CHAP3 Veille et Sommeil Flashcards Preview

NEUROSCIENCES_PSYL3_DLS > CHAP3 Veille et Sommeil > Flashcards

Flashcards in CHAP3 Veille et Sommeil Deck (55)
Loading flashcards...
1
Q

1 DÉFINITIONS
Le sommeil est classiquement défini comme un [… … …] qui correspond chez les vertébrés à sang froid?/[chaud?] à un comportement de […] particulier, caractérisé par la […] de la […], la [r… m…] et le [r… des f… v…]. Sa réversibilité immédiate le différencie de la […], de la […] ou du […]. Sa périodicité est très […] selon les […]. Chez l’homme elle dépend de [l’… …/…] mais aussi de [… …] qui se mettent en place dès la […].

A

Le sommeil est classiquement défini comme un [état physiologique cyclique] qui correspond chez les vertébrés à sang [chaud] à un comportement de [repos] particulier, caractérisé par la [dissolution de la conscience], la [résolution musculaire] et le [ralentissement des fonctions végétatives]. Sa réversibilité immédiate le différencie de la [syncope], de la [narcose] ou du [coma]. Sa périodicité est très [variable] selon les [espèces]. Chez l’homme elle dépend de [l’alternance jour/nuit] mais aussi de [synchroniseurs internes] qui se mettent en place dès la [naissance].

2
Q

1 DÉFINITIONS
Les études sur la veille et le sommeil ont, en premier lieu, été réalisées via [l’…] de sujets dans ces deux états comportementaux. Ensuite, [l’…], a permis d’y ajouter des données issues de [l’… …] permettant ainsi de dissocier [?] états couvrant la veille et le sommeil. Plus tard, en [19..], des médecins américains décriront [?] stades de sommeil. Cette classification sera ensuite affinée par [R…, et K…] en [19..] en se basant sur l’utilisation conjointe de [l’… (…), l’… (…) et l’…].

A

1 DÉFINITIONS
Les études sur la veille et le sommeil ont, en premier lieu, été réalisées via [l’observation] de sujets dans ces deux états comportementaux. Ensuite, [l’électroencéphalographie], a permis d’y ajouter des données issues de [l’activité cérébrale] permettant ainsi de dissocier [5] états couvrant la veille et le sommeil. Plus tard, en [1957], des médecins américains décriront [5] stades de sommeil. Cette classification sera ensuite affinée par [Rechtschaffen, et Kales] en [1968] en se basant sur l’utilisation conjointe de [l’électroencéphalographie (EEG), l’électro-oculographie (EOG) et l’électromyographie].
NB. Cette classification est toujours utilisée aujourd’hui.

3
Q

2 DIFFERENTS ETATS COMPORTEMENTAUX
Aujourd’hui, grâce au développement des dispositifs de […] (enregistrement de nombreuses variables physiologiques pendant le sommeil tels que [l’EEG], [l’EOG], [l’EMG], fréquences cardiaques et respiratoires combinées en des enregistrements vidéos), les chercheurs ont fait de grandes avancées dans la compréhension des […] de veille et de sommeil et de leurs […].

A

Aujourd’hui, grâce au développement des dispositifs de [polysomnographie] (enregistrement de nombreuses variables physiologiques pendant le sommeil tels que [l’EEG], [l’EOG], [l’EMG], fréquences cardiaques et respiratoires combinées en des enregistrements vidéos), les chercheurs ont fait de grandes avancées dans la compréhension des [mécanismes] de veille et de sommeil et de leurs [troubles].

4
Q

2 DIFFÉRENTS ETATS COMPORTEMENTAUX

De quoi est constitué le dispositif de polysomnographie ?

A

2 DIFFÉRENTS ETATS COMPORTEMENTAUX
Le dispositif de polysomnographie combine un électroencéphalogramme, un électrocardiogramme, un électromyogramme et un dispositif de mesure du flux respiratoire.

5
Q

2 DIFFÉRENTS ETATS COMPORTEMENTAUX
2.1 La veille
Les périodes de veille comprennent deux types d’états. Lesquels ?

A

1) des périodes où nous sommes actifs physiquement et mentalement (éveil attentif),
2) des périodes où nous sommes actifs mentalement mais immobiles (éveil diffus).

6
Q

2 DIFFÉRENTS ETATS COMPORTEMENTAUX
2.1 La veille
Chacun de ces états de veille est associé à une activité […] particulière, observée à l’aide de [l’…].

A

Chacun de ces états de veille est associé à une activité [neuronale] particulière, observée à l’aide de [l’EEG].

7
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.1 La veille
◽️ L’éveil attentif : caractérisé par le [rythme …] : de [… à … Hz] de fréquence. Il s’agit d’une onde […] et de […] amplitude ([… à … microvolts]) qui apparaît dès que le sujet finalise son activité mentale ([…] ou […]).
Ce rythme est très présent lorsque le sujet est […], […] et qu’il [… … des …].

A

◽️ L’éveil attentif : caractérisé par le [rythme BETA] : de [25 à 40 Hz] de fréquence. Il s’agit d’une onde [rapide] et de [faible] amplitude ([10 à 20 microvolts]) qui apparaît dès que le sujet finalise son activité mentale ([attention] ou [concentration]).
Ce rythme est très présent lorsque le sujet est [éveillé], [concentré] et qu’il [traite volontairement des informations].

8
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
◽️ L’éveil diffus (ou relaxé) : est caractérisé par un tracé plus [… et …], connu sous le nom de [rythme …] : de [… à … Hz] de fréquence et de [… à … microvolts] d’amplitude.
Découvert par [H… B…] en [19..], ce rythme est caractéristique des régions cérébrales […] chez l’homme éveillé mais ayant les [… …] ou étant […] ou [en …]. Il disparaît généralement à [l’… des …].

A

◽️ L’éveil diffus (ou relaxé) : est caractérisé par un tracé plus [lent et régulier], connu sous le nom de [rythme ALPHA] : de [8 à 12 Hz] de fréquence et de [50 à 100 microvolts] d’amplitude.
Découvert par [Hans Berger] en [1929], ce rythme est caractéristique des régions cérébrales [postérieures] chez l’homme éveillé mais ayant les [yeux clos] ou étant [détendu] ou [en méditation]. Il disparaît généralement à [l’ouverture des yeux].

9
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2 Le sommeil
Le sommeil semble être caractérisé par une [… de …]. En effet, il s’agit d’une [… d’…] marquée par des seuils accrus de l’activation engendrée par les [… …].
À partir des données EEG, ces mesures ont permis de classifier les divers types de sommeil, en deux catégories :
1) le [sommeil … … …] ([…]),
2) le [sommeil …] ([…]).
Ces deux catégories de sommeil alternent par cycles successifs d’une durée de [? à ? minutes].

A

Le sommeil semble être caractérisé par une [absence de comportement]. En effet, il s’agit d’une [période d’inactivité] marquée par des seuils accrus de l’activation engendrée par les [stimuli externes].
À partir des données EEG, ces mesures ont permis de classifier les divers types de sommeil, en deux catégories :
1) le [sommeil à ondes lentes] ([SOL]),
2) le [sommeil paradoxal] ([SP]).
Ces deux catégories de sommeil alternent par cycles successifs d’une durée de [60 à 90 minutes].

10
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Le sommeil à onde lente ou [… …] se caractérise d’un point de vue comportemental par une […] ou […] des […] de l’individu avec son […]. Durant cette période, nous n’effectuons pas ou peu [d’… …]. Les seuls mouvements possibles consistent au [… de la …].

A

Le sommeil à onde lente ou [sommeil lent] se caractérise d’un point de vue comportemental par une [baisse] ou [suppression] des [interactions] de l’individu avec son [environnement]. Durant cette période, nous n’effectuons pas ou peu [d’activités motrices]. Les seuls mouvements possibles consistent au [réajustement de la position].

11
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Quatre stades ont été définis par la facilité à réveiller le sujet. Quels sont ces stades ?

A

1) Stade I. Le rythme THETA.
2) Stade II. Le rythme SIGMA.
3) Stade III. Le rythme DELTA.
4) Stade IV. Aboutissement du stade III.

12
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Stade I. Le rythme […] : d’une durée de [? à ? minutes]. Il constitue le stade de [l’…] et peut être interrompu par des […-…]. Il se manifeste par une […] des ondes […] vers des fréquences plus […], puis par leur […] en faveur d’ondes de plus [… …] et de rythme plus […], dit […] (de [? à ? Hz] de fréquence). Ce stade est accompagné d’imageries de type […] et [d’i… c… b…] (sensation de […], [l… ou l…] du corps, […], […] du schéma corporel).

A

Stade I. Le rythme [THÊTA] : d’une durée de [3 à 4 minutes]. Il constitue le stade de [l’endormissement] et peut être interrompu par des [micro-éveils] (il s’agit de très courtes phases de réveils tout à fait normales et qui ne sont pas nécessairement perçus par le sujet). Il se manifeste par une [dissolution] des ondes [ALPHA] vers des fréquences plus [faibles], puis par leur [disparition] en faveur d’ondes de plus [faible amplitude] et de [rythme] plus [lent], dit [THÊTA] (de [4 à 6 Hz] de fréquence). Ce stade est accompagné d’imageries de type [hypnagogique] et [d’impressions corporelles bizarres] (sensation de [chute], [lourdeur ou légèreté] du corps, [morcellement], [altération] du schéma corporel).

13
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Stade II. Le rythme […] : d’une durée de [? à ? minutes], il est marqué par de […] apparitions de fuseaux de [… …] ([?-? Hz]), interrompant de temps à autre les ondes THÊTA. De [… …] sont fréquents. Les sujets sont parfois [plus?/moins?] difficiles à réveiller et au réveil, ils évoquent une […] assez importante, différente de [l’… …] de la veille et du « rêve ». Ce stade représente environ [? %] de la durée du sommeil.

A

Stade II. Le rythme [SIGMA] : d’une durée de [10 à 25 minutes], il est marqué par de [brèves] apparitions de fuseaux de [rythmes rapides] ([12-15 Hz]), interrompant de temps à autre les ondes THÊTA. De [petits mouvements] sont fréquents. Les sujets sont parfois [plus] difficiles à réveiller et au réveil, ils évoquent une [rêverie] assez importante, différente de [l’activité mentale] de la veille et du « rêve ». Ce stade représente environ [50 %] de la durée du sommeil.

14
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Stade III. Le rythme […] : il se manifeste par des ondes […] et de […] amplitude (de [? à ? Hz] de fréquence et de [? microvolts] d’amplitude). À ce stade, le sujet n’a [… … de son …]. La [… …] et la [… …] s’abaissent. Les [… … et …] diminuent. Le sujet devient [… à …] : c’est le début du [… …].

A

Stade III. Le rythme [DELTA] : il se manifeste par des ondes [lentes] et de [grande] amplitude (de [2 à 4 Hz] de fréquence et de [300 microvolts] d’amplitude). À ce stade, le sujet n’a [plus conscience de son environnement]. La [température corporelle] et la [pression artérielle] s’abaissent. Les [fréquences cardiaque et respiratoire] diminuent. Le sujet devient [difficile à réveiller] : c’est le début du [sommeil profond].

15
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Stade IV. Ce stade est [l’…] du stade III. Les fonctions vitales sont [… à l’…], les mouvements deviennent […] et le [… …] s’affaisse. L’EEG est seulement composé d’ondes très […]. Bien que le dormeur n’en ait pas conscience, les [… …] sont toujours traitées par le cerveau, mais de façon [plus?/moins?] marquée comme le démontre la [… d’…] des [… … …]. Les […] sont diminués pendant ce type de sommeil, sauf en ce qui concerne les [… de …] ([… ou …]) qui sont au contraire exaltés. Si l’on réveille un sujet lors de ce stade de sommeil il évoque souvent une [… … …]. Durant cette période, il peut y avoir des épisodes de […].

A

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.1 Le sommeil à ondes lentes (SL)
Stade IV. Ce stade est [l’aboutissement] du stade III. Les fonctions vitales sont [ralenties à l’extrême], les mouvements deviennent [rares] et le [tonus musculaire] s’affaisse. L’EEG est seulement composé d’ondes très [lentes]. Bien que le dormeur n’en ait pas conscience, les [stimulations sensorielles] sont toujours traitées par le cerveau, mais de façon [moins] marquée comme le démontre la [diminution d’amplitude] des [potentiels évoqués auditifs]. Les [réflexes] sont diminués pendant ce type de sommeil, sauf en ce qui concerne les [réflexes de défense] ([retrait ou flexion]) qui sont au contraire exaltés. Si l’on réveille un sujet lors de ce stade de sommeil il évoque souvent une [activité mentale confuse]. Durant cette période, il peut y avoir des épisodes de [somnambulisme] (automatisme moteur, le sujet se lève, marche puis se recouche sans en avoir conscience).

16
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Dans la première partie d’une nuit de sommeil, un individu endormi traverse les différents stades du SL en [? heure] environ, puis il revient assez brièvement au [stade ?]. Il se produit alors une […] vers un stade totalement […]. Brusquement les enregistrements EEG adoptent une structure d’activité […] de […] amplitude, semblable, à certains points de vue, à celui de l’individu en [… d’…] si ce n’est que les [… … du … ne sont plus en …]. Au cours de ce type de sommeil, la [… et le …] s’accélèrent et deviennent assez […] ([moment d’[…], [… …] et […]]) et la température corporelle […]. L’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) montre également une […] du métabolisme (plus grande consommation d’[…] et de […]) reflétant un accroissement de la [… d’…]. Les yeux décrivent alors, sous les paupières fermées, des [… …] d’où le nom de [… …] ([…]/ [… … …] ou [… à … … …].) A maints égards, ces mouvements oculaires ressemblent à des [… …] caractéristiques de [l’… d’…]. Chez un individu couché et dormant profondément se produit alors une foule de [… …] assez distincts.

A

Dans la première partie d’une nuit de sommeil, un individu endormi traverse les différents stades du SL en [une heure] environ, puis il revient assez brièvement au [stade 2]. Il se produit alors une [transition] vers un stade totalement [différent]. Brusquement les enregistrements EEG adoptent une structure d’activité [rapide] de [faible] amplitude, semblable, à certains points de vue, à celui de l’individu en [état d’éveil] si ce n’est que les [muscles postérieurs du cou ne sont plus en tension]. Au cours de ce type de sommeil, la [respiration et le pouls] s’accélèrent et deviennent assez [irréguliers] ([moment d’apnée, accélération brutale] et [ralentissement]) et la température corporelle [fluctue]]. L’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) montre également une [augmentation] du métabolisme (plus grande consommation d’[oxygène] et de [glucose]) reflétant un accroissement de la [dépense d’énergie]. Les yeux décrivent alors, sous les paupières fermées, des [mouvements rapides] d’où le nom de [sommeil paradoxal] ([REM]/ [rapid eye mouvment] ou [sommeil à mouvements oculaires rapides].) A maints égards, ces mouvements oculaires ressemblent à des [mouvements rapides] caractéristiques de [l’état d’éveil]. Chez un individu couché et dormant profondément se produit alors une foule de [changements physiologiques] assez distincts.

17
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Pourquoi peut-on dire que le sommeil paradoxal porte bien son nom ?

A

Le sommeil paradoxal porte bien son nom puisqu’il s’agit :
1/ d’un sommeil où la réactivité aux sollicitations du monde extérieur est minimale et où l’on observe un effondrement du tonus musculaire.
2/ d’un sommeil où l’activité EEG est semblable à celle de la veille active.

18
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Le premier épisode de SP est [court?/long?] ([de ? à ? minutes]) et s’achève souvent avec un […] du corps ou des membres, et un nouveau [… de …] commence.

A

Le premier épisode de SP est [court] ([de 4 à 8 minutes]) et s’achève souvent avec un [mouvement] du corps ou des membres, et un nouveau [cycle de sommeil] commence.

19
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Au cours de la nuit, les premiers cycles de sommeil comportent surtout du [… … …] ([stades ? et ?]), tandis que les derniers cycles de sommeil sont ceux qui comportent le plus de […].

A

Au cours de la nuit, les premiers cycles de sommeil comportent surtout du [sommeil lent profond] ([stades 3 et 4]), tandis que les derniers cycles de sommeil sont ceux qui comportent le plus de [SP].

20
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
La proportion de SL est d’environ [?%] et la proportion de SP est de l’ordre de [?%] du sommeil total.

A

La proportion de SL est d’environ [80%] et la proportion de SP est de l’ordre de [20%] du sommeil total.

21
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Si l’on interrompt un épisode de SP, les sujets rapportent dans plus de [?%] des cas une [… … (…)], alors que cette proportion n’est plus que de [? à ?%] lorsque le sujet est interrompu pendant le [SL]. Cependant, ces proportions dépendent largement des critères retenus pour définir un […].

A

Si l’on interrompt un épisode de SP, les sujets rapportent dans plus de [80%] des cas une [expérience onirique (rêve)], alors que cette proportion n’est plus que de [10 à 20%] lorsque le sujet est interrompu pendant le [SL]. Cependant, ces proportions dépendent largement des critères retenus pour définir un [rêve].

22
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.2.2 Le sommeil paradoxal (SP)
Si l’on ne considère comme critère que les récits oniriques [… et …], une telle activité s’observe en SL dans […%] des cas. Au contraire si le critère retenu est le moindre souvenir d’une sensation, d’une image ou d’une émotion c’est dans […%] des cas que l’on rencontre une telle activité en SL.

A

Si l’on ne considère comme critère que les récits oniriques [structurés et complets], une telle activité s’observe en SL dans [10%] des cas. Au contraire si le critère retenu est le moindre souvenir d’une sensation, d’une image ou d’une émotion c’est dans [70%] des cas que l’on rencontre une telle activité en SL.

23
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.3 Organisation temporelle du sommeil
Chez l’adulte, le sommeil est découpé en [? ou ? cycles] d’environ [? minutes] chacun.

A

Chez l’adulte, le sommeil est découpé en [4 ou 5 cycles] d’environ [? minutes] chacun.

24
Q

2 DIFFÉRENTS ÉTATS COMPORTEMENTAUX
2.3 Organisation temporelle du sommeil
Le sommeil paradoxal est toujours précédé de [… …] et aurait une utilité […]. En effet, le sommeil paradoxal étant un état de […] durant lequel l’être humain est comme […], il est normal qu’il n’intervienne qu’après un laps de temps [court?/long?] (environ [? heure]) permettant de [… la … de l’…] pendant le sommeil. On notera également qu’il est plus important chez les […] ([moins …]) que chez les […].

A

Le sommeil paradoxal est toujours précédé de [sommeil lent] et aurait une utilité [adaptative]. En effet, le sommeil paradoxal étant un état de [vulnérabilité] durant lequel l’être humain est comme [paralysé], il est normal qu’il n’intervienne qu’après un laps de temps [long] (environ [1 heure]) permettant de [vérifier la sécurité de l’environnement] pendant le sommeil. On notera également qu’il est plus important chez les [prédateurs] ([moins vulnérables]) que chez les [proies].

25
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.1 Le sommeil lent
Racontez l’expérience de l’étudiant américain qui décida en 1965 de déterminer combien de temps il pouvait tenir sans dormir.

A

Un étudiant américain décida en 1965 de déterminer combien de temps il pouvait tenir sans dormir (étude citée dans Kolb, B. et Whishaw I.Q. ; 2008). Des amis puis scientifiques se sont relayés pour le tenir éveillé. Il resta 264 heures (11 jours) sans sommeil. Les scientifiques remarquèrent qu’aucun paramètre physiologique n’était altéré. Il présentait des symptômes psychologiques qui accroissaient au fil des jours tels qu’une augmentation de l’envie de dormir, une irritabilité lors d’une demande de concentration ou d’autostimulation, des fluctuations de l’attention et de la vigilance. Il restait cependant performant lors de tests cognitifs. Ainsi, ils n’observèrent pas de signes majeurs de dysfonctionnement après 11 jours de veille. Après l’expérience, le sujet fit une nuit de 15 heures et récupéra progressivement son sommeil.

26
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL

Qu’ont montré les expériences de privation de sommeil chez le rat ?

A

Chez le rat, les expériences de privation de sommeil ont montré (malgré la présence de nourriture) un amaigrissement et une baisse de sa température corporelle. L’animal meurt au bout de trois semaines suite à une difficulté à recharger ses réserves énergétiques et à une défaillance du système immunitaire. Ces expériences mettent en évidence des résultats différents chez l’homme volontaire et chez l’animal.

27
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL

Ainsi, deux théories existent concernant les fonctions du sommeil. Lesquelles ?

A

1) La théorie éthologique

2) La théorie protectrice

28
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
◽️ La théorie éthologique propose que le sommeil lent soit un [… … de … et d’… d’…]. En effet, le SL serait un [… …] du […] pendant la période la plus […] pour la survie et permettrait ainsi de [… l’…] (Par exemple, pour les espèces adaptées à la vie […] la vie […] représente un […]).

A

◽️ La théorie éthologique propose que le sommeil lent soit un [comportement adaptatif de protection et d’économie d’énergie]. En effet, le SL serait un [blocage automatique] du [comportement] pendant la période la plus [défavorable] pour la survie et permettrait ainsi de [conserver l’énergie] (Par exemple, pour les espèces adaptées à la vie [diurne] la vie [nocturne] représente un [danger]).

29
Q

1 DÉFINITIONS
Le sommeil est une [… …] présente chez tous les […]. Par exemple, à l’âge adulte, l’être humain dort environ pendant [?/?] de sa vie.

A

Le sommeil est une [fonction vitale] présente chez tous les [mammifères]. Par exemple, à l’âge adulte, l’être humain dort environ pendant [1/3] de sa vie.

30
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
◽️ La théorie protectrice propose que le SL soit une phase de […] permettant de [… un … … de …]. En effet, les fonctions physiologiques importantes telles que le [… …] et la […] se déroulent majoritairement la nuit et l’activité du [… …] nécessite beaucoup d’énergie (par exemple, le premier symptôme d’une maladie est [l’… de …]).

A

◽️ La théorie protectrice propose que le SL soit une phase de [récupération] permettant de [restaurer un état physiologique de base]. En effet, les fonctions physiologiques importantes telles que le [renouvellement cellulaire] et la [croissance] se déroulent majoritairement la nuit et l’activité du [système immunitaire] nécessite beaucoup d’énergie (par exemple, le premier symptôme d’une maladie est [l’envie de dormir]).

31
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.2 Le sommeil paradoxal
Les expériences de privation du sommeil paradoxal (4 à 5 jours) ne révèlent aucun symptôme spécifique hormis une [diminution?/augmentation?] de la durée de ce stade les nuits suivant l’expérience, jusqu’à [… du … « … »].
On ignore encore quelle est la [… …] du SP.

A

Les expériences de privation du sommeil paradoxal (4 à 5 jours) ne révèlent aucun symptôme spécifique hormis une [augmentation] de la durée de ce stade les nuits suivant l’expérience, jusqu’à [récupération du SP « perdu »].
On ignore encore quelle est la [fonction précise] du SP.

32
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.2 Le sommeil paradoxal
Quelles sont les les principales hypothèses concernant la (les) fonction(s) du SP ?

A

1) Maturation du système nerveux
2) Traitement de l’information et consolidation de la mémoire
3) Hypothèse de la reprogrammation

33
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.2 Le sommeil paradoxal
En quoi consiste l’hypothèse de Maturation du système nerveux ?

A

◽️ En 1965, des chercheurs ont remarqué la large proportion de SP chez le nouveau-né et chez le fœtus (Monod et Pajot, 1965). Ils ont alors proposé que ce sommeil puisse être en lien avec une excitation cérébrale interne qui favoriserait, chez le nouveau-né qui dort beaucoup, une maturation cérébrale. Dans cette même veine, Roffwarg, Muzio et Dement (1966) ont émis l’hypothèse d’un SP ayant pour rôle de stimulation endogène et d’assistance à la structuration et à la construction des circuits cérébraux au cours de la vie. Selon eux, l’activité oculomotrice observée lors du SP serait le signe d’une préparation à l’activité visuelle (comme une répétition préalable). Selon ses auteurs cette hypothèse n’est pas contrainte au système visuel mais pourrait être généralisée à l’ensemble du cerveau (voir également Jouvet, 1992).

34
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.2 Le sommeil paradoxal
En quoi consiste l’hypothèse de Traitement de l’information et consolidation de la mémoire ?

A

Le sommeil paradoxal, étant un état actif, pourrait constituer une base pour des processus complexes comme le traitement et l’encodage des informations reçues dans la journée. Il s’agirait d’une réactivation du système nerveux permettant ainsi la consolidation des configurations neuronales mises préalablement en jeu au cours de l’éveil. En 1932, le neurologue J. H. Jackson proposait que le sommeil ait un rapport étroit avec la mémoire (Voir Jackson, 1958). Il proposa que le sommeil joue un rôle de filtre : sélectionnant les informations pertinentes et effaçant les informations superflues. Cette hypothèse a été souvent reprise et précisée. Dans l’ensemble, les chercheurs pensent que le sommeil aurait un rôle important pour le traitement de l’information : à la fois en encodant l’information et en préparant le cerveau au traitement de nouvelles informations. Le sommeil semble donc constituer un état propice à l’organisation d’informations en mémoire. Des recherches récentes ont apporté des indices sur un lien entre le sommeil paradoxal et la mémorisation :

  • D’une part, des chercheurs ont observés une corrélation entre la survenance du rythme thêta (observé pendant le SP) et l’activité de l’hippocampe (pour revue voir Vertes, 2011) qui est une structure très souvent associée à la mémorisation et à l’apprentissage.
  • D’autre part, les travaux sur la privation de sommeil montrent que ce sont effectivement les processus d’attention qui sont touchés lors d’un déficit de sommeil. La privation de sommeil paradoxal semble toucher plus spécifiquement les apprentissages de nouvelles informations ou tâches.
  • Par ailleurs, les études chez le rat ont montré qu’un rat privé de sommeil paradoxal devenait incapable de retenir longtemps ce qu’il avait appris (Lecomte, Hennevin et Bloch, 1973).
35
Q

3 LES FONCTIONS DU SOMMEIL
3.2 Le sommeil paradoxal
En quoi consiste l’hypothèse de la reprogrammation ?

A

En 1967, Edmond Dewan formula une nouvelle hypothèse sur la fonction du sommeil paradoxal. Ce dernier serait en lien avec la programmation et la reprogrammation du cerveau. Cette hypothèse est fondée sur une analogie entre le système cérébral et l’ordinateur. L’adaptation permanente du cerveau à des tâches nouvelles signifie l’activation de certains programmes et la remise en mémoire de certains autres, en fonction de la situation en cours. Ainsi le SP permettrait une forme de mise à jour de nos programmes cérébraux, « profitant » ainsi de notre période d’inactivité.

36
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
La veille serait majoritairement modulée par l’action de [?] neuromodulateurs de la [… … …] qui agissent sur le […] (qui […] les informations et […] aux zones corticales spécialisées).

A

La veille serait majoritairement modulée par l’action de [4] neuromodulateurs de la [formation réticulée ascendante] qui agissent sur le [thalamus] (qui [centralise] les informations et [redistribue] aux zones corticales spécialisées).

37
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
Quels sont les 4 neuromodulateurs dont l’action module la veille ?

A

1) La noradrénaline
2) La sérotonine
3) L’acétylcholine
4) L’histamine

38
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
◽️ La noradrénaline est un [neuro… …] particulièrement […] qui est actif uniquement en [… d’…]. Elle est issue du [… …] (tronc cérébral) et cible principalement le […] et le […]. Sa sécrétion est modulée par [l’… …]. Par exemple, elle est décuplée en cas de […].

A

◽️ La noradrénaline est un [neuromodulateur excitateur] particulièrement [puissant] qui est actif uniquement en [phase d’éveil]. Elle est issue du [locus coeruleus] (tronc cérébral) et cible principalement le [thalamus] et le [cortex]. Sa sécrétion est modulée par [l’environnement extérieur]. Par exemple, elle est décuplée en cas de [stress].

39
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
◽️ La sérotonine est un [neuro…] impliqué dans [l’…]. Elle est issue du [… du …] ([… du tronc cérébral]) et cible principalement le […] et le […]. Sa sécrétion est […] et n’est pas sujette à [l’…]. Elle induit une veille [moins?/plus? active], moins de [… de la …] et une [… …], en cela elle est utilisée dans un grand nombre de traitement contre la […].

A

◽️ La sérotonine est un [neurotransmetteur] impliqué dans [l’humeur]. Elle est issue du [noyau du raphé] ([pont du tronc cérébral]) et cible principalement le [thalamus] et le [cortex]. Sa sécrétion est [constante] et n’est pas sujette à [l’environnement]. Elle induit une veille [plus active], moins de [troubles de la vigilance] et une [meilleure humeur], en cela elle est utilisée dans un grand nombre de traitement contre la [dépression].

40
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
◽️ L’acétylcholine est un [neuro…] impliqué dans un grand nombre de fonctions [… et …]. Elle est issue du [… du … du tronc cérébral] et des [… de la base du …] et cible également le […] et le […]. Elle a pour particularité d’être sécrétée uniquement en fonction des [… de l’…] : [… de bruits, … d’états…]

A

◽️ L’acétylcholine est un [neuromédiateur] impliqué dans un grand nombre de fonctions [physiologiques et cognitives]. Elle est issue du [noyau du pont du tronc cérébral] et des [noyaux de la base du télencéphale] et cible également le [cortex] et le [thalamus]. Elle a pour particularité d’être sécrétée uniquement en fonction des [stimuli de l’environnement] : [variation de bruits, changements d’états…]

41
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
◽️ L’histamine est un [neuro… …] qui est actif uniquement pendant [l’…]. Elle est issue de [l’… …] et cible le […], le […] et les autres noyaux du [… d’…]. Ces noyaux ayant ainsi des [… …] dont résulte une [… …].

A

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.1 La veille
◽️ L’histamine est un [neuromédiateur excitateur] qui est actif uniquement pendant [l’éveil]. Elle est issue de [l’hypothalamus supérieur] et cible le [cortex], le [thalamus] et les autres noyaux du [système d’éveil]. Ces noyaux ayant ainsi des [interactions réciproques] dont résulte une [excitabilité amplifiée].

42
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.2 Le sommeil lent
◽️ Le centre de l’endormissement est situé dans le noyau [… … … …] ([….], dans [l’hypothalamus …]). Il s’agit d’un système qui permet l’endormissement en […] le système de veille. Il émet un [neuromédiateur …] (le […]) qui inhibe la [… …] dans les noyaux du système d’éveil en moins de [? minutes].

A

◽️ Le centre de l’endormissement est situé dans le noyau [Ventro Latéral Pré Optique] ([VLPO], dans [l’hypothalamus antérieur]). Il s’agit d’un système qui permet l’endormissement en [régulant] le système de veille. Il émet un [neuromédiateur inhibiteur] (le [Gaba]) qui inhibe la [transmission synaptique] dans les noyaux du système d’éveil en moins de [10 minutes].

43
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.2 Le sommeil lent
◽️ Le générateur de sommeil profond est situé dans la [… … …]. Il prend le […] du système d’endormissement, après les stades [? et ?]. Il bloque toutes les informations sensorielles qui transitent par le […] et impose un rythme [… et …] au cortex (ondes […]).

A

◽️ Le générateur de sommeil profond est situé dans la [formation réticulaire thalamique]. Il prend le [relai] du système d’endormissement, après les stades [1 et 2]. Il bloque toutes les informations sensorielles qui transitent par le [thalamus] et impose un rythme [lent et synchronisé] au cortex (ondes [DELTA]).

44
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.3 Le sommeil paradoxal
De nombreux noyaux situés dans le pont du tronc cérébral sont impliqués dans le SP via la sécrétion d’[…]. Certains excitent le […] via le […] tandis que d’autres bloquent les [… …]. Ainsi, on peut dire que le SP implique [… … …].

A

De nombreux noyaux situés dans le pont du tronc cérébral sont impliqués dans le SP via la sécrétion d’[acétylcholine]. Certains excitent le [cortex] via le [thalamus] tandis que d’autres bloquent les [sorties motrices]. Ainsi, on peut dire que le SP implique [deux systèmes complémentaires].

45
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.3 Le sommeil paradoxal
Le premier système des deux systèmes complémentaires impliqués dans le SP est situé au niveau de [l’aire …-…]. C’est une sorte de [… …] (ou […]) qui stimule les [… …] et excite une grande proportion des neurones, que ce soit dans les aires [… ou …].

A

Le premier système des deux systèmes complémentaires impliqués dans le SP est situé au niveau de [l’aire péri-brachiale]. C’est une sorte de [générateur interne] (ou [endogène]) qui stimule les [mouvements oculaires] et excite une grande proportion des neurones, que ce soit dans les aires [sensorielles ou motrices].

46
Q

4 LES MECANISMES CEREBRAUX
4.3 Le sommeil paradoxal
Le deuxième système des deux systèmes complémentaires impliqués dans le SP est situé au niveau de la [… … …-…]. Il est quant à lui responsable de [l’…]. Il bloque l’excitation des voies motrices au niveau de la […].

A

Le deuxième système des deux systèmes complémentaires impliqués dans le SP est situé au niveau de la [formation réticulée médio-pontique]. Il est quant à lui responsable de [l’atonie]. Il bloque l’excitation des voies motrices au niveau de la [moelle].

47
Q

4 LES MÉCANISMES CÉRÉBRAUX
4.4 L’alternance veille-sommeil
L’alternance entre sommeil et veille se fait via des [… d’… …]. La baisse du niveau d’activité d’un système entraine [l’…] de l’autre. Ces modulations réciproques sont favorisées par la […] des structures anatomiques responsables de [l’…] ([….]) ou de la […] ([… …]) de la veille ainsi que de [l’… … …] ([…]). Par ailleurs ces interactions sont modulées par des facteurs […] et […] : [L’…] est un inhibiteur de l’acétylcholine présent dans le [liquide …-…] et constitue un facteur [… …]. Elle s’accumule au cours de la journée et son taux dépend de la […] et de [l’…] de la veille. Ainsi, si l’on injecte du [liquide …-…] d’un chien privé de sommeil pendant une nuit à un chien ayant dormi, celui-ci [s’… …].
Les [… …] ou […], et surtout leurs variations, modulent également le passage de la veille au sommeil ou du sommeil à l’éveil.

A

L’alternance entre sommeil et veille se fait via des [mécanismes d’inhibitions réciproques]. La baisse du niveau d’activité d’un système entraine [l’activation] de l’autre. Ces modulations réciproques sont favorisées par la [proximité] des structures anatomiques responsables de [l’inhibition] ([VLPO]) ou de la [stimulation] ([Hypothalamus postérieur]) de la veille ainsi que de [l’hormone biologique interne] ([NSC]). Par ailleurs ces interactions sont modulées par des facteurs [endogènes] et [exogènes] : [L’adénosine] est un inhibiteur de l’acétylcholine présent dans le [liquide céphalo-rachidien] et constitue un facteur [hypnogène endogène]. Elle s’accumule au cours de la journée et son taux dépend de la [durée] et de [l’intensité] de la veille. Ainsi, si l’on injecte du [liquide céphalo-rachidien] d’un chien privé de sommeil pendant une nuit à un chien ayant dormi, celui-ci [s’endort instantanément].
Les [stimuli externes] (une main sur l’épaule, un bruit fort,…) ou [internes] (douleur, faim,…), et surtout leurs variations, modulent également le passage de la veille au sommeil ou du sommeil à l’éveil.

48
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.1 Les parasomnies
Un certain nombre de perturbations peuvent se produire durant le sommeil, on parle de parasomnies qu’il faut distinguer des véritables pathologies du sommeil. Donnez quelques exemples.

A

◽️ Les hallucinations hypnagogiques
◽️ Le somnambulisme
◽️ L’énurésie

49
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.1 Les parasomnies
◽️ Les hallucinations hypnagogiques se produisent durant la phase [… …] le moment du sommeil. Sorte de [… …] où le malade peut voir se dérouler devant ses yeux des scènes qui ont le même caractère de […] ou [d’…] que celui d’un rêve empreint de […]. La préservation du contact avec la réalité fait en sorte que le sujet agit comme [… de son …].

A

◽️ Les hallucinations hypnagogiques se produisent durant la phase [précédant immédiatement] le moment du sommeil. Sorte de [rêve éveillé] où le malade peut voir se dérouler devant ses yeux des scènes qui ont le même caractère de [matérialité] ou [d’intensité] que celui d’un rêve empreint de [réalisme]. La préservation du contact avec la réalité fait en sorte que le sujet agit comme [spectateur de son hallucination].

50
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.1 Les parasomnies
◽️ Le somnambulisme s’observe plus souvent chez les […]. Il consiste à sortir du lit, pendant le sommeil et à se déplacer tout en ayant [l’… …]. Ces épisodes ne durent habituellement que [quelques …] et la plupart des enfants [se souviennent/ne se souviennent pas] de cette expérience une fois réveillés. Les enregistrements révèlent que ces épisodes ne surviennent que durant le [sommeil à ondes lentes?/sommeil paradoxal?]. Chez la plupart des enfants le somnambulisme [augmente?/disparaît?] avec l’âge.

A

◽️ Le somnambulisme s’observe plus souvent chez les [enfants]. Il consiste à sortir du lit, pendant le sommeil et à se déplacer tout en ayant [l’air éveillé]. Ces épisodes ne durent habituellement que [quelques secondes] et la plupart des enfants [ne se souviennent pas] de cette expérience une fois réveillés. Les enregistrements révèlent que ces épisodes ne surviennent que durant le [sommeil à ondes lentes]. Chez la plupart des enfants le somnambulisme [disparaît] avec l’âge.

51
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.1 Les parasomnies
◽️ L’énurésie : L’énurésie nocturne est une affection caractérisée par la survenue pendant le sommeil de [… … et …] chez l’enfant de plus de [? ans] ou [l’…]. Fréquents au cours du [… tiers] de la nuit de sommeil ces épisodes se déclenchent au cours des stades de sommeil [? et ?].

A

◽️ L’énurésie : L’énurésie nocturne est une affection caractérisée par la survenue pendant le sommeil de [mictions involontaires et inconscientes] chez l’enfant de plus de [5 ans] ou [l’adulte]. Fréquents au cours du [premier tiers] de la nuit de sommeil ces épisodes se déclenchent au cours des stades de sommeil [3 et 4].

52
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.1 Les parasomnies
◽️ Le bruxisme : [… des …].

A

◽️ Le bruxisme : [Grincement des dents].

53
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.2 Les maladies du sommeil
◽️ Les insomnies : L’insomnie semble être l’aboutissement ordinaire d’un certain nombre d’états d’ordres […], […] et […]. Parmi les facteurs de l’insomnie, il y a [l’… de …], les [… de … …] et des conditions de l’environnement comme [l’… de la …]. Habituellement ces conditions sont responsables d’une insomnie de [… …]. L’insomnie de […] qui consiste en une difficulté à [… …], semble être davantage en lien avec une [… de …] ou avec des facteurs [… et …]. Ce type de sommeil est parsemé de nombreuses périodes [d’…] au cours de la nuit.
D’autres pathologies associées spécifiquement au sommeil peuvent aussi en être responsables. C’est le cas par exemple du [… des … … …] lors duquel les patients ressentent des sensations de […] ou de […] dans les jambes et des [… …] des jambes qui se produisent au cours du sommeil avec une période de [? à ? secondes].

A

◽️ Les insomnies : L’insomnie semble être l’aboutissement ordinaire d’un certain nombre d’états d’ordres [neurologiques], [psychiatriques] et [médicaux]. Parmi les facteurs de l’insomnie, il y a [l’horaire de travail], les [changements de fuseaux horaires] et des conditions de l’environnement comme [l’aspect de la nouveauté]. Habituellement ces conditions sont responsables d’une insomnie de [déclenchement transitoire]. L’insomnie de [maintien] qui consiste en une difficulté à [rester endormi], semble être davantage en lien avec une [prise de drogues] ou avec des facteurs [neurologiques et psychiatriques]. Ce type de sommeil est parsemé de nombreuses périodes [d’éveil] au cours de la nuit.
D’autres pathologies associées spécifiquement au sommeil peuvent aussi en être responsables. C’est le cas par exemple du [syndrome des jambes sans repos] lors duquel les patients ressentent des sensations de [picotement] ou de [brûlure] dans les jambes et des [mouvements involontaires] des jambes qui se produisent au cours du sommeil avec une période de [5 à 90 secondes].

54
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.2 Les maladies du sommeil
◽️ L’apnée du sommeil : Il s’agit d’une pathologie du sommeil caractérisée par des [… …] durant la nuit. Elle est causée par un [… des … …] qui bloque le passage de l’air et provoque un [… …]. Le niveau d’oxygène diminuant, le dormeur a le réflexe de prendre une [… … d’…], ce qui peut le réveiller des […] de fois par nuit. Si elle n’est pas traitée, l’apnée du sommeil peut causer des problèmes […] et raccourcir de manière significative [l’… de …].

A

◽️ L’apnée du sommeil : Il s’agit d’une pathologie du sommeil caractérisée par des [arrêts respiratoires] durant la nuit. Elle est causée par un [affaissement des voies respiratoires] qui bloque le passage de l’air et provoque un [fort ronflement]. Le niveau d’oxygène diminuant, le dormeur a le réflexe de prendre une [bruyante bouffée d’air], ce qui peut le réveiller des [centaines] de fois par nuit. Si elle n’est pas traitée, l’apnée du sommeil peut causer des problèmes [cardiovasculaires] et raccourcir de manière significative [l’espérance de vie].

55
Q

5 PATHOLOGIES DU SOMMEIL
5.2 Les maladies du sommeil
◽️ La narcolepsie : Les victimes de la narcolepsie forment l’un des plus importants groupes de patients. Ce trouble est marqué par d’accès [… et …] de sommeil, ces accès durent de [? à ? minutes] et peuvent survenir à tout moment pendant les [… … d’…]. On observe, chez ce type de patients, un passage soudain d’un état de […] à un état de [… …] (sans passage par les phases classiques de sommeil [… et …]). Les narcoleptiques manifestent souvent des problèmes associés, comme une chute soudaine de [… …] qui peut être provoquée par des [… … ou …].
Un dysfonctionnement du [… …] serait à l’origine de ce trouble.

A

◽️ La narcolepsie : Les victimes de la narcolepsie forment l’un des plus importants groupes de patients. Ce trouble est marqué par d’accès [fréquents et intenses] de sommeil, ces accès durent de [5 à 30 minutes] et peuvent survenir à tout moment pendant les [heures inhabituelles d’éveil]. On observe, chez ce type de patients, un passage soudain d’un état de [veille] à un état de [sommeil paradoxal] (sans passage par les phases classiques de sommeil [lent et profond]). Les narcoleptiques manifestent souvent des problèmes associés, comme une chute soudaine de [tonus musculaire] qui peut être provoquée par des [stimuli brusques ou intenses].
Un dysfonctionnement du [tronc cérébral] serait à l’origine de ce trouble.