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Modèle de la mémoire > 2nd partie Rousset : P14 Modèle B&Y > Flashcards

2nd partie Rousset : P14 Modèle B&Y Flashcards

1
Q
  1. Quel est le modèle de Bruce et Young ? Que permet les NIS
A

P14 Fiche :
On a 2 voies :
Voie de droite :
On a une hiérarchie stricte des latences cad on met plus de temps pour accéder aux info de nom (URN) qu’à la profession (NIS).
Il faut d’abord passer par les URV, puis NIS puis retour aux URV puis accès au nom.
Les NIS permettent de de sire quelles sont les info sémantiques actives

Voie de gauche :
Certaines représentation des visages ne passent pas par les URV on peux analyser l’epxression

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2
Q
  1. Expliquer expérimentalement le modèle de Bruce et Young ?
A

P15 Fiche :
Chaque UR à un seuil à dépasser pour activer l’URV et permettre la reconnaissance de celui-ci. Plus on d’UR activé, plus on a de reconnaissance. S’il n’y a pas de seuil, on aurait de l’activation qui va dans tous les NIS.
Quand le seuil est dépassé, il va devenir plus bas à vie.
Fait des paradigmes blocs à blocs.

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3
Q
  1. Quel est le test de Warren et Morton sur le modèle de B&Y? ? Et les résultats ? Quel est le risque ?
A

P15 Fiche :

diapo

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4
Q
  1. Qu’est ce qu’on peux faire pour contrer l’effet de contamination de la ME dans la MI dans le test de Warren et Morton ?
A

P16 Fiche :

  • Mettre 10% d’items amorcés pour pas qu’ils sen rendent compte, qu’il y ait moins de risque; et qu’ils utilisent leurs ME.
  • Demande une tache simple oui/non car ça serait plus long de se rappeler que de répondre
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5
Q
  1. Quelle est l’experience de Ellis, Young, Flude et Hay dans le cadre du modèle de B&Y ?
A

P16 Fiche :

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6
Q
  1. Comment marche l’amorçage sémantique ?
    Quel est le paradigme ?
    Quels sont les résultats pour relié, non relié et neutre ?
    L’effet de facilitation est dû à quoi ?
    Quel est l’effet observé en relié, non relié et neutre ?
    Quel est la relation entre R, NR et N ?
A

P16 Fiche :
Paradigme item à item (Amorce-ISI-cible).
On a une préactivation temporaire de la cible si l’amorce est relié donc une facilitation de la réponse.
On a aucune préactivaton de la cible si l’amorce et la cible sont non reliés.
Donc l’effet de facilitation est dû à une utilisation implicite de la mémoire sémantique car en voyant l’amorce connu le sujet va avoir des attentes sur la cible, on observe un effet d’attente. Cependant il n’y a pas d’effet d’attente si l’amorce est inconnue.
Quand c’est non relié il y va avoir de fausses prédictions. Le fait que ce soit non relié ça va le gêner et il sera moins bon qu’a niveau de base. On parle d’effet d’inhibition car il doit inhiber la réponse qu’il voudrait donner
Donc R>NR>N

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7
Q
  1. Qu’est ce qu’on peux mettre en place pour que le sujet n’est pas de stratégies d’attentes ?
A

P17 Fiche :
Un SOA court pour qu’il n’est pas le temps de mettre les stratégies d’attentes en place et donc qu’il n’est pas le temps d’utiliser sa mémoire sémantique explicite

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8
Q
  1. Quelles sont les 3 caractéristiques pour que le phénomène d’amorçage ait un sens ?
A

P17 Fiche :

  • Activation temporaire : Sinon on voit tout le temps la personne qu’on voit le plus souvent, chez tout le monde
  • Il y ait de la perte : Pour ne pas activer toutes les UR, pour pas que le seuil soit dépassé pour tout le monde
  • Ca dure pas longtemps : La préactivation sur la cible doit se dissiper
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9
Q
  1. Qu’est ce qu’on doit faire comme contrôle, condition dans l’expé de Ellis, Young etc ?
    Donc comment est l’effet d’amorçage par répétition ? Intra ou intermodale ?
A

P17 Fiche :

  • Faire du bloc-à-bloc : présenté en peu de temps
  • Faire un paradigme item-à-item : avec un SOA court sinon la préactivation peut retomber
  • Pas qu’il y ai de contamination par la ME

Effet d’amorçage par répétition intra modale

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10
Q
  1. Quelle est l’expé de Bruce et Valentine, Quelle est la relation entre R, NR et N
A

P17 Fiche :

R>NR=N

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11
Q
  1. Dans le modèle de Bruce et Young, l’effet d’amorçage sémantique doit être inter ou intra modale ? Pourquoi ?
A

P18 Fiche :

Inter odale car un visage doit amorcer un nom et un nom doit amorcer un visage

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12
Q
  1. Quelle est l’expérience de Young, Hellawall et De Haan ?
    Quels sont les résultats ?
A

P23 :
Tâche : nom connu/inconnu
Amorce : Visage ou non
Cible : relié/non relié/neutre

Résultats : Il y a interaction, un effet que la cible soit amorcé par un visage ou un nom (la cible est un nom).
Effet d’amorçage en condition relié.
Donc l’amorçage est un effet intermodale

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13
Q
  1. Si 2 variable jouent sur 2 processus on dit que leurs effet … donc facteurs … car …
    Si 2 variables jouent sur le même processus on aura … car …
A

P23 :
Leurs effets s’additionnent donc facteurs additifs car ca joue sur des modules différents.
Si 2 variables jouent sur le même processus on aura une interaction car ça joue sur le même module

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14
Q
  1. Les résultats trouvés par Young et Hellawall concernant l’amorçage sémantique qui serait intermodale, pourrait venir du fait qu’on voit toujours Laurel et Hardy ensemble, donc qu’il y aurait un lien à l’intérieur des UR comment on appel cet amorçage ? Comment on pourrait faire pour contrer ce phénomène ?
A

P23 :
Amorçage associatif et non amorçage sémantique
On doit montrer des humoristes qu’on n’a jamais vu ensemble pour montré qu’on a bien un effet d’amorçage sémantique

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15
Q
  1. Si on présente 2 nom ou un visga et un nom, pour les 2 nom il y a un effet …. car … donc on est …
A

P24 :

Il y a un effet de masquage car les 2 se superposent donc on est plus long en amorcé par un nom et cible nom

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16
Q
  1. Qu’est ce que la logique des facteurs additifs ? Ce modèle est juste ou faux ?
A

P24 :
Cas V1 ->PA et V2 -> PB
Si 2 variables jouent sur 2 processus, leurs effets s’additionnent et il n’y a pas d’interaction

Cas V1 et V2 -> PA
Alors que SI 2 variables jouent sur le même processus, il y a une interaction

Ce modèle est faux.

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17
Q
  1. On dit que l’effet d’amorçage sémantique est dû à quoi ? Pourquoi, ils sont sensibles à quoi ?
A

P24 :
L’amorçage sémantique est dû à quelque chose de perceptif qui sont les UR.
Car les UR sont doubles, sont à la fois sensible a des caratéristiques perceptives et sémantiques

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18
Q
  1. Pour savoir à quel niveau joue l’amorçage sémantique, perceptif ou sémantique, Bruce et Valentine on fait une expérience, laquelle ? Qu’est ce qu’ils cherchent à montrer ?
    Quels sont les résultats ?
    Joue sur le même processus ou des différents ? Logique des facteurs additifs ?
    Compatible avec modèle de B&Y ? Pourquoi
A

P24-25 :

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19
Q
  1. Si on est sur un visage net et flou, la facilitation va aider ou pas ?
A

P25 :

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20
Q
  1. Qu’est ce que les modèles en séquentiels ? Donner une exemple de modèle
A

P25 :
Pour passer au niveau suivant, il n’y a pas besoin d’attendre que le précédent est fini de traité car il y a des retour du suivant sur le précédent. Ex avec le modèle en cascade ou interactif

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21
Q
  1. Quelle est l’étude sur les prosopagnosique quando n leur apprit le bon ou le mauvais nom de la personne, qu’est ce que ça a montré ?
    Dans le modèle de B&Y, ces personnes ont perdu quoi ?
A

P26 :

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22
Q
  1. Après avoir démontré que les prosopagnosiques ont des capacités résiduelles de reconnaissances des visages, si on fait de l’amorçage sémantique implicite, ça montre quoi ?
    Résultats :
    Confirme ou pas le modèle de B&Y ?
A

P26 :
On sait qu’ils ne peuvent pas utiliser leurs mémoire explicite, donc il ne peux pas avoir de la contamination dans la mémoire implicite lors de tâche d’amorçage.
Donc on a un effet d’amorçage sémantique purement implicite, qui prouve que l’amorçage sémantique est un effet automatique.
Mais ces résultats ne sont pas compatibles avec le modèle de B&Y car on passerais des URV direct aux URN sans passé par les NIS. On ne peux plus se baser sur le modèle de B&Y.
Donc ça montre qu’il n’y a pas non plus de seuil.

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23
Q
  1. Quel est le modèle de Burton, Bruce et Johnston ?
A

P26 :

Modèle connexionniste des neurones artificiels

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24
Q
  1. Le modèle connexionniste de Burton, Bruce et Jonhston a besoin de 2 choses pour fonctionner lesquelles ? Expliquer ce modèle avec un neurone I (poids de 0,5) et J, une synapse Wij (poids de 2).
    Ce modèle représente la mémoire comme ….
    Ce modèle postule quoi ..
A

P27 et 28 :
- Les unités soient connectés entre elles
- Conanitre le type de lien entre les synapses, activation ou inhbition
Ce modèle représente la mémoire comme des variations d’efficacités synaptiques
ce modèle postule qu’on va voir un groupe de neurones qui va représenter l’objet de mon exterieur

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25
Q
  1. L’activation du neurone varie entre … Activation, inhibition et niveau de base correspondent à combien ?
A

P27 :

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26
Q
  1. Quelle est la loi de Hebb qui découle du phénomène d’apprentissage ?
A

P27 :

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27
Q
  1. Le modèle de Burton, Bruce et Johnstin, est un modèle … Expliquer le fonctionnement:
    Quels sont es unités qui le composent, comment est la communication entre elles
    Notion de seuil ?
    La réponse de familiarité se fait quand ?
    Il y a quoi dans les NIS et UIS ?
A

P17 :

Modèle à activation intervative

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28
Q
  1. Comment la loi de Hebb va permettre de rendre compte du phéno d’amorçage par répétition ?
    Comment sera la reconnaissance, intra ou intermodale ?
A

P29:

S’il y a un renforcement entre les URV et les NIS

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29
Q
  1. Qu’est ce que le modèle IAC ?

Comment sont les connexions et le poids et le principe d’activation ?

A

P29 :
IAC = Interactive Activation and Competition Network
Modèle localiste où les unités sont regroupés en pool. Chaque concept est une unité, un neurone. A l’intérieur d’un ensemble, tous les neurones sont connectés entre eux par des connexions inhibitrices (intra-pool) et entre les ensembles il y a des connexions excitatrices (inter-pool).
Elles ont un poids qui ne bouge pas.
Il envoie la même activation à tous les neurones.
Le principe d’activation est faux

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30
Q
  1. Quelles sont les 3 étapes du réseau sémantique classique ?
A

P29 :

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31
Q
  1. Qu’est ce que l’effet d’évantail ?
A

P30

32
Q
  1. Si on présente une photo de Charles qu’est ce qu’il va se passer ? Comment va être l’activation pour Diana ?
A

P30 :

33
Q
  1. Pourquoi on l’activation de Diana de démarre pas tout de suite quand on présente Charles ?
A

P31

34
Q
  1. Que ce passe t’il pour Diana si on présente Charles longtemps ?
A

P31 :

La Courbe de Diana se stabilise et ne dépasse pas le seuil de conscience

35
Q
  1. Pourquoi l’activation de Diana ne dépasse t’elle jamais le seuil quand on présente Charles ?
A

P31 :

36
Q
  1. Si on ne présente plus le visage de Charles, comment vont être l’activation de Charles et Diana ?
A

P31

37
Q
  1. Si on arête de présenter Charles et qu’on présente Diana après 10 cycles, comment est la courbe ?
    On a un nb de cycle beaucoup plus court pour reconnaître Diana que Charles, pourquoi ?
A

P31 :
Voir feuille schéma
On a un nb de cycle plus cours car Diana était pré activé car Charles avait été présenté avant.

38
Q
  1. Si on augmente l’ISI entre la présentation de Charles et Diana, qu’on met 3000 cycles, on aura un effet d’amorçage sémantique ? Pourquoi oui ET pourquoi non ?
A

P31 :

39
Q
  1. Comment on peux faire dans le modèle pour empêcher l’activation sémantique que Diana ait de l’activation quand on présente Charles ?
A

P32 :

Mettre des stimulus interférant entre l’amorce et la cible.

40
Q
  1. Qu’est ce qui va déterminé l’amorçage sémantique si ce n’est pas le temps ? Selon le modèle IAC
A

P32

41
Q
  1. Quelles sont les prédictions pour un phénomène automatique d’amorçage sémantique pour R, NR et N dans le modèle de B&Y et dans le modèle IAC ?
A

P32 :

42
Q
  1. Dans l’expérience de Young, Hellawel et De Haan, les poids inhibiteurs sont moins fort que les activateurs. Donc dans R>N>NR quel est le lien le plus fort ? Ce qui fait que dans un expé ..
A

P32 :

R>N. Dans une expé c’est ce lien qui risque d’être le plus détecté

43
Q
  1. Dans le modèle de Young, Hellawel et De Hann, si on fait un paradigme 1 à 1 (Charles-ISI-Charles), on devrait avoir une facilitation, pourquoi ?
A

P32

44
Q
  1. Si a 2 groupes (prosopagnosiques et controle), on montre soit V-N ou alors N-N. Quels sont les résultats
A

P32

  • Si il n’y a pas de lésion entre les URN et les NIS, il y a un gain d’activation pour Diana qui est plus fort que pour le groupe prosopagnosique. Donc l’effet d’amorçage est plus fort pour le groupe contrôle.
  • Pour N-N, on a un effet d’amorçage sémantique pour les contrôles et les prosopagnosiques. Cependant, l’activation pour les prosopagnosique est plus longue que pour les contrôles. Donc chez les proso il y a globalement un déficit dans l’amorçage nom-nom
45
Q
  1. Est ce que chez les prospagnosiques qui ont ce déficit dans l’amorçage nom-nom, on a lésé le traitement des noms ?
A

P33 :
Non, néanmoins on a ce déficit. donc ça veut dire qu’on veut avoir un déficit dans une capacité cognitive alors que le système qui effectue cette capacité cognitive en lui même n’est pas lésé.
On ne peut plus faire le lien enter lésion et comportement sans faire d’hypothénar fonctionnelle

46
Q
  1. Pourquoi l’identification du nom est moins bonne chez les prosopagnosiques alors qu’ils n’ont pas de lésion de cette fonctions ?
A

P34

47
Q
  1. Dans le modèle de Bruce et Valentine, on demande d’estimer la familiarité de visage célèbre. Avec en amorce, même image, image similaire ou nom écrit de la personne qui correspond au visage. Quels sont les résultats qui vont dans le sens et qui ne vont pas dans le sens du modèle de B&Y ?
A

P34 :

  • Dans le sens : Sur les nom il n’y a pas d’effet d’amorçage car on a changé de modalité.
  • Dans le sens : quand on présente le visage on reste dans la même modalité.
  • Ce qui ne va pas dans le sens : ???
48
Q
  1. Quel est la solution au pb du modèle de Bruce et Valentine ? Expliquer est il validé par une expérience ?
A

P34 :
Les modèles hybrides : On fait de l’amorçage avec un amorçage généralisateur et un amorçage spécifique à la photo
Ce modèle est faux, n’est pas validé par une expérience.

49
Q
  1. Quelles sont les caractéristiques de l’amorçage généralisateur et spécifique à la photo dans les modèles hybride du modèle de Bruce et Valentine ?
A

P34 :

50
Q
  1. A la suite des travaux de Bruce et Valentine, on va proposer un nouveau système de mémoire, lequel Expliquer
A

P35 :
Les PRS : tout les effet d’amorçage par répétition est dû au PRS qui arrivent avant le système sémantique.
L’effet d’amorçage par répétition n’est pas dû aux UR, il est dû à une mémoire picturale, procédurale mais qui elle pourrait généraliser. L’effet d’amorçage par répétition est dû à un effet perceptif.
Dans l’expé de Bruce et Valentine, dans le cas même photo il y aura des URV + perceptif et dans photo similaire il y aura que des URV

51
Q
  1. Quels sont les 2 indices expérimentaux des PRS ?

Quel est le pb de ce paradigme ?

A

P35 :
- Il n’a pas d’effet d’amorçage par répétition pour les dessin d’objet impossible
- Il y a un effet d’amorçage par répétition pour les dessins d’objets possibles car en amorce on demande de traiter la structure 3D du stim et non le sémantique
Le Pb c’est qu’on demande une décision de plausibilité de l’objet. Donc si l’objet peux existe dans le monde, il a une structure plausible 3D.

52
Q
  1. Quel est le but des PRS .
A

P35 :
Construire la représentation abstraite et invariante d’un objet donc c’est un système de construction perceptuelle abstraite

53
Q
  1. Quel est le modèle de Ratcliff et McKoon sur l’utilisation d’objet impossible, amorçage par répétition pour qui ? Possible, impossible ?
A

P36:

54
Q
  1. L’amorçage par répétition ne se conforme par au modèle de l’utilisation d’objet impossible car …
    Donc on va conserver ces UR et que l’effet d’amorçage est un effet …
    Sur les objets impossibles on ne peut pas faire de reconstruction
A

P36 :
L’amorçage par répétition ne se conforme par au modèle de l’utilisation d’objet impossible car il est insensible aux caractéristiques de surface.
Donc on va conserver ces UR et que l’effet d’amorçage est un effet procédurale qui permet de reconstruire les représentations abstraites.
Sur les objets impossibles on ne peut pas faire de reconstruction structurel invairante

55
Q
  1. Quelles sont les 3 choses bizarres qu’on observe avec les PRS ?
    Quels sont les 2 pb que pose la tâche qu’on demande au sujet
A

P36-37

56
Q
  1. Quels sont les 2 de la tâche ?
A

P37

57
Q
  1. Quels sont les réponses pour les objets possibles et impossibles en condition “tendance à répondre possible sur les objets amorcés” et “récupération de l’info épisodique” ? Faire le tableau de la P 36 + explication de la P 37
A

P 36 et 37

58
Q
  1. Que ce passe t’il si on a une mémoire de la représentation de la structure 3D ?
A

P38 : On a tendance à dire qu’on a déjà vu l’objet impossible. On sera donc mois bon pour les amorcés que pour les non amorcés pour des figures impossibles

59
Q
  1. Pour prouver qu’il y a bien un effet d’amorçage positif pour les possibles et négatif pour les impossibles, il faudrait pour les impossibles il y ait qu’une seule source de réponse au lieu de 2. Donc qu’est ce qu’il faudrait faire pour qu’il y qu’une seule source ?
A

P37 :
- Jouer sur le temps qu’on laisse au sujet pour répondre :
Si on laisse peu de temps ca va minimiser la récupération de l’info épisodique et il va donc rester que la tendance à répondre possible sur les objets amorcés.
Donc laisser le moins de temps possible pour que la récupération en mémoire soit improbable.
Ce qui prouverait qu’il y a une mémoire.

60
Q
  1. Dans l’expérience de Ratcliff et McKoon, comment on fait pour contrôler les temps de réponses des sujets ?
A

P38

61
Q
  1. Quels sont les résultats pour les réponses inf et sup à 900ms pour les items possibles et impossibles ?
A

P39

62
Q
  1. Si on prend des patients amnésiques on leurs demande de répondre possible ou impossible, où devrait être l’effet d’amorçage sémantique ?
A

P39 :
Effet d’amorçage sémantique positif pour les objets possibles et négatif pour les impossibles. Or les résultats ne sont pas comme ça pour les impossibles

63
Q
  1. Attention à la validité du modèle PRS, pourquoi ?
A

P40 :
Il faut faire attention à l’amnésie des patients ils n’ont surement pas tous la même ce qui peut influencer
il faut retrouver les résultats obtenu chez les sujets amnésiques, chez les sujets sains

64
Q
  1. Dans l’expérience avec les items possibles et impossibles, il manque une condition, laquelle et pourquoi ?
A

P40 :
Il manque une condition où on voit mieux l’item car on traite plus rapidement les items qu’on a déjà vu donc on aurait un effet de mémoire procédurale.
donc il y a de la dextérité perceptive : on traite plus rapidement les items déjà vu, cad avoir un effet de mémoire procédurale.

65
Q
  1. Quel est le rôle des processus perceptifs ? Quels sont les 3 car qu’ils doit avoir ?
A

P40 : Quand on voit un objet, ça active la bonne représentation en mémoire et qu’on ne peux pas influencer cette représentation. Ils doivent être encapsulés (pas biaisé par le reste du système), insensible et sans mémoire.

66
Q
  1. Quels sont les 3 biais qui vont contribuer à la réponse dans les PRS ?
A

P40

67
Q
  1. Si on présente un objet possible et impossible, comment vont se comporter ces 3 biais .
A

P41 :

68
Q
  1. Qu’est ce que la familiarité ? Comment elle s’explique ?
A

P41 :
C’est pas le signe qu’on a accédé à une réponse en mémoire mais c’est un jugement inconscient, une attribution.
Elle s’explique parle fait qu’on est sensible à des différences de traitement, on arrive à savoir quel stim est plus facile de traiter.
Cette différence de dextérité perceptive, peut donner un indicateur qui peut être utile pour savoir si on a déjà traité le stim ou pas

69
Q
  1. Quelles sont les 2 grandes conceptions théoriques reliés à la dextérité perceptive ?
A

P42 :
- La mémoire est juste un processus approprié au transfert : effet TAP. Vu qu’on fait des procédures on est meilleur
- On a de la mémoire pour pouvoir agir dans le monde de manière adapté. se fait de 2 manière :
Centré sur le monde : la mémoire nous permet de mieux interagir avec le monde
Regard réflexif sur nous même:

70
Q
  1. Pour savoir quelles caractéristiques le sujet utilise dans une tâche de familiarité, on va lui demande quoi ?
A

P42 :
On va lui demander une tâche soit où il doit avoir un regard réflexif sur lui même car on lui demande d’être bon ou alors on lui demande d’être centré sur l’environnement car on lui demande de faire attention à la différence signal/bruit

71
Q
  1. Quels sont les 2 manières de faire pour connaitre l’attribution des caractéristiques ? Faire schéma avec peu et beaucoup bruité, nouveau et ancien
    Résultats
A

P43 :

72
Q
  1. Dans une expé similaire que celle avec les mots anciens et nouveau, on présente des mots 300 ou 500 ms, Quels sont les mots ressentit comme restant plus longtemps ?
A

P43 :

73
Q
  1. Ces expériences avec les phrases nouvelles et anciennes et le temps de présentation montrent quoi sur la mémoire ?
A

P44 :
On aurait 2 systèmes de mémoire : une consciente te une émotionnelle. Comme le stim a déjà été traité, la mémoire émotionnelle viendrait biaiser la réponse lors de stim amorcé

74
Q
  1. Quelle est l’expérience avec les octogones flashés ? avec 4 types de jugements : Plait le plus, plus brillant, plus sombre, reconnaissance d’occurrence. Quels sont les résultats ?
A

P44 :

75
Q
  1. Quand on demande est ce vous l’avez vu, l’indicateur de dextérité perceptive va être attribué à quoi ?
A

P44 :

De la familiarité

76
Q
  1. Que va montrer Whittlesea etc ? Quel est son expérience ?
A

P45 :
2 niveaux de bruitages non discernable lors d’une tâche de lecture de mot
Que la dextérité perceptive ne permet pas de prédire les conceptions basés sur les UR

77
Q
  1. Quels sont les résultats obtenu par Whittelsea pour son expérience avec 2 niveaux de bruitages non discernable lors d’une tâche de lecture de mot. Schéma
A

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Modèle de la mémoire (7 decks)

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