118 Flashcards

1
Q

Quelles sont les missions de compétence exclusive de la BSPP ?

A

● la prévention et l’évaluation des risques de sécurité civile ; ● la préparation des mesures de sauvegarde et l’organisation des moyens de secours ; ● la protection des personnes, des biens et de l’environnement; ● l’assistance et les secours d’urgence aux personnes en détresse ou victimes d’accidents, de sinistres ou de catastrophes ainsi que leur évacuation

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2
Q

Quelles sont les missions de compétence partagée de la BSPP ?

A

● la protection et la lutte contre les autres accidents, sinistres et catastrophes ;● l’évaluation et la prévention des risques technologiques ou naturels ; aux secours d’urgence.

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3
Q

Citer 4 types d’intervention dont l’objet relève de sociétés du secteur privé.

A

● brancardage au profit de sociétés privées de transport sanitaire ;● mise à l’arrêt des sonneries d’alarme intrusion ;● transport de patient par carence de moyens sanitaires privés ;● distribution d’eau potable auprès des populations ;

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4
Q

Citer 4 types d’intervention dont l’objet relève de services publics spécialisés.

A

● accident matériel de la circulation ;● alerte à la bombe ;● engin explosif ;● objet, colis ou enveloppe suspect ;

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5
Q

Citer les composantes génériques

A

● INC/ELD (incendie/exploration de longue durée) ;● SAP/AMU (secours à personnes / aide médicale urgente) ;● URB (risque urbain) ;● SR (secours routier) ;● CDT (commandement).

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6
Q

Citer les composantes spécialisées.

A

NRBC/DEPOLL (nucléaire, radiologique, biologique et chimique / dépollution) ;● NAUT (nautique) ;● SDE (sauvetage et déblaiement) ;● IMP (intervention en milieu périlleux) ;● CYNO (cynotechnie) ;● TPR (transport et ravitaillement) ;● REC (remise en condition du personnel) ;● SIC (système d’information et de commandement);● RENS (renseignement) ;● COM (communication).

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7
Q

La BSPP participe à des détachements temporaires sur demande de l’état-major. Lesquels ?

A

DIAC, ERE, DACO, DAM, DRUFF

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8
Q

De quoi est constitué la garde d’incendie et de secours ?

A

par l’ensemble du personnel désigné par périodes de 24 heures pour honorer les demandes de secours.

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9
Q

Que comprend la garde au niveau du centre de secours ?

A

● un officier de garde compagnie (OGC) dans les PC de compagnie, officier ou major de l’unité, titulaire de la qualification correspondante et habilité par le commandant de groupement ;● un chef de garde, titulaire du certificat de chef de garde d’incendie, officier ou sous-officier du grade de sergent-chef minimum dans les PC de compagnie, sous-officier dans les autres centres de secours ;● le personnel équipant les engins en service ;● le personnel du poste de veille opérationnelle (PVO) ;● le service de jour.

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10
Q

Que comprend la garde au niveau du groupement ?

A

● un officier supérieur de garde groupement (OSG), titulaire de la qualification « officier supérieur de garde » et habilité par le Général sur proposition du sous-chef emploi ;● un officier poste de commandement (OPC) capitaine TCT au moins, titulaire de la qualification « officier poste de commandement » ;● le personnel du poste de commandement tactique (PC TAC2 ) qui accompagne systématiquement l’OPC en intervention ;● un officier NRBC groupement ;● le sous-officier « statique » et le personnel du centre de suivi opérationnel (CSO) ;● les conducteurs.

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11
Q

Quelles sont les composantes du module commandement ?

A

Aide au commandement Régulation Autorités Santé Experts de garde Officier environnement PC TAC

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12
Q

De quoi est constitué la composante “Aide au commandement” du module commandement ?

A

1 PC TAC de niveau 2 (VPC + VLR opc) ;

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13
Q

De quoi est constitué la composante “Régulation” du module commandement

A

1 officier de garde compagnie désigné officier ZDI ;

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14
Q

De quoi est constitué le module dépollution ?

A

1 BAP + VPB ;1 CMIC ;1 CSP + EMF.

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15
Q

Compléter : “Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention, la présence……………………………………………… ……………………………… est requise.”

A

VE2I, DEP et module commandement.

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16
Q

Quelle est la composition de la CMIC ?

A

1 officier NRBC groupement ;2 CIC.

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17
Q

Quelle est la composition de la CMIB ?

A

Un élément « INTERVENTION » :1 officier NRBC groupement ;1 CIC ;1 CIB.Un élément « ÉVALUATION ET EXPERTISE » :l’officier NRBC Brigade ;le médecin-chef Brigade de garde ;le vétérinaire.

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18
Q

Les éléments de la CMIB peuvent-ils être dissociés ? Si oui, par qui ?

A

Oui, sur décision de l’officier NRBC Brigade après départ de l’élément d’intervention

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19
Q

Quelle est la composition de la CMIR ?

A

1 officier NRBC groupement ;1 CRR ;1CIR (ou 1 autre CRR en cas d’indisponibilité du CIR).

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20
Q

De quoi est constitué une unité ELD ?

A

1 chef et 2 trinômes

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21
Q

De quoi est constitué une unité IMP ?

A

1 IMP3 et 4 IMP2

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22
Q

Quelle est la composition du GEPE ?

A

1 F avec pompe auto-régulée ;1 GRIMP ;1 CESD ;Les officiers « contrôle de zone », « sécurité » et « prévention ».

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23
Q

Quelle est la composition du GRSD ?

A

1 GRIMP (ou PSC SD jusqu’à l’été 2013) ;1 CESD ;1 VEC ;le vétérinaire ;le chef de section « sauvetage déblaiement ».

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24
Q

Pour quoi est conçu le groupe mousse-ventilation

A

pour la réalisation d’une manoeuvre ventilation et/ou mousse, élaborée en particulier lors des feux de parc de stationnement couvert

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25
Q

Quelle est la composition du groupe mousse-ventilation ?

A

1 F ;1 PRM + VGD ;1 PEV ;l’officier « prévention ».

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26
Q

Quand sont utilisées les fiches de départ des secours

A

lorsque les systèmes numérisés de traitement de l’alerte sont indisponibles

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27
Q

Que doit faire figurer le stationnaire sur les fiches de départ des secours ?

A

l’heure du 1er appel et l’indication du motif de l’appel de secours, l’adresse de l’intervention et les indications complémentaires reçues pouvant être utiles au chef de détachement.

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28
Q

Quelles informations doivent figurer sur la main courante opérationnelle

A

● la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;● les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;● les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ; ● les contacts avec les services publics sur demande des chefs da’grès ;● les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;● les changements de garde non programmées ;● les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;● les contacts avec les stations directrices associées.

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29
Q

Dans quels cas la retranscription d’un message est-elle nécessaire

A

● il s’agit d’un feu ou d’une explosion ;● l’opération nécessite des messages de renseignements successifs ● la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne ;● une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible.

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30
Q

Que peut-on noter au verso du carnet de messages et de renseignements

A

tous les éléments nécessaires à la rédaction du rapport, selon les indications du chef d’agrès.

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31
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 1 ?

Cahiers

A

Cahiers de départ des secours PVO.

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32
Q

La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 1.

A

réponse autonome et initiale au risque courant

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33
Q

La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 2.

A

réponse autonome initiale ou complémentaire au risque particulier

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34
Q

La Brigade organise sa réponse opérationnelle en trois niveaux. Définir le niveau 3.

A

réponse initiale, au moins partielle, au risque majeur

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35
Q

Qu’est-ce-qu’un PSA ?

A

le chef d’agrès est un sous-officier ou un caporal-chef titulaire du CT1SP

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36
Q

Qu’est-ce-qu’un PSB ?

A

le chef d’agrès est titulaire de l’UV1 (qualification ADAGIO « cgi »)

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37
Q

Qu’est-ce-qu’un PSC ?

A

le chef d’agrès est le chef de garde du centre de secours (qualification ADAGIO « cdg

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38
Q

De quoi est constitué la composante “Officier environnement PC TAC” du module commandement ?

A

l’officier « communication » ;l’officier « contrôle de zone » ;l’officier « sécurité » ;l’officier « prévention » ;le dessinateur opérationnel.

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39
Q

Complèter : “Le groupe violences urbaines est un détachement ………………….. (sélection …………………….) engagé systématiquement dès ………………………………………………… pour………………………………………., puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode……………………..et ………………………… dans un ……………………….. particulier.”

A

Le groupe violences urbaines est un détachement non paramétré (sélection manuelle) engagé systématiquement dès le déclenchement du plan violences urbaines pour monter en garde, puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode délesté et dégradé dans un quadrilatère particulier.

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40
Q

Quelle est la composition du groupe violences urbaines ?

A

Un élément « ACTION » engagé par le CSO en ZDI :1 officier de garde compagnie ;2 EP dont 1 EP cgi ;1 PC TAC de niveau 2.Un élément « SÉCURISATION » engagé par le CO au CS concerné :1 EP ;1 AR.

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41
Q

Dans quel cadre le module extraction peut-il être demandé et dans quel but ?

A

dans le cadre d’un plan violences urbaines pour extraire des victimes en urgence

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42
Q

Quelle est la composition du groupe extraction ?

A

Un élément « EXTRACTION - PETITE NORIA » engagé par le CSO en ZDI :1 officier de garde compagnie ;4 VSAV (équipage en tenue de feu).Un élément « PMA » engagé par le CO au PMA sécurisé :le directeur des secours médicaux ;1 EP ;1 AR.

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43
Q

Que doit faire figurer le stationnaire sur les fiches de départ des secours ?

A

l’heure du 1er appel et l’indication du motif de l’appel de secours, l’adresse de l’intervention et les indications complémentaires reçues pouvant être utiles au chef de détachement.

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44
Q

Quelles informations doivent figurer sur la main courante opérationnelle ?

A

● la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;● les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;● les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ; ● les contacts avec les services publics sur demande des chefs da’grès ;● les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;● les changements de garde non programmées ;● les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;● les contacts avec les stations directrices associées.

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45
Q

Dans quels cas la retranscription d’un message est-elle nécessaire ?

A

il s’agit d’un feu ou d’une explosion ;● l’opération nécessite des messages de renseignements successifs ● la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne ;● une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible.

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46
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins en service dans les CS ?

A

Guide des plans de Paris et de sa banlieue, datant de moins det rois ans ;bons ST 30 bis de mouvements de matériels ;formulaires de prise en compte provisoire de matériels.

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47
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord de tous les engins de première intervention ?

A

BSP 106 (catalogue des moyens et véhicules spéciaux) ;fiches bilans ;décharges de responsabilité ou refus de transport (imprimés BOPE 7) ;imprimés BOPE 12 de fin d’intervention sur le réseau ferré ;imprimés BOPE 13 informant de l’intervention des sapeurs-pompiers.

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48
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins-pompe ?

A

plans parcellaires des secteurs limitrophes,répertoire des indisponibilités d’hydrants et de barrages des rues.

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49
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 2 ?

A

Cahiers de départ des secours CSO.

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50
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 3 ?

A

Fiches: chef de salle CO, coordination, GIS.

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51
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 4 ?

A

Fiche de départ des secours pour les PVO.

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52
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 5 ?

A

Main courante.

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53
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 6 ?

A

Cahier de messages téléphonés.

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54
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 7 ?

A

Décharge de responsabilité - Refus de transport

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55
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 8 ?

A

Carnet de messages et renseignements.

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56
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 9 ?

A

Incendie ayant entraîné la perte d’une vie humaine.

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57
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 10 ?

A

Rapport ADAGIO papier (partie en-tête, texte et engins).

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58
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 11 ?

A

Rapport ADAGIO (partie victimes et feux).

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59
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 12 ?

A

Imprimé de fin d’intervention (COS-RATP-SNCF) - Transfert de responsabilité soumis à la convention - Autorisation de rétablissement de la circulation.

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60
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 13 ?

A

Papillon jaune : Intervention des SP (par conformité juridique et ADAGIO).

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61
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 14 ?

A

Transmission du message au sein de la salle de gestion de crise.

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62
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 15 ?

A

Proposition émanant des cellules du CO.

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63
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 16 ?

A

Ordre(s) de la cellule commandement.

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64
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 17 ?

A

Mise à jour des rues.

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65
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 18 ?

A

Mise à jour des ETARE.

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66
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 19 ?

A

Mise à jour des BIPI.

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67
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 20 ?

A

Délestage en mode dégradé : fiche de reconnaissances.

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68
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 21 ?

A

Délestage en mode dégradé : tableau de suivi des interventions.

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69
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 22 ?

A

Délestage en mode dégradé : renseignements sur les interventions.

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70
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours

A

1 an

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71
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?

A

5 ans

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72
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?

A

1 an

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73
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?

A

1 an

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74
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative des fiches bilan ?

A

30 ans

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75
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours ?

A

5 ans

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76
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?

A

5 ans

77
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?

A

1 an

78
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?

A

1 an

79
Q

“Le commandement opérationnel de la Brigade s’articule autour de………………………………………… auniveau des groupements et de ……………………………………………….à l’état-major Brigade”.

A

l’échelon tactique / l’échelon opératif

80
Q

En cas d’attentats, lors du déclenchement du 1er plan rouge alpha, qui prends automatiquement le COS ?

A

le commandant opérationnel Brigade

81
Q

En cas d’attentats, lors du déclenchement du 1er plan rouge alpha, qui prends automatiquement la fonction de DSM sur l’ensemble du dispositif ?

A

le médecin-chef Brigade

82
Q

Dans un DPS, qui remplace l’officier de garde compagnie dans la chaîne de commandement opérationnel ?

A

le COS pré-positionné

83
Q

Qui est COS sur les emprises des aérodromes Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget ?

A

Le général commandant la Brigade

84
Q

A qui incombe la responsabilité sur intervention ?

A

au chef présent sur place et qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel

85
Q

S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau (chef d’agrès, chef de garde ou officier de garde) dans le départ de première intervention et dans le complément de premier départ, qui est le COS ?

A

Le chef du CSTC

86
Q

S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau et en l’absence d’un chef du CSTC concerné dans un niveau donné, qui est COS ?

A

Le plus ancien dans le grade le plus élevé

87
Q

Le COS peut se trouver confronté à des problèmes qui ne sont pas abordés dans la documentationopérationnelle. Dans cette hypothèse, étant seul juge des premières mesures à adopter, à quoi fait-il appel ?

A

A ses connaissances théoriques, à son bon sens et à son expérience.

88
Q

VRAI ou FAUX : “L’autorité présente qui ne prend pas le commandement des opérations de secours n’est pas responsable de l’intervention.”

A

FAUX

89
Q

L’anticipation, qui permet la prise

A

de toutes les dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines.

90
Q

Que requiert la discipline de la part de l’exécutant ?

A

la stricte observation des ordres reçus ;la recherche à son niveau du résultat escompté et de l’exécution parfaite de tous les actes y concourant.

91
Q

Qu’impose, en particulier, la discipline d’action ?

A

● de se protéger physiquement avec les équipements de protection individuelle (EPI) et les moyens adaptés (gants, appareil respiratoire isolant, écran oculaire ou facial, arrimage, etc.) ;● de conserver son sang-froid et sa sérénité ;● d’opérer en silence en toute circonstance ;● de rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique (cette règle ne souffre aucune exception lors d’une évolution sous ARI) ;● de rendre compte sans délai des actions menées, ainsi que de tout fait nouveauou de toute initiative.

92
Q

Que forment les limites extérieures du zonage ?

A

Le périmètre de sécurité

93
Q

Comment doit se présenter le zonage sur intervention ?

A

Zone d’exclusion, zone contrôlée, zone de soutien

94
Q

Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone d’exclusion.

A

Il s’agit de la zone où les intervenants sont directement exposés aux effets du danger principal. L’accès en est strictement réglementé et n’est autorisé qu’aux intervenants équipés de tenues de protection adaptées aux risques. ROUGE.

95
Q

Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone contrôlée.

A

Il s’agit d’une zone tampon d’où est coordonné l’engagement des intervenants en zone d’exclusion. Ne doit s’y trouver que du personnel ayant le même niveau de protection vestimentaire qu’en zone d’exclusion. ORANGE

96
Q

Donner la définition, la couleur associée et la tenue à adopter en zone de soutien.

A

Cette zone est la plus excentrée. Comme les autres, elle est interdite au public, de manière à ne pas entraver l’action des secours. Il s’agit cependant d’une zone qui ne nécessite pas de protection particulière pour les personnes qui s’y trouvent. VERTE

97
Q

Donner la définition du COS.

A

Le COS est l’officier, le sous-officier ou le gradé qui, sur une intervention, commande l’action des moyens engagés. Il se retrouve souvent à la tête d’un ensemble de moyens ; il coordonne alors leurs actions.

98
Q

“En intervention, le sapeur de liaison est…………………………………………………………………………………………… …

A

le militaire du rang qui se tient en permanence à la disposition de son chef d’agrès pour remplir les missions que celui-ci juge bon de lui confier

99
Q

“Le sapeur de liaison peut être utiliser pour…………………………………………………………………………………

A

Il peut être utilisé pour renforcer l’action ponctuelle d’une équipe.

100
Q

Dans quel cas le sapeur de liaison a-t-il un rôle prépondérant

A

dans la mise en oeuvre des concepts tactiques de certains plans particuliers, conformément aux règlements en vigueur.

101
Q

Que doit relever le sapeur de liaison sur intervention

A

les renseignements nécessaires à l’établissement du rapport, sous couvert et selon les orientations de son chef d’agrès.

102
Q

Comment doit-être désigné le sapeur de liaison

A

avec soin parmi les sapeurs les plus compétents

103
Q

Que doivent faire les gradés et sapeurs disponibles

A

se tiennent obligatoirement dans les engins auxquels ils sont affectés, à la disposition de leur chef d’agrès.

104
Q

Que doit faire tout militaire de la Brigade qui est témoin ou a connaissance d’un sinistre ou d’un accident proche ?

A

s’y rend immédiatement et donne les premiers secours, tout en faisant le nécessaire pour alerter les secours.

105
Q

Que doit faire tout militaire isolé ayant donné les premiers secours à l’arrivée d’un détachement ?

A

il se présente au premier chef d’agrès, lui rend compte (ou l’informe) de la situation et des premières mesures prises. Il se met ensuite à sa disposition.

106
Q

Que doit faire le chef de détachement si un militaire isolé a porté secours sur une intervention secteur BSPP ?

A

il inclut dans son rapport principal le militaire isolé en le créant dans la partie engin sur intervention (détachement à pied)

107
Q

Que doit faire un miliraire isolé s’il porte secours sur une intervention hors secteur BSPP ?

A

le militaire isolé rédige un compte rendu et l’adresse à son chef de corps avec copie au BOPO/section DOCOPS, pour archivage permettant notamment de répondre à d’éventuelles demandes des SDIS concernés.

108
Q

Que doit faire un militaire isolé s’il traite un événement sans faire appel à un MMA sur le secteur Brigade

A

il en rend compte à son autorité hiérarchique dès sa reprise de service. Il rédige un rapport principal (ODE en retard dans son PVO d’affectation)

109
Q

L’exploitation du réseau radio de la Brigade est assurée sur le principe d’un ……………………………….. …………………………organisé à partir de ……………………………………………………………….. (..…… , .……. , ……..), qui en assurent ………………………………………………………………………………..

A

réseau dirigé /3 niveaux de stations directrices / CO CSO PVO /la mise en oeuvre et l’exploitation

110
Q

Le suivi chronologique et l’archivage des messages d’une opération sont assurés par………………….. .………………………………………………………. Ces derniers doivent être en mesure à tout moment de……………………………. …………………………………………………………………………”

A

les postes fixes (PVO, CSO et CO) ou mobiles (PC TAC) / faire le point de la situation à une autorité

111
Q

Quels sont les différents types de messages

A

départ ;présentation ;demande de moyens ;ambiance ;renseignements ;déplacement ;disponibilité ;rentrée.

112
Q

Pourquoi est-il impératif que chaque message débute par l’annonce de l’indicatif du destinataire

A

Cela laisse au relais le temps de se déclencher

113
Q

Pourquoi les messages simples doivent être transmis à vitesse lente

A

de façon à permettre aux stationnaires et aux opérateurs de les écrire et/ou les dactylographier

114
Q

De quelle manière les messages de renseignement pour les opérations particulières avec PC TAC activé sont-ils systématiquement transmis

A

une première fois à la vitesse d’une conversation, puis une seconde fois à vitesse lente.

115
Q

Pour quelle raison un message doit-il être prioritairement transmis par radio

A

afin d’être entendu et enregistré

116
Q

Un message de renseignement peut-il être modifié ? Si oui, à quelle condition

A

Oui, avant le message « opération terminée

117
Q

La mention de la commune dans le message de départ est-elle systématique

A

Non, seulement en banlieu.

118
Q

Quel type de message a priorité sur tous les autres ?

A

Demande de moyen

119
Q

Dans quel quels délais après la présentation d’un engin doit se faire préferentiellement la première demande de moyen ?

A

Dans les 5 minutes

120
Q

Comment appelle t-on une demande de moyen sans message de renseignement associé ?

A

Une demande sèche

121
Q

A quoi doit être associée une demande de moyen ?

A

une adresse, un groupe horaire et/ou un motif

122
Q

Les demandes de moyen médicalisé peuvent être faites selon deux procédures. Lesquelles ?

A

Cas « usuel », cas « exceptionnel »

123
Q

Expliquer le cas “usuel” d’une demande de moyen médicalisé

A

la décision d’envoi d’un moyen médicalisé a été prise par le médecin coordinateur après le bilan du chef d’agrès, ou le moyen médicalisé est envoyé au départ des secours.

124
Q

Expliquer le cas “exceptionnel” d’une demande de moyen médicalisé

A

Dans certains cas, le chef d’agrès a besoin d’un moyen médicalisé, mais se trouve confronté à une situation particulièrement urgente ou est dans l’impossibilité de contacter la coordination médicale.

125
Q

En l’absence de la police et dans le cadre d’une agression caractérisée envers les secours, comment se formule la demande par radio du chef d’agrès ?

A

« Je demande police d’urgence, telle adresse, pour tel motif ».

126
Q

Donner la contexture du message de rentrée.

A

1) Utilisation des moyens et actions menées par les sapeurs-pompiers.2) Victimes.3) Moyens de secours privés utilisés. 4) Matériels laissés sur place.5) Relèves et première ronde prévues.6) Cause supposée.7) Description des dégâts provoqués par les SP.8) Difficultés particulières rencontrées.9) Signalements auprès du bureau prévention et/ou des services publics. Préciser le caséchéant la nécessité d’un engagement du groupe investigation (RCCI ).

127
Q

Lorsque SINUS a été activé, quelle rubrique du message de rentrée est concerné

A

La partie 2 (victimes)

128
Q

Sur un feu, un RIA a été utilisé avant l’arrivée des secours. Cette information apparaîtra t-elle dans le message de rentrée ? Si oui dans quelle rubrique ?

A

Oui , dans la partie 3

129
Q

Vous êtes chef d’agrès échelle. Vous intervenez pour un feu, mais le mauvais stationnement d’un véhicule vous empêche de mettre en station votre agrès. Dans quelle rubrique du message de renseignement cette information apparaîtra t-elle ?

A

8) Difficultés particulières rencontrées

130
Q

De quoi est constitué le triangle du feu ?

A

Combustible, comburant et énergie d’activation

131
Q

Par quels mécanismes parvient-on à éteindre un incendie ?

A

Refroidissement, étouffement et dispersion du foyer

132
Q

Quels sont, globalement, les 3 types de feux ?

A

Les feux de CONTENANT, Les feux de CONTENU, Les feux DIVERS

133
Q

Comment peut se transmettre la combustion

A

Transfert de la chaleur et/ou déplacement des substances en combustion

134
Q

Comment peut se transmettre la châleur ?

A

conduction, convection ou rayonnement

135
Q

Citer le principe de la manoeuvre

A

SAUVETAGES, MISES EN SÉCURITÉ.LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS.VENTILATION.ATTAQUE et EXTINCTION.PROTECTION.

136
Q

Que prescrit, sauf contre indication particulière, le concept tactique d’engagement sur feu au 1er EP ?

A

● de dépasser largement l’entrée de l’immeuble et si possible l’adresse de l’intervention ;● de s’alimenter systématiquement sur l’hydrant disponible le plus proche ;● de s’engager conformément aux principes de la manoeuvre ;● de pouvoir être désengagé facilement dès que possible.

137
Q

Que prescrit, sauf contre indication particulière, le concept tactique d’engagement sur feu au 1er MEA ?

A

de se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages ;de laisser la place à la mise en station éventuelle d’un deuxième MEA ;d’être stabilisé ;de s’engager conformément aux principes de la manoeuvre

138
Q

Que prescrit, sauf contre indication particulière, le concept tactique d’engagement sur feu au 2ème EP ?

A

● de s’assurer de la présence effective du 1er engin-pompe à l’adresse de l’intervention ;● de s’alimenter systématiquement à l’hydrant le plus approprié à la manoeuvre ;● de veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels MEA de renforcement ;● de s’engager conformément aux principes de la manoeuvre

139
Q

L’extinction régulière d’un incendie est caractérisée par trois phases actives. Lesquelles ?

A

circonscrire le feu, s’en rendre maître, en achever l’extinction

140
Q

Donner la définition de “feu circonscrit”.

A

Le feu est circonscrit lorsque les lances sont établies aux points d’attaque choisis et en nombre suffisant pour empêcher le feu de se propager.

141
Q

Donner la définition de “maître du feu”.

A

On est maître du feu lorsque le foyer diminue d’intensité et que l’on est certain qu’il ne peut plus prendre d’extension dans les limites où il a été circonscrit. A cette phase, le débit hydraulique des moyens d’extinction est à son maximum. Ces moyens sont supérieurs ou égaux en volume à ceux établis pour circonscrire le feu

142
Q

Donner la définition de “feu éteint

A

Le feu est éteint lorsqu’il ne subsiste plus aucune flamme et que seuls quelques débris ou foyers résiduels subsistent. L’extinction est achevée en dégarnissant et/ou en déblayant, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de matières en combustion.

143
Q

Que signifie MGO ? La citer.

A

reconnaissances ;sauvetages et mises en sécurité ;établissements ;ventilation ;attaque ;protection ;déblai et le dégarnissage ;surveillance

144
Q

“Les reconnaissances : actions qui consistent à explorer tous les endroits exposés au sinistre, de manière à :

A

procéder sans délai aux sauvetages ;rechercher d’éventuelles victimes ;cerner les limites du sinistre ;déterminer la nature des matières en combustion ;déterminer le mode d’extinction approprié ;définir les points d’attaque et les cheminements pour y parvenir.

145
Q

Quelle situation justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre, sans la mise en place préalable d’un « binôme de sécurité », du TGR et de l’établissement d’un moyen hydraulique ?

A

Seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser

146
Q

Hormis dans le cas express d’un sauvetage, dans quel sens les reconnaissances sous ARI doivent-elle toujours s’effectuer ?

A

Dans le sens du tirage

147
Q

Donner la définition d’une reconnaissances d’attaque.

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes.

148
Q

Donner la définition d’une reconnaissances périphérique

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique.

149
Q

Donner la définition d’une reconnaissances à vue

A

Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique.

150
Q

Donner la définition du confinement

A

Opération visant à ordonner à des personnes de se maintenir à l’abri d’un danger ambiant, en se calfeutrant à l’intérieur des locaux dans lesquels elles se trouvent.

151
Q

Donner la définition de l’évacuation.

A

Opération visant à ordonner préventivement à des personnes de se déplacer hors des limites d’un périmètre de sécurité, au besoin en les accompagnants, afin qu’elles ne se trouvent pas exposées aux effets d’un danger évolutif.

152
Q

Donner la définition du sauvetage.

A

Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine.

153
Q

De quoi faut-il tenir compte lors de l’utilisation des appareils d’incendie (BI-PI) ?

A

du réseau, de leur débit, du diamètre de la conduite qui les alimente et de leur emplacement par rapport au feu.

154
Q

En quoi consiste la ventilation ?

A

mettre en oeuvre les moyens de désenfumage existants ou s’assurer de leur déclenchement automatique ;mettre en place si nécessaire un dispositif de ventilation adapté à la configuration des lieux et au type de sinistre ;maîtriser le sens du tirage.

155
Q

Quels sont les 2 principes de ventilation ?

A

Ventilation naturelle et mécanique

156
Q

Quels sont les 2 tactiques de ventilation

A

Ventilation de protection et ventilation d’attaque.

157
Q

Quels sont les 2 techniques de ventilation

A

Dépression (aspiration) et surpression (injonction).

158
Q

Donner la définition de la ventilation naturelle.

A

Courant d’air obtenu sans moyen mécanique. Elle consiste en un balayage de l’air

159
Q

Donner la définition de la ventilation mécanique

A

Courant d’air obtenu avec des moyens mécaniques. Elle consiste à créer une surpression ou une dépression. Elle regroupe le désenfumage mécanique (moyens mécaniques de l’établissement) et la ventilation opérationnelle (moyens mécaniques des sapeurs-pompiers).

160
Q

Donner la définition de la ventilation de protection.

A

Elle consiste à mettre un compartiment en surpression, afin de le protéger des fumées et des gaz chauds.

161
Q

Donner la définition de la ventilation d’attaque.

A

Elle consiste à créer un tirage favorable pour les porte-lances. Elle contribue également à réduire le risque d’embrasement généralisé éclair, à améliorer la visibilité, à réduire la chaleur ambiante et à protéger les voies de communication.

162
Q

Quels sont les objectifs de la ventilation ?

A

● favoriser les sauvetages, les mises en sécurité et les évacuations ;● sécuriser la progression des intervenants en prévenant la survenue de phénomènes thermiques ;● faciliter l’engagement des intervenants en préservant certains locaux, soit en évacuant les fumées, soit en les mettant à l’abri des fumées ;● favoriser l’extinction du sinistre en contrôlant les propagations du feu.

163
Q

Donner la définition de l’attaque.

A

Phase de la manoeuvre destinée à abattre les flammes pour enrayer la propagation du feu, puis aboutir à son extinction.

164
Q

Comment sont déterminer les points d’attaque ?

A

on recherche les endroits vers lesquels la propagation du feu peut se faire le plus facilement ou à partir desquels l’action des lances sur le foyer principal sera la plus efficace.

165
Q

Les points d’attaque sont désignés ……………………………….., de telle sorte que ……………………………….. …………………………………………………………..ou……………………………… avec efficacité sur…………………………………………………

A

au plus près / l’eau soit projetée de plein fouet / diffusée / les matières qui brûlent

166
Q

Si le foyer n’a pas une grande étendue et si le feu ne peut pas prendre une rapide extension, il ………………………………………………………………………………………………..…….. : on le maîtrise………………………………………………

A

est attaqué à l’aide d’une ou plusieurs lances /sans avoir besoin de le circonscrire

167
Q

Si l’incendie a pris tout de suite une violence telle que tous les foyers ne puissent être attaqués simultanément, il faut porter ses efforts………………………………………………… . Au besoin, ……………………………. ………………….sont pratiquées ………………………………. pour.

A

sur les points les plus menacés / des ouvertures / dans les cloisons / faciliter l’attaque

168
Q

Si le débit du diffuseur est insuffisant par rapport à la violence du feu, que se produit-il ?

A

une vaporisation instantanée, ainsi que des retours de flammes et de vapeurs brûlantes, souvent dangereux pour les porte-lance.

169
Q

Si le débit du diffuseur est trop élevé (attaque massive), que se passe t-il ?

A

le rapport entre la masse d’eau utilisée et celle nécessaire à l’extinction occasionnera des dégâts plus importants et engendrera des risques liés à la production excessive de vapeur.

170
Q

Expliquer ce qu’est l’attaque “tridimensionnelle”.

A

Une attaque indirecte du foyer au cours de laquelle l’eau sera projetée dès l’approche du feu afin de constituer un brouillard d’eau, même en dehors du compartiment du feu lui-même, inerte les gaz surchauffés et refroidit l’atmosphère ambiante.

171
Q

Quand l’attaque “tridimensionnelle” est-elle préconisée

A

Dès lors que le foyer n’est pas maîtrisable sans avoir inhibé préalablement les risques d’embrasement généralisé éclair (attitude défensive) ou pour apporter plus de confort lors de la progression, en vue d’attaquer par la suite la source principale du feu (attitude offensive).

172
Q

Dans quelle position doit se placer le porte-lance avant de pénétrer dans un local

A

se placer dans la position la plus basse possible, à l’écart des effets d’une éventuelle explosion et en dehors de l’axe de l’ouvrant ;

173
Q

Après avoir pénétré dans un local et apercevant les signes d’un phénomène thermique imminent, que doit faire le porte-lance suivant sa position

A

● sortir du local ;● se protéger derrière tout écran (mur, paroi, meuble ou porte …), tout en refroidissant le local sinistré par impulsion ou crayonnage ;● se mettre en position de survie en se jetant au sol, tout en actionnant un jet diffusé de protection au dessus des casques des intervenants, si le phénomène thermique se déclenche tandis que du personnel est encore présent dans le local concerné.

174
Q

Où doit se placer le porte-lance lors de la manoeuvre de sa lance ? De quoi doit-il se protéger ?

A

Au point d’attaque désigné par son chef d’agrès, en se protégeant du rayonnement et d’éventuels retours de flammes

175
Q

Lors de la manoeuvre de sa lance, le porte-lance doit chercher à arrêter………………………………………, si possible du côté……………………………………, puis manoeuvrer sur ………………………………………………………………. …………………………………………………………qui auraient pu…….

A

la propagation / le plus menacé /le foyer principal et les foyers secondaires /prendre naissance à proximité

176
Q

Que doit faire le porte-lance pour n’utiliser que l’eau strictement nécessaire à l’extinction ?

A

fermer sa lance lors de ses déplacements ;attaquer directement le foyer proprement dit, seulement après avoir neutralisé le risque majeur des effets thermiques ;prendre soin de ne pas diriger le jet constamment sur le même point, de ne pas atteindre les vitres et objets que l’eau peut dégrader.

177
Q

Que doit faire le porte-lance dans tous les cas ?

A

se maintenir en liaison permanente avec son équipier et son chef d’agrès et, autant que possible, avec un binôme voisin ;rendre immédiatement compte de tout changement de situation.

178
Q

Que nécessite généralement la protection ?

A

le bâchage ;l’évacuation de l’eau ;l’assèchement ;le déménagement (exceptionnel) ;l’aération ;l’étaiement léger.

179
Q

Donner la définition du déblai.

A

Opération qui consiste à déplacer les décombres et les objets qui pourraient cacher des foyers pour en achever l’extinction et écarter tout risque de reprise de feu. Le déblai peut être mené conjointement à l’attaque pour faciliter l’extinction

180
Q

Donner la définition du dégarnissage

A

Opération qui consiste à gratter les éléments de construction, murs, poutres et planchers pour en retirer la couche de résidus de combustion, afin de s’assurer de l’extinction au coeur du matériau et de prévenir une reprise de feu.

181
Q

Au cours du déblai et du dégarnissage, à quoi faut-il est particulièrement vigilant

A

aux points sensibles , aux chutes de matériaux, à la toxicité des fumées, aux produits dangereux, au risque d’effondrement, à la sécurité du personnel engagé en hauteur et aux obstacles divers.

182
Q

Dans quel cas le dégarnissage et le déblai sont retardés ou limités à leur strict nécessaire

A

Lorsque le laboratoire central de la préfecture de police ou la police judiciaire a été demandé

183
Q

Donner la définition de la suirveillance.

A

Opération qui consiste à empêcher tout risque de reprise de feu par la mise en place d’un détachement de sapeurs-pompiers une fois le message « feu éteint » transmis

184
Q

Donner la définition d’une explosion de fumée.

A

Il s’agit de l’explosion, lors de l’apport d’air, des fumées et des gaz combustibles accumulés dans le volume, si celui-ci est clos.

185
Q

Donner la définition d’un embrasement généralisé.

A

Il s’agit d’un embrasement généralisé et instantané des matériaux combustibles présents dans le volume, si celui-ci est partiellement ouvert

186
Q

“La zone d’intervention est systématiquement ……………………………….. dès lors qu’il existe un risque d’explosion. En cas d’intervention de grande ampleur, le périmètre de sécurité peut être constitué au moyen ……………………………………………….situé dans …………………………

A

sécurisée / du lot de balisage Brigade / les BAN

187
Q

Certains locaux (industries, laboratoires, hôpitaux, universités, etc.) et moyens de transport peuvent présenter, de par leur activité ou les appareils qu’ils contiennent, des risques radiologiques, biologiques ou chimiques. Dans ce cas, quel doit être le soucis immédiat du chef de détachement

A

protéger son personnel ;établir un large périmètre de sécurité ;se renseigner au plus vite sur la nature et l’emplacement du risque (technicien, responsable d’établissement, documentation) ;demander les moyens adaptés

188
Q

Le dispositif médical et de secours français repose sur trois piliers. Lesquels

A

la permanence des soins ;le secours à personne (SAP) ;les structures hospitalières de médecine d’urgence.

189
Q

La chaîne du secours à victime est composée de plusieurs maillons interdépendants et indispensables. Lesquels

A

la sécurité ;l’alerte des services de secours ;la réalisation des gestes de secours par un témoin ;la prise en charge par les sapeurs-pompiers ;la médicalisation pré-hospitalière ;la prise en charge hospitalière.