Psychiatrie de l'adulte - 3) Schizophrénie et troubles apparentés

Question 1

Schizophrénie

Answer 1

Question 2

Schizophrénie > pourquoi le diagnostic est si difficil a établir?

Answer 2

Le diagnostic est difficile à établir en raison de tableaux cliniques très variables. Cependant, la rapidité du traitement neuroleptique contribue grandement au pronostic !
On considère que l’évolution du trouble doit être supérieure à 6 mois pour poser le diagnostic.

Question 3

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > quels sont les différents syndromes?

Answer 3

• syndrome dissociatif
• Syndrome délirant paranoïde ou non systématisé
• Repli
• Troubles de l’humeur

Question 4

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > syndrome dissociatif

Answer 4

Question 5

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > syndrome délirant paranoïde

Answer 5

Question 6

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > replis et trouble de l’humeur

Answer 6

Question 7

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > symptomes positifs vs négatifs

Answer 7

Question 8

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques

Answer 8

Question 9

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > citer les formes cliniques symtomatiques

Answer 9

Elles sont nombreuses et confèrent une certaine hétérogénéité au tableau de la schizophrénie. L’évolution de la maladie et l’efficacité du traitement varient selon les formes cliniques. On peut passer d’une forme à l’autre.

• Forme paranoïde (ou productive)
• Forme hébéphrénique (20%)
• Forme catatonique
• Forme dysthymique ou schizo-affective
• Forme pseudo-psychopathique (ou héboïdophrénique)
• Formes simples
• Formes résiduelles

Question 10

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > forme paranoïde

Answer 10

Question 11

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > forme hébéphrénique

Answer 11

Question 12

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > forme catatonique

Answer 12

Question 13

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > forme dysthymique

Answer 13

Question 14

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > forme pseudopsychopathique

Answer 14

Question 15

Schizophrénie > sémiologie schizophrénique > formes cliniques symtomatiques > formes simples vs résiduelles

Answer 15

Question 16

Schizophrénie > diagnostic

Answer 16

Question 17

Schizophrénie > diagnostics différentiels

Answer 17

Question 18

Schizophrénie > évolution et pronostic

Answer 18

Question 19

Schizophrénie > traitement > quels sont les différents axes de la prise en charge?

Answer 19

• Traitement pharmacologique
• Psychothérapie
• Réhabilitation psycho-sociale

Question 20

Schizophrénie > traitement > traitement pharmaco

Answer 20

Question 21

Schizophrénie > traitement > psychothérapie

Answer 21

Question 22

Schizophrénie > traitement > réhabilitation sociale

Answer 22

Question 23

Schizophrénie > délire chronique non schizophrénique

Answer 23

Question 24

Schizophrénie > délires paranoïaques

Answer 24

• Délires passionnels
• Délires d’interprétation de Sérieux et Capgras
• Délires de relation des sensitifs de Kretschmer

Question 25

Schizophrénie > délires paranoïaques > délires passionels

Answer 25

Les délires paranoïaques passionnels regroupent l’érotomanie, les délires de jalousie et les délires de revendication. Ils sont regroupés sous le terme passionnel en raison de la nature des sentiments et thèmes qui les inspirent.

Ils débutent en général brusquement avec une interprétation ou intuition délirante et s’enrichissent secondairement avec une forte participation affective avec de possibles passages à l’acte.
On dit qu’ils ont une construction en secteur car ils ne s’étendent pas à l’ensemble de la vie psychique, affective ou relationnelle du sujet. La thématique du délire est quasi unique.

Erotomanie ou illusion délirante d’être aimé :
Il a été décrit pour la première fois en 1921 par Clérambault : il touche plus fréquemment les femmes et l’objet de leur délire tient en général une position sociale élevée et enviée (prêtre, médecin, …)
Le trouble débute par un postulat fondamental formé par une intuition délirante au cours duquel l’objet de l’érotomanie déclarerait son amour. L’évolution se fait en 3 stades successifs :

• Espoir
• Dépit
• Rancune => Actes hétéro-aggressifs possibles

Délire de jalousie : Le délire de jalousie touche essentiellement les hommes et s’installe de manière plus insidieuse en se nourrissant d’événements anodins qui font l’objet d’interprétations délirantes.
Il est fréquemment associé à l’alcoolisme chronique qui peut favoriser un passage à l’acte.

Délires de revendication : Ce type de délire passionnels regroupe :

• Les inventeurs méconnus (qui cherchent à obtenir la reconnaissance que la société leur refuse)
• Les quérulents processifs (qui multiplient les procédures juridiques)
• Les idéalistes passionnées (qui cherchent à transmettre leurs conviction)

Question 26

Schizophrénie > délires paranoïaques > délires d’interprétation de Serieux et Capgras

Answer 26

Question 27

Schizophrénie > délires paranoïaques > Délires de relation des sensitifs de Kretschmer

Answer 27

Question 28

Schizophrénie > délires paranoïaques > traitement

Answer 28

Question 29

Schizophrénie > psychoses hallucinatoires chroniques > qu’est ce?

Answer 29

La psychose hallucinatoire chronique (Ballet, 1911) est un délire chronique touchant le plus souvent les femmes âgées vivant seules.

Le mécanisme principal du délire est hallucinatoire sans dissociation mentale et d’évolution chronique.

Question 30

Schizophrénie > psychoses hallucinatoires chroniques > clinique

Answer 30

Question 31

Schizophrénie > psychoses hallucinatoires chroniques > traitement

Answer 31

Question 32

Schizophrénie > paraphrénie

Answer 32