pense à l’épilepsie

A

vrai

46
Q

phase tonique (≈ 30 secondes) (3 principaux)

A

Raidissement des muscles
Perte de connaissance et chute
Raidissement du corps

47
Q

Phase clonique (habituellement < 1 minute) (1)

A

Membres s’agitent et se contractent (secousses)

48
Q

Phase de récupération (plusieurs minutes à plusieurs heures) (3)

A

Après la crise, la personne reprend lentement connaissance;

Lorsqu’elle se réveille, elle est souvent confuse ou désorientée

La crise se termine souvent par une autre phase tonique

49
Q

phase tonique (symptômes supplémentaires) (3)

A

Élévation des paupières et globes oculaires (yeux montent vers le haut)

Vocalisation parfois (son vient de loin)

Contraction muscles du corps (membres, tronc, visage, muscle occulomoteurs, masticateurs)

50
Q

Phase clonique (1 symptôme supplémentaire)

A

Contraction désordonnées muscles et relâchement musculaire

51
Q

Phase de récupération (mouvement, urine, respiration (nom particulier), conscience, confusion, maux…., douleurs…)

A

Sujet immobile, inerte, inconscient, hypotonique (moins tonus que normal), perte d’urine possible, respiration très bruyante arrive parfois (stertor), reprise conscience progressive, confusion passagère,
maux de tête (céphalées), courbatures (peut durer plusieurs jours)

52
Q

Crises partielles (secondaires à…, peuvent comporter ou non…, peuvent mener à …, 2 types)

A

Secondaires à la décharge hypersynchrone d’une population de neurones limitée initialement à une partie d’un hémisphère cérébral ;

Peuvent comporter ou non un trouble de la conscience;

Peuvent mener à une généralisation tonico-clonique secondaire; (Grand mal)

Sont de deux types :
Crises partielles simples;
Crises partielles complexes.

53
Q

phase de récupération aussi appelée

A

phase postcritique

54
Q

Crises partielles aussi appelées

A

crises focales (dans un foyer précis)

55
Q

Vrai ou faux, 60% des épileptiques souffrent de crises partielles

A

vrai

56
Q

Crises partielles simples (conscience, présence de ….., 2 caatégories d’exemples, sont très….. et ….., Avec signes (4))

A

Sans altération de la conscience

Présence de sensations inhabituelles ou désagréables :

Sentiments soudains et inexplicables de joie, de colère, de tristesse ou nausée

Entendre, sentir (odorat ou goût), voir ou ressentir des choses qui ne sont pas réelles

Sont très diverses et variées :

Avec signes moteurs, phénomènes sensitifs ou sensoriels, à sémiologie végétative (mal ventre), à symptomatologie psychique, etc.

57
Q

Symptôme crise partielle simple dépendent de…. En observant les manifestation, possible aide

A

la zone du cerveau qui est touchée

En observant les manifestations pourra aider à trouver origine et médicament à utiliser

58
Q

Fourmillement provient de …

A

gyrus postcentral (postrolandique), cortex somesthésique

59
Q

Mouvement, crispation,…. provient de….

A

cortex moteur

60
Q

Crise partielle simple avec signes moteurs (manifestent par… le plus souvent… si la crise est prolongée, peut être suivie de …..)

A

Se manifestent par des convulsions focales intéressant le plus souvent la main et le visage du côté opposé à la décharge épileptique;

Si la crise est prolongée, alors peut être suivie d’un déficit moteur de durée plus ou moins longue.

61
Q

Crise partielle motrice Bravais-Jacksonienne (propagation, endroits, conscience, côté, après crise)

A

propage dans cortex moteur, crispation motrice suit crise

habituellement mains, langue, face, pied

ne perd pas conscience

crise se déroule du cote opposé de la décharge (controlatéral)

après un certain temps récupère vraiment fonctions de ces muscles

62
Q

Crise partielle simple avec signes moteurs (envahissement….. )

A

Envahissement progressif du cortex prérolandique par un processus épileptique

63
Q

Crises partielles simples avec phénomènes sensitifs ou sensoriels (types de phénomènes possibles) (5)

A

Phénomènes somato-sensitifs fourmillements/picotements; (pariétal)

Crises visuelles  hallucinations simples (taches colorés); (souvent couleur, flash, occipital)

Auditives  hallucinations auditives élémentaires;

Gustatives  hallucinations ou troubles de la perception du goût;

Olfactives  hallucinations.

64
Q

Crises partielles simples à sémiologie végétative (essentiellement…, donne…., s’intègrent généralement ……., se manifestent rarement….)

A

Il s’agit essentiellement d’une sémiologie digestive

donne gêne ou pesanteur épigastrique;

S’intègrent généralement comme un symptôme parmi d’autres dans le contexte d’une crise partielle :

Se manifestent rarement de façon isolée.

65
Q

Épigastrique

A

qui concerne l’épigastre, le creux de l’estomac

66
Q

Crises partielles simples avec symptomatologie psychique (7)

A

Troubles du langage;

Sensation de «déjà vu», de «déjà entendu» ou de «déjà vécu»;

État de rêve;

Pensée forcée;

Angoisse, peur, terreur;

Illusions;

Hallucinations.

67
Q

Pensée forcée

A

même rêve toute la nuit quand malade, sauf quand éveillé, pensée pas capable de se débarrasser (ex: quand cherche mot et un autre nous vient en tête et ne veux pas partir)

68
Q

Crises partielles complexes (se définissent par…., aura, caractérisé par déficits dans…., peut être précédée de…, conscience, aussi appelées)

A

Se définissent par la présence d’une altération de la conscience qui peut être présente d’emblée ou faire suite à un début se déroulant en pleine conscience;

Souvent précédées d’une «aura»;

Caractérisées par déficits dans plusieurs sphères d’activités

Crise partielle simple peut mener à une crise partielle complexe

Peuvent se rappeler du début si crise partielle simple, mais pas conscient pendant crises complexes

Déjà été appelé crise psychomotrice ou du lobe temporal

69
Q

Crises partielles complexes, caractérisées par déficits dans plusieurs sphères d’activités

A

Activités motrices +/- complexes, automatiques mouvements de mâchonnement, de léchage, de lapement;

Automatismes + complexes  se frotter les mains, fouiller le contenu de ses poches, arranger ses vêtements; faire ses valises

Automatismes verbaux;

Automatismes de déambulation.

70
Q

Crises partielles complexes (autres symptômes) (pensées…, changement…., activités…. variables, suspension brève de…, fugue exemple de…, crise de…. transitoire, se réveiller dans…., activité de …..avec but précis)

A

Pensées répétitives, changement d’humeur, activités psychomotrices très variables, suspension brève de l’activité, activité complexe (fugue), crise de mastication transitoire, se réveiller dans un endroit lointain, activité de recherche (d’objet dans la maison, but précis)

71
Q

État épileptique (décrit …., si prend pas fin en….., alors risque…., requière…… car….., nom médicament pour…..)

A

Décrit une série de crises répétées entre lesquelles la personne ne reprend pas connaissance;

Si la crise ne prend pas fin après 5-10 minutes, l’individu risque de tomber en état épileptique, ce qui peut mettre sa vie en danger;

De tels événements requièrent des soins médicaux immédiats, car ils peuvent entraîner des lésions cérébrales graves ou même la mort;

Des benzodiazépines administrés par l’hôpital peuvent ramener la personne à un état normal.

72
Q

Les benzodiazépines sont

A

Anxiolytiques hypnotiques

73
Q

Crises akinétiques de l’enfant (caractérisé par… incapacité à…., fréquente chez.., crises elle-mêmes….., prévenir blessures par (2))

A

Caractérisées par une perte soudaine de tonicité :

Incapacité de se tenir debout ou assis;

Fréquentes chez les enfants;
Crises elles-mêmes peu dangereuses, la plupart des blessures résultant de chutes;

Prévenir les blessures graves :
Port du casque par l’enfant;
Restreindre sa participation à certaines activités.

74
Q

Traits de personnalité parfois retrouvés dans épilepsie temporale (3)

A

Surinclusivité
Modification de la sexualité
Intensification de l’activité mentale

75
Q

Surinclusivité (3)

A

Circonstantialité dans les conversations; (général, pas en profondeur, à part ça)

Hypergraphie à l’écrit; (Manie de l’écriture, écrire beau)

Viscosité interpersonnelle;

76
Q

Intensification de l’activité mentale (3)

A

Préoccupations philosophiques et religieuses;

Intérêt pour les phénomènes occultes; (ni religion, ni science, comme ésotérisme)

Sens moral surdéveloppé.

77
Q

Vrai ou faux, traits de personnalité varient beaucoup d’un épileptique à l’autre

A

vrai

78
Q

Épilepsie et troubles cognitifs (risque, controverse contribution de…)

A

Risque plus élevé de troubles d’apprentissage et de comportements chez les enfants épileptiques;

Controverse sur la contribution des anticonvulsivants sur les troubles cognitifs. (nuire à l’apprentissage? assome)

79
Q

Troubles cognitifs en épilepsie peuvent dépendre de (4)

A

Âge du début des crises;

Fréquence des crises;

Coexistence de plusieurs types de crises;

Pathologie cérébrale sous-jacente; (autre chose?)

80
Q

Vrai ou faux, troubles cognitifs retrouvés en épilepsie peuvent varier d’une personne à l’autre

A

vrai

81
Q

Évaluation neuropsychologique tient compte de … (11)

A

Apparence générale;

Affect; (comment converse)

Collaboration;

Rapport avec l’examinateur;

Humeur; (et émotions)

Production verbale et affective spontanée;

Contenu des récits;

Conduite générale.

Q.I

Suspicion d’un foyer épileptique à droite

Suspicion d’un foyer épileptique à gauche

82
Q

Mesurer le Q.I. en évaluation neuropsychologique (3)

A

Échelles verbales;
Performance mnésique;
Q.I. global;

83
Q

Suspicion d’un foyer épileptique à droite

Suspicion d’un foyer épileptique à gauche

mesure quoi pour chaque

A

Suspicion d’un foyer épileptique à droite :
Mesures des capacités visuo-perceptives;

Suspicion d’un foyer épileptique à gauche :
Mesures des capacités linguistiques.

84
Q

Facteurs pouvant déclencher les crises (9)

A

L’oubli de médicaments;

Le stress;

Le tabac;

Une mauvaise alimentation/repas irréguliers;

Une stimulation lumineuse intermittente (photogène);

Une maladie, de la fièvre ou des allergies;

Le manque de sommeil;

La chaleur ou l’humidité;

Des émotions comme la colère, l’anxiété, la peur, etc

85
Q

Mythes et idées fausses (7)

A

On peut avaler sa langue durant une crise;

On doit mettre quelque chose entre les mâchoires d’un épileptique qui a une crise;¸

On doit maîtriser un épileptique en crise;

On ne peut prévoir ce qu’une personne fera pendant une crise épileptique; (dépendant du type de crise)

L’épilepsie est contagieuse;

On ne voit l’épilepsie survenir que chez les enfants;

Les personnes atteintes d’épilepsie sont handicapées et ne peuvent pas travailler.

Psychophysiologie examen 3 (4 decks)

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