Bible 2023 Flashcards
(49 cards)
- Parmi les maladies suivantes, laquelle est considérée comme un vaccin essentiel, c.a.d devant faire partie de tout programme de vaccination, chez les bovins?
a) La keratoconjonctivite infectieuse bovine due à Moraxella bovis
b) La diarrhée à Salmonella Typhimurium
c) La mammite aiguë à Escherichia coli
d) La diarrhée virale bovine (BVD)
e) La campylobactériose
d) La diarrhée virale bovine (BVD)
Laquelle de ces affirmations est vraie pour la vaccination chez le veau?
a) Chez le veau, la vaccination par voie intranasale n’est possible que pour le virus respiratoire syncitial bovin (BRSV), virus le plus impliqué dans les maladies respiratoires.
b) Chez le veau, il est possible de conférer une immunité passive à la naissance par l’administration d’anticorps monoclonaux dirigés contre Escherichia coli et coronavirus.
c) Chez les bovins, la vaccination des jeunes veaux est inutile en raison de la présence des anticorps maternels qui inhibent la réponse vaccinale et qui les protègent durant toute la période à risque.
d) Chez le veau, il existe des vaccins qui peuvent être donnés oralement uniquement pour la prévention des diarrhées virales à rotavirus, coronavirus.
b) Chez le veau, il est possible de conférer une immunité passive à la naissance par l’administration d’anticorps monoclonaux dirigés contre Escherichia coli et coronavirus.
Pour laquelle des bactéries suivantes, il n’existe pas de vaccin homologué pour aider à la prévention de la mammite chez les bovins au Canada?
a) Klebsiella pneumoniae
b) Staphylococcus aureus
c) Escherichia coli
d) Mycoplasma bovis
e) Streptococcus uberis
d) Mycoplasma bovis
Laquelle de ces affirmations est fausse?
a) L’immunité conférée par les vaccins contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR), particulièrement les vaccins intranasaux, confèrent une immunité rapide, ces vaccins peuvent donc être utilisés en réaction à une épidémie dans un troupeau.
b) Certains vaccins vivants utilises pour la prevention des infections au virus de la BVD ou de la rhinotracheite infectieuse bovine (IBR) n’entrainent pas d’avortement chez les femelles gestantes si l’animal à préalablement été immunisée selon les directives de l’étiquette
c) Un syndrome appelé pancytopénie néonatale bovine est apparu au début des années 2010 en Europe, suite à la commercialisation d’un vaccin dirigé contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR).
d) Pour les infections au virus de la diarrhée virale bovine (BVD), il est important que le vaccin confère une protection contre le BVD type -1 et type -2 ainsi qu’une protection foetale.
c) Un syndrome appelé pancytopénie néonatale bovine est apparu au début des années 2010 en Europe, suite à la commercialisation d’un vaccin dirigé contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR).
- Quel énoncé est vrai ? (2020)
a) Les lymphocytes Th1 sécrètent les cytokines suivantes : IL-2, IFN-gamma, TNF-alpha et TNF-bêta
b) Les lymphocytes Th2 sécrètent les cytokines suivantes : IL-4, IL-5, IL-9, IL-13 et IL-21
c) Les lymphocytes se subdivisent en plusieurs catégories (T, B, NK) et ces cellules sont sont toutes différenciables au microscope.
d) Les énoncés a, b et c sont correctes
e) Seulement les énoncés b et c sont correctes
a) Les lymphocytes Th1 sécrètent les cytokines suivantes : IL-2, IFN-gamma, TNF-alpha et TNF-bêta
Selon le principe de l’immunité adaptative, quelle est la protéine qui a pour rôle de reconnaître les antigènes ?
a) BCR et anticorps produits par les lymphocytes B
b) TCR des lymphocytes T
c) Molécule du CMH
d) Toutes les réponses
e) Aucune des réponses
d) Toutes les réponses
. Lequel/Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) les maladies auto-immunitaires primaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu suite à un facteur déclencheur.
b) les maladies auto-immunitaires secondaires sont l’apparition de la maladie auto-immunitaire chez un individu prédisposé suite à l’administration de médication, vaccin, néoplasme ou infection, ou une mutation transmise de façon héréditaire.
c) L’activation des lymphocytes B se fait par interaction de CD40 (cellule B) avec CD28 (cellule T)
d) L’activation des lymphocytes B se fait par interaction de CD86 (cellule B) avec CD154 (cellule T)
e) aucun des énoncés n’est exact
e) aucun des énoncés n’est exact
Quel(s) énoncé(s) suivants est ou sont vrai(s)?
a. La pathogénie de la polyarthrite idiopathique de type 1 est mal comprise et actuellement attribuée à une hypersensibilité de type 2 ou 3 affectant principalement la synonvie
b. Le pronostic des polymyosties à médiation immunitaire chez les chat est généralement sombre avec récidive fréquente
c. Les chiens de grandes races telles Berger Allemand, Golden Retriever, Boxer et Terre-Neuve sont prédisposés aux polymyosites à médiation immunitaire. Les animaux sont habituellement d’âge moyen, les chiens de race Terre-Neuve sont typiquement atteints plus vieux
d. Lors de myosite des muscles masticateurs (MMM), la créatine kinase peut être augmentée lors d ela phase aigue, une biopsie musculaire peut confirmer l’inflammation locale et aider à établir le pronostic et la démonstration d’anticorps pour les fibres musculaires 2M au niveau du sérum ou de la biopsie musuculaire est huatment spécifique pour les diagnostic de la MMM
e. Le test 4dx (SNAP test) est utilisé pour le diagnostic de Erlichia Ewingii, Demodex, les vers du coeur, maladie de Lyme, Parvovirus, Anaplasma phagocytophilum et Erlichia canis.
d. Lors de myosite des muscles masticateurs (MMM), la créatine kinase peut être augmentée lors d ela phase aigue, une biopsie musculaire peut confirmer l’inflammation locale et aider à établir le pronostic et la démonstration d’anticorps pour les fibres musculaires 2M au niveau du sérum ou de la biopsie musuculaire est huatment spécifique pour les diagnostic de la MMM
- Lequel/lesquels des énoncés suivants s’applique(nt) le mieux aux maladies auto-immunitaires?
a. Un débalancement immunologique avec la fonction Treg diminuée empêchant l’activation de lymphocytes B auto-réactifs est un facteur clé de déclenchement de maladie auto-immunitaires.
b. Certains chiens peuvent développer une polyarthrite à médiation immunitaire 1-2 semaines après la vaccination.
c. Les infections constituent le facteur déclencheur le plus significatif et peuvent agir par plusieurs mécanismes incluant une activation polyclonale de lymphocytes B par l’agent infectieux avec hypergammaglobulinémie polyclonale et lymphadénopathie périphérique. Certains lymphocytes B activés sont non-spécifiques pour l’agent infectieux et possiblement auto-réactifs.
d. Aucun
e. Toutes
b. Certains chiens peuvent développer une polyarthrite à médiation immunitaire 1-2 semaines après la vaccination.
c. Les infections constituent le facteur déclencheur le plus significatif et peuvent agir par plusieurs mécanismes incluant une activation polyclonale de lymphocytes B par l’agent infectieux avec hypergammaglobulinémie polyclonale et lymphadénopathie périphérique. Certains lymphocytes B activés sont non-spécifiques pour l’agent infectieux et possiblement auto-réactifs.
- Lequel/lesquels est/sont vrai(s)?
a. L’ASIT est bénéfique dans 7-8% des cas
b. Lors d’hépatite chronique chez le chien des anticorps anti-nucléaires et des anticorps dirigés contre des protéines membranaires des hépatocytes sont occasionnellement observés chez le chien, mais les ANA sont considérés non-spécifiques. Des changements d’expression antigénique sur les CMH type 1 sont rapportés chez les dobermans atteints d’hépatite chronique.
c. La dermatite atopique présente une infiltration neutrophilique et celle de contact éosinophilique.
d. La distribution typique des dermatites atopiques est asymétrique alors que la distribution typique de la dermatite de contact implique les régions glabres, habituellement abdomen et les pieds.
e. Les lymphocytes CD3+ (présents sur tous les lymphocytes T) sont la cellule inflammatoire la plus abondante lors d’hépatite chronique chez le chien. On rapporte une corrélation entre le nombre de CD3+ et la nécrose hépatique. Le niveau d’inflammation augmente avec la progression de la condition et le développement de la cirrhose.
e. Les lymphocytes CD3+ (présents sur tous les lymphocytes T) sont la cellule inflammatoire la plus abondante lors d’hépatite chronique chez le chien. On rapporte une corrélation entre le nombre de CD3+ et la nécrose hépatique. Le niveau d’inflammation augmente avec la progression de la condition et le développement de la cirrhose.
- Quel énoncé est vrai au sujet de la glomérulonéphrite membrano-proliférative
a. Perte d’antithrombine 3 (un inhibiteur dans la cascade de coagulation) au niveau rénal occasionne des thormboemboli (pulmonaire dans ce cas mais pouvant affecter d’autres artères) causant la tachypnée et dyspnée
b. Aucune prédisposition de sexe chez le chien
c. Chez les chats, les mâles sont plus prédisposés que les femelles
d. Hypertension et lésions tubulointerstitielles sévères associées à un pronostic défavorable.
e. Tous les énoncés A), B et C sont vrais
e. Tous les énoncés A), B et C sont vrais
- Quel énoncé est vrai ?
a) 5-15% des lymphocytes sont TCR ys chez l’humain
b) 5-15% des lymphocytes sont TCR ys chez la souris
c) 60% des lymphocytes sont TCR ys chez les ruminants
d) Les différents allèles du CMH diffèrent généralement par un grand nombre de résidus (10-20)
e) toutes ces réponses sont vrai
f) Aucune de ces réponses sont vrai
e) toutes ces réponses sont vrai
- Lequel/Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) l’antigène peptidique s’ajuste dans le sillon du CMH II. Ce sillon lie des peptides de 8-10 acides aminés.
b) Le CMH I est formé de deux chaines a sur une plateforme en feuillets b. Il peut accomoder des peptides jusqu’à 30 acides aminés.
c) Certains allèles des gènes du CMH sont associés à des risques accrus de développer des maladies avec une composante auto-immunitaire comme le diabète de type I, l’arthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux.
d) Aucun des énoncés A, B et C n’est exact.
e) Les énoncés A, B et C sont exacts.
c) Certains allèles des gènes du CMH sont associés à des risques accrus de développer des maladies avec une composante auto-immunitaire comme le diabète de type I, l’arthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux.
- Lequel Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) la sélection négative élimine la plus grande partie des lymphocytes qui ont une faible affinité pour les complexes peptides du soi-CMH.
b) La sélection négative est destinée à enrichir les lymphocytes capables de reconnaitre le CMH
c) Au cours du développement des lymphocytes B, la majorité des BCR (issus d’un réarrangement aléatoire) sont capables de se lier au CMH classe I et doonc capable de reconnaitre des complexes CMH peptides antigéniques ce qui risque de produire une réponse auto-immunitaire.
d) Aucun des énoncés A, B et C n’est exact.
e) Les énoncés A, B et C sont exacts.
d) Aucun des énoncés A, B et C n’est exact.
Lequel/lesquels des énoncés suivants sont vrais ?
a. Chez l’adulte, on distingue les cellules B périphériques conventionnelles, appelée B-1 et les cellules B-2 qui dérivent d’un pool de cellules du foie et omentum adulte.
b. Le BCR lie un seul épitope et est moins efficace que les cellules présentatrice d’antigène dans cette tâche. Les macrophages peuvent activer les Th avec 0.1% de la concentration d’antigène requise par les BCR qui agissent comme cellules présentatrices d’antigènes.
c. Des signes de polydipsie et polyurie sont observés lorsqu’environ 1/3 des glomérules sont détruits. Les signes cliniques de glomérulonéphropathies les plus courants chez les petits animaux incluent l’anorexie, perte de poids et vomissements.
d. L’activation des lymphocytes B implique une costimulation cytokine: IL-4, IL-5, IL-6, IL-10, IL-13, TGF-β, IFN-γ
e. Les cellules B-1 ont un répertoire de BCR restreint et sont souvent spécifiques pour des polysaccharides bactériens. Une large proportion des plasmocytes sécrétant des IgA au niveau intestinal proviennent des B-1.
e. Les cellules B-1 ont un répertoire de BCR restreint et sont souvent spécifiques pour des polysaccharides bactériens. Une large proportion des plasmocytes sécrétant des IgA au niveau intestinal proviennent des B-1.
Lequel Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) Chez les races prédisposées à l’encéphalite nécrosante comme le pug et le bichon maltais, le diagnostic comporte généralement un liquide céphalorachidien avec plécytose monocytaire avec prédominance de neutrophilique et augmentation des protéines totales.
b) le pronostic pour la méningoencéphalite nécrosante et leucoencéphalite nécrosante chez le chien est pauvre à sombre.
c) La kératite superficielle chronique (KSC) chez le chien est plus fréquente chez les mâles et les chiens Berger allemand homozygotes pour l’haplotype (DLA-DRB101501/DQA100601/DQB1*00301) sont rapportés avec une incidence 8.5x plus élevée que population controle.
d) aucun des énoncés n’est exact
e) Tous les énoncés sont exacts.
b) le pronostic pour la méningoencéphalite nécrosante et leucoencéphalite nécrosante chez le chien est pauvre à sombre.
Lequel Lesquels des énoncés suivants est/sont vrai(s)?
a) le traitement de la méningoencéphalite granulomateuse est une condition inflammatoire idiopathique fréquente chez le chien et le chat
b) la méningoencéphalite granulomateuse présente une prédisposition chez les femelles brachycéphales
c) ⅓ des désordres inflammatoires du cerveau chez le chien n’auront pas de diagnostic définitif.
d) les tumeurs de la gaine nerveuse affectant le trijumeau sont assez rares mais les tumeurs sont généralement bilatérales et donc on observe une atrophie des muscles de la machoire des 2 cotés. La tumeur est fréquemment invasive localement.
e) Les 2 conditions inflammatoires infectieuses du cerveau les plus fréquentes chez le chien sont la méningoencéphalite granulomateuse (MEG) et le gliobastome divisé en méningoencéphalite nécrosante et leucoencéphalite nécrosante.
c) ⅓ des désordres inflammatoires du cerveau chez le chien n’auront pas de diagnostic définitif.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Bactérine : il s’agit des cultures (en général lavées) de bactéries, qui sont ensuite inactivées et mélangées à un adjuvant. C’est un vaccin qui n’utilise pas des antigènes vivants.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
c) En général, les bactérines ont un large spectre contre le pathogène concerné (antigènes multiples).
d) Un toxoïde : il s’agit d’une toxine inactivée, utilisée comme vaccin. L’induction d’anticorps va neutraliser les toxines produites in vivo.
e) En général, la production d’une bactérine est peu sophistiquée et peu dispendieuse.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
b) L’immunisation passive artificielle, si elle est bien administrée, donne une protection immédiate.
c) Les anticorps employés lors d’une immunisation passive artificielle peuvent être produits chez une espèce animale différente (sérum hyperimmun) de celle où ces anticorps seront utilisés. Exemple : anticorps produits chez le cheval pour être utilisés chez le chien.
d) On peut utiliser l’immunisation passive artificielle pour neutraliser les toxines.
e) En général, et à l’exception de certaines infections, l’application de l’immunité passive (des anticorps) en même temps que l’application du vaccin contre lequel les anticorps passifs ont été produits est contre-indiquée.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un vaccin vivant ne nécessite pas, en général, d’être combiné à un adjuvant et il peut être appliqué, parfois, à une seule dose (pas de « boost ») afin d’obtenir de bons résultats.
b) Par définition, un autovaccin possède la ou les souche(s) isolée(s) à partir de l’animal ou à partir d’une ferme de production. On l’utilise lorsqu’on a la certitude qu’un vaccin commercial n’est pas disponible ou qu’il ne sera pas protecteur (sérotype différent, par exemple).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
d) Parmi les avantages d’un vaccin vivant, on retrouve : 1. le fait qu’il pourrait générer une immunité contre des antigènes sécrétés (s’il s’agit d’une bactérie); 2. Il peut générer une immunité locale et systémique; 3. Il génère une immunité en général à long terme (immunité mémoire plus importante).
e) Parmi les désavantages d’un vaccin vivant. on retrouve : 1. Possibilité de réversion; 2. Risque de contamination (pendant ou après la production); 3. Entreposage plus délicat (chaîne du froid si pas lyophilisé).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Dans la détection de pathogènes, certains tests immunologiques peuvent être adaptés pour un diagnostic rapide en clinique. La plupart des tests moléculaires de type « PCR » ne sont pas facilement adaptables pour un test rapide sur le terrain.
b) Dans un test ELISA, le résultat du test peut être lié à la spécificité et la sensibilité de l’anticorps (pour la détection d’antigènes) ou à l’antigène (pour la détection d’anticorps) utilisé.
c) Une fois que nous avons un anticorps spécifique pour un antigène donné, nous pourrions l’utiliser pour le diagnostic directement à partir de tissus et biopsies (immunofluorescence ou immunohistochimie). De plus, ceci permet de localiser l’antigène recherché dans les échantillons.
d) Les tests de compétition sont exclusivement utilisés pour la détection d’anticorps.
e) Le test ELISA peut être utilisé (en l’adaptant) autant pour la détection d’antigènes comme pour la détection d’anticorps.
d) Les tests de compétition sont exclusivement utilisés pour la détection d’anticorps.
. Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Vaccins sous unitaires : comme peu d’épitopes sont visés, la protection induite (dans certains cas) peut être restreinte.
b) Certains vaccins sous unitaires possèdent une faible immunogénicité.
c) Ce n’est pas tous les antigènes sous-unitaires qui sont produits facilement à grande échelle et à faible coût.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
e) Un candidat à vaccin sous unitaire est souvent un facteur de virulence qui est, à la fois, un antigène protecteur. Cependant, certains facteurs protecteurs pourraient ne pas être un facteur de virulence critique.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
b) Un animal vacciné pourrait (pour certains vaccins) donner une réaction faussement positive en sérologie (détection d’anticorps).
c) Un animal vacciné avec un antigène vivant pourrait donner une fausse réaction positive (test de détection d’antigènes).
d) Un antigène (utilisé dans notre test) qui présente des réactions croisées avec plus d’un pathogène pourrait être à l’origine d’un test sérologique (détection d’anticorps) peu spécifique (faux positif).
e) Un animal testé en sérologie (détection d’anticorps) trop tôt après l’infection pourrait donner une réaction faussement négative.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un porcelet qui ne prend pas du colostrum n’aura pas d’anticorps maternels en circulation, car la transmission d’anticorps transplacentaire est inexistante. Ces animaux ne présenteront pas d’interférence avec des anticorps maternels s’ils sont vaccinés très jeunes.
b) Un vaccin à ADN est composé par un plasmide qui possède une séquence codante pour l’antigène d’intérêt. Ce plasmide peut se répliquer autant chez E. coli que chez les cellules eucaryotes de l’animal. L’antigène est ensuite produit in vivo par les cellules de l’animal vacciné et présenté au système immunitaire.
c) Un vaccin contre une bactérie qui n’élimine pas complètement l’infection (non stérilisante), mais qui réduit significativement les signes cliniques et la prévalence de l’infection est quand même utile en médecine porcine.
d) La réponse immunitaire contre un vaccin viral pourrait éventuellement éliminer complètement le virus seulement si l’infection naturelle induit une immunité qui est stérilisante.
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.