Cours 7 : Approche biologique Flashcards

1
Q

[Tempérament]

Définition du tempérament

Inclu les aspects biologiques et héréditaires

A

Ensemble des tendances émotionnelles, motivationnelles comportementales d’origine biologiques qui apparaîssent tôt dans l’enfance.

  • Ces caractéristiques distinguent les individus entre eux et demeurent stable tout au long de la vie.
  • Puisque l’expérience du monde que le bébé peut avoir est limitée, on suppose que ces caractéristiques qu’on observe en très bas âge ont une base biologique et sont héréditaires.
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2
Q

[Tempérament]

Définition de phénotypes comportementaux potentiels

A

Caractéristiques observables déterminés par les gênes, mais dont la forme finale dépendra de l’environnement pendant le développement.

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3
Q

Quand on parle du tempérament, on parle de caractéristiques du comportement. Pourquoi ?

A

Parce que les psychologues ne comprennent encore précisément la relation entre les profils physiologiques héréditaires et les phénotypes comportementaux.

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4
Q

[Tempérament]

En Grèce antique on croyait que tout ce qui existait dans la nature était composé de 4 éléments (terre, air, eau, feu).

Comment Hippocrate et Kant expliquent l’expliquer l’origine des caractéristiques psychologiques (tempérament) de l’humain ?

A

Hippocrate : Explication biologique du comportement
Utilise ce même modèle : les 4 éléments sont représentés dans le corps par 4 humeurs biologiques qui représentent chacune un tempérament : - le sang (le sanguin),
- la bile noire (le mélancolique),
- la bile jaune (le colérique) et
- la lymphe (le flegmatique).
Pas besoin de connaître les 4 éléments par coeur, juste comprendre le principe est suffisant

Les différences individuelles étaient expliquées par la prédominance de l’une ou l’autre des humeurs biologiques

Kant : Explication biologique du comportement
A une conception semblable qu’en Grèce antique : considère que l’origine du tempérament (4 types) se situe dans les liquides biologiques.

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5
Q

[Tempérament]

Définition de la notion de phrénologie

A

Discipline qui avait pour objectif la localisation des zones du cerveau auxquelles on attribuait divers aspects du fonctionnement émotionnel et comportemental spécifiques.

Gall a tenté d’associer les différentes capacités, dispositions et traits aux différences sur les bosses du cranes (qui pouvaient prétendument révéler le développement particulier du tissus cérébral sous-jacent).

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6
Q

[Tempérament]

Notion d’étude longitudinale et son utilité pour les chercheurs

A

Les études longitudinales, soit les méthodes de recherche qui permettent d’étudier un même groupe de personnes sur une longue période, ont permis aux chercheurs de déterminer si des caractéristiques psychologiques précises sont présentes très tôt dans la vie de l’individu et si celles-ci persistent tout au long de la vie (bref on veut voir le fondement biologique des caractéristiques biologiques).

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7
Q

[Tempérament]

Quelle est la limite des étude longitudinale ?

A

Limite : Elles ne permettent pas d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées.
=> Pour ce faire, il a fallu délaisser les mesures auto-rapportées par les parents et trouver des outils de mesure des comportements plus directs + des indices d’une origine biologique.

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8
Q

[Tempérament] - Étude de Kagan

Les études longitudinales avant celle-ci étaient basées sur des mesures auto-rapportées de parents, qui peuvent être biaisées et n’ont pas permis d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées. Par conséquent, Kagan utilise des outils de mesure directs et objectifs du comportement : Il observe les enfants directement dans l’environnement d’un laboratoire.

Il a pu établir deux profils comportementaux qui définissent bien le tempérament :
1) L’enfant inhibé
2) L’enfant non inhibé

Méthode : Kagan amène des bébés de 4 mois en laboratoire et filme leurs comportements en présence de stimuli.

Quelle était son hypothèse sur ces profils comportementaux ?

A

Hypothèse : Les nouveau-nés présentent des différences biologiques innées qui les rendent plus ou moins réactifs à la nouveauté, et que ces différences innées ont tendance à rester stables au cours du développement de l’enfant.

Donc, selon cette hypothèse :
* Les nouveau-nés très réactifs à la nouveauté deviendraient des enfants inhibés
* Les nouveau-nés peu réactifs à la nouveauté deviendraient des enfants non inhibés

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9
Q

[Tempérament] - Étude de Kagan

Les études longitudinales avant celle-ci étaient basées sur des mesures auto-rapportées de parents, qui peuvent être biaisées et n’ont pas permis d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées. Par conséquent, Kagan utilise des outils de mesure directs et objectifs du comportement : Il observe les enfants directement dans l’environnement d’un laboratoire.

Il a pu établir deux profils comportementaux qui définissent bien le tempérament :
1) L’enfant inhibé
2) L’enfant non inhibé

Méthode : Kagan amène des bébés de 4 mois en laboratoire et filme leurs comportements en présence de stimuli.

Qu’est-ce que représentent un tempérament inhibé et un tempérament non inhibé ?

A

Enfant inhibé : Réagit aux personnes ou aux évènements qui ne lui sont pas familiers en manifestant de la réserve, de l’évitement et de la détresse
- Prennent plus de temps à se détendre dans des situations nouvelles
- Présentent plus de peurs et de phobies inhabituelles
- Se montrent timide et extrêmement prudents
- Sa première réaction à la nouveauté = se taire et chercher du réconfort auprès de ses parents OU s’enfuir et se cacher

Enfant non inhibé :
Contraire de l’enfant inhibé, cad ils prend plaisir à ces mêmes situations qui semblent si stressantes pour l’enfant inhibé.
- Pas timide et craintif
- Sa première réaction

Pas besoin de connaitre la définition par coeur, juste comprendre la différence

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10
Q

[Tempérament] - Étude de Kagan

Les études longitudinales avant celle-ci étaient basées sur des mesures auto-rapportées de parents, qui peuvent être biaisées et n’ont pas permis d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées. Par conséquent, Kagan utilise des outils de mesure directs et objectifs du comportement : Il observe les enfants directement dans l’environnement d’un laboratoire.

Il a pu établir deux profils comportementaux qui définissent bien le tempérament :
1) L’enfant inhibé
2) L’enfant non inhibé

Méthode : Kagan amène des bébés de 4 mois en laboratoire et filme leurs comportements en présence de stimuli.

Il y avait 2 phases dans son étude :
Phase 1 :
Conditions :
- Stimuli familiers (visage de leur mère)
- Stimuli nouveaux (voix d’une étrangère, mobiles colorés et en mouvement, éclatement d’un ballon gonflable

Mesure : Mesures de réactivité (mesures comportementales)
- Courbe du dos
- Fléchissement vigoureux des membres
- Pleurs

Quels étaient les résultats lors de la phase 1 ?

Pas besoin d’apprendre les % et les âges par coeur)

A
  • 20% des bébés furent jugés hautement réactifs, car en présence de stimuli nouveaux, ils avaient des scores de réactivité élevé (donc c’est ce qui cause leur surexcitation). Une fois retirés, les bébés retrouvaient leur calme
  • 40% des bébés furent jugés faiblement réactifs, car en présence de stimuli nouveaux, ils avaient des scores de réactivité faibles
  • 40% des bébés présentent diverses combinaisons de réactions

Donc, plupart faiblement réactifs ou présentent diverses combinaisons de réactions, minorité hautement réactifs.

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11
Q

[Tempérament] - Étude de Kagan

Les études longitudinales avant celle-ci étaient basées sur des mesures auto-rapportées de parents, qui peuvent être biaisées et n’ont pas permis d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées. Par conséquent, Kagan utilise des outils de mesure directs et objectifs du comportement : Il observe les enfants directement dans l’environnement d’un laboratoire.

Il a pu établir deux profils comportementaux qui définissent bien le tempérament :
1) L’enfant inhibé
2) L’enfant non inhibé

Méthode : Kagan amène des bébés de 4 mois en laboratoire et filme leurs comportements en présence de stimuli.

Il y avait 2 phases dans son étude :
Phase 2: Étudie les mêmes enfants à 14 mois, 21 mois et 4 ans et demi

Conditions :
- Stimuli familiers
- Stimuli nouveaux
Pour les 2 ans et moins :
Lumières clignotantes, clown jouet qui frappe un tambour, étranger vêtu d’un costume insolite, bruit de balles de plastique tournant dans une roue

Pour les 4 ans et demi :
Rencontre avec des enfants ou des adultes inconnus

Mesure : Mesures comportementales + Mesures physiologiques
- Fréquence cardiaque
- Pression artérielle

Quels étaient les résultats lors de la phase 2 ?

Pas besoin d’apprendre les % et les âges par coeur)

A

[Phase 2]
Observation d’une continuité/constance du tempérament à travers les âges
- Aucun des bébés hautement réactifs n’était devenu un enfant complètement non inhibé
- Seuls quelques rares bébés faiblement réactifs étaient devenus des enfants inhibés de manière constante

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12
Q

Les études longitudinales avant celle-ci étaient basées sur des mesures auto-rapportées de parents, qui peuvent être biaisées et n’ont pas permis d’établir quels étaient les systèmes biologiques sous-jacents aux caractéristiques du tempérament observées. Par conséquent, Kagan utilise des outils de mesure directs et objectifs du comportement : Il observe les enfants directement dans l’environnement d’un laboratoire.

Il a pu établir deux profils comportementaux qui définissent bien le tempérament :
1) L’enfant inhibé
2) L’enfant non inhibé

Qu’est-ce qu’il est possible de conclure de cette étude ? Est-ce que le changement est possible ?

A

Il existe des différences dans le fonctionnement biologique, mais «une prédisposition conférée par notre bagage génétique est loin d’être une sentence à vie ; le tempérament d’un bébé ne signifie rien d’inévitable pour l’adulte qu’il deviendra » (Kagan, 1999)
- Le changement est donc possible, mais le penchant tempéramental n’avait pas disparu et semblait infléchir le développement
- Il est difficile de changer une prédisposition innée

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13
Q

[Tempérament]

« Le fait qu’une personne naisse avec un tempérament bien défini ne signifie pas qu’il y a un simple plan génétique pour ce type de tempérament, ni que cette personne est ‘prise’ avec sa personnalité toute sa vie. Au contraire, l’une des merveilleuses particularités du tempérament est sa flexibilité qui nous permet de nous adapter aux obstacles et aux défis que nous impose la vie. Chacun de nous a la capacité de grandit et de changer à chaque étape de notre vie » Hamer et Copeland (1998)

Quel est le message clé de cette citation ?

A

Être né avec un type de tempérament ne veut pas dire que tu seras pris avec toute ta vie : le tempérament est flexible pour nous permettre de nous adapter aux obstacles et aux défis de la vie.

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14
Q

[Psychologie évolutionniste]

Auels sont les différences entre les causes immédiates et les causes fondamentales ?
Pas besoin de connaitre les définitions par coeur, comprendre dans vos mots

A

Causes immédiates :
* Explication d’un comportement liée aux processus biologiques dans l’organisme au moment où l’on observe le comportement.

Causes fondamentales :
* Explication d’un comportement liée aux processus de la sélection naturelle (évolution) favorisant les comportements qui ont une valeur adaptative dans l’évolution de l’homme

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15
Q

[Psychologie évolutionniste]

Définition de la psychologie évolutionniste (qu’est-ce qu’elle tente de comprendre ?)

A

Tente de comprendre l’origine de nos comportements et de nos traits de personnalité. Étant donné son cadre théorique évolutif, elle s’intéresse plus particulièrement aux comportements qui ont une valeur adaptative et qui assurent la survie des individus comme :
- la sexualité humaine
- les rapports sociaux.

Bref, la psychologie évolutionniste tente de comprendre divers aspects du fonctionnement humain en les envisageant comme des solutions aux problèmes d’adaptation qu’ont connu les espèces depuis des millions d’années.

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16
Q

[Psychologie évolutionniste]

Définition de mécanisme psychologiques évolués

A

C’est le résultat de processus évolutifs prenant place par le biais de la sélection naturelle. Ces mécanismes psychologiques évolués peuvent être compris comme des mécanismes qui ont une valeur adaptative dans la mesure où ils ont assuré la survie des individus et leur reproduction.

Ont donc des buts particuliers, et par conséquent, pas adaptés à toutes les situations. Sont plutôt spécifiques à un domaine, à un contenu particulier et ils s’activent de manière implicite dans un contexte précis.

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17
Q

[Psychologie évolutionniste]

Comprendre la notion de valeur adaptative

A

Les composantes fondamentales de la nature humaine qui permettent la survie et la reproduction

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18
Q

[Psychologie évolutionniste]

Notez l’élément clé de l’évolution

A

La transmission des gènes

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19
Q

[Psychologie évolutionniste]

Qu’est-ce qui fait en sorte que certains gènes (ou caractéristiques de l’esprit humain) ont évolué et perduré au travers du temps ?

A

Les caractéristiques de l’esprit humain qui ont évolué et perdurent sont celles qui parviennent à résoudre les problèmes faisant obstacle à la reproduction.

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20
Q

[Psychologie évolutionniste]

De quelle manière les psychologues évolutionnistes conçoivent-ils l’architecture de l’esprit humain ?

Comparativement à la théorie du traitement de l’information où le cerveau = ordinateur doté d’un mécanisme central de traitement de l’information

A

Ils soutiennent que l’esprit humain comprend de multiples dispositifs de traitement de l’information, chaque dispositif ayant la charge de traiter un domaine précis de la vie.

Les différents enjeux qui se sont présentés au fil de l’évolution [attirer des partenaires, trouver de la nourriture propre à la consommation, prendre soin des enfants, etc] constituent chacun le domaine d’un problème distinct

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21
Q

[Psychologie évolutionniste]

Pourquoi la détection de la tricherie est un mécanisme psychologique évolué ?

A

Dans le cas d’échange social, il est essentiel de ne pas être trompé par l’autre et, dès lors, la capacité de détecter la tricherie permet d’assurer la survie de l’individu.

Se faire tromper à répétition (ex : avec l’argent si je compte mal tes comptes) fera en sorte que je ne disposerai pas de ressources suffisantes pour assurer ma vie et ma survie sociale.

Détecter la tromperie a été, au cours de l’histoire humaine, d’une telle importance que l’être humain que c’est devenu un mécanismes psycholohique évolué.

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22
Q

[Psychologie évolutionniste]

Comment la théorie de l’investissement parental explique le choix d’un partenaire chez les hommes vs chez les femmes ?

A

Les hommes :
- S’intéressent au potentiel reproducteur de leur partenaire et recherchent donc la jeunesse et d’autres indicateurs biologiques de la capacité de reproduction.
- Valorisent la chasteté pour augmenter la probabilité de sa paternité

Les femmes :
- Ont besoin d’un partenaire qui les soutiendra pendant la grossesse et dans les soins à donner à l’enfant, et donc elles recherchent un homme qui pourra leur fournir ressources et protection.
- Évalué selon sa capacité de gagner de l’argent, son ambition et son ardeur au travail.

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23
Q

[Psychologie évolutionniste]

Définit la théorie de l’investissement parental

A

Théorie selon laquelle les femmes investissent davantage que les hommes dans leur progéniture parce qu’elles ne peuvent transmettre leurs gènes qu’à un nombre restreint de descendants, au contraire des hommes qui peuvent avoir une multitude d’enfants.

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24
Q

[Psychologie évolutionniste]

Pourquoi selon la théorie de l’investissement parental, l’investissement des femmes est plus grand ?

A

Parce que les « coûts de remplacement » sont plus élevés. De plus, les femmes subissent pendant 9 mois les conséquences biologiques de la grossesse.

Les hommes n’ont pas à vivre ces inconvénients biologiques, et ils peuvent être également engagés dans plusieurs grossesses à la fois.

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25
Q

[Psychologie évolutionniste]

Pourquoi selon la théorie de l’investissement parental les hommes se préoccupent davantage des rivaux sexuels et accordent une plus grande valeur à la chasteté de leur partenaire ?

A

Comme ce sont les femmes qui portent l’ovule fécondé, elles ont toujours la certitude que les enfants sont les leurs.

Les hommes, eux, ne sont jamais certains de leur paternité et doivent dès lors prendre des mesures pour s’assurer que leur investissement va à leur enfant, et non à celui d’un autre homme.

Donc l’homme devrait valoriser la chasteté chez son partenaire pour augmenter la probabilité de paternité.

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26
Q

[Psychologie évolutionniste]

Relie les causes de la jalousie chez les hommes vs chez les femmes aux explications du point précédent (théorie de l’investissement parentsl)

Rappel :

-Les hommes s’intéressent au potentiel reproducteur de leur partenaire et recherchent donc la jeunesse et d’autres indicateurs biologiques de la capacité de reproduction.

  • Les femmes ont besoin d’un partenaire qui les soutiendra pendant la grossesse et dans les soins à donner à l’enfant, et donc elles recherchent un homme qui pourra leur fournir ressources et protection.
A
  • Les hommes sont plus touchés par l’infidélité sexuelle et par ce qui nuit à la probabilité de paternité
  • Les femmes sont plus touchées par l’infidélité émotionnelle et par la menace de perdre ses ressources.
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27
Q

[Psychologie évolutionniste]

Bémol à la théorie de l’investissement parental et aux causes de la jalousie : la recherche permet-elle de confirmer de façon constante ces éléments ?

Rappel :
* Les hommes sont plus touchés par l’infidélité sexuelle et par ce qui nuit à la probabilité de paternité
* Les femmes sont plus touchées par l’infidélité émotionnelle et par la menace de perdre ses ressources.

A

Non.

La nature exacte des différences entre les sexes & le rôle de l’évolution déterminée biologiquement par opposition au rôle des facteurs sociaux pour expliquer ces différences restent à définir.

Résultats qui contredisent la théorie
Problème avec la première étude qui confirme la TIP :
Choix forcés de ce qui causerait le plus de douleur entre 1) être engagé dans une relation émotionnelle avec une autre personne ; 2) avoir eu des relations sexuelles avec une autre personne.
=> Résultat : L’être humain se retrouve rarement en situation d’apprendre l’infidélité émotionnelle et sexuelle de son partenaire en même temps et devoir décider lequel des scénarios est plus douloureux.

Donc, étude 2 : ont demandé aux participants d’envisager chaque scénario séparément et indiquer pou chaque le degré de douleur
=> Résultat : les différences entre les sexes plus perceptibles, les réactions des hommes et des femmes est très semblable. Donc, les deux sexes jugent plus difficile de supporter l’infidélité sexuelle que l’infidélité émotionnelle.

Étude 3 : Les hommes réagissent plus fortement scénario d’infidélité sexuelle que les femmes, mais démontré que les homme sont une forte réaction à tout scénario ayant du contenu sexuel.

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28
Q

[Gènes]

Le fait de posséder un gène précis nous permet-il de prédire avec certitude les traits de personnalité et le comportement d’un individu? Pourquoi?

A

Il n’y a pas qu’un seul gène associé à des comportements ou des traits de personnalité. C’est plutôt l’action conjointe de milliers de gènes qui orientent le fonctionnement biologique dans certaines directions plutôt que d’autres et qui influencent le développement des traits de la personnalité.

En somme, les gènes contribuent aux différences individuelles dans toutes les dimensions du comportement humain. Mais, de la même façon, les facteurs environnementaux contribuent toujours aussi à ces différences individuelles.

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29
Q

[Gènes]

À quoi correspond le coefficient d’héritabilité ?

A

Estimation de la part de variance qu’on peut attribuer aux déterminants génétiques pour une caractéristique donnée, mesurée d’une façon particulière, dans une population donnée.

Il s’agit de la mesure des différences individuelles autour de la moyenne dans une population donnée

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30
Q

[Gènes]

V ou F : Le coefficient d’héritabilité indique dans quelle mesure l’hérédité détermine telle ou telle caractéristique chez l’individu en particulier.

A

FAUX! C’est une estimation statistique qui touche une population déterminée et qui décrit la variance entre les individus qui composent la population.

Ex : Un CH = 40% d’un trait de personnalité ne signifie pas que 40% de votre propre trait de personnalité en question est de nature héréditaire

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31
Q

[Gènes]

V ou F : Une caractéristique ayant une composante héréditaire peut être modifiée.

A

Vrai !
L’expérience de l’environnement peut entraîner des changements même dans des caractéristiques qui sont fortement déterminées par l’hérédité.
- Ainsi, la taille d’un individu est, bien sûr, fortement déterminée par la génétique, mais peut également être influencée par son alimentation durant l’enfance.

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31
Q

[Gènes]

Quel est l’objectif de la génétique du comportement ? Comment ils font pour y arriver ?(2)

A

Départager l’influence génétique de l’influence de l’environnement dans les comportements.

Pour y arriver :
- Doivent comparer le degré de similarité entre des individus présentant divers degrés de similarité biologique-génétique
- Faire appel aux statistiques et à des méthodes sophistiqués.

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32
Q

[Gènes]

Quels sont les 3 types d’études utilisées dans la génétique du comportement ?

A
  1. Étude du croisement sélectif
  2. Étude des jumeaux
  3. Étude d’adoption
33
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Définit l’étude de croisement sélectif

A

Méthode de recherche servant à établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement par le croisement de générations successives d’animaux possédant une caractéristique particulière.

N.B : : Utilisé avec les plantes et les animaux, mais pas avec les humains.

Ex : Pour les chercheurs qui étudient le trait impulsif de la personnalité utilisent des souris qui sont dites « impulsives » suite à un processus de sélection par accouplement sur plusieurs générations.

34
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Définit l’étude de jumeaux.

A

L’étude des jumeaux est un modèle de recherche pour établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement en comparant les degrés de similarité que présentent de vrais jumeaux, de faux jumeaux et des frères et sœurs qui ne sont pas jumeaux.

35
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Létude des jumeaux est un modèle de recherche pour établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement en comparant les degrés de similarité que présentent de vrais jumeaux, de faux jumeaux et des frères et sœurs qui ne sont pas jumeaux.

Explique la logique de ce type d’étude.

A
  • Comme les jumeaux identiques ont un bagage génétique identique, toute différence entre eux devrait s’expliquer par des différences environnementales.
  • Dans le cas des jumeaux fraternels, qui sont génétiquement différents, toute différence entre eux devrait être attribuable à la fois à l’environnement et aux gènes.

Ainsi, étudier à la fois les jumeaux identiques et fraternels permet d’évaluer les effets des environnements différents sur le même génotype, ainsi que les effets des génotypes différents s’exprimant dans le même environnement ou dans des environnements similaires.

36
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Définit l’étude d’adoption.

Ce type d’étude est généralement combinée avec quel autre type d’étude ?

A

Méthode de recherche utilisée pour établir des relations entre les déterminants génétiques et le comportement en comparant des frères et sœurs biologiques élevés ensemble avec des frères et sœurs élevés séparément (adoptés).

Autrement dit : On compare les enfants adoptés à la fois avec leurs parents biologiques et leurs parents d’adoption afin de déterminer l’importance des gènes et de l’environnement.

Ce type d’étude est généralement combinée avec des études de jumeaux.

37
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Étude des jumeaux
Selon ce type d’étude, dans le cas des jumeaux fraternels, qui sont génétiquement différents, toute différence entre eux devrait être attribuable à la fois à l’environnement et aux gènes.

C’est quoi le problème avec cette hypothèse ?

A

Hypothèse est que l’environnement est similaire … ce qui n’est pas toujours le cas, même au sein d’une même famille.

38
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Dans l’étude d’adoption, comment on fait pour départager si les influences sont attribuables à l’environnement ou par le factueur génétique ?

A

Quand les parents adoptent et éduquent un enfant avec lequel il ne partage pas de gènes, toute similitude entre parent adoptif et enfant doit être attribuable à l’environnement.

À l’inverse, toute similitudes entre l’enfant et ses parents biologiques, avec qui il n’a pas grandi, devraient être attribuable au facteur génétique.

39
Q

[Gènes]

Notez le pourcentage (%) des traits de la personnalité qui est dû à des facteurs génétiques

Est-ce que la recherche courante est en mesure d’identifier les gênes spécifiques qui sont impliqués dans ce phénomène ?

A

40%

& non:)

40
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

[Résumé]
Étude des jumeaux
1. La différence entre des jumeaux identiques s’explique par quoi ?
2. La différence entre des jumeaux fraternels s’explique par quoi ?

Étude d’adoption
3. La ressemblance de l’enfant adopté avec son parent biologique s’explque par quoi ?
4. La ressemblance de l’enfant adopté avec son parent adoptif s’explique par quoi ?

A

Étude de jumeaux
1. Influences environnementales
2. Influences environnementales ET génétiques

Étude d’adoption
1. Influences génétiques
2. Influence environnementales

41
Q

[Gènes] - Types d’études de la génétique du comportement

Étude des jumeaux
En étudiant à la fois les jumeaux MZ et DZ, le chercheur peut comparer le degré de similarité dans chaque couple de jumeaux et mesurer ainsi l’ampleur de l’influence des facteurs génétiques.

Comment cette influence est exprimée ?

A

Par un coefficient d’héritabilité

42
Q

[Gènes]

Selon études (jumeaux MZ ayant grandi dans des familles différentes) l’influence des facteurs biologiques se fait sentir même lorsque les jumeaux ont grandi dans des environnements différents.

Qu’est-ce que ce résultat permet de conclure ?

A

En effet, le degré de similarité entre les jumeaux MZ élevés séparément était très semblable au degré de similarité entre jumeaux MZ élevés ensemble

Donc, le fait de grandir dans la même maison n’augmentait pas le degré de similarité des traits de la personnalité entre les jumeaux.

43
Q

[Gènes]

Les généticiens comportementaux ont déterminé deux types d’environnement qui influencent la personnalité. Quelles sont-elles ?

A
  1. Les environnements partagés
  2. Les environnements non partagés
44
Q

[Gènes]

Les généticiens comportementaux ont déterminé deux types d’environnement qui influencent la personnalité :
1. Les environnements partagés
2. Les environnements non partagés

Définit ces types d’environnements.

A

1) Les environnements partagés : Comprennent les expériences qu’ont en commun les frères et les sœurs qui grandissent dans la même famille et qui font qu’ils présentent des similitudes.

2) Les environnements non partagés :
Comprennent les expériences propres à chacun et qui font que des frères et sœurs grandissent dans la même famille présentent des différences.
Ex: Des enfants qui sont traités différemment l’un de l’autre ou qui peuvent nouer des amitiés différentes influant sur leur développement social.

45
Q

[Gènes]

Quelle est l’importance des gênes, des environnements partagés et des environnements non-partagés pour les traits de personnalité ?

A

Les effets des environnements partagés sur la personnalité sont négligeables, alors que les effets des environnements non partagés sont importants.

46
Q

[Gènes]

Il a été établi que les différences entre les familles comptent moins dans le développement des enfants que les différences à l’intérieur des familles.

Une étude a tenté de distinguer les effets du traitement parental commun à tous les enfants d’une famille d’avec ceux du traitement parental particulier à chacun.

À quoi sont liés les différences significatives dans la façon dont les parents traitent chacun de leurs enfants ?

A

Le traitement parental particulier à chaque enfant semble lié pour une bonne part aux caractéristiques génétiques propres à cet enfant.

47
Q

[Gènes]

Pourquoi les enfants appartenant à la même famille deviennent différents en vieillissant ?

A

En partie à cause des particularités génétiques qui amènent leurs parents à les traiter de manière différente

48
Q

[Gènes]

Explique la notion de génétique moléculaire (ce qu’elle vise à montrer)

A

Permet de déterminer quels gènes sont associés aux traits de personnalité des êtres humains en examinant le bagage génétique de diverses personnes.

Idéalement, la génétique moléculaire vise à montrer comment des variations sur le code génétique modifient un système biologique pour produire à son tour des effets psychologiques.

49
Q

[Gènes]

V ou F : La recherche en génétique moléculaire a confirmé que le bagage génétique influe sur les caractéristiques psychologiques en interaction avec les expériences environnementales.

A

Vrai !

50
Q

[Gènes]

Le facteur génétique étudié agit sur la production de sérotonine dans le cerveau. Les chercheurs ont plus particulièrement étudié une variation génétique naturelle qui touche deux variantes d’un même gène affectant l’activité sérotoninergique.

L’objectif de cette recherche était de trouver une interaction selon laquelle le bagage génétique prédirait la survenue de la dépression uniquement chez les gens qui auraient vécu certaines expériences environnementales qui génèrent des forts niveaux de stress.

Méthode :
1. Déterminé le degré de stress vécu par les participants sur le plan de leurs finances, de leur santé, de leur travail et de leurs relations interpersonnelles
2. Confirmé la présence d’une interaction entre le gène étudié et l’environnement.

Qu’est-ce que la génétique moléculaire a permis de démontrer avec la dépression ?

A

Les participants qui avaient une prédisposition génétique à une faible activité sérotoninergique et qui avaient vécu un grand nombre d’évènements générateurs de stress étaient beaucoup plus susceptibles de vivre une dépression que les autres.

51
Q

Définition de neurosciences

A

Étude scientifique des structures et du fonctionnement du cerveau à tous les niveaux d’analyse, allant du niveau moléculaire, jusqu’aux bases neuronales de la cognition, des émotions et de la motivation.

52
Q

La nature et la culture sont en interaction constante. Avec les découvertes sur les effets des gènes et de l’expérience, il a été possible de distinguer ces trois formes d’interactions gènes-environnement

Quels sont les 3 types d’interaction nature-culture ?

A

1) Deux individus aux traits/gènes différents réagissent de façon différente à la même situation

2) Deux individus aux traits/gènes différents peuvent se comporter de façon à susciter des réactions différentes dans une même situation

3) Deux individus aux traits/gènes différents vont sélectionner et créer des situations (ou environnement différents)

53
Q

La nature et la culture sont en interaction constante. Avec les découvertes sur les effets des gènes et de l’expérience, il a été possible de distinguer ces trois formes d’interactions gènes-environnement

1) Deux individus aux traits différents réagissent de façon différente à la même situation

2) Deux individus aux traits différents peuvent se comporter de façon à susciter des réactions différentes dans une même situation

3) Deux individus aux traits différents vont sélectionner et créer des situations (ou environnement différents)

Pour chaque type d’interaction, donne des exemples où on peut les trouver.

A

1) Interaction entre le comportement parental et les caractéristiques propres de l’enfant
Un comportement de la part d’un parent anxieux pourrait avoir des effets différents sur un enfant irritable et peu réceptif et sur un enfant calme et réceptif

2)
- Au sein d’une même famille, deux enfants pourraient susciter des comportements parentaux différents, ce qui instaurerait deux modes distincts d’interaction parent-enfant.
- Au-delà de la famille, les caractéristiques héréditaires suscitent aussi des réactions différentes chez les pairs et d’autres personnes (ex: Les enfants beaux et moches ne suscitent pas les mêmes réactions chez les paires)

3) L’intraverti et l’extraverti ne cherchent pas les mêmes environnements

54
Q

Le fait que les individus aux constitutions génétiques différentes choisissent et créent des environnements différents est un type d’interaction nature-culture.

Par exemple, l’intraverti et l’extraverti ne cherchent pas les mêmes environnements.

Pourquoi ces effets s’amplifient avec l’âge ?

A

Parce qu’on devient de plus en plus libre de choisir ses propres environnements.

À un moment donné, il devient même impossible de déterminer dans quelle mesure un individu a été soumis à tel effet environnemental et dans quelle mesure il l’a créé

55
Q

Les hémisphères gauche et droit s’activent à divers degrés selon les états émotionnels de l’individu (démontré par EEG).

Notez à quels types d’affects l’hémisphère gauche et droit sont associés

A
  • Hémisphère gauche : prédominant dans l’affect positif et au comportement d’approche
  • Hémisphère droit : prédominant dans l’affect négatif et au comportement d’évitement
56
Q

Les hémisphères gauche et droit s’activent à divers degrés selon les états émotionnels de l’individu (démontré par EEG)
* Hémisphère gauche : prédominant dans l’affect positif
* Hémisphère droit : prédominant dans l’affect négatif

Donne un exemple de résultat qui confirme le postulat de l’hémisphère gauche.

A

Les gens qui souffrent (ou ayant déjà souffert) de dépression ont une activité corticale antérieure gauche moindre que ceux qui n’ont jamais souffert de dépression.

Les bébés qui semblent souffrir davantage d’être séparé de leur mère présentent une plus grande activation pré frontale droite et une activation pré frontale gauche moindre que eux qui semblent souffrir peu de cette même situation.

57
Q

Les hémisphères gauche et droit s’activent à divers degrés selon les états émotionnels de l’individu (démontré par EEG)
* Hémisphère gauche : prédominant dans l’affect positif
* Hémisphère droit : prédominant dans l’affect négatif

Cependant, une forte émotion de colère est associée à l’activation de l’hémisphère gauche, qui était pourtant auparavant l’hémisphère associée aux émotions positives…

Avec ce résultat, comment on peut expliquer la prédominance hémisphérique aux types d’affects ?

A

Souvent, les affects positifs entraînent des comportements d’approche et les affects négatifs entraînent des comportements d’évitement. Mais pour le cas de la colère, c’est un exemple d’affect négatif qui entraîne un comportement d’approche.

La prédominance hémisphérique est donc plus directement liée à la motivation d’approche et d’évitement, c’est-à-dire à la motivation qui incite à s’approcher ou s’éloigner d’un stimulus.
- Hémisphère gauche : lié à la motivation d’approche
- Hémisphère droit : lié à la motivation d’évitement

Pour mieux comprendre :
- État de bonheur : l’individu cherche à s’approcher pour le plaisir que procure l’interaction
- État de colère : l’individu cherche à s’approcher dans un but d’affrontement

58
Q

V ou F : Les gens ayant une atteinte cérébrale dans la région antérieure droite sont plus sujets à la manie

A

Vrai

59
Q

C’est quoi un neurotransmetteur ?

A

Une substance chimique qui transmet l’information d’un neurone à l’autre en traversant l’espace synaptique (permet la communication entre les neurones)

60
Q

Je suis un NT associé à la récompense, au renforcement et au plaisir.

A

La dopamine

61
Q

Qu’est-ce qu’un excès de dopamine peut occasionner ?

A

Schizophrénie

62
Q

Qu’est-ce qu’une insuffisance de dopamine peut occasionner ?

A

Parkinson

63
Q

Je suis un NT qui joue un rôle dans la régulation de l’humeur et qui influence l’irritabilité et l’impulsivité.

A

sérotonine

64
Q

Le modèle de tempérament à trois facteurs de Clark et Watson (1999)

Selon ce modèle, les différences de tempérament entre les individus peuvent se ramener à trois facteurs qui correspondent à trois des cinq dimensions du modèle des « Big Five ».

Quels sont les 3 types d’affects ?

A
  1. Affects négatifs (AN)
  2. Affects positifs (AP)
  3. Déshinibition ou inhibition (DoI)
65
Q

Selon ce modèle, les différences de tempérament entre les individus peuvent se ramener à trois facteurs qui correspondent à trois des cinq dimensions du modèle des « Big Five ».

  1. Affects négatifs (AN)
  2. Affects positifs (AP)
  3. Déshinibition ou inhibition (DoI)

1) Les affects négatifs sont liés à quoi ?
2) Un indice élevé d’AN indique quoi (donne un exemple de trait de personnalité associé)
3) Un indice faible d’AN indique quoi (donne un exemple de trait de personnalité associé)

A

1) Associé au fait d’avoir plus ou moins d’affects négatifs
Indice élevé :
- Plus d’émotions négatives
- Perçoivent le monde comme menaçant, problématique et pénible

Indice faible :
- Émotionnellement stables et content d’eux-mêmes

2) Lié à la tendance de l’individu à interagir avec l’environnement
Indice élevé:
- Associé au comportement d’approche à l’égard d’un stimulus récompense

Indice faible
- Associé au manque de motivation d’incitation à obtenir une récompense

3) Se réfère au mode de régulation des émotions
Indice élevé
- Plus axés sur les émotions et les sensations du moment présent

Indice faible
- Sont prudents, mesurent les répercussions à long terme de leur comportement et fuient les risques et le danger

66
Q

Le modèle de tempérament à trois facteurs de Clark et Watson (1999)

Selon ce modèle lie chaque trait du BigFive au trois facteurs de Clark (selon si l’indice est plus ou moins élevé pour chaque facteur)

3 facteurs
1) Affect négatif
2) Affect positif
3) Déshinibition ou inhibition

A

Affect négatif
- Indice élevé = névrotisme élevé
- Indice faible = névrotisme faible

Affects positifs
- Indice élevé = extraversion et agréabilité élevée
- Indice faible = introversion et agréabilité faible

Déshinibition/inhibition
- Indice élevé = ouverture élevée et conscience faible
- Indice faible = ouverture faible et conscience élevée

67
Q

Le modèle de tempérament à trois facteurs de Clark et Watson (1999)

V ou F : les dimensions AN et AP sont indépendantes l’une de l’autre

A

Vrai ! Même si elles peuvent sembler en opposition, les dimensions AN et AP sont indépendantes l’une de l’autre.

Donc un individu peut avoir un indice élevé ou faible pour chacune d’entre elles. Ces deux super facteurs subissent l’influence des systèmes biologiques internes qui sont différents.

68
Q

Le modèle de tempérament à trois facteurs de Clark et Watson (1999)

Qu’est-ce qui diffère la composante DoI des composantes AN et AP ?

A

Elle ne comporte pas de composante affective. Se réfère plutôt au mode de régulation des émotions.

69
Q

L’alcool est associé à une diminution du fonctionnement de quel NT ?

A

sérotonine

70
Q

Un faible taux de sérotonine est associé avec quel type de comportement ?

A

Agressivité, dépression et impulsivité

71
Q

Je suis le centre de la réaction émotionnelle du cerveau. Je joue un rôle particulièrement important dans l’apprentissage émotionnel aversif.

A

Amygdale

72
Q

Un haut taux de dopamine est associé à quoi ?

A

Émotions positives, énergie, déshinibition et impulsivité

73
Q

Un faible taux de dopamine est associé à quoi ?

A

inhibition, léthargie et anxiété

74
Q

Agir sur ce NT permet de traiter la dépression, les phobies et les troubles obsessifs-compulsifs

A

sérotonine

75
Q

Je suis une hormone reliée au stress qui facilite les réactions en présence d’une menace.

A

cortisol

76
Q

Je suis une hormone importante pour le développement du caractère sexuel qui est associée au désir de domination, la compétitivité et l’agressivité.

A

testostérone

77
Q

Définit la plasticité cérébrale

A

Capacité que possède le système neurobiologique de changer au fil des expériences, temporairement et pour de longues périodes, tout en restant à l’intérieur des paramètres génétiques, et cela, afin de répondre aux exigences adaptatives (aka : les structures cérébrales changent en réponse à l’expérience).

78
Q

Qu’est-ce que la plasticité cérébrale permet de prouver sur les facteurs biologiques ?

A

Les facteurs biologiques subissent des modifications sous l’effet de l’expérience comportementale. La biologie est donc malléable

79
Q

Je suis une technique d’imagerie cérébrale qui permet de déterminer quelles régions précises du cerveau sont sollicitées lorsqu’une personne répond à un stimulus ou exécute une tâche. Cette technique permet d’enregistrer les modifications du flux sanguin dans le cerveau.

A

IRMf