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p1 uv2 > 10 > Flashcards

10 Flashcards

1
Q

DN

A

Le DN est gabarisé pour répondre à un feu d’appartement de 70 m² situé en étage, accessible aux moyens élévateurs aériens et restant dans son volume.

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Q

Mission EP

A

sauvetages
combattre les feux
secourir les victimes
opération diverses

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3
Q

chaque EP dispose (12)

A
  • LA
  • Citerne d’eau
  • Matériel sauvetage et exploration
  • Lances
  • Dévidoir tournant
  • Pompe
  • 2 dévidoirs mobile à panier
  • Tuyaux
  • Réserve émulseur
  • Moyen mouillant / moussant
  • Matériel SUAP
  • Matériel divers
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4
Q

Caractéristique hydraulique
4g
5g
pst
ccr
FPT 1 a 15
FPT 16 et +
FA
FM

A

4G = 1000L - 1000L/m
5G = 900L - 1500l/m
PST = 3500L - 1000l/m
CCR = 2800L - 2000l/m
FPT 1 a 15 = 2200l - 3000l/m
FPT 16 et + = 2500l - 3000l/m
FA 13 à 25 = 1000l - 2000l/m
FM = 1000l - 1500l/m

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5
Q

Armement CA (9)

A

► lance canon à eau/mousse
► 6 tuyaux 110 mm x 40 m roulés sur eux-mêmes
► 2 x 1 600 m de tuyaux de 110 mm pliés en écheveaux

► 2 divisions 100 / 100 X 2 x 50
► 90 obturateurs
► 2 raccords 100 x 100 avec prise mâle x 50 mm raccord

► 8 modules de dispositifs de franchissement de tuyaux (DFT)
► charriot de transport DFT
► 2 tenues d’approche

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6
Q

Mission MEA

A

► réaliser les sauvetages et mises en sécurité
► faciliter les reconnaissances
► participer aux opérations de ventilation
► établir des lances
► effectuer des opérations diverses

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7
Q

Armement MEA

A

► 2 lances de 500 l/min.
► tuyaux
► matériels divers (DOP, porte-voix…)
► ARI + cagoule d’évacuation
► LSPCC équipé d’une corde de 60 m
► module ventilateurs électriques opérationnels

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8
Q

Hauteur échelle
EPSA
EPA
EPAN
BEA

A

EPSA = 24m
EPA EPAN BEA = 30m

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9
Q

Vérification matérielle

A
  • Tous les matins à la prise de garde
  • Changement de piquet
  • Réarmement / retour intervention importante
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10
Q

À chaque fois que la situation le permet il convient que son engagement respecte l’échelonnement suivant :

A

► 1 er engin-pompe
► échelle
► 2e engin-pompe

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11
Q

1er EP

A

► dépasser largement l’entrée de l’immeuble
* faciliter la mise en œuvre de ses moyens
* permettre l’engagement de(s) MEA(s) sur la façade de l’immeuble
* se mettre à l’abri des effets du rayonnement ou des risques d’explosion
* permettre à l’équipage de descendre et de se préparer à couvert
► s’alimenter systématiquement sur l’hydrant le plus proche
► s’engager conformément aux principes de la manœuvre

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12
Q

À son arrivée sur intervention le chef d’agrès du 1 er engin- pompe doit :

A

► transmettre un message de présentation (statuts et phonie)
► afficher un canal tactique sur sa radio
► analyser rapidement la situation
► donner un commandement initial
► rechercher des renseignements auprès du requérant, des témoins

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13
Q

ÇA EP
Il prend ensuite les premières mesures conformément aux principes de la manœuvre et à la MGO
Généralement, il doit veiller (7)

A

► à faciliter l’accès des intervenants suivants
► au barrage effectif des fluides
► au rappel et au blocage des ascenseurs au niveau d’accès pompier
► à la mise en œuvre des moyens de prévention
► reconnaître les différentes faces du sinistre notamment sur la courette
► à l’établissement du ou des 1 ers moyens hydrauliques
► préparer et faciliter l’engagement du chef de garde

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14
Q

Chef d’agrès du MEA doit :

A

► transmettre un message de présentation (status et phonie) et afficher un canal tactique
► faire développer son agrès sur ordre du COS ou à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou de mise en sécurité
► s’équiper de l’ARI et se munir de la cagoule d’évacuation
► positionner le ventilateur
► rendre compte au COS

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15
Q

2ème engin-pompe

A

► s’assurer de la présence effective du 1 er engin-pompe à l’adresse de l’intervention
► transmettre un message de présentation (status et phonie) et afficher un canal tactique
► s’alimenter systématiquement à l’hydrant le plus approprié
► veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels moyens de renforcement (MEA…)
► s’engager conformément aux principes de la manœuvre

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16
Q

Chef de garde incendie (9)

A

► se rendre physiquement à l’adresse puis transmettre un message de présentation (radio et phonie)
► s’assurer du bon engagement des premiers intervenants
► analyser rapidement la situation en :
* interrogeant le 1er chef d’agrès physiquement ou sur canal tactique
* interrogeant les requérants, témoins et victimes
* effectuant le « tour du feu »8
► demander si nécessaire les moyens en renfort dans les meilleurs délais
► commander et coordonner les premières mesures relatives à son idée de manœuvre
► compléter si nécessaire le dispositif hydraulique
► renseigner le commandement
► contrôler l’évolution de la situation et l’efficacité du dispositif commandé (barrage de fluides…)
► être en mesure de réagir face à un évènement nouveau

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17
Q

Afin de limiter les risques d’une rupture d’attaque consécutive à une défaillance mécanique sur la pompe du premier engin, le chef de garde s’assure la conservation et la préservation des moyens hydrauliques déjà établis et/ou commandés en

A

► interdisant le raccordement de plus de 1 LA sur la pompe du 1 er engin
► répartissant judicieusement les établissements d’attaque
► répartissant judicieusement les hydrants aux engins- pompe supplémentaires

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18
Q

Engagement tactique de l’EP de Renforcement

A

► se rendre à l’hydrant le plus approprié à son action sans gêner l’engagement d’autres moyens de renforcement
► remplir sa mission conformément aux ordres du chef de garde

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19
Q

Devoirs généraux de l’équipe

A

► réaliser les missions ordonnées par leur chef d’agrès
► rendre compte de l’exécution de leurs missions et/ou des difficultés rencontrées
► prévoir un itinéraire de repli pour toutes missions entreprises
► se tenir obligatoirement, à la disposition de leur chef d’agrès, dans leurs engins d’affectation s’ils n’ont pas reçu de mission
► le 2e servant recueille les renseignements nécessaires à l’établissement du rapport d’intervention

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20
Q

Devoirs généraux du conducteur(11)

A

► stationner son engin
► EPI (GHV)
► calage et au balisage
► alimenter l’engin avant de mettre les établissements en pression
► afficher la pression correspondante à la nature des établissements
► s’assurer du remplissage de la citerne
► brancher en priorité les établissements sur le collecteur mouillant / moussant pour tous types de feu si le véhicule en est doté
► utiliser judicieusement le système Caméléon CTD
► surveiller le fonctionnement de la pompe
► recenser les matériels divers donnés aux équipages
► positionner les (DFT)

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21
Q

Devoirs généraux de l’échelier (6)

A

► revêtir les EPI et le GHV
► stabiliser l’agrès une fois la mission donnée
► procéder au balisage de l’engin
► développer l’agrès :
* à son initiative en cas de sauvetage imminent et/ou de mise en sécurité
* sur ordre
► recenser les matériels divers donnés aux équipages en cours d’intervention
► positionner les DFT

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22
Q

Reconnaissance opérationnelle objectif

A

s’assurer que les points d’eau incendie (PEI) publics et privés restent utilisables pour l’alimentation des moyens de lutte contre les incendies

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23
Q

PEI (safeen)
Une fois par semestre elle consiste a

A

► l’existence effective du PEI à la bonne adresse
► l’accessibilité
► la signalisation et/ou l’identification
► la fonctionnalité
► l’état général
► la naissance de la présence d’eau

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24
Q

RECO BIPI privé

A

BIPI Privé 1 fois par an

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25
Q

Reco citerne publiques ou privé

A

1 fois par an
► l’accessibilité
► la signalisation
► le volume d’eau disponible
► l’état des raccords d’alimentation

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26
Q

Reco Aires d’aspiration publiques ou privés

A

1 fois par an
► l’accessibilité
► la signalisation
► la présence d’eau
► la hauteur d’aspiration

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27
Q

Différent barrage de gaz

A
  • Organe de coupure général
  • Pied de colonne montante
  • Branchement particulier
  • Robinet de compteur
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28
Q

Points clés barrage de gaz

A

Points clés
- ¼ sens aiguilles d’une montre
- Ne pas forcer
- Ne pas revenir en arrière
- Apres fermeture, refermer le couvercle

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29
Q

CCR où ?

A
  • Façade
  • Hall d’entrée
  • Sous-sol exceptionnellement
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30
Q

Règle établissement de tuyaux (7)

A
  • Faire une grande réserve
  • le plus près possible la bordure du trottoir
  • éviter de couper les rues
  • employer le moins possible de tuyaux
  • Eviter torsions, plis, coudes brusques
  • Ne pas laisser sur décombres brulants
  • A l’abris chute des matériaux
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31
Q

Précaution évitement détériorer les tuyaux

A
  • Eviter pli brusque
  • Eviter angles des murs (coudes)
  • Ne pas marcher dessus
  • Les rouler et les mettre à labri
  • Ne pas heurter les demi raccords
  • Eviter les coups de bélier
  • Ne pas plier, rouler quand ils sont gelés
  • Protéger au cours de transport
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32
Q

mise en place DFT

A
  • Perpendiculaire à l’axe de la chaussée
  • Régler leur écartement
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33
Q

Port ARI Quand ?

A

Feu, court-circuit, explosion, fuite de gaz ou sur ordre

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34
Q

DEF Point fixe

A

Tout objet d’une certaine masse ou d’une structure convenablement ancrée dans le sol ou dans les murs, sur lequel il est possible de s’amarrer constitue un point fixe.
Il doit :
► résister aux forces exercées lors des amarrages
► résister au choc produit par une chute éventuelle du sapeur-pompier

35
Q

Fein de descente

A

Il est constitué par la corde engagée dans le descendeur « type 8 ». La vitesse de descente se contrôle en retenant plus ou moins fortement le brin libre appelé « garant », et en l’écartant de l’autre brin appelé « tirant »

36
Q

Dispositif d’amarrage

A

Le dispositif d’amarrage est constitué au moyen de 2 anneaux de sangle sur 1 ou 2 points fixes reliés entre eux à 1 mousqueton à virole à vis

37
Q

Dispositif de descente

A

Le dispositif de descente est constitué d’un dispositif d’amarrage auquel est ajouté un frein de descente. Il permet de laisser filer la corde de sécurité, de la freiner ou de la bloquer

38
Q

Dispositif de préhension

A

Le dispositif de préhension permet au sapeur-pompier de disposer d’une prise en main efficace sur la corde de sécurité lors d’une manœuvre de remontée.
Appelé aussi « nœud français », il est réalisé avec 1 anneau de sangle

39
Q

Dispositif de remontée

A
  • D’un dispositif de descente, préhension,
  • D’un ou plusieurs dispositifs de renvoi si nécessaire
  • D’un mouflage si nécessaire
39
Q

Dispositif de renvoi

A

Le dispositif de renvoi est réalisé avec les mêmes matériels que le dispositif d’amarrage auquel on ajoute éventuellement une poulie.
Il permet de :
- dévier la corde d’une trajectoire où elle pourrait subir des dommages
- placer la corde à l’aplomb de la victime

40
Q

Nœud de huit

A

Un nœud de « 8 » double doit être exécuté à l’extrémité du « tirant » afin d’y accrocher le mousqueton à verrouillage automatique.
Ce nœud est refait à l’autre extrémité de la corde après chaque utilisation

41
Q

Tête d’alouette

A

utilisé pour attacher un anneau de sangle à un point fixe

42
Q

Progression en hauteur

A

► tester la solidité
► repérer les chassis vitrés
► se déplacer, autant que possible,sur le faîtage
► éviter de marcher sur les plaques de fibro-ciment.

► se méfier des dispositifs métalliques fixes
► faire reposer le pied à cheval sur 2 tuiles ou 2 ardoises
► amarrer les outils emportés
► se déplacer avec un ARI ou une charge qui équilibre qu’en cas d’absolue nécessité

43
Q

Manœuvre échelle à crochet

A
  • Porter, dresser, accrocher, tourner
  • Abaisser, poser, monter, descendre
44
Q

Manœuvre échelle à coulisse

A
  • Porter, dresser, développer, abaisser, poser
45
Q

Manœuvre échelle 3 plans

A
  • Porter, dresser, développer, appuyer, reployer, abaisser
46
Q

Manœuvre BEA(6)

A
  • Monter, descendre, se mettre en position,
  • sauvetage, établir lance, prolongement échelle a crochet
47
Q

Par qui est commandé un départ normal (DN)

A
  • Par un “ chef de garde ”, indifféremment à bord d’un engin-pompe (EP) ou d’un véhicule de liaison radio (VLR), titulaire des qualifications requises à l’exercice de cette fonction
  • En son absence, un officier de garde compagnie (OGC) est sélectionné et le commande
48
Q

Comment se distinguent les engins-pompe (EP) en service à la BSPP ?

A
  • Par la composition de leurs équipages
  • Par leurs capacités hydrauliques
49
Q

Citer les différents types d’engins-pompe (EP) en service à la BSPP

A
  • Premier Secours Evacuation (PSE)
  • Premier Secours Tonne (PST)
  • Camion Citerne Rural (CCR)
  • Fourgon d’Appui (FA)
  • Fourgon Mixte (FM)
  • Fourgon Pompe Tonne (FPT)
50
Q

Quels sont les engins-pompes (EP) qu’un CT1 peut prendre ?

A
  • Premier Secours Evacuation (PSE)
  • Premier Secours Tonne (PST)
  • Camion Citerne Rural (CCR)
51
Q

Quels sont les engins-pompes (EP) que seul un chef de garde peut prendre ?

A
  • Fourgon d’Appui (FA)
  • Fourgon Mixte (FM)
  • Fourgon Pompe Tonne (FPT)
52
Q

Expliquer l’armement d’un Premier Secours Evacuation de 4ème génération (PSE 4G)

A
  • Citerne : 1 000 L
  • Emulseur : 20 L, en bidon
  • Pompe : débit de 1 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 160 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
53
Q

Expliquer l’armement d’un Premier Secours Evacuation de 5ème génération (PSE 5G)

A
  • Citerne : 900 L
  • Emulseur : 100 L, en cuve
  • Mouillant : 50 L
  • Pompe : débit de 1 500 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 160 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
  • 1 système d’injection Caméléon
54
Q

Expliquer l’armement d’un Premier Secours Tonne (PST)

A
  • Citerne : 3 500 L
  • Emulseur : 80 L, en bidon
  • Pompe : débit de 1 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 200 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
55
Q

Expliquer l’armement d’un Camion Citerne Rural (CCR)

A
  • Citerne : 2 800 L
  • Emulseur : 120 L, en cuve
  • Mouillant : 60 L
  • Pompe : débit de 2 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 200 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
  • 1 lance canon 2 000L/min
  • 1 système d’injection Caméléon
56
Q

Expliquer l’armement d’un Fourgon Pompe Tonne (FPT) n° 1 à 15

A
  • Citerne : 2 200 L
  • Emulseur : 120 L, en bidon
  • Pompe : débit de 3 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 200 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
  • 1 lance 50/25
57
Q

Expliquer l’armement d’un Fourgon Pompe Tonne (FPT) n° 16 à +

A
  • Citerne : 2 500 L
  • Emulseur : 200 L, en cuve
  • Mouillant : 100 L
  • Pompe : débit de 3 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Etablissement de manœuvre : 400 mètres de tuyaux de 110 mm en écheveaux
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 200 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
  • 1 lance 50/25
  • 1 système d’injection Caméléon
58
Q

Expliquer l’armement d’un Fourgon d’Appui (FA) n° 13 à 25

A
  • Citerne : 1 000 L
  • Emulseur : 120 L, en bidon
  • Pompe : débit de 2 000 L/min
  • Pression à la pompe : 15 bars
  • Nombre de lances : 1 lance 500 sur la ligne d’attaque (LA) et 1 lance 500 sur dévidoir
  • 2 dévidoirs de 200 mètres
  • 1 LDMR 1 000L/min
  • 1 lance 50/25
59
Q

Expliquer l’armement d’un Fourgon Mixte (FM)

A
  • Citerne : 1 000 L
  • Emulseur : 60 L, en bidon
  • Pompe : débit de 1 500 L/min
  • Exclusivement utilisé en instruction au GFIS
60
Q

Expliquer le matériel de sauvetage et d’exploration que l’on retrouve dans les engins de type Premier Secours (PS)

A
  • 5 Appareils Respiratoires Isolants (ARI)
  • 2 lignes guide
  • 1 Lot de Sauvetage et de Protection Contre les Chutes (LSPCC)
  • 1 échelle à coulisse grand modèle
  • 1 échelle à crochet
  • 1 caméra thermique
61
Q

Expliquer le matériel de sauvetage et d’exploration que l’on retrouve dans les engins de type Fourgon (F)

A
  • 5 Appareils Respiratoires Isolants (ARI)
  • 2 lignes guide
  • 1 Lot de Sauvetage et de Protection Contre les Chutes (LSPCC)
  • 1 échelle à coulisse petit modèle
  • 1 échelle à coulisse grand modèle
  • 1 échelle à coulisse à 3 plans
  • 1 échelle à crochet
  • 1 caméra thermique
62
Q

Expliquer le matériel de sauvetage et d’exploration que l’on retrouve dans les engins de type Moyen Elévateur Aérien (MEA)

A
  • 1 Appareil Respiratoire Isolant (ARI)
  • 1 Lot de Sauvetage et de Protection Contre les Chutes (LSPCC) [avec corde de 60 mètres]
63
Q

Expliquer le matériel de sauvetage et d’exploration que l’on retrouve dans les engins de type Bras Elévateur Aérien (BEA)

A
  • 2 Appareils Respiratoires Isolants (ARI)
  • 1 Lot de Sauvetage et de Protection Contre les Chutes (LSPCC) [avec corde de 60 mètres]
  • 1 caméra thermique fixe
64
Q

A quel engin les fourgons (sauf le Fourgon Mixte) peuvent-ils être associés ? Et pourquoi ?

A
  • A un Camion d’Accompagnement (CA)
  • Dans les interventions situées loin des points d’eau et/ou nécessitant un potentiel hydraulique important dont l’établissement de lances à mousse
65
Q

Dans quels cadres intervient le moyen élévateur aérien (MEA) ?

A
  • D’un départ normal (DN)
  • D’un départ préconstitué
  • Sur demande du commandant des opérations de secours (COS)
66
Q

Citer tous les moyens élévateurs aériens (MEA) qu’il existe à la BSPP

A
  • Echelle Pivotante Semi-Automatique (EPSA)
  • Hauteur maximum : 24 m
  • Série : 25 stab. X
  • Echelle Pivotante Automatique (EPA)
  • Hauteur maximum : 30 m
  • Série : D / D stab. X / E / Camiva
  • Echelle Pivotante A Nacelle (EPAN)
  • Hauteur maximum : 30 m
  • Série : D / E / F (lance grande puissance)
  • Bras Élévateur Articulé (BEA)
  • Hauteur maximum : 30 m / 40 m
  • Série : Metz
67
Q

Citer la marche générale des opérations (MGO)

A
  • Reconnaissances
  • Sauvetages et mises en sécurité
  • Etablissements
  • Ventilation
  • Attaque
  • Protection
  • Déblai et dégarnissage
  • Surveillance
    Rondes
  • RETEX
68
Q

Quelle manœuvre peut être réalisée par le chef d’agrès du 1er engin-pompe, exceptionnellement ? Et pourquoi ?

A
  • A partir du moment où il doit lutter contre une propagation et afin d’abattre les flammes
  • Il peut autoriser la mise en œuvre de la LDT ou de la LA (Ligne d’Attaque) avant que la pompe de l’engin ne soit alimentée par un hydrant
  • Dans ce cas, l’action de la lance se fera par impulsion ; le porte lance disposera d’un maximum de 10 impulsions avant une rupture d’attaque
69
Q

Combien de litres sont nécessaires pour alimenter l’établissement de la ligne d’attaque (LA) ?

A
  • 300 litres
70
Q

Dès lors qu’il doit s’engager pour réaliser un sauvetage, de quoi doit se munir le chef d’agrès du MEA ?

A
  • Du harnais du LSPCC avant d’aborder la victime
71
Q

Qu’est le “ tour du feu ” ?

A
  • Visualisation des 6 faces extérieures du volume sinistré et des différents accès et cheminements permettant d’y accéder
  • Pour cela, le chef de garde peut d’aider de la caméra thermique
72
Q

De quoi s’assure le chef de garde ? Comment ? Pourquoi ?

A

Il s’assure :
- De la conservation et de la préservation des moyens hydrauliques déjà établis et/ou commandés

En :
- Interdisant le raccordement de plus de 1 ligne d’attaque (LA) sur la pompe du 1er engin
- Répartissant judicieusement les établissements d’attaque en fonction des capacités hydrauliques de chaque engin-pompe
- Répartissant judicieusement les hydrants aux engins-pompe supplémentaires en tenant compte des capacités hydrauliques du réseau d’eau

Pourquoi :
- Afin de limiter les risques d’une rupture d’attaque consécutive à une défaillance mécanique sur la pompe du 1er engin

73
Q

Quels autres documents fixent les devoirs généraux du conducteur d’un engin-pompe ?

A
  • Le document de formation 728
  • Le document propre à chaque engin
74
Q

Quels autres documents fixent les devoirs généraux du conducteur d’un engin-pompe ?

A
  • Le document de formation technique 2A. 100
  • Le document propre à chaque engin
75
Q

Par qui est effectuée la mise en œuvre annuelle des aires d’aspiration équipées d’un dispositif d’aspiration ?

A
  • Par le centre de secours territorialement compétent
  • Si le PEI est privé, la manœuvre s’effectue après accord du propriétaire
76
Q

Qui assure l’entretien des crépines installées sur le dispositif d’aspiration des aires d’aspiration ?

A
  • Le propriétaire du PEI
77
Q

Décrivez la signalisation d’une bouche d’incendie publique ou privé

A
  • Diamètre, en mm, de la canalisation sur laquelle la BI est piquée
  • Distance à gauche, en m
  • N° facultatif
  • Distance en ordonnée entre le panneau et la BI, en m
  • Distance à droite, en m
  • Numéro du PEI
78
Q

Donner les caractéristiques de signalisation d’une bouche d’incendie

A
  • Peut-être signalée au moyen de 2 potelets (avec son étiquette autocollante ou sa plaque rivetable sur l’un des potelets)
     La signalisation d’une bouche doit être implantée dans un rayon de 5 mètres autour des potelets
  • Peut-être signalée au moyen d’une plaque murale installée sur une façade de bâtiment
     La bouche se situera alors à 10 mètres maximum de la plaque indicatrice (soit dans l’axe, soit à gauche ou à droite)
  • Peut-être signalée au moyen d’un panneau rouge de signalisation installé sur un candélabre
     La bouche pourra se situer 10 mètres en amont ou en aval du candélabre et à 5 mètres maximum de la voie publique ou de la voie réservée aux engins de lutte contre l’incendie
79
Q

Citer les différents poteaux avec leurs couleurs que l’on peut retrouver

A
  • Rouge (avec parfois du gris) = 60 m3/h à 1 bar
  • Jaune = poteau relié à un réseau surpressé
  • Vert = borne de puisage non utilisable par les sapeurs-pompiers
  • Bleu = poteau d’aspiration
  • Rouge (avec du jaune) = 120 m3/h à 1 bar
80
Q

Citer les différents barrages de gaz que vous connaissez

A
  • L’organe de coupure générale (OCG) coffret sous trottoir
  • L’OCG - branchement immeuble individuel
  • L’OCG - branchement immeuble collectif
  • Le robinet pied de colonne montante
  • Le robinet de branchement particulier
  • Le robinet de compteur
81
Q

Qu’est le “ Goldorak ” de la RATP ?

A
  • Utilisé uniquement par les agents de la RATP
  • Cet appareil n’est pas un court-circuiteur mais un détecteur d’absence de tension
  • Il permet de s’assurer de la coupure effective du courant sur le rail de traction avant toute manœuvre sur les voies
  • La présence éventuelle de tension électrique sur le rail de traction est visualisée par des diodes rouges qui s’allument sur la tête de l’appareil
82
Q
A

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