16 Flashcards

1
Q

La maladie parodontale peut être une manifestation de quelle type de conditions systémiques?

A

syndrome d’immunodéficience acquise (VIH) Leucémie, Maladie de Crohn DM Syndrome Dawn Sarcoïdose Anomalies fonctionnelles des polynucléaires : Syndrome de Chédiak-Higashi, agranulocytose et neutropenie cyclique.

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2
Q

Aphtes, peuvent être associées a: Ulcère superficiel douloureux de la muqueuse buccale

A

Troubles immunitaires: Maladie de Behçet ; Maladies inflammatoires de l’intestin (colite ulcéreuse, maladie de Crohn). Maladie cœliaque? Ulcère superficiel douloureux de la muqueuse buccale

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3
Q

Caractéristiques de fibrome d’irritation

A

Se produit à la ligne de morsure - masse nodulaire de tissu fibreux présentant une inflammation minime et recouverte d’épithélium squameux

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4
Q

Caractéristiques du granulome pyogénique

A

Lésion inflammatoire, site: gencive. Enfants, jeunes adultes et femmes enceintes (tumeur gravidique). Surface ulcérée et de couleur rouge à violette. Croissance très rapide (fait craindre un cancer) Histologiquement: prolifération hautement vasculaire du tissu de granulation en cours d’organisation. Les granulomes pyogéniques peuvent régresser, mûrir en masses fibreuses denses ou se transformer en un fibrome ossifiant périphérique. Tx Chx.

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5
Q

Caractéristiques du fibrome ossifiant peripherique:

A

Gencives, jeunes femmes

De novo ou developpés a partir d’un granulome pyogénique.

Lésion nodulaire, ulcérée, rougatre.

recidives 15-20%

Tx chx.

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6
Q

Caracteristiques du granulome peripherique à celules geantes

A

Gencive

Muqueuse gingivale intacte ou ulcérée.

Histologie: cellules géantes multinucléées à corps étrangers séparées par un stroma fibroangiomateux.

Bien délimitées et facilement excisées.

DX=/ tumeur centrale à cellules géantes ( mâchoire )et “tumeurs brunes” histologiquement (hyperparathyroïdie)

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7
Q

Caracteristiques de la gingivostomatite herpétique aiguë

A

VHS-1 ou VHS2

Enfants, souvent asx

10% à 20% des les infections primaires.

vésicules et des ulcérations de la muqueuse buccale, en particulier
la gencive + lymphadénopathie, fièvre, anorexie et irritabilité.

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8
Q

Morphologie de la gingivostomatite herpétique

A

vesicules → boules remoplies de liquide sereux

Rumpure → ulcere rougâtre doulereuse.

MIcro: Oedeme cellulaire et intercellulaire (acantholise)

inclusions intranuclaires eosinophiles, cellules geantes (polycaryons multinucléés, demontrés par le Tzanck test)

Disparition des vesicles en 3-4 semaines

Le virus latent dans les nerfs sensoriels (ganglion trigéminal).

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9
Q

Caracteristiques de la gingivostomatite herpétique recurrente:

A

Associé à des traumatismes, des allergies, une exposition à la lumière ultraviolette, une infection des voies respiratoires supérieures, grossesse, menstruation, immunosuppression, exposition à des températures extrêmes.

Survient au site d’inoculation primaire ou dans des régions adjacentes.
Groupes de petites vésicules (1 à 3 mm) sur les lèvres (Herpès labial), les orifices nasaux, la muqueuse buccale, la gencive et le palais dur.

Disparaissent généralement en 7 à 10 jours

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10
Q

mycose la plus fréquente de la cavité buccale:

A

Candida

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11
Q

Quels sont les facteurs qui semblent influer l’infection et quelles sont les trois principales formes cliniques?

A

le statut immunitaire de l’individu, la souche de C. albicans et la composition de la flore buccale. (antibiotiques modifient la flore)

Les formes cliniques:

Pseudomembraneuse, érythémateux et hyperplasique.

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12
Q

Charactéristiques de la forme pseudo-membraneuse (candidose)

A

La plus frequente (muguet).

Elle se caractérise par une membrane inflammatoire superfciale, grise à blanche, composée d’organismes dans un exsudat suppratif, qui peut être facilement enlevé pour révéler une base érythémateuse.

L’infection reste généralement superficielle, sauf en cas d’immunosuppression, greffés, neutropénie, d’immunosuppression induite par une chimiothérapie, SIDA et de diabète.

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13
Q

Infections fongiques profondes qui ont une prédilection pour la cavité buccale et la région de la tête et du cou.

A

Histoplasmose, blastomycose, coccidioïdomycose, cryptococcose, zygomycose et aspergillose.

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14
Q

Manifestations buccales des maladies infectieuses systémiques

A

Scarlatine: Langue rouge avec des papilles proéminentes (langue framboisée); langue blanchâtre à travers laquelle se projettent des papilles hyperémiques (langue fraise)

Rougeole : Enanthème irregulier dans la cavité buccale précède souvent l’éruption cutanée; Les ulcérations de la muqueuse buccale autour du canal de Stensen produisent des taches de Koplik

Mononucléose infectieuse: Pharyngite aiguë et amygdalite avec +/- membrane exsudative grisâtre; lymphadenopathie cervicale, pétéchies au palais.

Diphtérie : membrane blanchâtre, inflammatoire, fibrinopulente, sur les amygdales et le rétropharynx

VIH: Prédisposition aux infections buccales opportunistes (herpès, Candida et d’autres champignons); lésions buccales de sarcome de Kaposi et de leucoplasie poilue.

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15
Q

Manifestations buccales des conditions dermatologiques:

A

Lichen plan: lésions kératotiques réticulées blnanchâtres, parfois ulcérées et qui forment des bulles; observé chez plus de 50% des patients atteints de lichen plan cutané; rarement,est la seule manifestation.

Pemphigus: vésicules et bulles qui à la rupture, laissent des érosions hyperémiques recouvertes d’exsudats.

Pemphigoïde bulleuse: les lésions buccales (pemphigoïde muqueux) ressemblent à celles du pemphigus mais peuvent être différenciées histologiquement

Érythème polymorphe: éruption maculo-papuleuse et vésiculobulleuse apres une infection ailleurs, à l’ingestion de médicaments, cancer ou une maladie vasculaire du collagène; en cas d’atteinte cutanée et muqueuse étendue, on parle de syndrome de Stevens-Johnson

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16
Q

Manifestations buccales des troubles hematologiques:

A

Pancytopénie (agranulocytose, anémie aplastique):
Infections buccales sévères sous forme de gingivite, pharyngite, amygdalite; peut s’étendre pour produire une cellulite cervicale(‘angine de Ludwig)
Leucémie: En cas d’épuisement des neutrophiles les lésions buccales peuvent ressembler à celles de pancytopénie.
Leucémie monocytaire: Infiltration leucémique et hypertrophie de la gencive, souvent accompagnée d’une parodontite.

17
Q

Manifestations buccales d’autres troubles systémiques:

A

Pigmentation mélanotique: maladie d’Addison, hémochromatose, dysplasie osseuse fébreuse (syndrome d’Albright) et syndrome de Peutz-Jeghers (polypose gastro-intestinal).

Phénytoïne (Dilantin) ingestion: Hypertrophie fibreuse de la gencive

Grossesse: granulome pyogènique, («tumeur de grossesse»).

Syndrome de Rendu-Osler-Weber: Trouble autosomique dominant avec de multiples télangiectasies anévrysmales congénitales sous muqueuses dans la cavité buccale et des lèvres

18
Q

Caracteristiques de la leucoplasie cheveleue:

A

Bord latéral de la langue

VirusEpstein-Barr (EBV).

Patients immunodéprimés. VIH (peut être le signe du développement du siida),thérapie anticancéreuse, immunosuppression associée aux greffes et le vieillissement.

Paques blanches et confluentes d’épaississements hyperkératosique «velus» sur le bord latéral de la langue qui ne peuvent pas être enlevées.

Micro: hyperparakératose et acanthose avec «cellules ballonisées» dans la couche épineuse supérieure.

Colorants spéciaux pour démontrer la présence de transcrits et de protéines d’ARN d’EBV dans les cellules lésionnelles.

Une infection à candida peut etre superposée.

19
Q

Definir leucoplasie:

A

Tache ou une plaque blanchâtre qui ne peut pas être enlevée et ne peut pas être caractérisée cliniquement ou pathologiquement comme toute autre maladie.

Terme réservé aux lésions buccales sans raison apparente.

Environ 3% de la population mondiale souffre de lésions leucoplasiques; 5% à 25% de ces lésions sont prémalignes.

Jusqu’à preuve du contraire par une évaluation histologique, toutes les leucoplasies doivent être considérées comme précancéreuses.

20
Q

Definir erythroplakia

A

Plaque rouge, velouté, peut etre érodé légèrement déprimé.
L’épithélium dans ces lésions ont tendance à être nettement atypiques et le risque de transformation maligne est beaucoup plus élevé que dans la leucoplasie. Leucoerythroplakia, forme intermédiaire.

Les 2 peuvent être observées chez les adultes à tout âge, > fx chez les 40 à 70 ans, ♂: ♀ 2: 1. Tabac (cigarettes, pipes, cigares et certaines formes de tabac sans fumée)

21
Q

Morphologie Leucoplasie

A

Site: muqueuse buccale, plancher , face ventrale de la langue, le palais et la gencive.

Plaques blanches solitaires ou multiples bien délimitées . Elles peuvent être légèrement épaissies ou verruqueuses.

À l’examen histologique: modifications épithéliales allant d’une hyperkératose acanthotose (mais ordonné), à des lésions présentant des modifications nettement dysplasiques.

L’érythroplasie est desordonéé et avec dysplasie severe + infiltrat inflammatoire et dilatation vasculaire ( couleur rougâtre)

22
Q

Étiologie et pathogénèse du carcinome épidermoïde de la tête et cou.

A

Abus chroniques de tabac et de l’alcool.

Mâcher du bédel et du paan

La radiation actinique (lumière du soleil) et fumer la pipe (cancer de la lèvre inférieure)

↑ incidence du carcinome épidermoïde dans la cavité buccale (en particulier la langue) chez les individus de moins de 40 ans n’ayant aucun facteur de risque connu.

Environ 70% des CSC, (amygdales, la base de la langue et le pharynx) abritent des variants oncogènes du HPV, en particulier du VPH-16.

(Mais le CSC de la cavité orale associé au VPH est rare)

Survie:

Taux de survie à 5 ans du CSC «classique» (lié au tabagisme et à l’alcool) au stade précoce 80%, stade avancé 20%.

HPV+ meilleur survie que HPV-

23
Q
A
24
Q
A