Trois Essais sur la théorie de la sexualité, 1905 Flashcards

1
Q

Psychopathia Sexualis, Richard Kraft-Ebing, 1866

A

1ère classification et explication des perversions. Parle de sexualité = libération MAIS en mm temps pathologique. Distinction acte pervers et perversion. Acte pervers peut faire objet jugement morale, voire juridique, mais ps médical. Il y a perversion lorsque le désir ou l’impulsion perverse s’impose au sujet.

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2
Q

Contexte

A

Cherche à savoir les désirs que ns refoulons, leur nature, et pourquoi ns en refoulons certains plutôt que d’autres. Se tourne vers les perversions.
Ouvrage fait scandale, nt 2ème Essais prck parle de sexualité infantile “pervers polymorphe”.
D’un pov clinique, Freud taff ps avec enfants, a lu pédiatres de son époque. MAIS il remonte à la sexualité et enfance pervers. Perversion pour Freud est fixation de notre sexualité sur une période infantile.
Cherche une théorie de la perversion, mais aussi de notre sexualité commune, étude psychisme de tt humain.

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3
Q

Distinction sexuel et génital

A

Sexualité infantile est prégénitale, étrangère à la sexualité de l’adulte. 3 gdes périodes, subdivisées en stade : sexualité infantile prégénitales, période de latence, et puberté. AVANT LA PUBERTE, L’ENFANT N’A PS DE SEXUALITE GENITALE.
Il s’arrête sur le suçotement, or à l’époque, débat comme préfiguration masturbation. Mais c’est projeter notre sexualité sur celle de l’enfant. Lui cherche à souligner que le suçotement (autoérotique) est tt à fait étranger à notre sexualité, au pt où difficile de se rpz plaisir enfant.
Il s’agit au contraire de desexualiser l’enfant.

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4
Q

Le 2ème Essai : le désir comme pulsion

A

= Poussée : excitation interne qui entraîne mvt, ne pouvant être interrompu que par la satisfaction.
3 caractères :
- Source : localisée ds partie du corps
- But : satisfaction
- Objet : moyen d’arrive au but, non prédéterminé, ms slt rencontré de manière contingente par la pulsion
= Limite du psychique et du somatique = “rpz psychique des puissances organiques”.

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5
Q

Pulsions du moi et pulsions sexuelles (libido)

A

Pulsions du moi = pulsions d’autoconservation de l’individu.
Pulsions sexuelles = origine somatique, se dvp chez l’enfant avant qu’il soit cap de rpz élevée comme amour ou amitié complexe. Elle a une nature plurielle, plastique, au sens où cap d’adaptation. Elle n’a ps de source au départ, son obj est aussi indéterminé. Observation des perversions montre une plasticité de notre sexualité.

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6
Q

Cmt réconcilier pluralité et universalité ds la pulsion sexuelle

A

Régularité ds formation : pulsions sexuelles émergent par étayage à partir des pulsions du moi.
–> 1ère pulsion sexuelle, liée oralité : plaisir supplémentaire que satisfaction, qui est succion, stimulation lèvres. Lèvres vt dc être recherchée par le nv né.
La pulsion sexuelle emprunte tjrs son organe aux pulsions d’autoconservation (acdre).

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7
Q

Zone érogène primaire / secondaire

A

1° zones qui apportent plaisir ms prédéterminées physiologiquement
2° certains parties du corps deviennent érogènes après stimulation. Ce qui se met en place ds le suçotement.
= Ouverture de la source

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8
Q

Pulsion partielle

A

Enfant ne nait ps avec moi unifié = pulsions chez l’enfant ne sont ps nn plus unifiées, et unification arrivera puberté en s’org autour de l’organe génital. Pulsions st dc indé les unes des autres.
// Schizophrénie, témoignage de patients ds ce morcèlement, impression que le corps n’est plus unifié.

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9
Q

Genèse des pulsions sexuelles

A
  • Stade oral, 0-2 ans, centré autour du suçotement, auto-érotique. Ps de différence éprouvée par l’enfant entre pulsion du moi et sexuelle. C’est qd commence à sucer pouce ou main, qui ne le nourrit ps, que la pulsion sexuelle se détache de la pulsion du moi.
    Auto-érotisme va plus loin à travers distinction zone érogène primaire et secondaire. Zones hiérarchisées en termes de plaisir. Zones secondaires peuvent ê sources de plaisir, ms jms mm intensité que zones primaires, sauf par le biais de déplacement.
  • Stade anal, 2-4 ans, à partir défécation. Etape intermédiaire de sortir auto-érotisme. Une partie de son corps sort de lui-m. Se joue jeu rétention et expulsion. Cadeau donné aux parents, part de lui-m.
  • Stade phallique, 4-6 ans, fin sexualité infantile. Enfants se posent questions sur organes génitaux, curiosité, ms à partir de rpz qui leurs sont propres. Ce stade est le pt culminant du complexe d’Œdipe.
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10
Q

Période de latence

A

6 ans, explications physiologiques, éduc morale et sociale

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11
Q

Stade génital

A

Retour des pulsions sexuelles, qui se heurtent à la censure mise en place pdt période latence. Perte pluralité et plasticité pulsions sexuelles = ttes subordonnées zone génitale, associée reprod espèce. On arrive à sexualité hétéronormée.

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