Annales Flashcards

1
Q

A. Un compartiment regroupe des composants corporels fonctionnellement liés entre eux, indépendamment de leur localisation anatomique ou de leur nature chimique. La constitution corporelle est définie par l’ensemble des éléments macroscopiques de nature et densité variables. Chez l‘Homme sain, les quantités de ces éléments varient tout au long de la vie.
B. La masse corporelle totale représente la somme de la masse grasse et de la masse maigre.
C. Chez un sujet masculin adulte de poids normal, la composition corporelle se distribue comme suit: 25% pour la masse musculaire, 20% pour la masse adipeuse, et 7% pour la masse
osseuse.
D. La masse grasse correspond aux triglycérides stockés dans les adipocytes, quelle que soit leur
localisation anatomique.
E. La masse maigre est constituée seulement de protéines et d’eau.

A

B C D

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2
Q

A. La masse hydrique est comparable chez le nouveau-né et chez l’enfant.
B. La masse osseuse est comparable chez l’enfant et chez le sujet âgé.
C. Chez le sujet âgé ou dénutri, la masse hydrique intracellulaire est diminuée par rapport à un
sujet sain, la masse hydrique extracellulaire étant elle inchangée.
D. Le principe de l’’impédance-métrie bioélectrique est basé sur la capacité des tissus hydratés à
conduire l’énergie chimique.
E. La méthode d’impédance-métrie bioélectrique permet une mesure indirecte des différents
volumes d’eau (VET, VEC, et VIC).

A

C E

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3
Q

A. Le métabolisme de base est équivalent à la dépense énergétique de repos.
B. Le tissu adipeux est un tissu de réserve ; il est pour cette raison métaboliquement inactif.
C. L’effet thermique des aliments représente environ 20 % de la dépense énergétique totale.
D. L’effet thermique le plus marqué concerne les protéines.
E. Au cours de l’effort physique, l’essentiel de l’énergie est transformé en chaleur.

A

D E

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4
Q

A. Le principe de la calorimétrie indirecte repose sur l’équivalence entre l’énergie utilisée dans
l’organisme et celle convertie à partir de l’oxydation des nutriments.
B. La dépense énergétique totale peut être estimée en multipliant la dépense énergétique de repos
par un facteur traduisant le volume alimentaire.
C. La dépense énergétique demeure stable avec l’âge.
D. Les besoins énergétiques demeurent stables avec l’âge.
E. La dépense énergétique de repos chez un sujet sédentaire est plus importante chez l’homme
que chez la femme.

A

A E

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5
Q

A. La masse des réserves glucidiques est estimée à quelques kilogrammes.
B. Globalement, il existe une bonne adaptation entre les quantités oxydées et les quantités
ingérées de glucides et de protéines.
C. Un quotient respiratoire égal à 0,80 indique que le régime alimentaire est principalement carné
(comme on pourrait le voir avec les régimes hyperprotéinés).
D. A apport protéiné constant, la variation du quotient respiratoire est le reflet de la variation du
rapport entre les glucides et les lipides de l’alimentation oxydés.
E. Le maintien d’un poids stable implique une équivalence entre les apports énergétiques et les
dépenses et aussi entre les apports de substrats sources d’énergie et leur niveau d’oxydation.

A

B D E

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6
Q

A. La valeur énergétique des nutriments est, en kcal/g, de 4 pour les glucides, 4 pour les protéines,
9 pour les lipides ; à quoi l’on peut encore ajouter 4 pour l’alcool.
B. La teneur en lipides des poissons est variable (0,5 % à 15 %).
C. La teneur protéique de l’œuf entier est de 14 %, mais compte-tenu de la qualité des protéines
de l’œuf on fait en pratique une équivalence entre 100 g de viande et 2 œufs (de 50 g environ).
D. Un litre de lait, qu’il soit entier ou écrémé, apporte 50 g de glucides (sous forme de lactose).
E. Les fromages à pâte pressée non cuite sont les plus riches en lipides.

A

B C D

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7
Q

A. La crème (non allégée) comporte environ 30 à 35 % de lipides.
B. Le beurre comporte environ 83 % de lipides.
C. L’huile d’olive est une source importante d’acides gras polyinsaturés.
D. Les légumes sont riches en vitamines liposolubles.
E. De façon générale, un fruit apporte 15 à 20 g de glucides.

A

A B E

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8
Q

A. La salade est un légume vert.
B. Les légumes-racines peuvent constituer une source substantielle de glucides.
C. Les légumes-racines constituent une source substantielle de folate.
D. Les légumes sont riches en vitamines thermosolubles.
E. Les légumes secs sont assimilés aux légumes verts.

A

B D

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9
Q

A. La teneur en glucides du pain est de 55 % et celle du riz (cru) est de 80%.
B. Les céréales et les légumes secs ont une teneur quantitative en acides aminés équivalente.
C. Les céréales et les légumes secs ont une teneur qualitative en acides aminés équivalentes.
D. Le sucre de canne et le sucre de betterave sont composés de 100 % de saccharose.
E. L’eau de Volvic est richement minéralisée.

A

A D

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10
Q

A. L’isomérisation du rétinol après absorption d’un photon change la conformation de l’opsine,
protéine de la famille des récepteurs à 7 segments transmembranaires, ce qui entraîne
l’activation d’une phosphodiestérase hydrolysant le GMP cyclique.
B. L’acide rétinoïque est le principal pigment responsable de la réception des photons au niveau
de la rétine.
C. Le bêta-carotène est un précurseur de la synthèse des vitamines liposolubles.
D. L’acide rétinoïque joue un rôle de maturation au cours de la vie fœtale.
E. L’acide rétinoïque possède des récepteurs nucléaires.

A

A D E

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11
Q

A. La vitamine B1 (thiamine) est le coenzyme des carboxylations nécessaires à la synthèse des acides gras.
B. La vitamine B1 (ou thiamine) est essentielle (entre autres rôles) au bon fonctionnement du système nerveux ; sa carence est fréquente en cas d’alcoolisme chronique, ce qui entraîne des
troubles hépatiques caractéristiques.
C. La vitamine B1 (thiamine) est importante pour la formation des globules rouges au niveau de la moelle osseuse ; une carence s’accompagne ainsi souvent d’une anémie de type
mégaloblastique.
D. La vitamine B1 doit être phosphorylée pour acquérir sa forme active.
E. La vitamine B1 (thiamine) est fragile et détruite par une cuisson prolongée, notamment par ebullition

A

D E

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12
Q

Modele à 2 compartiments

A
  • masse grasse : TA (lipides amorphes / eau / masse maigre seche)
  • masse maigre : eau / protéines / masse calcique
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13
Q

Composition corporelle sujet age et sujet dénutri

masse grasse / masse hydrique cellulaire / masse cellulaire active

A
  • age : masse grasse + / hydrique cellulaire et cellulaire active -
  • dénutri : masse grasse, hydrique cellulaire et cellulaire active -
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14
Q

Méthodes de mesure recherche

A
  • IMG
  • densitométrie hydrostatique
  • comptage potassium 40 radioac
  • mesure eau corporelle
  • RMN
  • absorption biphotonique
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15
Q

Méthode de mesure clinique

A
  • IMC
  • methode plis cutanés
  • impedancemetrie bioelectrique
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16
Q

Limites IMG

A

○ enfants de moins de 15 ans et adultes de plus de 50 ans
○ femmes enceintes ou qui allaitent
○ personnes très musclées et athlètes d’endurance de haut niveau
○ personnes géantes, naines ou amputées

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17
Q

Balance energétique : entrées et sorties

A
  1. entrées énergétiques
    ● exclusivement la prise alimentaire
2. sorties énergétiques
●	dépenses de fonctionnement
●	dépenses de renouvellement cellulaire
●	dépenses de chauffage (thermorégulation)
●	dépenses de déplacement (exercice)
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18
Q

Qu’est ce qu’une calorie

A

■ une calorie désigne la quantité d’énergie nécessaire pour élever la température de 1°C de 1 gramme d’eau
■ en diététique, correspond à la quantité de chaleur dégagée par la combustion de l’élément
■ 1 kcal = 4,18 kJ

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19
Q

Pertes par le métabolisme basal

A

■ constant pour une personne donnée
■ en fonction de l’âge, du sexe, du poids, de la taille

  • personnes obeses diminution du metabolisme basal (cellules adipeuses depensent moins que cellules musculaires)
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20
Q

Quotient respiratoire

A

○ 1 pour les glucides
○ 0,8 pour les protides purs
○ 0,7 pour les lipides purs
○ QR = V’CO2 / V’O2

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21
Q

Structures comportement alimentaire

A
  • Noyau arqué : seule zone de l’hypothalamus sensible aux métabolites intermédiaires du métabolisme des acides gras
  • Noyau ventro-médian
    o Centre de la satiété
    o Est riche en récepteurs de la leptine
  • Noyau dorso-médian
    o Récepteurs de l’insuline et de la leptine
    o Initiation de la prise alimentaire
  • Noyau para-ventriculaire
    o Centre intégrateur recevant projections des NPY/AGRP et POMC/CART
    o Impliqué dans la modification de l’appétit
  • Hypothalamus
    o Centre de la faim
    o Contient des récepteurs à NPY ainsi que des neurones sensibles au glucose
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22
Q

Facteurs diminuant et augmentant la prise alimentaire

A

Diminuant

  • Insuline
  • Leptine (s’eleve avec l’obésite, taux circulant reflete la masse adipeuse)

Augmentant
- Ghreline (diminue chez obese / augmente apres amaigreissement

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23
Q

Voies orexigenes et anorexigenes

A
  • orexigenes : NPY / AGRP

- anorexigenes : POMPC

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24
Q

Qu’est ce que l’ANC (apports nuritionnels conseilles)

A
  • besoin nutritionnel moyen, mesuré sur un groupe d’individus, auquel sont ajoutés 2 écarts types
  • l’ANC est choisi sur une base de 130% du besoin moyen
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25
Q

Que comprennnent les depenses energétiques

A

Dépenses énergétiques = Métabolisme de base + thermorégulation + action dynamique spécifique + travail musculaire

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26
Q

A. Les vitamines B2 (riboflavine), B3 (acide nicotinique), et C sont des transporteurs de
groupements carbonés et aminés.
B. La vitamine B5 (acide pantothénique) est un constituant essentiel du Coenzyme A.
C. Une carence en vitamine B6, outre les situations de dénutrition et d’alcoolisme chronique, peut-
être observée chez les patients recevant un traitement antituberculeux à base d’INH
(isoniazide).
D. La vitamine B8 (biotine) est nécessaire à de nombreuses réactions de carboxylation
(métabolisme du glucose, synthèse des acides gras, etc.).
E. Une carence en vitamine B12 entraîne entre autre une anémie macrocytaire régénérative.

A

B C D

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27
Q

A. L’absorption intestinale du calcium est principalement régulée par l’acide rétinoïque.
B. La vitamine D possède une « queue phytol » qui permet une insertion dans le feuillet interne
des membranes cellulaires.
C. La vitamine D est abondante dans les huiles riches en acides gras mono-insaturés.
D. L’hydroxylation en 1-alpha est l’étape limitante et régulée de la maturation de la vitamine D ;
elle est réalisée par une 1-alpha hydroxylase rénale activée par l’hypocalcémie,
l’hypophosphatémie, ainsi que par l’hormone parathyroïdienne (PTH).
E. La vitamine D possède des récepteurs nucléaires et peut moduler l’expression de certains
gènes.

A

D E

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28
Q

A. La vitamine E est le principal antioxydant des membranes cellulaires, et protège notamment
les acides gras très insaturés de l’oxydation par les espèces activées de l’oxygène.
B. La vitamine E est régénérée à l’interface membrane / cytosol grâce à la vitamine C.
C. La vitamine K est une vitamine hydrosoluble inhibant l’agrégation plaquettaire en réduisant la
synthèse des thromboxanes.
D. La vitamine K est abondante dans les légumes secs.
E. Un excès d’anti-vitamine K peut entraîner des accidents hémorragiques sévères.

A

A B D

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29
Q

A. La prise alimentaire est précédée d’une phase céphalique de sécrétion d’insuline.
B. La distension gastrique influence la quantité d’aliments ingérés.
C. Les apports alimentaires sont influencés par la densité énergétique des aliments ingérés.
D. Les orexines figurent parmi les neurotransmetteurs hypothalamiques satiétogènes les plus
puissants.
E. Le taux de ghréline diminue chez les sujets obèses et augmente après amaigrissement.

A

A B C E

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30
Q

A. Un taux élevé de leptine dans le plasma doit être considéré comme la marque d’une résistance
à l’effet de cette hormone.
B. Le noyau arqué est la seule structure hypothalamique sensible aux métabolites intermédiaires
du métabolisme des acides gras à chaîne courte.
C. La lésion du noyau ventro-médian de l’hypothalamus augmente la prise alimentaire.
D. L’hypothalamus est insensible aux métabolites intermédiaires du métabolisme des acides gras.
E. La lésion du noyau dorso-médian de l’hypothalamus stimule la prise alimentaire.

A

A C

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31
Q

A. Les apports nutritionnels sont équivalents aux besoins physiologiques.
B. Les apports nutritionnels recommandés sont établis pour couvrir les besoins de 80 % de la
population.
C. Les apports recommandés concernent les macronutriments comme les micronutriments.
D. Les apports recommandés en lipides prennent en compte la composition en acides gras
essentiels.
E. Les apports recommandés sont variables au fil de la vie dans la population générale mais fixes
pour individu considéré isolément.

A

C D

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32
Q

A. La réduction de l’activité physique au terme de la grossesse participe à la régulation de
l’équilibre énergétique.
B. Compte-tenu des besoins pour la croissance fœtale, une augmentation des apports en
protéines est recommandée au cours de la grossesse.
C. L’aménorrhée de la grossesse permet de compenser le défaut d’apport en fer chez la femme
enceinte carencée en fer.
D. L’absorption du calcium par l’intestin s’élève chez la femme enceinte d’un facteur 2 environ. F
E. Pour éviter une carence en folates au cours de la grossesse, il convient de recommander une
consommation significative de légumes-feuilles.

A

A E

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33
Q

A. L’équilibre nutritionnel se construit à partir des nutriments et non des aliments.
B. L’apport énergétique du dîner peut très bien être équivalent à celui du déjeuner.
C. N’importe quel groupe d’aliment peut être proposé en entrée.
D. Il faut limiter la consommation de fromage à une portion par jour.
E. La consommation de pain est superflue si des féculents (pâtes, riz, pommes de terre, etc.) ont
déjà été consommés au cours d’un même repas.

A

A B C

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34
Q

A. La consommation de graisses de constitution recommandée est de l’ordre, en équivalence,
d’une petite plaquette de beurre d’hôtel par repas.
B. L’équilibre nutritionnel implique que les principaux groupes d’aliments soient représentés au
petit-déjeuner.
C. Une portion de steak doit nécessairement être de 100 g.
D. Une portion d’huîtres peut remplacer un steak.
E. Une portion de légumineuses peut remplacer un steak.

A

A D

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35
Q

A. Un marqueur de risque est un facteur de risque, et réciproquement.
B. La relation qui lie le taux d’un facteur de risque (vasculaire par exemple) et l’incidence
d’événements de santé défavorables est toujours linéaire.
C. Le risque vasculaire absolu intègre les risques relatifs à chacun des déterminants de ce risque.
D. Le risque relatif peut être présenté sous la forme d’un coefficient multiplicateur.
E. La notion de risque absolu, élaborée dans l’appréciation du risque vasculaire, peut être étendue
à l’ensemble des maladies chroniques.

A

C D

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36
Q

A. Le syndrome métabolique est une entité nosologique.
B. Une hyperglycémie au stade de diabète sucré fait partie des critères de syndrome métabolique.
C. Une élévation du taux de cholestérol-LDL fait partie des critères de syndrome métabolique.
D. Le syndrome métabolique est caractérisé par une baisse du taux plasmatique de l’adiponectine.
E. Le syndrome métabolique est associé à un risque accru d’accident vasculaire cérébral.

A

D E

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37
Q

A. L’obésité est définie par une augmentation de la masse pondérale.
B. L’obésité est caractérisée par un accroissement de la masse grasse aux dépens de la masse
maigre.
C. Le rationnel de la proposition de seuils d’IMC comme critères pour le surpoids et l’obésité est
la corrélation observée entre cet indice et le nombre d’événements de santé défavorables.
D. Le tour de taille est corrélé à la masse adipeuse totale.
E. La masse adipeuse péri-viscérale est corrélée à la sensibilité à l’insuline.

A

C E

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38
Q

A. L’hyperplasie des cellules adipeuses se constitue avec l’âge.
B. L’hypertrophie des cellules adipeuses est invariable au fil du temps.
C. L’hyperplasie des cellules adipeuses est invariable au fil du temps.
D. Dans l’obésité, des anomalies cellulaires du tissu adipeux suggèrent l’existence d’un état
inflammatoire de grade élevé.
E. Les adipocytes peuvent être considérés comme des cellules endocrines.

A

C E

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39
Q

A. Un dysfonctionnement du tissu adipeux brun est à l’origine de l’obésité.
B. Un dysfonctionnement de la mitochondrie est à l’origine de l’obésité.
C. Un dysfonctionnement du tissu adipeux peut être à l’origine de l’obésité.
D. Un dysfonctionnement de l’hypothalamus peut être à l’origine de l’obésité.
E. Le dysfonctionnement d’un seul gène peut être à l’origine de l’obésité.

A

C D E

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40
Q

A. Les données de l’enquête alimentaire permettent d’objectiver la consommation alimentaire
dans les conditions habituelles de vie.
B. La notion de densité énergétique est la transposition de celle de densité, en général, laquelle
établit un rapport du volume sur la masse.
C. D’après le concept de densité énergétique, il pourrait être pertinent d’augmenter le volume
alimentaire pour réduire le poids.
D. On peut, sur un plan pratique, faire une équivalence entre densité énergétique et densité
lipidique.
E. On assiste actuellement à une consommation élevée de protéines parce que leur effet
satiétogène est faible.

A

C D

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41
Q

A. Le niveau des dépenses énergétique de repos est corrélé positivement à l’indice de masse
corporelle.
B. La thermogenèse induite par l’alimentation est augmentée dans l’obésité, augmentation qui en
fait un facteur significatif de prise de poids.
C. Chez une personne ayant une surcharge pondérale, les dépenses énergétiques de repos sont
plus élevées que chez une personne de poids normal.
D. Un gain de poids peut être observé en dépit d’apports énergétiques réduits.
E. Une absence de perte de poids peut être observée en dépit d’une réduction des apports
énergétiques.

A

A C D E

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42
Q

A. Un excès d’adiposité sous-cutanée est fortement associé au risque de développer un diabète
(de type 2).
B. Le syndrome d’apnée du sommeil peut être à l’origine d’une obésité.
C. Parmi les cancers les plus fréquemment associés à l’obésité, on dénombre le cancer du sein et
le cancer du colon.
D. Un excès d’adiposité sous-cutané peut être considéré comme un facteur protecteur du diabète
de type 2, pourtant associé au surpoids.
E. L’obésité est associée à un risque accru de cirrhose hépatique (non alcoolique).

A

C E

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43
Q

A. Un amaigrissement peut être constitutionnel.
B. Un amaigrissement peut être observé malgré une augmentation des apports énergétiques.
C. Un amaigrissement peut être observé malgré une réduction des apports énergétiques.
D. La réduction de la masse musculaire réduit les dépenses énergétiques de repos.
E. Dans l’amaigrissement, le retour à l’équilibre du bilan azoté est la marque de la restauration de
la masse protéique

A

B C D

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44
Q

A. Le taux d’albumine sérique renseigne sur l’évolutivité d’un amaigrissement à court terme.
B. On peut considérer que la réduction de sécrétion des hormones thyroïdiennes est adaptative
dans l’amaigrissement significatif dans la mesure où ces hormones ont une action anabolisante.
C. Une hyperglycémie même modérée peut induire une perte d’énergie (dans les urines).
D. Un sujet obèse peut être dénutri.
E. Une carence en zinc est un des marqueurs biologiques de l’état de dénutrition.

A

D E

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45
Q

A. L’anorexie mentale peut survenir à tout âge.
B. L’adolescence étant une période à risque de trouble de la conduite alimentaire, le repérage de
l’anorexie mentale doit être systématique à cet âge.
C. Parmi les questions à poser dans le repérage de l’anorexie mentale proposées dans les
recommandations de bonne pratique, figure notamment celle-ci : « Vous inquiétez-vous de
garder le contrôle de ce que vous mangez ? ».
D. Le phénomène de boulimie succède plus souvent à l’anorexie restrictive qu’il ne la précède.
E. L’anorexie mentale est aussi bien une maladie psychique qu’une maladie somatique.

A

A D E

46
Q

A. Dans l’anorexie mentale de l’adulte, un IMC inférieur à 14 kg/m2 est un critère d’hospitalisation.
B. Dans l’anorexie, une hyperthermie comme une hypothermie sont des critères d’hospitalisation.
C. Dans l’anorexie, une cytolyse supérieure à 2 fois la normale est un critère d’hospitalisation.
D. Dans l’anorexie de l’adulte, une natrémie

A

A E

47
Q

A. Chez le sujet agressé, la dépense énergétique est corrélée à l’intensité du stress, de façon
adaptative.
B. Chez le sujet agressé, la résistance de l’effet l’insuline sur les tissus insulinodépendants peut
être considérée comme un facteur d’adaptation métabolique.
C. Chez le sujet agressé, la phase aiguë de l’agression est caractérisée par un hypercatabolisme
glucidique.
D. Chez le sujet agressé, la formule de Harris-Benedict doit être corrigée par un facteur de
correction qui dépend du degré d’hyperthermie.
E. Chez le sujet agressé, on assiste à une activation de l’axe corticotrope, dont il résulte un
accroissement de la sécrétion de cortisol.

A

B E

48
Q

A. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du Nutrional Risk
Screening (NRS) : « Est-ce que le patient a perdu du poids depuis les 3 derniers mois » ?
B. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que
le patient a réduit sa prise alimentaire depuis les 3 derniers mois » ?
C. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que
le patient est atteint d’une pathologie, qu’elle soit bénigne ou sévère » ?
D. Il faut 2 réponses positives au questionnaire NRS pour établir ensuite un score.
E. Le NRS a une forte valeur pronostique (dépendante de la pathologie).

A

A E

49
Q

A. La dénutrition se définit par une réduction de la masse adipeuse (de la même façon que,
réciproquement, l’obésité est définie par un excès de masse adipeuse).
B. Le questionnaire de fréquence de consommation des aliments est plus adapté dans la
dénutrition que dans l’obésité.
C. Dans la dénutrition, l’augmentation des apports protéiques compense la réduction de la masse
musculaire.
D. On peut parler de dénutrition et de malnutrition respectivement en termes absolus et en termes
relatifs.
E. Dans la dénutrition, un indice de masse corporelle inférieur à 18,5 kg/m2 est un signe de gravité.

A

B D

50
Q

A. Chez le sujet âgé, l’augmentation des apports alimentaires, en particulier protéiques, augmente
la masse musculaire.
B. Chez le sujet âgé, l’augmentation des apports alimentaires, en particulier protéiques, augmente
la force musculaire.
C. En l’absence de pathologie intercurrente, la réduction de l’activité physique chez le sujet âgé
pourrait légitimer une réduction des apports énergétiques.
D. La déshydratation du sujet âgé peut être considérée comme une dénutrition.
E. Le vieillissement entraîne une réduction de l’absorption intestinale de certains nutriments.

A

C D E

51
Q

A. En pratique clinique, on peut faire l’équivalent entre un complément alimentaire et un
supplément alimentaire.
B. Les compléments alimentaires sont disponibles sans ordonnance.
C. Les compléments alimentaires sont remboursés par la sécurité sociale.
D. Les compléments alimentaires sont en vente libre chez le pharmacien.
E. Une allégation de santé peut être définie comme tout message ou représentation « qui affirme,
suggère ou implique l’existence d’une relation entre d’une part, une catégorie de denrées alimentaires, une denrée alimentaire ou l’un de ses composants, et d’autre part, la santé ».

A

A B D E

52
Q

A. Des médicaments dont l’effet est de réduire l’appétit sont actuellement disponibles.
B. Des médicaments dont l’effet est d’augmenter la thermogenèse sont actuellement disponibles.
C. Les antagonistes des récepteurs cannabinoïdes CB1, qui ont une action à la fois sur le
métabolisme glucidique et le métabolisme lipidique, sont actuellement disponibles dans le
traitement pharmacologique de l’obésité.
D. Un médicament permettant de réduire l’absorption intestinale des graisses est disponible.
E. Des neuromédiateurs pourraient être disponibles à terme pour réguler le poids.

A

D E

53
Q

A. Concernant les toxi-infections alimentaires, une réfrigération suffisante empêche la croissance
bactérienne dans l’aliment contaminé.
B. L’origine de la contamination des aliments avec le staphylocoque est humaine.
C. L’origine de la contamination des aliments par le Clostridium botulinum est humaine.
D. L’origine de la contamination des aliments par les salmonelles peut être humaine.
E. Les aliments fréquemment retrouvés à l’origine des TIAC à salmonelles sont les œufs, les
viandes et les volailles peu ou pas cuits et les fruits de mer.

A

A B D E

54
Q

A. L’anthropologie de la nutrition peut être considérée comme l’étude des représentations relatives
à la nutrition.
B. Les notions de cognition et de représentation peuvent être tenues pour équivalentes.
C. Les représentations peuvent être considérées comme « agissantes ».
D. Des modèles classiques de représentation de la maladie sont les modèles suivants : un modèle
exogène, un modèle additif, un modèle maléfique.
E. Parmi les résistances au changement, on peut en particulier mentionner le principe de réalité.

A

A C D E

55
Q

a. La constitution corporelle est définie par l’ensemble des éléments macroscopiques de nature et densité variables. Chez l‘Homme sain, les quantités de ces éléments sont maintenues dans des quantités et dans des proportions relativement constantes.
b. La masse adipeuse correspond à la masse des triglycérides stockés dans le corps.
c. La masse maigre correspond à la masse musculaire.
d. La masse hydrique totale est comparable chez l’enfant et chez l’adulte.
e. Chez un sujet masculin adulte de poids normal, la composition corporelle se distribue comme suit: 25% pour la masse musculaire, 20% pour la masse adipeuse, et 7% pour la masse osseuse.
f. La densitométrie hydrostatique mesure la densité du corps à partir de la masse hydrique.

A

A B E

56
Q

a. La calorie est l’unité standard (S.I.) permettant d’exprimer la valeur énergétique des aliments.
b. En diététique, la valeur énergétique d’un aliment correspond à la quantité de chaleur dégagée par sa combustion.
c. Le calcul de la masse maigre (MM) est : MM = Veau totale / 0,432.
d. Un quotient respiratoire égal à 0,80 indique que le régime alimentaire est principalement carné (comme on pourrait le voir avec les régimes hyperprotéinés).
e. L’oxydation d’une molécule de palmitate nécessite l’utilisation de 23 molécules de dioxygène et produit 16 molécules de dioxyde de carbone et 16 molécules d’eau.
f. Le tissu adipeux induisant une dépense énergétique est un tissu de réserve, métaboliquement hautement énergétique.

A

B E F

57
Q

a. La dépense énergétique de repos chez un sujet sédentaire est plus importante chez l’homme que chez la femme.
b. Au cours de l’effort physique, l’essentiel de l’énergie est transformé en chaleur.
c. L’apport énergétique est corrélé à la thermogenèse induite par l’alimentation.
d. Les dépenses énergétiques de repos sont corrélées à la masse adipeuse.
e. Les dépenses énergétiques de repos ne sont pas corrélées à la masse maigre.
f. L’indice de masse corporelle peut être estimé en divisant le poids corporel de l’adulte par la racine carré de la taille.

A

A B D

58
Q

a. Le taux de ghréline diminue chez les sujets obèses et augmente après amaigrissement.
b. Les apports alimentaires sont influencés par la distension gastrique.
c. Les apports alimentaires sont influencés par la densité énergétique des aliments ingérés.
d. Le neuropeptide Y est satiétogène.
e. La leptine est un neurotransmetteur hypothalamique satiétogène inhibant les voies orexigènes.
f. L’insuline est une hormone qui est sécrétée par les cellules beta du pancréas, ayant une action stimulatrice sur la prise alimentaire.

A

A B C

59
Q

a. La vitamine B1 (thiamine) doit être déphosphorylée pour acquérir sa forme active (thiamine pyrophosphate).
b. La vitamine B1 (thiamine) joue un rôle essentiel dans le catabolisme oxydatif du glucose.
c. Une carence profonde en vitamine B1 entraîne le « béribéri », caractérisé notamment par des troubles trophiques importants et une polynévrite avec dégénérescence neuronale.
d. La vitamine B1 (thiamine) est le constituant essentiel du coenzyme A.
e. La vitamine B1 (thiamine) est fragile et détruite par une cuisson prolongée, notamment par ébullition.
f. La vitamine B joue un rôle de minéralisation du squelette, dans une moindre mesure toutefois que la vitamine D.

A

B C E

60
Q

a. L’acide rétinoïque est le principal pigment responsable de la réception des photons au niveau de la rétine.
b. Chez le sujet carencé, l’apport de vitamine A peut améliorer la vision.
c. Le bêta-carotène est un précurseur de la synthèse des vitamines liposolubles.
d. L’isomérisation du rétinol après absorption d’un photon change la conformation de l’opsine, protéine de la famille des récepteurs à 7 segments transmembranaires, ce qui entraîne l’activation d’une phosphodiestérase hydrolysant le GMP cyclique.
e. L’acide rétinoïque joue un rôle de maturation au cours de la vie fœtale.
f. L’acide rétinoïque agit sur l’ADN mitochondrial.

A

B D E

61
Q

a. La vitamine B5 (acide pantothénique) est un constituant essentiel du Coenzyme A.
b. La vitamine B6 (pyridoxine) joue un rôle important dans les réactions de décarboxylation.
c. Une carence en vitamine B6, outre les situations de dénutrition et d’alcoolisme chronique, peut-être observée chez les patients recevant un traitement antituberculeux à base d’INH (isoniazide).
d. La vitamine B6 est nécessaire à la biosynthèse des acides gras (coenzyme de l’acétyl-CoA carboxylase).
e. La vitamine B6 joue un rôle important dans les processus de désamination.
f. La vitamine B8 (biotine) joue un rôle important dans les processus de décarboxylation.

A

A B C

62
Q

a. La vitamine D est abondante dans les huiles végétales riches en acides gras polyinsaturés.
b. La vitamine D joue un rôle de minéralisation osseuse en stimulant la réabsorption rénale du calcium.
c. La vitamine D stimule l’absorption intestinale du calcium.
d. L’hydroxylation en 1-alpha est l’étape limitante et régulée de la maturation de la vitamine D.
e. La vitamine D joue un rôle de modulation de l’expression de certains gènes.
f. Pour être active la vitamine doit être hydroxylée dans le rein puis dans le foie.

A

C D E

63
Q

a. La vitamine K est soluble dans l’huile.
b. La vitamine K est abondante dans les légumes verts, en particulier dans les choux.
c. La neutralisation de la vitamine K a un effet anticoagulant.
d. La vitamine E a des propriétés oxydantes exercées sur les acides gras de la membrane cellulaires.
e. Une cytolyse hépatique peut conduire à une carence à la fois en vitamine E et en vitamine K.
f. La vitamine E est régénérée à l’interface membrane mitochondriale/cytosol grâce à la vitamine C.

A

A B C

64
Q

a. Les légumes et les fruits crus et cuits et les fruits constituent un même groupe d’aliments.
b. Les légumes secs et les viandes constituent un même groupe d’aliments.
c. Le groupe des produits laitiers est spécifique car il est le seul comportant des aliments riches en calcium.
d. La banane peut être considérée comme un féculent.
e. Le groupe des matières grasses doit être représenté dans l’alimentation notamment parce que les lipides ont un rôle énergétique, avec la borne supérieure toutefois de 30% de l’apport énergétique total.
f. L’écrémage du lait réduit sa teneur en calcium

A

A C D

65
Q

a. Les apports nutritionnels recommandés sont établis sur la base de besoins observés en physiologique et dans les principales maladies chroniques (diabète, etc.) dans l’esprit d’assurer un apport nutritionnel satisfaisant dans la grande majorité de la population.
b. Les apports recommandés en lipides pour la population générale reposent principalement sur la consommation d’acides gras mono-insaturés.
c. Les apports recommandés concernent également l’iode, le sélénium et le zinc.
d. Les apports recommandés établissent la distinction entre le 3e âge et le 4e âge.
e. Les apports recommandés varient selon les individus et également pour un même individu au fil de la vie.
f. Les apports recommandés font une mention spéciale pour l’anorexie mentale

A

B C E

66
Q

a. La réduction de l’activité physique au terme de la grossesse peut être considérée comme un élément de régulation de l’équilibre énergétique.
b. Malgré les besoins pour la croissance fœtale, la couverture des apports en protéines est assurée dans la grossesse dans la très grande majorité des cas.
c. L’absorption intestinale du calcium par l’intestin est augmentée de façon très importante chez la femme enceinte.
d. Un apport de folate doit être réalisé quand la femme enceinte de consomme pas suffisamment de légumes secs.
e. L’iode doit être apporté en complément au cours de la grossesse afin de prévenir un goitrigenèse chez le fœtus, voire une insuffisance thyroïdienne.
f. L’aménorrhée de la grossesse permet de compenser le défaut d’apport en fer chez la femme enceinte carencée en fer.

A

A B C

67
Q

a. Le beurre est deux fois plus gras que la crème fraîche non allégée.
b. La teneur du pain en glucides est deux fois et demie plus élevée que celle des autres féculents.
c. On peut faire l’équivalence en protéines entre 120 g de viande et 100 g de poisson.
d. Les huiles, qu’elles soient riches en acides gras monoinsaturés ou polyinsaturés, ont une teneur équivalente en lipides totaux.
e. Le fromage blanc à 20 % contient environ 2 grammes de lipides par 100 g de produit.
f. Le camembert a une teneur moyenne en lipides de 45 %.

A

`B D E

68
Q

a. L’anorexie mentale est une maladie somatique entraînant des répercussions sur le psychisme.
b. Le repérage de l’anorexie mentale doit être systématique chez l’adolescent.
c. Parmi les questions à soulever dans le repérage ciblé de l’anorexie mentale proposées dans les recommandations de bonne pratique, figure notamment celle-ci : « Vous inquiétez-vous d’avoir perdu le contrôle de ce que vous mangez ? ».
d. Un sujet anorexique pourrait procéder lui-même à un repérage de sa maladie.
e. Des recommandations de bonne pratique relatives à l’norexie mentale sont disponibles, avec une distinction entre l’enfant, l’adolescent, et l’adulte.
f. L’aménorrhée dans l’anorexie peut être considérée comme adaptative (à la situation d’amaigrissement).

A

C D F

69
Q

a. Une réduction pondérale est compatible avec des apports énergétiques normaux.
b. Chez l’adulte, le syndrome de Cushing est associé à une obésité.
c. Une hyperthyroïdie est nécessairement associée à un amaigrissement.
d. Une hypothyroïdie est nécessairement associée à une prise de poids.
e. Le développement d’une hyperglycémie importante est nécessairement associé à un amaigrissement.
f. L’amaigrissement du diabète insulinoprive peut être qualifié de paradoxal.

A

A E F

70
Q

a. L’évaluation des besoins énergétiques est faite sur la base des dépenses énergétiques.
b. L’évaluation des besoins énergétiques est faite sur la base des apports alimentaires en période de poids stable.
c. Les dépenses énergétiques liées à l’activité physique sont de l’ordre de 30 % des dépenses totales chez le sujet pratiquant une activité physique régulière et soutenue.
d. La thermogenèse induite par l’alimentation est plus élevée pour les glucides que pour les lipides.
e. Dans l’évaluation des dépenses énergétiques totales, le pourcentage relevant du métabolisme de base peut varier selon le niveau d’activité physique.
f. La dépense énergétique totale (DET) peut être évaluée selon la formule : DET = DER (dépense de repos) x NAP (niveau d’activité physique).

A

D E F

71
Q

a. L’hyperplasie des cellules adipeuses est susceptible de régresser.
b. L’hypertrophie des cellules adipeuses est susceptible de régresser.
c. Dans l’obésité, la taille des adipocytes est corrélée à la masse maigre.
d. Dans l’obésité, des anomalies cellulaires du tissu adipeux suggèrent l’existence d’un état inflammatoire (de bas grade).
e. La leptine est une adipokine issue principalement du stroma vasculaire du tissu adipeux.
f. Les adipocytes sont le lieu de production de plusieurs adipokines ayant un rôle sur le métabolisme énergétique.

A

B D F

72
Q

a. La physiopathologie de l’obésité implique nécessairement le tissu adipeux brun.
b. Le tissu adipeux brun est nommé comme tel du fait d’une teneur élevée en adipocytes d’une autre nature, comparativement au tissu adipeux commun.
c. L’enquête alimentaire réalisée dans l’obésité montre souvent un écart entre ce qui est rapporté par les sujets obèses et ce qui peut être objectivé, de la même façon que dans la population générale.
d. D’après le concept de densité énergétique, il pourrait être pertinent d’augmenter le volume alimentaire pour réduire le poids.
e. On peut, sur un plan pratique, faire une équivalence entre densité énergétique et densité lipidique.
f. La leptine réduit l’appétit et les dépenses énergétiques.

A

B D E

73
Q

a. Un tour de hanche élevé est associé à un risque cardiovasculaire accru.
b. L’obésité est associée à un risque accru de cancer de la thyroïde.
c. L’obésité est associée à un risque accru de cirrhose hépatique (non alcoolique).
d. L’obésité est associée à un risque accru d’hyperpnée.
e. L’obésité est associée à une hypertrophie ventriculaire gauche de type dilaté.
f. Un excès d’adiposité sous-cutané peut protéger du diabète (de type 2).

A

C E F

74
Q

a. La recherche des porteurs digestifs de salmonelles en restauration collective est facultative.
b. Les TIAC à staphylocoques sont dues à une toxine préformée dans un aliment contaminé par l’agent infectieux.
c. Le but de la déclaration obligatoire des TIAC est de permettre à l’Agence régionale de santé (ARS) de trouver rapidement la cause et de stopper l’épidémie.
d. Une myopie aigue avec myosis est compatible avec un botulisme.
e. Les salmonelles sont les causes les plus fréquentes de diarrhées fébriles dans le cadre des TIAC.
f. Les toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) à staphylocoques se manifestent par des symptômes plus de 48 heures après l’ingestion de l’aliment contaminé.

A

B C E

75
Q

a. La dépense énergétique est diminuée.
b. La phase aiguë de l’agression est caractérisée par un hypercatabolisme protéique.
c. Un patient traumatisé crânien avec un IMC à 19 kg/m2 est à risque de dénutrition.
d. La formule de Harris-Benedict doit être corrigée par un facteur de correction qui dépend du type d’agression.
e. Seule la voie parentérale doit être utilisée pour contrôler au mieux les apports. `
f. Les vitamines B1, B6, A, D, E et K sont indispensables.

A

B C D

76
Q

a. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du Nutrional Risk Screening (NRS) : « Est-ce que le patient a perdu du poids depuis les 3 derniers mois » ?
b. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que le patient a réduit sa prise alimentaire au cours de la dernière semaine » ?
c. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que le patient est atteint d’une pathologie, qu’elle soit bénigne ou sévère » ?
d. Il faut 2 réponses positives au questionnaire NRS pour établir ensuite un score.
e. Le score de sévérité du NRS s’échelonne de 0 à 3.
f. Si le sujet a plus de 80 ans, il faut ajouter 1 point au score NRS.

A

A B E

77
Q

a. L’anthropologie comprend l’étude des représentations relatives aux données de l’anthropométrie.
b. Les représentations relatives à l’alimentation déterminent le comportement alimentaire.
c. On peut parler d’une hérédité culturelle s’agissant des représentations relatives à l’alimentation.
d. L’éducation du patient consiste à informer le patient.
e. L’éducation du patient consiste à expliquer au patient.
f. Les résistances au changement sont d’ordre psychologique.

A

A B C

78
Q

a. La relation entre le taux d’un facteur de risque (vasculaire par exemple) et l’incidence d’événements de santé défavorables est généralement de type curvilinéaire.
b. En pratique clinique, on établit une équivalence entre un risque et un facteur de risque.
c. Le risque absolu, pour un événement de santé considéré, correspond à la sommation des risques relatifs pour cet événement.
d. Le risque relatif est une probabilité ; il peut être exprimé par un coefficient multiplicateur, un coefficient supérieur à 1 signifiant que le facteur concerné est un facteur de protection.
e. On peut inférer du risque absolu le nombre de sujets à traiter curativement ou préventivement sur un espace sanitaire pour éviter un événement de santé.
f. Le risque relatif s’évalue relativement à un risque de référence.

A

A C F

79
Q

a. On peut parler de dénutrition et de malnutrition respectivement en termes absolus et en termes relatifs.
b. La dénutrition du sujet âgé se définit par une réduction des apports énergétiques.
c. Chez le sujet âgé, l’augmentation des apports alimentaires augmente la force musculaire.
d. Le questionnaire de fréquence de consommation des aliments apparaît plus adapté que le semainier pour l’évaluation du risque d’ostéoporose chez le sujet âgé.
e. La dénutrition peut être évaluée par l’interrogatoire.
f. L’apport énergétique du sujet âgé doit être corrélé aux taux plasmatique d’albumine.

A

A D E

80
Q

a. Un complément alimentaire est une denrée alimentaire ayant pour fonction de compléter un régime alimentaire anormal.
b. Un complément alimentaire peut être administré indifféremment par voie orale ou parentérale.
c. Un complément alimentaire doit être apporté de préférence par voie parentérale chez le sujet dénutri, en raison de l’atrophie villositaire qui s’installe rapidement.
d. Les compléments alimentaires sont disponibles avec ou sans ordonnance.
e. Les étiquettes des compléments alimentaires doivent réglementairement comporter des allégations de santé.
f. Une allégation de santé peut être définie comme un message établissant un lien entre une denrée alimentaire et/ou un ou plusieurs de ses composants, et la santé.

A

D E F

81
Q

a. Les médicaments augmentant l’activité du tissu adipeux brun sont disponibles pour le contrôle pondéral.
b. Les médicaments réduisant l’appétit sont disponibles pour le contrôle pondéral.
c. Les antagonistes des récepteurs cannabinoïdes CB1 sont disponibles sur prescription de spécialistes seulement.
d. L’orlistat (Xénical) est disponible sur le marché sur ordonnance médicale.
e. L’orlistat a pour effet d’augmenter l’élimination des graisses.
f. Des substances stimulant l’activité noradrénaline pourraient à terme être utilisées dans le contrôle pondéral.

A

D E F

82
Q

a. L’équilibre nutritionnel se construit, se maintient, ou se restaure sur une période de temps significative, au-delà d’un seul repas.
b. Les glucides ont un effet satiétogène important.
c. Les protéines ont un effet satiétogène important.
d. Les lipides ont un effet satiétogène important.
e. L’absorption intestinale des lipides induit une dépense énergétique significative.
f. Le stockage des lipides dans les adipocytes induit une dépense énergétique significative.

A

A B C

83
Q

a. L’anthropologie de l’alimentation peut être définie comme l’étude du comportement alimentaire.
b. La dernière enquête relative à la prévalence de l’obésité (ObEpi) montre pour la première fois une diminution de la prévalence de l’obésité en France.
c. On peut qualifier d’idée reçue l’assertion suivante : « l’huile de tournesol est plus légère que l’huile d’olive ».
d. Une relation a été montrée entre la consommation de féculents et le développement de l’obésité.
e. L’excès de sucres simples au long cours induit, à la différence du court terme, une insulinopénie.
f. L’excès de lipides alimentaires peut altérer la fonction béta-cellulaire du pancréas.

A

C D F

84
Q

a. L’isomérisation du rétinal sous l’effet des photons active une phosphodiestérase hydrolysant le GMP cyclique.
b. L’absorption intestinale du calcium est principalement régulée par l’acide rétinoïque.
c. L’opsine est une protéine à 7 segments transmembranaires.
d. L’acide rétinoïque possède des récepteurs nucléaires.
e. La vitamine D peut-être transformée en rétinol par le rein.
f. Le soleil favorise l’absorption intestinale de la vitamine D.

A

A C D

85
Q

a. Les récepteurs nucléaires de l’acide rétinoïque doivent se dimériser pour être actifs.
b. L’opsine est couplée à des protéines G hétérotrimériques (α β γ).
c. L’opsine peut fixer l’acide rétinoïque.
d. Le bêta-carotène est un précurseur alimentaire transformé en rétinoïdes au niveau intestinal.
e. L’opsine peut également fixer la vitamine D.
f. L’acide rétinoïque est principalement produit dans le rein par hydroxylation du rétinol

A

A B D

86
Q

a. La vitamine D se trouve en abondance dans la chair des poissons « gras », notamment au niveau du foie.
b. La carence profonde en vitamine D est une cause importante de cécité dans les zones de famine endémique.
c. La vitamine D stimule l’absorption intestinale du calcium.
d. La vitamine D est un cofacteur de réactions de carboxylation de certaines protéines.
e. La vitamine K est une vitamine hydrosoluble inhibant l’agrégation plaquettaire en réduisant la synthèse des thromboxanes.
f. Un excès d’anti-vitamine K peut entraîner des accidents hémorragiques sévères.

A

A C F

87
Q

a. L’exposition au soleil favorise la synthèse de la vitamine K par la peau.
b. La vitamine K est un puissant antioxydant, et est principalement localisée au sein des membranes cellulaires.
c. La ré-oxydation de la vitamine E fait intervenir la vitamine C à l’interface cytosol – membrane.
d. La vitamine B1 (ou thiamine) est essentielle (entre autres rôles) au bon fonctionnement du système nerveux ; sa carence est fréquente en cas d’alcoolisme chronique, ce qui entraîne des troubles caractéristiques (polynévrite alcoolique).
e. La vitamine B1 (thiamine) est également importante pour la formation des globules rouges au niveau de la moelle osseuse ; une carence s’accompagne ainsi souvent d’une anémie de type mégaloblastique.
f. Le coenzyme A joue un rôle majeur dans les réactions de synthèse, en activant divers résidus (acétate, acéto-acétate etc..) ce qui facilite leur condensation (ex : synthèse des acides gras ou du cholestérol).

A

C D F

88
Q

a. La vitamine B1 joue un rôle essentiel dans la formation du squelette.
b. La vitamine D (thiamine) est fragile et détruite une cuisson prolongée, notamment par ébullition.
c. La vitamine B5 (acide pantothénique) est un constituant essentiel du Coenzyme A.
d. La vitamine B6 (pyridoxine) joue un rôle important dans la formation de divers médiateurs du système nerveux (dopamine, sérotonine..).
e. La vitamine B6 (pyridoxine) joue également un rôle important dans les réactions de transamination.
f. La vitamine B6 est également nécessaire à la biosynthèse des acides gras, en tant que coenzyme de l’Acétyl-CoA carboxylase.

A

C D E

89
Q

a. Un excès de vitamine K est tératogène.
b. La vitamine K est abondante dans les légumes verts.
c. Une carence en vitamine A chez l’enfant conduit au rachitisme.
d. Les poissons gras sont la principale source de vitamine B1.
e. Une cholestase prolongée peut conduire à une carence multiple en vitamines A, D, E et K.

A

B E

90
Q

a. La densité de la masse maigre est la même que la densité de la masse grasse.
b. La masse maigre correspond à la masse musculaire.
c. La masse adipeuse correspond à la graisse abdominale.
d. La masse grasse correspond à la masse des triglycérides.
e. Chez l’enfant, la masse hydrique est plus importante que chez le sujet adulte.
f. L’impédance bioélectrique permet une évaluation indirecte de la masse hydrique

A

D E F

91
Q

a. La valeur énergétique d’un aliment s’exprime indifféremment en kilojoules ou en calories, la calorie étant l’unité S.I.
b. L’oxydation d’une molécule de palmitate nécessite l’utilisation de 23 molécules de dioxygène et produit 18 molécules de dioxyde de carbone et 18 molécules d’eau.
c. Dans le régime carné, un quotient respiratoire égal à 0,80 indique que la principale source d’oxydation métabolique est d’origine lipidique.
d. L’activité métabolique du tissu adipeux induit une dépense énergétique significative.
e. L’activité métabolique du cœur induit une dépense énergétique significative.
f. L’activité métabolique du cerveau induit une dépense énergétique significative.

A

D E F

92
Q

a. L’effort physique provoque une libération d’ATP par les fibres musculaires.
b. Chez une personne ayant une surcharge pondérale, le métabolisme basal est plus élevé que chez une personne de poids normal.
c. Une perte de poids peut être observée malgré une réduction de la dépense énergétique globale.
d. Un gain de poids peut théoriquement être observé malgré une réduction des apports énergétiques.
e. Une formule « simplifiée » de calcul de la dépense énergétique de repos chez un sujet de poids normal (kcal/jour) = poids x 24,0 ; chez le sujet obèse soumis au régime, le calcul de la DER = poids multiplié par un facteur dont la valeur toujours égal à 24 parce que c’est un poids normal qui est visé.
f. Le comportement alimentaire s’effectue selon la densité calorique des aliments ingérés.

A

B C D

93
Q

a. La phase pré-ingestive d’un repas correspond à la phase postprandiale du repas précédent.
b. La distension gastrique influence la quantité d’aliments ingérés.
c. La teneur en glucose des aliments influence la quantité d’aliments ingérée.
d. Le déterminisme du déclenchement du repas est essentiellement d’ordre métabolique ; celui de la cessation du repas est essentiellement d’ordre psychologique.
e. Le noyau arqué est la seule structure hypothalamique sensible aux métabolites intermédiaires du métabolisme des acides gras à chaîne courte.
f. La lésion du noyau ventro-médian de l’hypothalamus augmente la prise alimentaire.

A

B C F

94
Q

a. Il est normal que le beurre soit nettement moins riche en lipides que l’huile, car il résulte d’une émulsion dans de l’eau.
b. La banane peut être assimilée à un féculent.
c. On peut faire une équivalence en teneur en protéines entre 100 g de viande, 120 g de poisson et 2 œufs.
d. Les huiles végétales sont stables à la lumière.
e. Le camembert a une teneur en lipides d’environ 45%.
f. Les viandes blanches et les viandes rouges ont la même teneur en fer.

A

B C F

95
Q

a. L’anorexie mentale est une maladie somatique ayant des conséquences psychiques sévères, ou même graves.
b. Le dépistage de l’anorexie mentale doit être établi systématiquement chez toutes adolescentes.
c. L’anorexie mentale peut être observée chez le garçon.
d. Une boulimie précède généralement l’anorexie.
e. Parmi les questions à poser dans le repérage ciblé de l’anorexie mentale proposées dans les recommandations de bonne pratique, figure notamment celle-ci : « Vous inquiétez-vous d’avoir perdu le contrôle de ce que vous mangez ? ».
f. Chez l’adulte, le critère d’insuffisance pondérale est un indice de masse corporelle inférieur ou égal à 18,5 kg/m2.

A

C E F

96
Q

a. On peut faire une équivalence entre malnutrition et dénutrition.
b. Il est possible d’avoir un amaigrissement avec un indice de masse corporelle supérieur à 18,5 kg/m2.
c. Un taux de préalbumine bas témoigne d’une dénutrition encore évolutive.
d. Le cancer est marqué par un amaigrissement paradoxal.
e. L’appétit est réduit dans les syndromes de malabsorption.
f. Le diabète insulinodépendant peut être marqué par amaigrissement.

A

A B C

97
Q

a. La valeur énergétique des nutriments est, en kcal/g, de 4 pour les glucides, 4 pour les protéines, et 9 pour les lipides.
b. Les dépenses énergétiques sont ajustées aux apports alimentaires.
c. Les apports alimentaires sont ajustés aux dépenses énergétiques.
d. La thermogenèse induite par l’alimentation est facultative.
e. Dans l’évaluation des dépenses énergétiques totales, le pourcentage relevant du métabolisme de base est inversement corrélé au niveau d’activité physique.
f. Les dépenses énergétiques de repos sont corrélées à la masse maigre.

A

D E F

98
Q

a. Le critère du surpoids est un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25 kg/m2.
b. L’intérêt de la détermination de l’IMC comme critère d’excès pondéral est la corrélation positive observée entre cet indice et l’adiposité, au moins à l’échelon populationnel.
c. L’excès d’adiposité abdominale sous-cutanée est associé à un excès d’anomalies métaboliques.
d. Un tour de taille élargi implique un excès d’adiposité préviscérale.
e. Pour la première fois, depuis la constitution des registres épidémiologiques, il a été montré avec la dernière enquête (ObEpi 2012) un recul de l’incidence de l’obésité en France.
f. Globalement, à l’échelle d’une population, une réduction de l’activité physique est un facteur de prise de poids au moins aussi important qu’un excès d’apports énergétique

A

A B F

99
Q

a. L’hyperplasie et l’hypertrophie des cellules adipeuses se développent conjointement.
b. Le degré d’hypertrophie des cellules adipeuses est corrélé à l’indice de masse corporelle.
c. L’accroissement du tissu adipeux induit un accroissement des dépenses énergétiques de repos.
d. Un état inflammatoire (de bas grade) au niveau du tissu adipeux peut être à l’origine de l’obésité.
e. L’obésité augmente le taux des adipokines adipocytaires.
f. Quand on considère les effets de la leptine, on peut dire que l’activité hypothalamique est influencée par celle du tissu adipeux.

A

B C F

100
Q

a. La suractivité du tissu adipeux brun est à l’origine de l’obésité.
b. Une anomalie de fonctionnement de la mitochondrie pourrait théoriquement être associée au développement d’une obésité.
c. Une anomalie de fonctionnement de l’hypothalamus pourrait théoriquement être associée au développement d’une obésité.
d. Une anomalie de fonctionnement du tissu adipeux pourrait théoriquement être associée au développement d’une obésité.
e. La consommation d’aliments lipidiques entraîne, en tant que telle, une dépense énergétique significative.
f. Les lipides ont un effet satiétogène marqué.

A

B C D

101
Q

a. Un excès d’adiposité sous-cutanée est fortement associé au risque de développer un diabète (de type 2).
b. Un excès d’adiposité périviscérale est associé au risque de présenter un accident cardiovasculaire.
c. L’obésité est associée à un risque accru d’insuffisance rénale.
d. Le syndrome d’apnée du sommeil peut être à l’origine d’une obésité.
e. Parmi les cancers les plus fréquemment associés à l’obésité, on dénombre le cancer du sein et le cancer du colon.
f. Une gonarthrose (arthrose du genou) peut être à l’origine d’une obésité.

A

B E F

102
Q

Chez le sujet agressé:

a. La dépense énergétique est adaptée à l’intensité du stress.
b. La normalisation du bilan azoté indique une réparation du catabolisme protéique.
c. La résistance à l’insuline peut être considérée comme une adaptation métabolique.
d. Le maintien des apports énergétiques habituels (quel qu’en soit le mode : alimentation orale, entérale, ou encore parentérale) permet d’éviter un déficit protéino-énergétique.
e. La sécrétion de cortisol augmente.
f. L’hypoglycémie est prévenue du fait de la mobilisation des hormones dites « de stress ».

A

C E F

103
Q

a. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du Nutrional Risk Screening (NRS) : « Est-ce que le patient a perdu du poids depuis les 3 derniers mois » ?
b. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que le patient a réduit sa prise alimentaire au cours de la dernière semaine » ?
c. La question suivante figure dans l’évaluation nutritionnelle faite à l’aide du NRS : « Est-ce que le patient est atteint d’une pathologie, qu’elle soit bénigne ou sévère » ?
d. Il faut 2 réponses positives au questionnaire NRS pour établir ensuite un score.
e. Le score de sévérité du NRS s’échelonne de 0 à 3.
f. Si le sujet a plus de 80 ans, il faut ajouter 1 point au score NRS.

A

A B E

104
Q

a. L’anthropologie est, de façon générale, l’étude du discours sur l’homme ; on peut la comprendre aussi au sens plus restrictif aussi au sens de l’étude des représentations.
b. Les représentations étant fortement ancrées, on peut donc considérer qu’elles représentent l’équivalent «d’un « encodage génétique ».
c. Les gènes déterminent le comportement alimentaire.
d. Le comportement alimentaire influence l’expression des gènes.
e. L’obésité est une maladie génétique.
f. L’acquisition de connaissances permet de faire évoluer les représentations.

A

A B D

105
Q

a. Un facteur de risque peut être formulé comme tel quand la réduction du taux de ce facteur réduit le risque concerné.
b. Le taux de cholestérol sanguin est un marqueur du risque vasculaire.
c. Le risque vasculaire absolu intègre les risques relatifs à chacun des déterminants.
d. Le risque relatif peut être présenté sous la forme d’un coefficient multiplicateur.
e. Le risque relatif s’exprime relativement au sujet exempt de facteur de risque.
f. Le risque absolu peut être évalué pour l’ensemble des maladies chroniques.

A

A C D

106
Q

a. Un sujet obèse peut être dénutri.
b. La déshydratation peut être considérée comme une dénutrition.
c. Chez le sujet âgé, l’apport énergétique doit être corrélé à l’albuminémie.
d. L’enquête alimentaire permet d’objectiver les carences alimentaires, en particulier chez le sujet âgé.
e. Le vieillissement entraîne une réduction de l’absorption intestinale de certains nutriments.
f. L’augmentation des apports alimentaires chez le sujet âgé augmente la masse musculaire.

A

A B E

107
Q

a. Un complément alimentaire est une denrée alimentaire permettant d’assurer un supplément (énergétique, protéique, etc.).
b. Un complément alimentaire peut être administré par sonde gastrique.
c. Les compléments alimentaires sont remboursés par la sécurité sociale.
d. Les compléments alimentaires sont en vente libre chez le pharmacien.
e. Les étiquettes des compléments alimentaires précisent obligatoirement la composition en nutriments.
f. Une allégation de santé peut être définie comme tout message ou représentation « qui affirme, suggère ou implique l’existence d’une relation entre d’une part, une catégorie de denrées alimentaires, une denrée alimentaire ou l’un de ses composants, et d’autre part, la santé ».

A

D E F

108
Q

a. L’obésité est associée à une dysfonction thyroïdienne.
b. Des médicaments augmentant les dépenses énergétiques sont actuellement disponibles.
c. Les antagonistes des récepteurs cannabinoïdes CB1, retirés du commerce, avaient une action dirigée spécifiquement sur le métabolisme lipidique.
d. L’orlistat (Alli) réduit l’absorption intestinale des lipides, de façon spécifique.
e. L’orlistat a pour effet de réduire l’absorption intestinale des graisses.
f. Des neuromédiateurs pourraient être utilisées à terme pour réguler le poids.

A

D E F

109
Q

a. L’obésité est reconnue comme une maladie chronique, et plus précisément comme une « ALD » (affection de longue durée).
b. On parle de surpoids de façon générale, pour qualifier l’excès pondérale, et de l’obésité pour qualifier « l’excès-maladie ».
c. La corrélation entre le degré de sévérité d’obésité et l’incidence des complications liées à l’obésité peut être figurée par une droite rectiligne.
d. Il existe une corrélation positive entre l’indice de masse corporelle et le niveau de dépenses énergétique de repos.
e. Un trouble de la thermogenèse induite par l’alimentation peut participer à la constitution de l’obésité.
f. La densité nutritionnelle correspond à la densité nutritionnelle par portion alimentaire usuelle.

A

D E F

110
Q

a. Un amaigrissement réduit la thermogenèse alimentaire.
b. Un d’amaigrissement réduit à la fois la masse adipeuse et la masse maigre.
c. Le surpoids est corrélé à l’indice de masse corporelle ; l’amaigrissement, lui, est corrélé à la masse musculaire.
d. Un sujet dénutri peut devenir obèse.
e. Un sujet anorexique peut devenir boulimique.
f. Un sujet boulimique peut devenir anorexique.

A

D E F

111
Q

a. L’équilibre nutritionnel implique que les principaux groupes d’aliments soient représentés à chaque repas de la journée.
b. Un fruit peut très bien être proposé en entrée.
c. Une portion de steak doit nécessairement être de 100 g.
d. La consommation journalière de pain peut très être celle d’une baguette (de 200 g) tout en demeurant à l’équilibre.
e. Il faut consommer une seule portion de fromage par jour.
f. Un repas peut comporter un assaisonnement équivalent à celui de deux petites plaquettes de beurre d’hôtel par repas.

A

B D F

112
Q

a. L’équilibre nutritionnel se construit à partir des aliments et non des nutriments.
b. Un féculent peut très bien être au terme du repas.
c. Les lipides sont à la fois un aliment et un nutriment.
d. Il est possible d’apporter du calcium à partir d’autres groupes d’aliments que celui des produits laitiers.
e. Les viandes ont une teneur en graisses d’environ 10 %.
f. Les légumes crus apportent beaucoup de fibres.

A

A B C