BONUS Flashcards

1
Q

Citez deux des rôles principaux de l’hypothalamus et le nom des sous structures responsables de ces fonctions. (15 lignes maximum)

A

Les structures hypothalamiques interviennent au niveau de tous les grands comportements liés à l’homéostasie et à la conservation de l’espèce : faim, soif, comportement sexuel.
En outre, ainsi que l’ont démontré de nombreux travaux, ces structures jouent également un rôle essentiel dans la régulation thermique, la lactation, diverses réactions cardio-vasculaires associées au comportement d’agression, d’alarme, de défense et au contrôle du sommeil…
Le comportement alimentaire est principalement contrôlé par 3 noyaux hypothalamiques : le noyau dorso-médian et l’aire hypothalamique latérale sont des centres initiateurs de la faim alors que le noyau ventro-médian est un centre de satiété.
Le noyau paraventriculaire est la principale structure impliquée dans la sensation de soif et le comportement dipsyque.
Par ailleurs, le noyau suprachiasmatique de l’hypothalamus est la principale structure impliquée dans l’établissement des rythmes circadiens. Des fibres en provenance de la rétine permettent par exemple au noyau suprachiasmatique de mettre en adéquation les cycles jour/nuit avec les rythmes internes de l’individu.

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Q

Quelle est la structure qui est constituée de plusieurs paires de noyaux et qui joue un rôle essentiel dans le déclenchement des comportements tels le comportement alimentaire, sexuel, parental, le comportement d’agression, la thermorégulation, etc. ?

a. Hypothalamus
b. Hippocampe
c. Amygdale
d. Aucun des énoncés n’est correct

A

✅ a. Hypothalamus

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3
Q

Les recherches en neurosciences ont mené à caractériser __A__ comme une aire privilégiée dans la régulation de la prise alimentaire.
- __B__ facilitera l’action de manger. En effet, cette région a été considérée comme le centre __C__ car d’une part il contient des neurones sensibles au __D__ et d’autre part sa destruction provoque des __E__ (affection qui consiste en l’impossibilité de déglutir et à avaler la nourriture) et de __F__ (l’absence anormale de la sensation de soif).
- __G__ inhiberait l’action de manger. Il a été longtemps identifié comme le centre __H__.
Ces deux régions exercent des influences antagonistes tant sur le comportement externe que sur les ajustements internes. L’activité de __I__ renforce l’action des stimuli alimentaires positifs, facilite les réponses liées à l’action de manger et active dans l’organisme la mobilisation et l’utilisation des réserves nutritives. L’activité de l’__J__ renforce l’action des stimuli alimentaires qui provoquent l’aversion, facilite l’évitement de la nourriture et active les mécanismes d’entreposage et de conservation des réserves nutritives internes. Des données indiquent que ces deux régions s’inhibent mutuellement. En effet, en pratiquant une lésion partielle dans l’autre région, on peut modérer les effets d’une lésion partielle dans l’une de ces deux régions.

A
A : l’hypothalamus (0,5pt)  
B : L’hypothalamus latéral (HL) (1point) 
C :  de la faim (0,5pt) 
D : glucose (0,5pt) 
E :  aphagies (0,5pt) 
F : l’adipsie (0,5pt)  
G : L’hypothalamus ventro-médian (HVM) (1point)
H : de satiété (0,5pt). 
I : l’hypothalamus latéral (HL) (0,5pt) 
J : l’HVM (0,5pt)
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4
Q

Chez le rat, l’exposition chronique à une situation incertaine produit

a. Une augmentation des défenses immunitaires
b. Une diminution des défenses immunitaires
c. Aucun effet sur les défenses immunitaires
d. Aucun des énoncés n’est correct

A

✅ b. Une diminution des défenses immunitaires

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5
Q

Chez l’homme, certains agonistes de __A__, comme les antidépresseurs tricycliques, font augmenter l’appétit pour __B__

A

A : la noradrénaline

B : le sucre

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6
Q

Le sommeil intermédiaire comprend des éléments appartenant à la fois au sommeil à __A__ et au sommeil __B__.

A

A : ondes lentes

B : paradoxal

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7
Q

Des hormones comme __A__,__B__,__C__ et la __D__ contribuent indirectement à la régulation du comportement alimentaire.

A

A : l’adrénaline
B : le cortisol
C : l’hormone de croissance
D : somatostatine

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8
Q

La dualité entre l’expression corporelle des émotions et la conscience des émotions a été au cœur des théories fondatrices : théorie de __A__ (1880) et théorie de __B__ (1920-1930).

A

A : James-Lange

B : Cannon-Bard

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9
Q

Pour appréhender les émotions, il est nécessaire de comprendre les relations entre l’expression des émotions orchestrée par des structures __A__ et l’expérience des émotions représentée au niveau du __B__.

A

A : sous-corticales

B : cortex

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10
Q

Pour Papez, __A__ était activé par des processus sous-corticaux et corticaux permettant de prendre en compte à la fois l’expression des émotions (avec la participation de __B__) et l’expérience des émotions. Même si certaines structures du circuit de Papez (__C__ par exemple) se sont révélées depuis non impliquées directement dans les émotions, l’idée novatrice de Papez a été au commencement de la théorie du système __D__.

A

A : le cortex cingulaire
B : l’hypothalamus
C : hippocampe
D : limbique

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11
Q

Les muscles du visage sont sous la dépendance des motoneurones situés dans __A__.
Les axones de ces neurones moteurs forment __B__.
Ces neurones reçoivent des influences provenant de deux systèmes de projection descendantes : le système __C__ et le système __D__.

A

A : le tronc cérébral.
B : le nerf facial
C : pyramidal
D : extrapyramidal

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12
Q

Le système nerveux végétatif comporte deux sous-systèmes qui ont une action antagoniste : le système sympathique et le système parasympathique.
Expliquez le but de l’action sympathique et donnez quelques exemples pour illustrer les signes de son activation.
(6 lignes maximum)

A

Le système sympathique mobilise les ressources énergétiques et prépare l’organisme à l’action pour fuir ou combattre. Le système sympathique a pour but de permettre à l’organisme de préserver ses chances de survie dans des situations de danger. Les signes de son activation sont divers et variés : dilatation des pupilles, accélération cardiaques (pour augmenter la distribution de glucose et d’oxygène), dilatation des bronches (pour accroitre l’oxygénation), etc.

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13
Q

Les expériences de Le Doux ont mis en évidence deux voies d’accès à l’amygdale latérale pour les informations sensorielles. Quelles sont ces deux voies et leurs implications fonctionnelles ?
(6 lignes maximum)

A

1) Une voie basse, courte, rapide mais grossière, depuis le thalamus : elle court-circuite le néocortex, apporte rapidement des informations pour déclencher les réponses importantes dans la situation de danger.
2) Une voie haute, lente mais précise, à travers le cortex primaire et les cortex associatifs : elle permet une analyse de la situation et une évaluation cognitive qui complète l’action de la voie basse.

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14
Q

Le rôle respectif de l’amygdale et de l’hippocampe a été observé chez des patients montrant des lésions sélectives de l’une ou de l’autre de ces structures. En partant du protocole de peur conditionnée, comparez les résultats obtenus chez des patients atteints de lésions de l’amygdale avec ceux des patients atteints de lésions de l’hippocampe.
(6 lignes maximum)

A

Dans le protocole de peur conditionnée, alors que les patients avec une lésion de l’amygdale ne montrent aucune réponse galvanique, les patients atteints de lésions hippocampiques (avec l’amygdale intacte) montrent un conditionnement normal. Quand ils sont interrogés sur le protocole expérimental auquel ils ont été soumis, les patients avec lésions de l’amygdale répondent parfaitement pour décrire la succession d’événements. Autrement dit, ils ont une parfaite mémoire explicite et déclarative de la situation. Par contre, les patients avec lésions de l’hippocampe sont incapables de rappeler et de verbaliser la suite des événements qui ont eu lieu lors du protocole.

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15
Q

__A__ est une petite région constituée de plusieurs paires de noyaux. Cette région joue un rôle essentiel dans le déclenchement des comportements tels le comportement alimentaire, sexuel, parental, comportement d’agression, thermorégulation, etc. Elle est aussi impliquée dans le renforcement __B__ et le renforcement __C__.

A

A : L’hypothalamus
B : positif
C : négatif

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16
Q
  1. Quelle est la réponse correcte parmi les énoncés suivants ?
    a. La dopamine fait augmenter l’appétit pour les protéines
    b. La sérotonine fait diminuer l’appétit pour les sucres
    c. a et b
    d. aucun de ceux là
A

✅ b. La sérotonine fait diminuer l’appétit pour les sucres

17
Q

L’activité du cerveau gauche serait associée à __A__ des défenses immunitaires. A l’inverse, la dominance du cerveau droit (ou l’absence de dominance gauche) serait associée à __B__ de ces mêmes défenses.

A

A : un renforcement

B : la dépression

18
Q

Quand l’incompatibilité HLA (Human Leucocytes Antigens, c’est à dire antigènes (ou marqueurs) des leucocytes humains) est grande dans un couple, leur chances de procréation sont __A__.

A

A : élevés

19
Q

Le syndrome de Klein-Levin se caractérise par __A__ et __B__.
A : une hypersomnie
B : une hyperphagie

A

A : une hypersomnie

B : une hyperphagie

20
Q

Qu’est-ce qui se passe chez les souris dont les neurones à hypocrétines sont détruits ?

A

Elles deviennent obèses bien qu’elles se nourrissent moins.

21
Q

Le sommeil à ondes lentes se divise en quatre stades. Expliquez brièvement le stade I.

A

L’endormissement se manifeste par une dérive des ondes ALPHA vers des fréquences plus faibles puis par leur disparition au profit d’un tracé plus irrégulier composé de séquences de faibles amplitudes et de rythmes plus lents dits « THÊTA ». Le sujet, alors facile à réveiller, soutient généralement qu’il ne dormait pas. Ce stade qui ne représente que 2 à 4% de la durée du sommeil est accompagné d’une imagerie de type hypnagogique et d’impressions corporelles bizarres.

22
Q

L’éveil attentif est caractérisé par un tracé rapide de faible amplitude, appelé aussi rythme

a. Alpha
b. Bêta
c. Gamma
d. Thêta

A

✅ b. Bêta

23
Q

Des hormones comme l’insuline et le glucagon sont directement impliqués dans la régulation de la glycémie (taux de glucose dans le plasma sanguin).
Quels sont leurs effets respectifs sur la glycémie ?

A

L’insuline : hypoglicémiante puisqu’elle favorise l’assimilation cellulaire du glucose.
Le glucagon : hyperglicémiant car il provoque la transformation des réserves énergétiques en glucose et acides gras.

24
Q
  1. L’amour maternel et l’amour romantique activent, dans le système de récompense du cerveau, à la fois des régions spécifiques pour chaque type d’attachement et aussi des régions qui se chevauchent. Ces régions comprennent des aires riches de récepteurs __A__ et de __B__. Ces neuromodulateurs semblent jouer un rôle dans l’attachement. Les deux sont produits par l’hypothalamus et sont sécrétés par et stockés dans __C__. Ils sont libérés dans la circulation sanguine lors de l’orgasme pour les deux sexes et lors de l’accouchement et l’allaitement chez les femelles. Chez les mâles, __D__ semble aussi être liée au comportement social et à l’agression envers les autres mâles. La concentration de ces deux neuromodulateurs augmente pendant la phase intense de l’attachement romantique et pendant l’union.
A

A : d’ocytocine
B : vasopressine
C : l’hypophyse (glande pituitaire)
D : la vasopressine

25
Q

Il y a une activation de ____ avec simultanément des sentiments romantiques et de l’excitation sexuelle alors que cette dernière est absente dans l’attachement maternel.
Son activation peut ainsi constituer la composante érotique qui est présente dans l’attachement romantique mais pas dans l’attachement maternel.

A

l’hypothalamus

26
Q

Quand Blaise Pascal disait « le cœur a ses raisons que la raison ne connait point », il ne savait certainement pas que dans l’état amoureux la raison est suspendue à cause des lobes __A__ qui eux aussi sont (au moins temporairement) suspendus. On peut certainement tirer une leçon neurobiologique de cette suspension temporaire du jugement. Les amoureux, même s’ils suspendent leur jugement au sujet de l’être aimé, restent néanmoins capables de critiquer une œuvre littéraire ou scientifique. La suspension du jugement est donc sélective et il s’agit d’un ensemble de connections et d’opérations neuronales spécifiques quand il est question d’amour.

A

A : frontaux

27
Q

La beauté et l’amour ne sont jamais loin du désir érotique car l’amour le plus intense va de pair avec le désir sexuel et ces deux facultés partagent des aires en commun dans le cerveau. Un visage attractif et l’excitation sexuelle, de même que l’expérience de la beauté visuelle engagent une partie du cerveau, soit le cortex __A__.
Le visage de la personne aimée engage également deux régions corticales qui sont__B__et le __C__.
Les visages attractifs, de même que le visage de la personne aimée, désactive le cortex __D__ et __E__.

A
A : orbitofrontal
B :  l’insula 
C : cortex cingulaire antérieur
D : frontal
E : l’amygdale
28
Q

Le cortex orbitofrontal est connecté avec l’amygdale et d’autres aires corticales et sous corticales – A_B_C – qui sont engagées durant l’expérience amoureuse. En conséquence, la connexion intime entre la beauté et l’amour ne serait probablement rien d’autre qu’une expression de la connexion anatomique entre les centres impliqués dans ces deux expériences.

A

ABC : le cortex cingulaire antérieur, le putamen et le noyau caudé

29
Q

L’éveil est favorisé par des neurones dans le pons, le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur qui produisent A_B_C_D_E_F

A

A_B_C_D_E_F_

l’acétylcholine, la norépinephrine, la dopamine, la sérotonine, l’histamine et l’orexine/l’hypocrétine.

30
Q

____ est une région hétérogène qui court tout au long du tronc cérébral depuis le médulla vers le mésencéphale et l’hypothalamus postérieur. Il a été démontré que sa partie rostrale était nécessaire pour générer l’éveil.

A

La formation réticulaire

31
Q

__A__ est un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de divers processus comportementaux et physiologiques, y compris le fonctionnement moteur, la motivation, la récompense et l’apprentissage. De plus, c’est un neurotransmetteur qui joue un rôle dans l’éveil, ce qui présente un grand intérêt clinique. Par exemple, la somnolence est fréquente chez des patients qui utilisent les antagonistes __B__ comme haloperidol ou chlorpromazine, ou bien chez des patients avec la maladie de Parkinson qui ont une perte des neurones qui produisent __C__

A

A : La dopamine
B : dopaminergiques
C : la dopamine

32
Q

Les neuropeptides excitateurs orexine A et orexine B (aussi connus sous le nom de hypocrétine 1 et hypocrétine 2) sont synthétisés par des neurones situés au niveau de A_B. Ils jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’éveil et du sommeil.

A

l’hypothalamus latéral et l’hypothalamus postérieur

33
Q

Les neurosciences cognitives examinent :

a) En quoi la structure et le fonctionnement du cerveau peuvent expliquer les processus cognitifs.
b) En quoi la structure du cerveau peut expliquer les processus cognitifs.
c) En quoi le fonctionnement du cerveau peut expliquer les processus cognitifs.

A

✅ a) En quoi la structure et le fonctionnement du cerveau peuvent expliquer les processus cognitifs. (Vrai, poly 1 p2)

34
Q

La(les) zone(s) cérébrale(s) apparaissant comme indispensable(s) à l’élaboration d’un contenu onirique est (sont) :

a) La jonction pariéto-temporo-occipitale.
b) Le cortex frontal ventro-médian.
c) Les deux propositions citées ci-dessus.
d) Aucune des propositions citées ci-dessus.

A

a) La jonction pariéto-temporo-occipitale. (Vrai si b cochée également, poly 5, p7)
b) Le cortex frontal ventro-médian. (Vrai si a cochée également, poly 5, p7)
✅ c) Les deux propositions citées ci-dessus. (Vrai, poly 5, p7)

35
Q

Parmi les propositions ci-dessous, lesquelles appartiennent à la catégorie des parasomnies ?

a) Le somnambulisme.
b) L’apnée du sommeil.
c) l’énurésie.

A

✅ a) Le somnambulisme. (Vrai, poly 5, p9)

✅ c) l’énurésie. (Vrai, poly 5, p9)

36
Q

Le sommeil :

a) Le sommeil est classiquement défini comme un état physiologique cyclique qui correspond chez les vertébrés à sang chaud à un comportement de repos particulier, caractérisé par la dissolution de la conscience, la résolution musculaire et le ralentissement des fonctions végétatives.
b) Sa périodicité est la même selon les espèces.
c) Chez l’ensemble des vertébrés, la périodicité du sommeil dépend de l’alternance jour/nuit.

A

✅ a) Le sommeil est classiquement défini comme un état physiologique cyclique qui correspond chez les vertébrés à sang chaud à un comportement de repos particulier, caractérisé par la dissolution de la conscience, la résolution musculaire et le ralentissement des fonctions végétatives. (Vrai, poly 5, p2)
✅ c) Chez l’ensemble des vertébrés, la périodicité du sommeil dépend de l’alternance jour/nuit. (Faux chez l’homme, poly 5, p2)