Annales Flashcards
A. Un compartiment regroupe des composants corporels fonctionnellement liés entre eux, indépendamment de leur localisation anatomique ou de leur nature chimique. La constitution corporelle est définie par l’ensemble des éléments macroscopiques de nature et densité variables. Chez l‘Homme sain, les quantités de ces éléments varient tout au long de la vie.
B. La masse corporelle totale représente la somme de la masse grasse et de la masse maigre.
C. Chez un sujet masculin adulte de poids normal, la composition corporelle se distribue comme suit: 25% pour la masse musculaire, 20% pour la masse adipeuse, et 7% pour la masse
osseuse.
D. La masse grasse correspond aux triglycérides stockés dans les adipocytes, quelle que soit leur
localisation anatomique.
E. La masse maigre est constituée seulement de protéines et d’eau.
B C D
A. La masse hydrique est comparable chez le nouveau-né et chez l’enfant.
B. La masse osseuse est comparable chez l’enfant et chez le sujet âgé.
C. Chez le sujet âgé ou dénutri, la masse hydrique intracellulaire est diminuée par rapport à un
sujet sain, la masse hydrique extracellulaire étant elle inchangée.
D. Le principe de l’’impédance-métrie bioélectrique est basé sur la capacité des tissus hydratés à
conduire l’énergie chimique.
E. La méthode d’impédance-métrie bioélectrique permet une mesure indirecte des différents
volumes d’eau (VET, VEC, et VIC).
C E
A. Le métabolisme de base est équivalent à la dépense énergétique de repos.
B. Le tissu adipeux est un tissu de réserve ; il est pour cette raison métaboliquement inactif.
C. L’effet thermique des aliments représente environ 20 % de la dépense énergétique totale.
D. L’effet thermique le plus marqué concerne les protéines.
E. Au cours de l’effort physique, l’essentiel de l’énergie est transformé en chaleur.
D E
A. Le principe de la calorimétrie indirecte repose sur l’équivalence entre l’énergie utilisée dans
l’organisme et celle convertie à partir de l’oxydation des nutriments.
B. La dépense énergétique totale peut être estimée en multipliant la dépense énergétique de repos
par un facteur traduisant le volume alimentaire.
C. La dépense énergétique demeure stable avec l’âge.
D. Les besoins énergétiques demeurent stables avec l’âge.
E. La dépense énergétique de repos chez un sujet sédentaire est plus importante chez l’homme
que chez la femme.
A E
A. La masse des réserves glucidiques est estimée à quelques kilogrammes.
B. Globalement, il existe une bonne adaptation entre les quantités oxydées et les quantités
ingérées de glucides et de protéines.
C. Un quotient respiratoire égal à 0,80 indique que le régime alimentaire est principalement carné
(comme on pourrait le voir avec les régimes hyperprotéinés).
D. A apport protéiné constant, la variation du quotient respiratoire est le reflet de la variation du
rapport entre les glucides et les lipides de l’alimentation oxydés.
E. Le maintien d’un poids stable implique une équivalence entre les apports énergétiques et les
dépenses et aussi entre les apports de substrats sources d’énergie et leur niveau d’oxydation.
B D E
A. La valeur énergétique des nutriments est, en kcal/g, de 4 pour les glucides, 4 pour les protéines,
9 pour les lipides ; à quoi l’on peut encore ajouter 4 pour l’alcool.
B. La teneur en lipides des poissons est variable (0,5 % à 15 %).
C. La teneur protéique de l’œuf entier est de 14 %, mais compte-tenu de la qualité des protéines
de l’œuf on fait en pratique une équivalence entre 100 g de viande et 2 œufs (de 50 g environ).
D. Un litre de lait, qu’il soit entier ou écrémé, apporte 50 g de glucides (sous forme de lactose).
E. Les fromages à pâte pressée non cuite sont les plus riches en lipides.
B C D
A. La crème (non allégée) comporte environ 30 à 35 % de lipides.
B. Le beurre comporte environ 83 % de lipides.
C. L’huile d’olive est une source importante d’acides gras polyinsaturés.
D. Les légumes sont riches en vitamines liposolubles.
E. De façon générale, un fruit apporte 15 à 20 g de glucides.
A B E
A. La salade est un légume vert.
B. Les légumes-racines peuvent constituer une source substantielle de glucides.
C. Les légumes-racines constituent une source substantielle de folate.
D. Les légumes sont riches en vitamines thermosolubles.
E. Les légumes secs sont assimilés aux légumes verts.
B D
A. La teneur en glucides du pain est de 55 % et celle du riz (cru) est de 80%.
B. Les céréales et les légumes secs ont une teneur quantitative en acides aminés équivalente.
C. Les céréales et les légumes secs ont une teneur qualitative en acides aminés équivalentes.
D. Le sucre de canne et le sucre de betterave sont composés de 100 % de saccharose.
E. L’eau de Volvic est richement minéralisée.
A D
A. L’isomérisation du rétinol après absorption d’un photon change la conformation de l’opsine,
protéine de la famille des récepteurs à 7 segments transmembranaires, ce qui entraîne
l’activation d’une phosphodiestérase hydrolysant le GMP cyclique.
B. L’acide rétinoïque est le principal pigment responsable de la réception des photons au niveau
de la rétine.
C. Le bêta-carotène est un précurseur de la synthèse des vitamines liposolubles.
D. L’acide rétinoïque joue un rôle de maturation au cours de la vie fœtale.
E. L’acide rétinoïque possède des récepteurs nucléaires.
A D E
A. La vitamine B1 (thiamine) est le coenzyme des carboxylations nécessaires à la synthèse des acides gras.
B. La vitamine B1 (ou thiamine) est essentielle (entre autres rôles) au bon fonctionnement du système nerveux ; sa carence est fréquente en cas d’alcoolisme chronique, ce qui entraîne des
troubles hépatiques caractéristiques.
C. La vitamine B1 (thiamine) est importante pour la formation des globules rouges au niveau de la moelle osseuse ; une carence s’accompagne ainsi souvent d’une anémie de type
mégaloblastique.
D. La vitamine B1 doit être phosphorylée pour acquérir sa forme active.
E. La vitamine B1 (thiamine) est fragile et détruite par une cuisson prolongée, notamment par ebullition
D E
Modele à 2 compartiments
- masse grasse : TA (lipides amorphes / eau / masse maigre seche)
- masse maigre : eau / protéines / masse calcique
Composition corporelle sujet age et sujet dénutri
masse grasse / masse hydrique cellulaire / masse cellulaire active
- age : masse grasse + / hydrique cellulaire et cellulaire active -
- dénutri : masse grasse, hydrique cellulaire et cellulaire active -
Méthodes de mesure recherche
- IMG
- densitométrie hydrostatique
- comptage potassium 40 radioac
- mesure eau corporelle
- RMN
- absorption biphotonique
Méthode de mesure clinique
- IMC
- methode plis cutanés
- impedancemetrie bioelectrique
Limites IMG
○ enfants de moins de 15 ans et adultes de plus de 50 ans
○ femmes enceintes ou qui allaitent
○ personnes très musclées et athlètes d’endurance de haut niveau
○ personnes géantes, naines ou amputées
Balance energétique : entrées et sorties
- entrées énergétiques
● exclusivement la prise alimentaire
2. sorties énergétiques ● dépenses de fonctionnement ● dépenses de renouvellement cellulaire ● dépenses de chauffage (thermorégulation) ● dépenses de déplacement (exercice)
Qu’est ce qu’une calorie
■ une calorie désigne la quantité d’énergie nécessaire pour élever la température de 1°C de 1 gramme d’eau
■ en diététique, correspond à la quantité de chaleur dégagée par la combustion de l’élément
■ 1 kcal = 4,18 kJ
Pertes par le métabolisme basal
■ constant pour une personne donnée
■ en fonction de l’âge, du sexe, du poids, de la taille
- personnes obeses diminution du metabolisme basal (cellules adipeuses depensent moins que cellules musculaires)
Quotient respiratoire
○ 1 pour les glucides
○ 0,8 pour les protides purs
○ 0,7 pour les lipides purs
○ QR = V’CO2 / V’O2
Structures comportement alimentaire
- Noyau arqué : seule zone de l’hypothalamus sensible aux métabolites intermédiaires du métabolisme des acides gras
- Noyau ventro-médian
o Centre de la satiété
o Est riche en récepteurs de la leptine - Noyau dorso-médian
o Récepteurs de l’insuline et de la leptine
o Initiation de la prise alimentaire - Noyau para-ventriculaire
o Centre intégrateur recevant projections des NPY/AGRP et POMC/CART
o Impliqué dans la modification de l’appétit - Hypothalamus
o Centre de la faim
o Contient des récepteurs à NPY ainsi que des neurones sensibles au glucose
Facteurs diminuant et augmentant la prise alimentaire
Diminuant
- Insuline
- Leptine (s’eleve avec l’obésite, taux circulant reflete la masse adipeuse)
Augmentant
- Ghreline (diminue chez obese / augmente apres amaigreissement
Voies orexigenes et anorexigenes
- orexigenes : NPY / AGRP
- anorexigenes : POMPC
Qu’est ce que l’ANC (apports nuritionnels conseilles)
- besoin nutritionnel moyen, mesuré sur un groupe d’individus, auquel sont ajoutés 2 écarts types
- l’ANC est choisi sur une base de 130% du besoin moyen
Que comprennnent les depenses energétiques
Dépenses énergétiques = Métabolisme de base + thermorégulation + action dynamique spécifique + travail musculaire
A. Les vitamines B2 (riboflavine), B3 (acide nicotinique), et C sont des transporteurs de
groupements carbonés et aminés.
B. La vitamine B5 (acide pantothénique) est un constituant essentiel du Coenzyme A.
C. Une carence en vitamine B6, outre les situations de dénutrition et d’alcoolisme chronique, peut-
être observée chez les patients recevant un traitement antituberculeux à base d’INH
(isoniazide).
D. La vitamine B8 (biotine) est nécessaire à de nombreuses réactions de carboxylation
(métabolisme du glucose, synthèse des acides gras, etc.).
E. Une carence en vitamine B12 entraîne entre autre une anémie macrocytaire régénérative.
B C D
A. L’absorption intestinale du calcium est principalement régulée par l’acide rétinoïque.
B. La vitamine D possède une « queue phytol » qui permet une insertion dans le feuillet interne
des membranes cellulaires.
C. La vitamine D est abondante dans les huiles riches en acides gras mono-insaturés.
D. L’hydroxylation en 1-alpha est l’étape limitante et régulée de la maturation de la vitamine D ;
elle est réalisée par une 1-alpha hydroxylase rénale activée par l’hypocalcémie,
l’hypophosphatémie, ainsi que par l’hormone parathyroïdienne (PTH).
E. La vitamine D possède des récepteurs nucléaires et peut moduler l’expression de certains
gènes.
D E
A. La vitamine E est le principal antioxydant des membranes cellulaires, et protège notamment
les acides gras très insaturés de l’oxydation par les espèces activées de l’oxygène.
B. La vitamine E est régénérée à l’interface membrane / cytosol grâce à la vitamine C.
C. La vitamine K est une vitamine hydrosoluble inhibant l’agrégation plaquettaire en réduisant la
synthèse des thromboxanes.
D. La vitamine K est abondante dans les légumes secs.
E. Un excès d’anti-vitamine K peut entraîner des accidents hémorragiques sévères.
A B D
A. La prise alimentaire est précédée d’une phase céphalique de sécrétion d’insuline.
B. La distension gastrique influence la quantité d’aliments ingérés.
C. Les apports alimentaires sont influencés par la densité énergétique des aliments ingérés.
D. Les orexines figurent parmi les neurotransmetteurs hypothalamiques satiétogènes les plus
puissants.
E. Le taux de ghréline diminue chez les sujets obèses et augmente après amaigrissement.
A B C E
A. Un taux élevé de leptine dans le plasma doit être considéré comme la marque d’une résistance
à l’effet de cette hormone.
B. Le noyau arqué est la seule structure hypothalamique sensible aux métabolites intermédiaires
du métabolisme des acides gras à chaîne courte.
C. La lésion du noyau ventro-médian de l’hypothalamus augmente la prise alimentaire.
D. L’hypothalamus est insensible aux métabolites intermédiaires du métabolisme des acides gras.
E. La lésion du noyau dorso-médian de l’hypothalamus stimule la prise alimentaire.
A C
A. Les apports nutritionnels sont équivalents aux besoins physiologiques.
B. Les apports nutritionnels recommandés sont établis pour couvrir les besoins de 80 % de la
population.
C. Les apports recommandés concernent les macronutriments comme les micronutriments.
D. Les apports recommandés en lipides prennent en compte la composition en acides gras
essentiels.
E. Les apports recommandés sont variables au fil de la vie dans la population générale mais fixes
pour individu considéré isolément.
C D
A. La réduction de l’activité physique au terme de la grossesse participe à la régulation de
l’équilibre énergétique.
B. Compte-tenu des besoins pour la croissance fœtale, une augmentation des apports en
protéines est recommandée au cours de la grossesse.
C. L’aménorrhée de la grossesse permet de compenser le défaut d’apport en fer chez la femme
enceinte carencée en fer.
D. L’absorption du calcium par l’intestin s’élève chez la femme enceinte d’un facteur 2 environ. F
E. Pour éviter une carence en folates au cours de la grossesse, il convient de recommander une
consommation significative de légumes-feuilles.
A E
A. L’équilibre nutritionnel se construit à partir des nutriments et non des aliments.
B. L’apport énergétique du dîner peut très bien être équivalent à celui du déjeuner.
C. N’importe quel groupe d’aliment peut être proposé en entrée.
D. Il faut limiter la consommation de fromage à une portion par jour.
E. La consommation de pain est superflue si des féculents (pâtes, riz, pommes de terre, etc.) ont
déjà été consommés au cours d’un même repas.
A B C
A. La consommation de graisses de constitution recommandée est de l’ordre, en équivalence,
d’une petite plaquette de beurre d’hôtel par repas.
B. L’équilibre nutritionnel implique que les principaux groupes d’aliments soient représentés au
petit-déjeuner.
C. Une portion de steak doit nécessairement être de 100 g.
D. Une portion d’huîtres peut remplacer un steak.
E. Une portion de légumineuses peut remplacer un steak.
A D
A. Un marqueur de risque est un facteur de risque, et réciproquement.
B. La relation qui lie le taux d’un facteur de risque (vasculaire par exemple) et l’incidence
d’événements de santé défavorables est toujours linéaire.
C. Le risque vasculaire absolu intègre les risques relatifs à chacun des déterminants de ce risque.
D. Le risque relatif peut être présenté sous la forme d’un coefficient multiplicateur.
E. La notion de risque absolu, élaborée dans l’appréciation du risque vasculaire, peut être étendue
à l’ensemble des maladies chroniques.
C D
A. Le syndrome métabolique est une entité nosologique.
B. Une hyperglycémie au stade de diabète sucré fait partie des critères de syndrome métabolique.
C. Une élévation du taux de cholestérol-LDL fait partie des critères de syndrome métabolique.
D. Le syndrome métabolique est caractérisé par une baisse du taux plasmatique de l’adiponectine.
E. Le syndrome métabolique est associé à un risque accru d’accident vasculaire cérébral.
D E
A. L’obésité est définie par une augmentation de la masse pondérale.
B. L’obésité est caractérisée par un accroissement de la masse grasse aux dépens de la masse
maigre.
C. Le rationnel de la proposition de seuils d’IMC comme critères pour le surpoids et l’obésité est
la corrélation observée entre cet indice et le nombre d’événements de santé défavorables.
D. Le tour de taille est corrélé à la masse adipeuse totale.
E. La masse adipeuse péri-viscérale est corrélée à la sensibilité à l’insuline.
C E
A. L’hyperplasie des cellules adipeuses se constitue avec l’âge.
B. L’hypertrophie des cellules adipeuses est invariable au fil du temps.
C. L’hyperplasie des cellules adipeuses est invariable au fil du temps.
D. Dans l’obésité, des anomalies cellulaires du tissu adipeux suggèrent l’existence d’un état
inflammatoire de grade élevé.
E. Les adipocytes peuvent être considérés comme des cellules endocrines.
C E
A. Un dysfonctionnement du tissu adipeux brun est à l’origine de l’obésité.
B. Un dysfonctionnement de la mitochondrie est à l’origine de l’obésité.
C. Un dysfonctionnement du tissu adipeux peut être à l’origine de l’obésité.
D. Un dysfonctionnement de l’hypothalamus peut être à l’origine de l’obésité.
E. Le dysfonctionnement d’un seul gène peut être à l’origine de l’obésité.
C D E
A. Les données de l’enquête alimentaire permettent d’objectiver la consommation alimentaire
dans les conditions habituelles de vie.
B. La notion de densité énergétique est la transposition de celle de densité, en général, laquelle
établit un rapport du volume sur la masse.
C. D’après le concept de densité énergétique, il pourrait être pertinent d’augmenter le volume
alimentaire pour réduire le poids.
D. On peut, sur un plan pratique, faire une équivalence entre densité énergétique et densité
lipidique.
E. On assiste actuellement à une consommation élevée de protéines parce que leur effet
satiétogène est faible.
C D
A. Le niveau des dépenses énergétique de repos est corrélé positivement à l’indice de masse
corporelle.
B. La thermogenèse induite par l’alimentation est augmentée dans l’obésité, augmentation qui en
fait un facteur significatif de prise de poids.
C. Chez une personne ayant une surcharge pondérale, les dépenses énergétiques de repos sont
plus élevées que chez une personne de poids normal.
D. Un gain de poids peut être observé en dépit d’apports énergétiques réduits.
E. Une absence de perte de poids peut être observée en dépit d’une réduction des apports
énergétiques.
A C D E
A. Un excès d’adiposité sous-cutanée est fortement associé au risque de développer un diabète
(de type 2).
B. Le syndrome d’apnée du sommeil peut être à l’origine d’une obésité.
C. Parmi les cancers les plus fréquemment associés à l’obésité, on dénombre le cancer du sein et
le cancer du colon.
D. Un excès d’adiposité sous-cutané peut être considéré comme un facteur protecteur du diabète
de type 2, pourtant associé au surpoids.
E. L’obésité est associée à un risque accru de cirrhose hépatique (non alcoolique).
C E
A. Un amaigrissement peut être constitutionnel.
B. Un amaigrissement peut être observé malgré une augmentation des apports énergétiques.
C. Un amaigrissement peut être observé malgré une réduction des apports énergétiques.
D. La réduction de la masse musculaire réduit les dépenses énergétiques de repos.
E. Dans l’amaigrissement, le retour à l’équilibre du bilan azoté est la marque de la restauration de
la masse protéique
B C D
A. Le taux d’albumine sérique renseigne sur l’évolutivité d’un amaigrissement à court terme.
B. On peut considérer que la réduction de sécrétion des hormones thyroïdiennes est adaptative
dans l’amaigrissement significatif dans la mesure où ces hormones ont une action anabolisante.
C. Une hyperglycémie même modérée peut induire une perte d’énergie (dans les urines).
D. Un sujet obèse peut être dénutri.
E. Une carence en zinc est un des marqueurs biologiques de l’état de dénutrition.
D E