banques Flashcards
(27 cards)
7 signes cancer larynx
voie rauque (dysphonie)
dysphagie + perte de poids
masse cou
hémoptysie
si avancée = dlr thoracique
dlr oreilles
obstruction voies aérienne
cancer + fréquent sein
carcinome canalaire infiltrant
ddx griffe de chat
VIH, EBV, infx
Infection locale :
Infection pyogénique : pharyngite, abcès dentaire, otite moyenne
Infection virale
Maladie de la griffe de chat
Tuberculose : Adénite tuberculeuse chez les enfants
tx sarcoidose
CS, immunosup, hydroxichloroquine
compression du foramen jugulaire
glossopharyng 9, vague 10, accessory 11 + Veine jugulaire interne
syndrome de horner dans néo pulmonaire
ptose,myose,anhidrose
PANCOAST! comprime chaine cervicale sympathique et le muscle tarsal supérieur (ptose légère)
Autres pour pancoast: plexus brachiale, ME = paraplégie, métastase dans cerveau++
- MEN2
thyroide - phéochromocytome(surrénale)
- 3 sx associés néoplasie pulmonaire (paranéo)
Syndrome paranéoplasique (OBJ 10.2)
1. Production ectopique d’hormones (à petite cellule ++ probablement dû à origine neuroendocrine) :
o ACTH (1%) : Syndrome de cushing
o ADH : SIADH (hyponatrémie euvolémique) -> chez environ 10% des cas
o PTH relié : Hypercalcémie (lithiase urinaire) (surtout les épidermoïdes)
o Calcitonine
o Beta-HCG
2. Autres syndromes paranéoplasiques :
o Musculosquelettique (adénocarcinome ++) : Hypocrastisme digitale, ostéoarthropathie hypertrophique
* Activité augmentée du périoste (périoste épaissit à la RX)
o Neurologique (à petite cellule ++) : Syndrome myasthénique
Lambert-Eaton
o À médiation auto-immune qui affect SNC
o Auto-anticorps contre canaux calcique v-d pré-synaptiques stimulés par prot sur la tumeur perturbe transmission neuromusculaire et provoque faiblesse (comme myasthénie) mais sans fatiguabilité
- Laryngoscopie indcx
Dès que tu as un doute de cancer, voix rauque, >40ans et sx
dystrophie occulo-pharyngée
PTOSE (= discriminant) (affaiblissement de la paupière) progression lente, souvent asymétrique
Ophtalmoplégie partielle (regard vers haut ++ affecté) moins évident que la ptose
Dysphagie progressive aspiration respiratoire, toux après repas, mange lentement, évite aliments secs
Possible dysphonie et faiblesse faciale
Faiblesse proximale des membres se développe plus tard (jambes ++)
Apparition entre 40-70 ans (ADULTE)
Dystrophie musculaire affectant muscles oculaires et pharyngés
Transmission génétique autosomale dominante (+++) ou récessif
Mutation : expansion répétée du triplet GCG dans gène PABPN1
* Induit l’agrégation nucléaire des protéines et forme de filaments (très caractéristique de l’oculo-pharyngée) toxique dans les muscle induisent la mort cellulaire
ssx néo oesophagienne
Souvent ASx au début
Dysphagie progressive (solide puis liquide)
Odynophagie
Pyrosis
Dlr thoracique
Saignement gastro-intestinaux
No/Vo
Perte de poids par malnutrition
Adénopathies (médiastinales et cœliaques) + région cervicale antérieure (métastases)
Dissémination (++ a/n ganglions, poumons, foie et os)
o Hépatosplénomégalie,ictère
o Dlr osseuse
o Dyspnée
o Adénopathies
E/P
Chgmt peau, cheveux, ongles -> malnutrition
Cachexie et perte musculaire
Adénopathies cervicales antérieures et supraclaviculaires
Hépatomégalie
Anomalies possibles aux laboratoires
Anémie ferriprive (2aire à sgx)
antigène carcinoembryonique (CEA) marqueur tumoral de la progression après instauration de la thérapie
Alcalose métabolique (Vo)
Hypernatrémie (déshydratation)
↑ enzymes hépatiques (si métastase hépatique)
Endoscopie biopsie = DX définitif
oesophage de barrett
Suivi œsophage de Barrett
Si Œsophage de Barrett endoscopie aux 3 ans
Si dysplasie de bas grade suivi aux 6 à 12 mois
Si dysplasie haut grade : résection complète recommandée
FDR : RGO (œsophage de Barrett) et obésité (prédispose à RGO)
o + blanc que afro-américains (3 :1) et H>F (5 :1)
o Incidence 1,3 / 100 000
Pathophysio : Métaplasie intestinale de l’épithélium œsophagien pavimenteux en épithélium de l’estomac/intestin (columnaire/prismatique/ glandulaire) Formation de l’œsophage de Barrett pour protéger l’œsophage de l’acidité
o Oesophage de Barret est associé à un ADN anormale et certaines altérations génétiques
Nécessite ensuite dysplasie (mutation ADN) pour devenir adénocarcinome (évolution finale)
Le + fréquent des cancer oesophagien
Carcinome œsophagien épidermoïde
achalasie cest quoi
Problème de l’innervation intrinsèque de l’œsophage causant (dysfonction des fibres inhibitrices du SNE)
Caractérisé par les anomalies manométriques suivantes :
1) Absence de relaxation du SOI (hypertonie)
2) tonus basal du SOI
3) Absence d’ondes péristaltiques primaires et secondaires
4) Possibilités d’ondes tertiaires pathologiques (non péristaltiques, spastiques)
sclérodermie c’est quoi (dysphagie basse) + sx
Infiltration fibrosante des tissus cutanés par du collagène pouvant aussi infiltrer le muscle lisse du TGI (œsophage 2/3 inf.)
↓ ondes contractiles = dysphagie
ET
↓ tonus du SOI = RGO = œsophagite de reflux = sténose œsophagienne
Dysphagie par absence d’ondes propulsives
Reflux avec régurgitations souvent sévères par hypotonie du SOI
Sx et complications d’œsophagite de reflux (dysphagie, odynophagie, saignements)
Épaississement et induration de la peau (infiltration collagène dans tissus cutanés)
Phénomène de Raynaud
Constipation chronique possible
spasme diffus oesophagiens
Contractions œsophagiennes anormales et désordonnées (ondes tertiaires non péristaltiques) mais relaxation N du SOI
Peuvent être déclenchées par aliments très chauds/froids ou par RGO
-»> Pas liées au mvmt de déglutition
Dlr rétrosternale intermittente et brève (sec à min)
Dlr constrictive, spasme qui peut irradier au dos et omoplates
Svt reliée aux repas (mais pas au mvmt de déglutition)
Provoqué par aliments très froids/chauds ou épisode de reflux
Peut réveiller la nuit
Imite l’angine (mais pas de lien avec l’effort)
tumeur salivaire
Généralement la masse est indolore ou asymptomatique
Complication à rechercher : paralysie du nerf facial (paralysie de Bell)
Tumeurs malignes les + fréquentes
1) Carcinome mucoépidermoïde (cellules épithéliales et cellules productrices de mucine)
o Cancer des glandes salivaires le + fréquent
o A/n glande parotide (palais) ++ (rarement a/n base de la langue ou oropharynx)
o Tx par excision chirurgicale et dissection du cou si suspicion de métastases ganglionnaires (OBJ 15.1)
2) Carcinome adénoïde kystique
o 2e cancer des glandes salivaires le + fréquent
o Croissance lente
o Parfois ulcération du palais et dlr par invasion nerveuse
o Dissémination dans poumons et os par voie hématogène (peu de propagation dans ganglions lymphatiques)
o Tx par radiothérapie
épidémio tumeur salivaire + FDR no1
Majorité des tumeurs sont dans la parotide (80% bénignes) = Adénome pléomorphe
80% des tumeurs des glandes salivaires mineures sont malignes
Les tumeurs malignes se métastase dans 50% des cas
FDR : ATCD d’irradiation
parotidite sortes de méchants
Virale
Paramyxovirus (oreillons)
VIH
Bactérienne
Staphylococcus aureus
Streptococcus pneumoniae
sialadénite type de bactérie
quoi qui a dans lithiase
S. Aureus ++ ou S. pneumoniae
phosphate de ca
ssx siaolithiase et ssx sialadénite
Épisodes de coliques salivaires postprandiales
Dlr et œdème
Asymétrie dans la production de salive
Lithiase peut être palpable et faire une masse
Salive peut être purulente et donner un mauvais goût lors du massage de la glande obstruée
Sensibilité a/n glande
Fièvre
Parfois érythème cutané
Pus peut sortir du conduit avec massage manuel de la glande
Peut devenir un abcès
lymphome indolent
- Lymphome lymphocytique à petites cellules
- Lymphome lymphoplasmocytique
- Lymphome de la zone marginale
- Lymphome folliculaire (29%)
lymphome aggressif
- Lymphome diffus à grande cellules B (37%)
- Lymphome du manteau
lymphome très aggressif (se comporte comme leucémie aigue)
- Lymphome de Burkitt
- Lymphome lymphoblastique