Cours 3 Flashcards

1
Q

Types d’imagerie cérébrale

A

Tododensitométrie;
Imagerie par résonance magnétique;
Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle;
Tomographie par émission de positions

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2
Q

Tododensitométrie

A

Sert à évaluer les anomalies structurelles du cerveau
méthode diagnostique qui consiste à balayer aux rayons X une couche d’une partie du corps sous tous les angles, puis à effectuer une analyse par ordinateur afin de reconstruire l’image en coupe de cette partie du corps

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3
Q

Imagerie par résonance magnétique

A

type d’imagerie par résonance magnétique qui permet aux chercheurs de cartographier le cerveau si rapidement qu’ils peuvent mesurer les changements métaboliques, de sorte qu’ils peuvent observer le cerveau en cours de fonctionnement plutôt que sa seule structure

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4
Q

Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF)

A

type d’imagerie par résonance magnétique qui permet aux chercheurs de cartographier le cerveau si rapidement qu’ils peuvent mesurer les changements métaboliques, de sorte qu’ils peuvent observer le cerveau en cours de fonctionnement plutôt que sa seule structure
(facilité la compréhension des mécanismes intervenant dans les changements qui surviennent pendant une thérapie cognitivo-comportemental)

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5
Q

Exemple d’IRMF

A

psychopathes (anomalies fonctionnelles des structures du système limbique et du cortex frontal pendant le traitement des stimuli affectifs et du cortex préfrontal ventromédian en lien avec le jugement moral)

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6
Q

Tomographie par émission de positions

A

qui permet de mesurer l’activation du cerveau vivant

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7
Q

L’utilité clinique des instruments d’évaluation biologique de la structure et du fonctionnement du cerveau

A

Avantages, cruciales, mais interprétées à la lumière d’informations complémentaires (rend les diagnostics plus précis)
Efforts sur les prédicateurs

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8
Q

Différence entre un neurologue et un neuropsychologue

A

médecin qui étudie les maladies du système nerveux vs psychologue qui s’intéresse aux effets des anomalies du cerveau sur la cognition, sur les effets et sur les comportements
se complètent (collaboration dans l’étude et la les manières de remédier aux problèmes)

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9
Q

Les objectifs de l’évaluation neuropsychologique

A
  1. Mesurer les corrélats comportementaux des fonctions cérébrales de la manière aussi fiable, valable et complète que possible
  2. Définir le profil caractéristique associé à un syndrome neurologique (diagnostic différentiel)
  3. Déterminer l’emplacement, la latéralisation et l’étiologie d’une lésion cérébrale
  4. Déterminer la présence de déficits neuropsychologiques (cognitifs, perceptifs ou moteurs) sans égard au diagnostic
  5. Définir les forces et les faiblesses neuropsychologiques et élaborer une stratégie de résolution de problème
  6. Évaluer les sentiments du client face à son syndrome
  7. Recommander un traitement (au client, à la famille, à l’école)
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10
Q

Tests neuropsychologiques

A

tests psychologiques permettant de déceler les déficiences dans diverses régions du cerveau, reposent tous sur le principe que les fonctions psychologiques sont régies par diverses régions du cerveau (déficit mis en lumière par le test peut fournir des indices sur la zone du cerveau endommagée);

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11
Q

Quatre tests provenant de la batterie Halstead-Reitan

A
  1. Tests de performance tactile - Temps.
  2. Test de performance tactile - Mémoire
  3. Test de catégorie
  4. Test de perception des mots et des sons
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12
Q

Tests de performance tactile - temps

A

Alors qu’il a les yeux bandés, le participant doit insérer des blocs de formes variées dans un planche à trous en utilisant d’abord sa main dominante, plus l’autre, et enfin ses deux mains

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13
Q

Test de performance tactile - mémoire

A

Après avoir fait le test chronométré, le participant doit dessiner la planche trouée de mémoire avec les blocs placés aux bons endroits. Ces deux tests permettent de détecter des lésions du lobe pariétal droit

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14
Q

Test de catégorie

A

Une image suggérant un nombre entre 1 et 4 est projetée sur un écran et le participant doit appuyer sur un bouton correspondant au nombre qu’il croit avoir vu. Une cloche lui indique que son choix est correct et une sonnerie qu’il est incorrect. Le participant doit mémoriser ces images et les signaux afin de comprendre les règles qui régissent les bonnes réponses. Ce test permet de mesurer la capacité à résoudre des problèmes, en particulier l’aptitude à extraire un principe d’une suite d’événements non verbaux. Une mauvaise performance à ce test est le meilleur indicateur général d’une lésion cérébrale

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15
Q

Test de perception des mots et des sons.

A

Le participant écoute une série de mots dénués de signification, dont chacun comprend une voyelle « e » longue placée entre deux consonnes. Il sélectionne ensuite le « mot » entendu dans une liste. Ce test mesure le fonctionnement de l’hémisphère gauche et surtout des lobes temporaux et pariétaux du cerveau

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16
Q

Batterie de tests Luria-Nebraska

A

permet de détecter des déficits touchant les capacités cognitives plutôt que les habiletés motrices/sensorielles, tient en compte du niveau d’éducation, version adaptée aux enfants de 8 à 12 ans

17
Q

Zazkanis

A

compendium de profils neuropsychologiques dans lequel ils ont indiqué le degré de sensibilité de divers tests à plusieurs démences et troubles neuropsychiatriques -> vise à aider les cliniciens et les chercheurs à choisir les tests neuropsychologiques en fonction de leur sensibilité à des syndromes précis

18
Q

Brainscreen

A

examen du fonctionnement cognitif en temps réel, tests informatisés permettent des économies de temps et d’argent et qu’ils sont plus standardisés

19
Q

L’évaluation psychophysiologique

A

S’intéresse aux changements physiologiques qui accompagnent les événements psychologiques ou qu’on associe aux traits psychologique d’une personne

20
Q

Paramètres électriques et chimiques du système nerveux autonome dans le but de comprendre la nature de l’émotion (psychophysiologique)

A

Électrocardiogramme, réponse électrodermale, appareil portable, électroencéphalogramme

21
Q

L’importance du diagnostic

A

Important de reconnaitre que l’expérience et l’expression des symptômes ainsi que leur adéquation avec les descriptions cliniques existantes peuvent varier énormément d’un individu à l’autre et qu’il faut tenir compte de l’unicité de chaque cas

22
Q

Les parties impliquées dans le DSM-5

A
La recherche, 
la pratique clinique, 
l’industrie pharmaceutique, 
le système judiciaire, 
le public
23
Q

La valeur de la classification et du diagnostic

A

Essentielle, car les différences entre les psychopathologies peuvent fournir des indices clés sur leurs causes et leur traitement
Permet de mieux les connaitre, parce que peut découvrir de nouvelles choses sur une catégorie
Étudier les individu qui remplissent les critères de la catégorie pour trouver un traitement et causes

24
Q

Critiques à l’égard de la classification

A

Laisse certaines informations sur l’individu et on réduit son unicité
Perte d’information, dur de séparer les dimensions pertinentes et non pertinentes du comportement anormal -> risque de regrouper des individus sur des bases plutôt insignifiantes tout en laissant de côté leurs différences primordiales
Effets négatifs sur la personne (attitude la société envers les personnes souffrant de troubles mentaux)

25
Q

Approche catégorielle

A

DSM utilise une approche catégorielle
type de classification basée sur la présence ou l’absence de traits caractéristiques, donc sur une réponse de type « oui »ou « non »
Ne tient pas compte de la continuité entre un comportement normal et anormal (psychopathologies et comportements normaux diffèrent seulement par leur intensité et non par leur type)

26
Q

Approche dimensionnelle

A

place l’entité ou l’object sur un continuum de dimensions quantitatives
Clinicien évalue son client en fonction des dimensions pertinentes et peut indiquer sa position dans un système de coordonnées en traçant point par point son score pour chaque dimension
Peut englober un système catégoriel si on indique un point de clivage, ou seuil, sur l’une des dimensions quantitatives (avantage potentiel)
Tient compte du fait que des individus peuvent éprouver un certain nombre de symptômes perturbants propres à un trouble sans toutefois présenter tous les symptômes requis pour faire partie d’une catégorie diagnostique

27
Q

Fiabilité

A

Critère essentiel parce que ceux qui utilisent ce système doivent s’entendre sur ce qui fait partie d’une catégorie donnée, ou non

28
Q

2 composantes de la fiabilité

A

Sensibilité (accord entre deux ou plusieurs évaluateurs sur un diagnostique spécifique)
Spécificité (accord entre deux ou plusieurs évaluateurs sur l’absence de diagnostic spécifique)

29
Q

Indice de Kappa

A

coefficient qui représente le degré de concordance entre deux cliniciens, corrigé en tenant compte de la concordance due au simple hasard, si supérieurs à 0,70 = bons

30
Q

Faible fiabilité attribuée à quoi ?

A

À la grande hétérogénéité des symptômes exprimés par différents clients et à leur taux de élevé de comorbidité
Résultats plus positifs pour les troubles qui se prêtent plus facilement aux évaluations dimensionnelles, angle dimensionnel essentiel

31
Q

Validité conceptuelle

A

type de validité le plus importante en ce qui concerne le diagnostic ;
déterminée en déterminant dans quelle mesure on peut formuler des énoncés et de prédictions justes sur une catégorie une fois qu’elle a été créée, dans quelle mesure le concept s’intègre-t-il à un réseau de relations fondées
Plus un diagnostic s’intègre dans un réseau de relations étendu et solide, plus sa validité conceptuelle est grande

32
Q

Améliorations notables apportées au DSM

A
  1. Les caractéristiques et les symptômes de chaque catégorie diagnostique ont été décrits de façon beaucoup plus détaillé que dans le DSM-II
  2. Davantage d’intérêt aux différentes expressions des symptômes d’un trouble donné en fonction de la culture
  3. Les critères diagnostics particuliers (symptômes + éléments justifiant le diagnostic) décrits de façon plus précise et symptômes cliniques définis
33
Q

Autre facteur qui accroit la fiabilité

A

entretiens standardisés et notés de manière fiable pour recueillir l’information nécessaire à l’établissement d’un diagnostic

34
Q

Sensibilité culturelle

A

incorporation d’une description des facteurs culturels et ethniques propres à chaque trouble dans le corps du manuel, ajout d’un cadre général pour évaluer le rôle de la culture et de l’ehtnicité à l’annexe, description des symptômes liés à la culture dans une annexe distincte

35
Q

Esquisse d’une formulation culturelle

A

évaluation systématique de cinq éléments précis -> évaluation culturelle globale, identité culturelle du sujet, conceptualisation culturelles de la détresse, facteurs de stress psychosocial, caractéristiques culturelles de la vulnérabilité et de la résilience, caractéristiques culturelles de la relation entre le sujet et le clinicien

36
Q

Entretien de formulation culturelle (EFC)

A

entrevue semi-dirigée destinée à évaluer quatre thèmes -> la définition culturelle du problème; les perceptions culturelles de la cause, du contexte et du soutien; les facteurs culturelles affectant les ressources internes et la recherche d’aide dans le passé; les facteurs culturels affectant la recherche d’aide