autochtone Flashcards
(34 cards)
20e siècle autochtone
20e siècle est de résurgence ou les autochtones demandent une reconnaissance. Fin d’un siècle au le Québec est simplement pour les Québécois et l’idée qu’il faut partager les ressources et la souveraineté avec les Autochtones vues comme la cohabitation. Environs 20% des autochtones habitent à Montréal.
pointe bleue~ forestier
À pointe-bleue le travail forestier avait été une alternative aux mauvaises récoltes de 1914 et 1915. Il peint tout de même une bonne image
agent fédéral
Légalement les Innus sont des mineurs donc l’agent comme Armand Tessier qui prend le rôle de tuteur\ père face à eux. L’agent son influence est strictement sur le territoire, il ne contrôle pas les individus mais le territoire et la politique de la réserve. La communauté de sainte-anne est une dissidence, car ils sont en dehors de la réserve.
territoire autochtone
Le territoire du Québec est surtout centré autour du Saint-Laurent qui est l’écoumène. L’arrivée dans les territoires nordique va se faire tard au 20e siècle. Puis, quand l’état fédéral cède les territoires du nord celui-ci dit que c’est conditionnel à ce que les autochtones les cèdent à leur tour quand ils leur appartiennent.
première moitié du 20e siècle: Deux formes de travail
Deux formes de travail qui se distinguent pour les autochtones ceux qui sont dans l’écoumène qui s’intègre dans la communauté et vendent leurs produits, ils sont producteurs à un niveau presque industriel. Intégration aussi comme des autochtones qui sont employés, ils vendent leur force de travail. Au 20e siècle ce qui se développe réellement est le travail industriel. Par exemple, la communauté Ristigouche il y a un boom pour l’industrie forestière dû à la forte demande pour pate et papier. Les frères vont établir un moulin à scie sur une réserve et engager des mic mac sur la réserve. Pour cela, ils ont dû faire affaires avec le conseil de bande, la négociation est faite avec le chef mic mac qui décide de louer le terrain pour 100$ ou 5% va au conseil de banque et le reste comme compensation à ceux qui habitait la terre. Ensuite, ils seront obligés d’engager des Autochtones. Toutefois, le département va intervenir, car les Autochtones sont mineures. Le département va demander plus chère pour louer la terre. Le moulin va arrêter ses activités en 1930 où des membres voient cette période comme prospère, mais pour d’autre cette industrie à amener des tensions. Tensions aussi raciales, car des Blancs s’installent dans la communauté pour venir travailler créant même une ségrégation dans la réserve (banc d’église).1929 crise économique donc moins d’emplois disponible et les patrons vont prioriser les Blancs dans l’offre d’emplois. Cet évènement va amener une révolte d’autochtones qui vont bloquer l’accès à la scierie en 1929. Finalement, les tensions et la diminution de la demande amène la fermeture de la scierie, les propriétaires ne veulent pas faire la police. La compagnie à polariser la communauté, tension raciale.
travail de Mohawk en Acier
Le travail de Mohawk comme moteur d’acier, ceux-ci vont se spécialiser. Elle commence avec la construction du point St-Louis. En 1907 environs 20% des hommes de la communauté qui se définissent comme moteur d’acier et en 1914 c’est 90%. Ils se spécialisent dans ce domaine, car il est dangereux et peu convoité, donc mieux payée. D’ailleurs, une trentaine de travailleurs Mohawk meurt lors de l’effondrement du pont de Québec, toutefois malgré la tragédie dans la communauté. Elle engendre une plus grande attirance, c’est vu comme un métier dangereux donc virile, masculin et l’autre chose les femmes vont demander aux hommes de ne pas travailler sur le même chantier au cas d’une autre tragédie.
Le rapport face au travail industriel n’est pas négatif vue comme une manière de s’intégrer. Les travailleurs mohawks ont été eux aussi affectée par la crise économique, mais moins car le milieu recommence plus rapidement.
début des années 1900 travail
Les communautés qui chassent sont impactée par la crise, car la demande est nettement réduite. Les gens ne chassaient plus pour manger mais vendre, donc avec la crise grande paupérisation des chasseurs de fourrures.
Il a une certaine prospérité certaine au début des années 1900 qui engendre même de la jalousie. Certaines familles autochtones gagnent beaucoup plus que des familles québécoises pour le même domaine par exemple manufacturier.
La crise va amener une disparition des petites entreprises, une baisse des revenus. La crise transforme le portrait économique. Toutefois, certaine opportunité reviennent lors de la deuxième guerre mondiale des hommes partent combattre et il y a un appel de main d’œuvre. La DGM amène une rareté de la main d’œuvre. Il va y avoir des mouvements de migration vers les centres minier. Ils vont être des lieux de mixité. Il y aussi la construction du barrage aux Passes-Dangereuses où des autochtones se rendent pour travailler sur la construction de celui-ci.
Avant les années 1930 il y a eu une forme de prospérité et ce développement économique amène une plus grande fréquentation entre Autochtone et Blanc. Il va aussi y avoir la naissance du racisme ordinaire dans lieux de rencontre, dans le travail. Crise économique importante facteur de dépossession de l’intégration des Autochtones par le milieu économique. À partir de 1960 le gouvernement investissent massivement dans le système scolaire pour rattraper le retard, mais les Autochtones n’auront pas cet investissement.
grand nord et soin
Avant la révolution tranquille il y a une volonté de contrôler les autochtones du nord. Importance que ces communautés soient touchées par le français et le catholicisme.
Les jeunes sont coupés de leur famille pour leur soin, mais c’est aussi une façon de leur imposer la culture québécoise.
À l’époque, il y a une idée que les corps autochtones n’ont pas leur place dans les hôpitaux « blanc » et que les soins fournit sont des actes de charité.
On peut séparer en deux phase avant les années 1940 et après. Au 19e siècle on se limite de vacciner les premières nations contre la variole. Les médecins sont là juste pour vacciner et ils reçoivent leur salaire selon le nombre de patient vacciner, donc leur but est de vacciner le plus possible. L’état canadien est désengagé envers les soins, il fait le strict minimum.
Nouvelle idéologie tournant hygiéniste,
Nouvelle idéologie tournant hygiéniste, il faut conserver sa santé grâce à un environnement propre, un mode de vie sain. On tient les gens responsables de leur santé, pour les autochtones on les considère irresponsable. Dans ce contexte, le département des Indiens va accepter de construire un hôpital à pointe bleue sur la réserve, les Autochtones sont vues comme un danger pour la santé des colons. Dans cet hôpital on veut isoler les malades, il y a un seul médecin et des infirmières, certaines vont être innus. La fréquentation des innus dans l’hôpital va augmenter avec l’arrivée des infirmières de la communauté.
On ferme l’hôpital pour faire des économies et que les communautés sont rendues au même niveau de responsabilité au niveau social. Ils peuvent eux même assurer leur santé.
Au début, du 20e siècle on laisse les soins de santé aux communautés religieuses.
Au début, du 20e siècle on laisse les soins de santé aux communautés religieuses. Le gouvernement paie juste pour le bâtiment et on laisse les religieux administrer, car ça ne coute rien. Toutefois, ca bloque la présence de personnel autochtone.
Après la fermeture de l’hôpital pointe bleue, on demande à quatre sœurs de Nicolet d’aller dans l’ouest. L’hôpital est vu comme un outil pour les guérir et leur permettent de travailler, s’intégrer dans la société blanche. Dans l’ouest les religieuses vont continuer à éduquer le catholicisme.
Il va y avoir un réseau le « indian health service ». Les principaux hôpitaux autochtones sont dans l’ouest, il n’y en a pas au Québec. On considère dans les hôpitaux québécois les autochtones comme des personnes difficiles que l’on ne comprend pas.
médicale dans les années 30
À partir des années 1930 la plus grande cause d’hospitalisation des autochtones est la tuberculose.
Dans les années 20-30 la professionnalisation des soins médicaux amène une volonté d’investir dans la santé des autochtones comme méthode d’Assimilation. Idée de faiblesse physique qui est une barrière à l’assimilation canadienne. S’ils sont en santé ils vont pouvoir s’intégrer sur le marché du travail. Puis, on craint aussi les autochtones qui sont vue comme un vecteur de maladie.
DGM : médicale
Dans la deuxième guerre mondiale beaucoup passe sous les yeux de médecins et on réalise à quel point ils sont en mauvaise santé. Ainsi, il va y avoir une volonté de remédier à la situation, mais ça va amener des expérimentations sur le peuple. On veut tester sur des races moins évoluées, beaucoup de ces tests sont sur les enfants, car on peut contrôler les variables comme l’alimentation.
1940-1950, on fait encore des tests sur les enfants cette fois-ci sur la nutrition, on test comment la nutrition impacte la santé.
40-60 médicale
1940-1960 expérimentation dans sur les autochtones, on fait des tests comme résection pulmonaire. Idée qu’ils ne sont pas responsable de leur santé. Puis, idéologie que les corps autochtones qui sont « inutile » pour les blancs et qui sont une charge peuvent maintenant être utiliser pour faire des expérimentations et avoir une valeur.
Au Québec pas vraiment d’hôpitaux autochtones, mais plutôt mise en place d’hôpitaux de brousse.
Les médecins et infirmières de colonisation
Les médecins et infirmières de colonisation focus sur les soins dentaire de base, distribuer des antibiotiques et dépister la tuberculose. Ce sont des soins qui sont saisonniers, on monte des tentes durant la saison estivale.
Il va aussi y avoir un navire hôpital le c.d Howe mis en place par le fédéral pour les communautés éloignée dans le grand nord. Celui-ci fait du dépistage et embarque tous ceux qui sont positif. Quand le navire arrivaient les gens s’enfouillaient pour ne pas être arrachés de leur communauté. Les communautés ne comprennent pas nécessairement pourquoi ils sont enlevés.
Au Québec c’est un réseau de Sanatoriums qui se mettent en place. Ils sont faits pour le soin à long terme des gens qui ont la tuberculose. Ce système va être en opération jusqu’en 1970 où le Québec reprend les soins où il va y avoir une plus grande collaboration dans les hôpitaux provinciaux. Ceux-ci vont utiliser ces institutions pour leur mission d’assimilation.
rafle des années 60
Rafe des années 60 qui dure de 1950 à 1980 où des enfants autochtones sont placé dans des familles non-autochtones dans l’objectif de poursuivre la mission des pensionnats. On comprend que ces familles vont être meilleures pour celles-ci. Au Québec le système hospitalier a collaboré au transfert d’enfants autochtones vers des familles blanches, car on considérait leur famille non-adéquate.
Les autochtones sont hostiles face au système social de protection dû à ces évènements. Le fédéral met en place le loi c-92 qui leur permet de gérer leurs propres services sociaux de protection de enfants.
Stérilisation forcée et non consentant des femmes des pratiques qui ont longtemps persisté.
autochtone en ville
Certaine assimilation des autochtones qui arrivent en ville.
Depuis, le début du 20e siècle mtl s’étend et kahnawake fait partie de la grande région métropolitaine de Montréal. Vers l’an 2000 les villes villages de petite et moyen taille dans des centre régionaux regroupe 70 % des autochtones et 30 % en ville urbaine.
Très peu de place laissée aux Autochtones en ville, on ne leur accorde pas un quartier comme à d’autre communauté.
Le musée de cire à Montréal présentait une forme d’autochtonie de sauvagerie qui reprenait les manuels scolaires et c’est 10 millions de visiteurs qui voient cette fausse représentation. C’est des mises en scène.
Il va y avoir des représentations publiques qui peut permette aux Autochtones de contrer les fausses représentations.
Oscar Bastien : journaliste Huron Wendake
Ces Autochtones à la radio vont au collège classique ce qui les aident à avoir un français oral soigné.
Myra cree première femme à être directrice de la station de Radio-Canada.
colonialisme municipal
Colonialisme municipal est lorsque cette municipalité de proximité qui sont propriétaire, vote un maire, ils sont responsables de l’organisation. Il va y avoir certain mouvement pour expulser les Autochtones des villes comme à Sept-Îles avec le slogan de la population « dehors les Sauvages ». Il y a une idée que les Blancs tolèrent les Autochtones dans les villes bien que les réserves, leurs terres étaient là avant. Il y a une volonté de les déplacer en dénonçant que les Autochtones sont insalubres, menace la santé des citoyens, ils utiliseraient mal leurs terres. On ne les voit pas comme des acteurs contributeurs à l’économie. 1960, les Affaires Indiennes développent un plan pour améliorer la réserve, ce qui scandalise la ville qui veut les expatrier. On doit l’intégration\ assimilation les Autochtones pour que la ville contrôle le territoire au complet et qu’il n’y est plus ces territoires « spéciaux ».
mouvement de manifestation année 60
Dans les années 1960 avec les mouvements de manifestations, il y a une affirmation collective des autochtones.
L’objectif des autochtones dans leur pavillon à l’expo 67 est de renverser l’image que les gens ont d’eux et dénoncer certaines pratiques de la colonisation. On veut aussi présenter un côté moderne des premières nations.
Lors de la célébration des 450 ans de la « découverte du canada » avec le cap sur québec. Max Gros Louis va vouloir faire un mouvement d’opposition montrer que les Autochtones étaient là avant, il va y avoir la mise sur pied d’un pavillon. Il va y avoir la mise en place de centre d’amitié dans les villes pour soutenir et aider les autochtones qui arrivent en ville. Ces centres sont à but non-lucratif gérer par les autochtones et offrent de l’hébergement, soutien dans la recherche d’emplois. Ce sont des lieux d’accueil et de ressource.
Eleonore sioui
Motherwork est une étiquette qui ne leur est pas imposé, mais choisi par celle-ci.
Prise de position\manifestation avec Esther Louis Georgette Deer qui est Mowhak elle habite sur les frontières du Québec et Ontario. Elle lance un projet pour être actrice et mettre de l’avant sur scène la culture autochtone connu sous le nom « Princess white deer». Elle tente de se peindre comme une vraie « indienne » aux yeux des Américains en adoptant des costumes qui ne sont pas de sa culture à elle. La vision de la princesse est une version de l’autochtonie qui est acceptée et ça permet à celle-ci d’attirer un public non-autochtone. Elle joue sur ces stéréotypes pour montrer que l’autochtone n’est pas que du passé, il est aussi dans le présent. Elle veut montrer qu’elle est une vraie autochtone, même si elle est moderne pour montrer que ce n’est pas une chose du passé. Elle va même amener son spectacle à New-York et à Saint-Pétersbourg. Elle va se marier avec un noble russe.
À son retour elle veut mettre à l’avant que l’Autochtone n’est pas un obstacle à la société coloniale, elle met sur pied des spectacles patriotiques.
Éléonore Sioui qui souhaite se définir par d’autre terme qu’impose la société coloniale. Elle a une éducation supérieure, le contexte dans lequel les femmes évoluent impacte la manière dont elle porte leur message. Elle va vouloir s’approprier ses propres outils pour lutter contre le colonialisme. Elle dénonce l’exclusion des femmes dans la société coloniale, mais aussi au sein même des communautés autochtones. Jusqu’en 1951 les femmes ne pouvaient pas participer au vote dans le conseil de bande. Éléonore voit un devoir de Mother envers la nation, elles ont une responsabilité envers le bien-être de la communauté en générale. Le rôle de mère de foyer des femmes blanches et femmes dans la communauté d’Autochtones n’est pas la même chose, ce n’est pas le même rapport à la maternité. Les femmes doivent promouvoir le bienêtre de la société au niveau de la santé, de l’éducation, spirituelle. Idée aussi de materner la communauté comme si c’était une personne.
La revue Kanata mise sur pied par Éléonore Sioui tente de trouver l’équilibre entre le mode moderne et traditionnelle dans l’esprit de connecter les différentes communautés entre elles.
Kahn-Tineta
Ce militantisme-là va être repris par une génération plus jeune en plein dans le red power. Par exemple, avec Kahn-Tineta qui est une militante qui fait le pont entre la figure de princesse et de mère « motherwork ». Celle-ci va aller à l’université et avoir une éducation. Elle est mannequin donc joue aussi sur le rôle de princesse et gagne le titre lors d’un concours en 1963. Elle va être perçue comme un activisme dangereux de l’image que les populations autochtones veulent se donner, elle remet en question l’autorité des hommes et leur place dans le conseil de bande. Elle critique l’organisation qu’elle voit comme corrompue et elle trouve qu’il n’y a pas assez de place dans le conseil national des Indiens pour divers opinions, ce qui amène l’organisme de lui retirer son titre de princesse.
Elle va continuer à participer tel que sur le terrain avec le blocage du pont international à Akwesasne et elle fonde aussi le Indian Legal Defense Committee pour défendre les droit territoriaux, le droit des femmes qui ont perdu leur titre après mariage. Elle va parler de la stérilisation forcée des femmes autochtones au Canada. Elle fait la promotion du rôle de mère protectionniste, la place des femmes comme éléments essentiels pour l’éducation et les soins dans la communauté.
Commission royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada (Commission Bird, 1967-1970).
Commission royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada (Commission Bird, 1967-1970). C’est une commission générale pour voir les raisons de la monté du féminisme. Les femmes autochtones ne sont pas formellement invitées, mais un groupe va tout de même se joindre. Sur 468 mémoires, 9 proviennent de femme autochtone dont Mary Two-Axe Early. En 1967, elle fonde « droit égaux pour femme indienne » DÉFI. À l’époque les femmes se rendre à la commission pour dénoncer les facteurs inégalitaires comme le fait qu’elles perdent leur statut après le mariage avec un non-autochtone avec l’article 12.
Les journaux ne rapportent pas leur propos mais on parle plutôt de leur habillement. On ne parle pas des femmes plus âgées, seulement les plus jeunes et belle. Les journaux retiennent le thème de jolie princesse ou de prostitution, mais on ne comprend pas la profondeur du problème des femmes autochtones.
D’ailleurs, les conclusions de la commission Bird, ne comprend pas les réclamations des femmes et leurs problèmes. On ne voit pas leur problème d’inéquité, de discrimination, etc., comme un problème résultant de la colonisation.
défi
En 1974 les luttes de DÉFI se matérialise « femme autochtone du québec» qui va être un forum où les femmes peuvent s’exprimer et parler de leurs besoins. 1976 publications d’un mémoire pour la mobilisation des femmes pour leur droit et l’association demandent que les femmes autochtones conservent le même statut peu importe qui elles marient. Années suivantes il y a le mémoire protégeons nos enfants pour dénoncer l’adoption des enfants autochtones par les Blancs vue comme un génocide culturel. Ces mémoires découlent des actions de DÉFI et leur prise de position devant la commission Bird.
Alliance de femmes blanches avec celles autochtones comme Thérèse Casgrain qui appuie la lutte de Mary Two-axes. Aide la mise à l’avant le mouvement à l’internationale.
Les conseils de bandes n’appuient pas la lutte des femmes, car on ne veut pas que celles-ci amènent des hommes non-autochtones s’immiscent dans la politique des autochtones.
Mary Sandra Nicholas,
Mary Sandra Nicholas, elle va se lutter pour reprendre son titre d’autochtone et retourner sur la réserve après sa séparation avec son mari. Elle va même déposer son cas devant le comité des droits de l’homme des Nations Unies. Ainsi, on va mettre sur pied des conférences constitutionnelle pour déterminer qu’elles sont les droits des autochtones. Finalement, le Parlement répond aux appels à réforme et adopte le projet de loi C-31.
Loi C-31 qui permet aux femmes et enfants de premières générations retrouven un statut indien. La limite d’une génération est encore critiquée par certains, après deux mariages mixtes, les enfants n’ont pas accès au statut. Projet de loi S-3 amener pour enlever la clause de première génération et rétablit le statut de ceux qui l’ont perdu avant 1951.
Annie Whiskeychan et l’éducation crie à Waskaganish
Annie Whiskeychan et l’éducation crie à Waskaganish. Elle nait dans les territoires traditionnels de la baie James. Elle observe la transformation rapide de sa communauté, l’expansion des pensionnats. Par conséquent, elle va suivre une formation en éducation et elle développe la commission scolaire crie, elle développe un programme pour mettre à l’avant le crie dans l’enseignement à l’école primaire. Elle travaille aussi à la publication de manuel scolaire en crie.