Cours 1 - Introduction Flashcards

Introduction

1
Q

Nommes les différentes qualités musculaires

A

Force, Vitesse, Endurance, Équilibre, Agilité/Dextérité, Puissance, Flexibilité (souplesse).

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2
Q

Comment se mesurent les qualités musculaires ?

A

Avec des tests (exercices).

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3
Q

Quelle est la relation entre les qualités musculaires et la performance d’un athlète ?

A

Selon l’entraînement et la discipline sportive, un athlète développera certaines qualités musculaires plus que d’autres. Cela lui permettra de réaliser une performance qui sera quantifiable et qui donnera un indice sur ses qualités musculaires.

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4
Q

Quelle est la différence entre l’agilité et la dextérité ?

A

L’agilité fait surtout référence aux membres inférieurs, elle implique un déplacement, un arrêt et un changement de direction. Par exemple, des déplacements pendant une partie de soccer.
La dextérité peut faire référence aux membres inférieurs et supérieurs, mais implique des mouvements plus fins. Par exemple, résoudre un cube rubique ou dribler un ballon de soccer.

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5
Q

VRAI OU FAUX : La performance est quantifiable.

A

VRAI !

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6
Q

Comment peut-on quantifier la performance d’un athlète ?

A

On peut la mesurer de façon quantitative ou qualitative :
Mesures quantitatives : Ce sont des mesures précises et chiffrées. On peut mesurer le temps, la charge, etc.

Mesures qualitatives : On les mesure surtout en observant l’athlète. Par exemple, en regardant son expression faciale. On apprend à connaître l’athlète qu’on entraîne et on doit toujours tenir compte de nos mesures qualitatives, car elles peuvent nous permettre d’investiguer et de comprendre pourquoi aujourd’hui, mon athlète trouve l’entraînement plus difficile.

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7
Q

Donne un exemple de test à mesure quantitative en musculation.

A

Le test 1RM qui consiste à déterminer la plus grande charge que l’athlète peut soulever en 1 répétition. C’est un test de capacité ou de force maximale de l’athlète.

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8
Q

De quoi dépend la qualité de l’évaluation musculaire ?

A

Du matériel et des équipements disponibles :

  • Mesure directe (très précise, nécessite équipement sophistiqué) vs Mesure indirecte (estimation, plus accessible)
  • Laboratoire (conditions contrôlées, moins près de la réalité) vs Terrain (plus accessible, conditions non contrôlées, plus près de la réalité de compétition)
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9
Q

Comment déterminer le bon test à faire pour l’athlète ? Donne un exemple.

A

Les tests doivent être adaptés à la pratique sportive. On doit tester le bon groupe musculaire, la bonne qualité musculaire et le bon type d’effort.

Par exemple, si j’ai un haltérophile, je ne lui ferai pas passer des tests pour mesurer son agilité, car ce n’est pas une qualité musculaire dont il a besoin pour performer dans son sport. Je vais plutôt tester sa force musculaire et sa puissance.

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10
Q

Donne un exemple de comparaison entre 2 types d’efforts pour 2 disciplines différentes.

A

Le joueur de soccer fait un effort plus long, continu, des changements de directions, mais pas de saut.
VS
Le joueur de basketball fait un effort discontinu, plus de pauses, efforts plus intenses, saute (donc penser à la prévention des blessures).

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11
Q

VRAI OU FAUX : Tous les tests sont spécifiques à une pratique sportive donnée.

A

FAUX !
Certains tests seront spécifiques à une discipline donnée, par exemple, la puissance des directs en boxe, alors que d’autres tests seront valides pour plusieurs sports, par exemple, test qui vérifie la puissance des quadriceps.

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12
Q

Le mouvement volontaire se passe à différents niveaux du système neuromusculaire. Quelles sont les étapes menant à la réalisation d’un mouvement volontaire ?

A

Décision de réaliser un mouvement –> Élaboration de la commande motrice (CM) –> Transfert de CM jusqu’au cortex moteur primaire (M1) –> Finalisation de la commande motrice à M1 –> Transfert de CM par les motoneurones –> Les muscles produisent de la force –> Mouvement

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13
Q

Quelles sont les différentes perceptions associées au mouvement ? Comment sont-elles perçues ?

A

Des signaux afférents (qui arrivent au cerveau) et des signaux efférents (qui sont envoyés par le cerveau) nous font ressentir différentes sensations :

  • Force
  • Mouvement
  • Douleur
  • Effort
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14
Q

Pourquoi est-il pertinent d’utiliser la perception de l’athlète (par exemple EPE de Borg) pour faire le suivi de l’athlète ?

A

Ça nous permet de mesurer des choses qu’on ne peut pas voir. Par exemple, quand on crée des dommages musculaires par les exercices excentriques, on ne peut pas quantifier ces dommages de façon directes, mais la personne sera raquée et ressentira de la douleur, etc.

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15
Q

Est-ce que l’information qui part du cerveau se rend directement au muscle ?

A

En résumé, le mouvement volontaire part du cerveau et se rend au muscle.
L’info qui part du cerveau et arrive au muscle ne se rend pas directement, elle passe par la moelle épinière (c’est une autoroute qui s’adapte et agit comme relais de l’information donc modifie le mouvement).

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16
Q

Le mouvement volontaire mène à une performance et sollicite plusieurs composantes du système neuromusculaire pour y arriver. Nomme ces composantes et explique.

A

 Composante cognitive/psychologique (motivation, par exemple)
Est un effort, il résulte de l’intensité de l’engagement de l’athlète.

 Composante centrale (supraspinale (au-dessus de la moelle épinière, génération de la commande motrice) et spinale (capacité de la moelle épinière de transmettre l’info jusqu’au muscle)
Est possible grâce au cerveau qui génère la commande centrale et la transmet aux muscles via la moelle épinière

 Composante périphérique (musculaire) (capacité du muscle à transformer l’info électrique en info chimique et production de force)
Est possible grâce aux muscles qui utilisent cette commande motrice pour se contracter

Le mouvement va donc permettre la réalisation d’une performance dictée par les paramètres psychologiques et physiologiques.

17
Q

Quel est l’effet de la Caféine sur la performance ?

A
  • Va permettre de diminuer le temps de réaction (Effet cognitif)
  • Augmente l’excitabilité corticospinale (Effet central) (motoneurone sera plus actif, diminue le seuil d’excitabilité donc besoin d’envoyer moins d’info au motoneurone pour qu’il soit stimuler)
  • Donc, avec la caféine, un exercice va nous demander moins d’effort.
18
Q

Quel est l’effet de l’entraînement sur la performance ?

A

Induit des adaptations (cognitives (psychologiques), centrales (nerveuses) et périphériques (musculaires))

19
Q

Quel est l’effet des stéroïdes sur la performance ?

A
  • Augmentation des tissus musculaires (Effet périphérique)
20
Q

Quels sont les 3 moyens vus en classes pour améliorer la performance ?

A
  • Caféine (légal)
  • Stéroïdes (dopant)
  • Entraînement
21
Q

Quelle est la différence entre un effet placebo/nocebo ?

A
  • Il a été démontré dans la littérature qu’il y a un effet placebo (qui augmente la performance) si on donne à quelqu’un une pilule de farine alors qu’on lui dit que c’est une pilule de caféine.
  • À l’inverse, il peut y avoir un effet nocébo (qui diminue la performance) si on croit que la chose est mauvaise.
  • Ne pas négliger les composantes cognitives et psychologiques  Ça s’entraîne aussi ! Ça s’intègre facilement dans des séances !
22
Q

Définition de la force.

A

Tension (contraction) –maximale- volontaire qu’un

muscle peut produire.

23
Q

Définition de la vitesse.

A

Rapidité d’exécution d’un mouvement

24
Q

Définition de la puissance.

A

Capacité du muscle à produire une certaine tension (contraction) rapidement ( P = F x V)

25
Q

Définition d’endurance musculaire.

A

Capacité du système neuromusculaire à produire une ou plusieurs contractions sur une longue période de temps. (Capacité à produire de la force le plus longtemps possible)

26
Q

Définition de la flexibilité (souplesse).

A

L’amplitude de mouvement autour d’une articulation du corps.

27
Q

Définition de l’équilibre.

A

Capacité à maintenir un équilibre statique et dynamique.

28
Q

Quels sont les effets de l’entraînement sur les qualités musculaires en général ?

A

Il y a une spécialisation des qualités musculaires avec l’entraînement. C’est-à-dire que plus on s’entraîne à une discipline, plus nos qualités musculaires se développeront pour répondre à celles-ci.

Par exemple, sur une étude réalisée auprès de traçeurs, d’athlètes de puissance, d’un gymnaste et d’un sédentaire, on a observé que la performance de chacun à faire des sauts en longueurs, des drop jumps et squat jumps (mouvements propres au parkour) étaient améliorée avec l’entraînement. Par contre, les traçeurs voyaient leur performance nettement supérieure aux autres athlètes puisqu’ils s’entraînement spécifiquement à cette discipline.

29
Q

Quels sont les effets de l’entraînement sur la force ?

A

Adaptations centrales et périphériques
o Le SNC peut recruter plus de fibres musculaires
o Adaptations spinales différentes (La moelle épinière réagit de manière différente chez un athlète de puissance que chez un athlète qui fait du parcours pour le même test.)
o Plus de force produite lors d’une secousse musculaire
o Vitesse de développement de force plus importante
o Relaxation musculaire plus rapide (muscle se contracte plus rapidement, se relâche plus rapidement et génère plus de force chez le traçeur en parkour que l’athlète en puissance).

30
Q

Comment l’entraînement en force peut-il améliorer la protection de l’articulation du genou ?

A

Parce que l’entraînement en force peut améliorer la force des fléchisseurs et des extenseurs du genou, ce qui lui procure une meilleure stabilité.

31
Q

Quels sont les effets de l’entraînement en endurance ?

A

L’athlète entraîné en endurance présente des capacités de force plus élevés que le sujet qui s’entraîne pas du tout (utilise plus de force et plus de fibres musculaires). Il a donc des capacités de force plus élevées et une meilleure résistance à la fatigue.

32
Q

Quels sont les effets de l’entraînement en agilité ?

A

Pour le même exercice, une personne non entraînée fera plus d’erreurs et prendra plus de temps pour réaliser le même exercice que la personne entraînée.

33
Q

Quels sont les effets de l’entraînement sur l’équilibre ?

A

Un meilleur équilibre et une diminution du risque de blessure.

34
Q

Quels sont les effets de l’entraînement sur les fonctions cognitives ?

A

Une prise de décision plus rapide et efficace. Cela signifie que l’entraînement dans un sport peut apporter des adaptations dans d’autres domaines que dans le sport (comme l’amélioration des performances scolaires, par exemple), donc pas toujours seulement spécifique.