Chapitre 3 - La perception Flashcards

1
Q

Le risque perçu ne peut être que financier.

VRAI OU FAUX

A

FAUX.
Le risque perçu peut-être basé sur la performance du produit, sur la sécurité associée à son utilisation ; il peut être aussi de nature psychologique (image de soi) ou sociale (image projetée aux autres)

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2
Q

Le consommateur forme naturellement une catégorie perceptuelle des marques qu’il juge acceptable pour un achat éventuel. Cette catégorie est appelée:

A. la catégorie d’acceptation

B. l’ensemble évoqué

C. l’ensemble acceptable

D. la catégorie des marques mémorisées

E. aucune de ces réponses

A

B. l’ensemble évoqué

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3
Q

Les inférences pragmatiques sont des inférences erronées produites à partir d’informations littéralement exactes.
VRAI OU FAUX

A

VRAI.

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4
Q

La catégorisation repose sur 2 processus pour organiser les éléments perçus en catégories, ce sont:

A. la couleur et la taille

B. la figure et le fond

C. l’assimilation et le contraste

D. la proximité et la similarité

E. la fermeture et le contexte

F. aucune de ces réponses

A

C. l’assimilation et le contraste

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5
Q

Selon la loi de Weber, la capacité d’un individu à déceler une différence d’intensité ne dépend que de la nature (ex. : gustatif, auditif, etc.) du stimulus.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

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6
Q

Parmi les choix suivants, lequel n’est pas une dimension du risque perçue par le consommateur.

A. le risque social

B. le risque financier

C. le risque psychologique

D. l’environnement

E. la sécurité

F. la performance

G. aucune de ces réponses

A

D. l’environnement

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7
Q

La valeur symbolique que le consommateur attribue à un stimulus provient uniquement de sa culture.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

  • expérience personnelle
  • signification partagée
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8
Q

La théorie de l’attribution se base sur le principe que les individus sont des observateurs passifs dans leur environnement.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

Elle se base sur l’idée que ceux-ci cherchent au contraire à lui donner un sens.

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9
Q

Le processus de la perception est toujours modélisé de façon linéaire.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

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10
Q

Le niveau à partir duquel une augmentation d’intensité ne provoque plus de sensation supplémentaire est :

A. le seuil absolu inférieur

B. le seuil absolu supérieur

C. le seuil différentiel

D. la perception subliminale

E. aucune de ces réponses

A

B. le seuil absolu supérieur

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11
Q

Le consommateur perçoit tous les stimuli dirigés vers lui.

VRAI OU FAUX

A

FAUX.

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12
Q

Le niveau minimal d’intensité requis pour qu’une personne puisse détecter un stimulus est:

A. le seuil absolu inférieur

B. le seuil absolu supérieur

C. le seuil différentiel

D. la perception subliminale

E. aucune de ces réponses

A

A. le seuil absolu inférieur

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13
Q

Les besoins, les préférences, l’état affectif et l’accessibilité cognitive constituent des facteurs structurels de la perception.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

Il s’agit de facteurs motivationnels.

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14
Q

Selon la théorie de l’adaptation développée par Helson, les individus tendent à s’adapter à des niveaux constants de stimuli et à y accorder moins d’attention au fil du temps. À quel facteur structurel d’influence sur la perception est liée cette théorie :

A. Caractère négatif

B. Taille et intensité

C. Caractère concret

D. Ambiguïté

E. Position

F. Couleur

G. Contraste

H. Ordre de présentation

A

G. Contraste

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15
Q

La mémoire ne peut enregistrer que des informations perçues consciemment.
VRAI OU FAUX

A

FAUX.

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16
Q

Un schéma est une structure mentale qui regroupe les connaissances, les croyances et les sentiments. Les 3 types de schémas sont : les _______A_________ (schémas de personnes), les _____B__________ (schémas d’événements) et les autres schémas.

  1. A : stéréotypes et B : scripts
  2. A : préjugés et B : cadres
  3. A : préjugés et B : scripts
  4. A : stéréotypes et B : cadres
  5. A : objets et B : scripts
  6. aucune de ces réponses
A
  1. A : stéréotypes et B : scripts
17
Q

Définition de la perception

A

Expérience et processus par lequel les consommateurs sélectionnent, organisent et interprètent l’information qui parvient à leur sens

Stimuli (images, sons, odeurs, saveurs, textures)

  • -> sélection
  • -> organisation
  • -> interprétation
  • -> perception
18
Q

Les seuils sensoriels

A

Seuil absolu inférieur:
niveau d’intensité minimal pour détecter un stimulus

Seuil absolu supérieur:
niveau auquel une augmentation d’intensité ne provoque plus de sensation

Seuil différentiel: variation minimale d’intensité d’un stimulus qu’un individu peut détecter

19
Q

Facteurs structurels

A

Caractéristiques de l’environnement

  • taille et intensité
  • couleur
  • position
  • contraste
  • caractère concret
  • ordre de présentation
  • ambiguïté
20
Q

Facteurs motivationnels

A

Caractéristiques de la personne

  • besoins
  • préférences
  • état affectif
  • accessibilité cognitive
21
Q

Catégorisation

A

Regrouper de façon naturelle les choses qui se ressemblent, et former ainsi des catégories mentales

22
Q

Niveau de catégorisation

A

Niveau supérieur: concept bien distinct, mais pas bien identifié

Niveau subordonné: concept bien identifié, mais pas bien distinct

Niveau de base: concept ni distinct ni bien identifié, mais suffisamment distinct et identifié

23
Q

3 théories de la catégorisation

A

Théorie classique: catégorisation s’effectue sur la base des caractéristiques des objets

Théorie probabiliste: catégorisation s’effectue selon une distribution probabiliste de caractéristiques

Théorie des exemplaires:
Nous comparons l’objet avec une représentation mentale des meilleurs exemples

24
Q

Définition de l’ensemble évoqué

A

catégorie perceptuelle des marques qu’un consommateur juge acceptables pour un achat éventuel

25
Q

Choix d’une marque

A
  • différent de la compétition
  • communique les bénéfices clés
  • facile à prononcer et à retenir
  • la signification du nom doit être appropriée dans la société
26
Q

3 types d’information pour faire son attribution

A

Cohérence: plus l’effet observé est cohérent avec le comportement habituel de la personne, plus l’attribution est à la personne

Caractère distinctif: plus l’effet observé est contraire à ce qu’on attend de la personne, plus l’attribution est à l’objet

Consensus: plus l’effet observé est consensuel, plus l’attribution est à ‘objet

27
Q

Définition de la perception du risque

A

le risque perçu d’un acte est une fonction de la nature des conséquences et de la probabilité de les voir se produire

-risque de performance (efficacité)
-risque de sécurité (conséquence physique)
-risque social
(image projetée)
-risque financier
(conséquence pécuniaire)
-risque psychologique
(concept de soi)

28
Q

Définition des inférences pragmatiques

A

inférences erronées produites à partir d’informations exactes

-Comparaison manquant (Burger King vous en donne pour votre $)

-Affirmation de la conséquence
(les femmes d’apparence jeunes utilisent Oil of Olay)

-Information fragmentée
(La Camry offre plus d’espace intérieur que la Honda Accord, plus de puissance que la Mazda 6 et plus d’options de série que la Nissan Altima)