Chapitre 4 à 9 Flashcards

1
Q

Lorsque l’on regarde «ce qui à été fait» et qu’il y à une inégalité (≠) avec «ce qui fallait faire», comment faire pour déterminer ce qui en est la cause?

A

Une méthode de fonctionnement appelé (principale limitatif), qui consiste à utiliser des tâche expérimentales mettant en jeu un seul des sous systèmes: (soit l’acquisition, le traitement ou la transmission de l’information) comme ça on peux isoler les composantes requises pour une tâches et déterminer si elle est limitante (si c’est cette composante qui pose problème et qu’il faudrait l’améliorer)….

(Cadre de cours on prend pas en compte les variables morphologiques, physiologiques, etc… seulement les variable touchant au traitement de l’information

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2
Q

Quels sont les 3 catégories qui ont un impact sur le traitement de l’information

A

L’acquisition de l’information

Le traitement de l’information

La transmission de l’information

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3
Q

Nomme les étapes/les cases du modèle du traitement de l’information

A

Imput = stimulus ou information nouvelle

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4
Q

Qu’est ce que le traitement de l’information

A

Suite d’évènement produit par le SNC pour traiter une information (série des transformations réalisées d’une étape à l’autre)

Ex: (Par exemple et par analogie), on remarque qu’une information véhiculée de bouche à oreille tend à se déformer lorsqu’elle passe d’un interlocuteur à un autre. Si chaque interlocuteur est considéré comme une étape de notre modèle de base, on dit que chacun des interlocuteurs « traite » l’information qui lui a été transmise.

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5
Q

Qu’est ce que la transmission de l’information

A

Transmission d’une information (stimulus, réponse ou technique) provenant d’un environnement (ex de qq1 provenant d’un contexte) à un autre environnement

~le nombre de fois que cette transmission est faite
+
~la correspondance (similitude des environnements ou de la réponse/à faire dans se contexte/commise)
=
Fort lien entre cette information/réponse et l’environnement.

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6
Q

Qu’est ce qu’un rétroaction

C’est quoi boucle ouverte/boucle fermée

A

Rétroaction: «feedback», informe l’individu sur son résultat et sa performance disponible avant, pendant et/ou après l’exécution d’un geste. Le feedback peux être intéroceptif (sentiment intérieur) ou extéroceptif (provenant de la vision, d’un entraîneur, etc)

Boucle fermée: individu peux corriger sa posture/son mouvement grâce au feedback, PENDANT l’exécution de celui-ci
Boucle ouverte: le feedback sera utilisé pour corriger lors de la prochaine répétition seulement.

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7
Q

Qu’est ce que la connaissance de la performance

A

C’est la connaissance sur la manière de faire/exécuter le geste
(Genre de Connaissance technique)

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8
Q

Qu’est ce que la connaissance du résultat

A

Connaissance sur l’information concernant les critères de réussite (se que ça prend pour être performant) lors d’un mouvement

(C’est pas comment faire le mouvement, mais c’est plus ce qu’il faut pour que notre mouvement soit performant, ex un service au tennis peux être bon, mais la connaissance sur le résultat est que il faut frapper la balle pour qu’elle aille le plus près possible de la ligne pour que se soit dure pour l’adversaire de la frapper/réagir….

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9
Q

Qu’est ce qui représente l’attention

Et dit c’est quoi l’attention globalement

A

Fait référence à l’état d’éveil, l’état de vigilance ou l’état d’activation

L’état d’éveil est l’habileté à atteindre et à maintenir un degré optimal d’alerte de telle sorte que le système de traitement de l’information permette l’atteinte de la meilleure performance possible. L’état d’éveil peut donc être considéré comme un état dans lequel le SNC est prêt à recevoir et à traiter un stimulus à vitesse optimale. Toute déviation de cet état optimal du SNC entraîne une performance moindre de l’individu.

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10
Q

Nomme des facteurs susceptibles de modifier l’état d’éveil (l’attention) d’un individu (4)

A

La motivation
La charge de travail
La fatigue
Le stress

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11
Q

Quel est le niveau d’activation (d’attention) optimal pour que la performance de l’individu soit optimale également?

-nomme aussi des exemples de pourquoi c’est mauvais les autres que la bonne réponse…?

-la valeur de l’état d’éveil pour un niveau optimal de performance fluctue en fonction de quoi (2)

A

La performance optimale ne serait donc obtenue que pour un état d’activation « moyen ». (Ne s’applique pas exactement en U inversé pour tous les individus, mais c’est un bon prédicateur de performance…!)

-(FLUCTUE SELON L’INDIVIDU ET LA CARACTÉRISTIQUE DE LA TÂCHE): la valeur de l’état d’éveil fluctue d’un individu à l’autre (une certaines activité peut amener un niveau d’éveil supérieur chez un individus comparé à un autre), AUSSI, la valeur de l’état d’éveil pour une performance optimal fluctue en fonction de la caractéristique de l’activité (plus les tâches sont fines et complexes, plus la valeur absolue de l’état d’éveil demandé serait basse, et plus la tâches motrices est globale et simple, il faudrait une valeur absolue d’éveil plus élevé pour atteindre une performance optimale.

Par exemple, concernant la motivation, considérons un individu « A » participant à une compétition de lancer du javelot. Si cet individu remarque qu’il n’y a aucun adversaire de son calibre lors d’une compétition provinciale, on peut supposer qu’il ne sera pas très motivé ou, en d’autres mots, qu’il sera sous-
activé. Suivant cette théorie, cet état de sous-activation entraînera une performance moindre que celle à laquelle on est en droit de s’attendre de cet individu.
Maintenant, si « A » participe pour une première fois à une sélection nationale, il se peut que cette situation entraîne une trop grande activation chez celui-ci. Si tel était effectivement le cas, suivant cette théorie il pourrait en découler une performance déficiente.

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12
Q

Qu’est ce qui accompagne normalement/souvent l’état d’éveil ex: une augmentation de l’état d’éveil est souvent accompagné de: ?
Explique la réponse c’est quoi aussi…

A

Souvent accompagné d’un rétrécissement du champ attentionnel

Par exemple, au hockey sur glace, on peut penser que le gardien de but est centré sur les déplacements de la rondelle et qu’il en vient à ignorer les éléments autres que ces déplacements. Il y a donc une très grande focalisation lors de l’activation optimale. Si le gardien n’est pas suffisamment activé, on peut proposer que le rétrécissement du champ attentionnel n’est pas assez grand et que le gardien porte attention à des événements non-pertinents (l’arbitre, par exemple), il en résulte une diminution de la performance. Toutefois, si le rétrécissement attentionnel devient trop élevé, il se
peut que le gardien se centre trop sur la rondelle et ne remarque pas un adversaire placé près de lui, prêt à faire dévier la rondelle. Il risque alors de se faire déjouer. Schmidt (1991) précise que ce rétrécissement du champ attentionnel n’est souhaitable que si c’est l’événement attendu qui se produit. Dans tous les autres cas, il serait préférable que l’individu soit moins activé et ainsi considérer l’ensemble de la situation plutôt que seulement certains de ses éléments.

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13
Q

Limite de la détection: Si nous considérons que l’individu a un état d’activation optimal, celui-ci est prêt à traiter et percevoir les stimuli présentés dans son environnement.
Quelles sont les limites du système perceptuel

  1. quel est le niveau le plus bas qu’un stimulus peut être perçu
  2. Quel est le niveau le plus bas qu’un stimulus identifié
A
  1. Le seuil de détection: plus petite intensité qu’un stimulus peut être détecté
  2. Le seuil de reconnaissance: plus petite intensité quel le stimulus px être identifié.
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14
Q

Que signifie la courbe du bruit:

A

La courbe du bruit représente le niveau d’activation (d’attention) interne d’un individu lors de la présentation d’un stimulus X (ex: elle est variable puisque lorsqu’on regarde rapidement une montre on entend pas le tic tac mais après 30 sec environ on l’entend
La courbe du bruit est représenté dans la photo mais sans les X…!

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15
Q

Que signifie la courbe de bruit + signal

A

C’est la courbe du bruit, mais que le stimulus X vient augmenter notre niveau d’activation (d’attention) peux importe le niveau d’activation qu’on était

~ Ceci indique qu’en certaines occasions, le sujet confondra le bruit avec le
signal; la possibilité d’une erreur est d’autant plus grande que le stimulus présenté est faible (voir la figure 6.4). Tel est le cas parce que plus le stimulus est faible, moins les courbes « bruit » et « bruit+signal » sont éloignées l’une de l’autre. Dans de telles situations, l’individu peut donc commettre au moins deux types d’erreurs. Premièrement, le sujet omet de considérer des stimuli et de produire la réponse appropriée. Deuxièmement, le sujet produit une réponse alors qu’aucun signal ne lui a été présenté.

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16
Q

En rapport avec la courbe de bruit et courbe de bruit + signal, la tâche consiste souvent à déterminer si le degrê d’activation est dû à du bruit seulement ou du bruit + signal (exemple une balle lancé hors de la zone légal = bruit et une balle bien lancé qui faut qu’on frappe = bruit + signal.

-Qu’est ce qui permet de déterminer la décision et comment on l’améliore

A

C’est le critère de décision qui se développe avec de la pratique. C’est l’individu qui décidera si la situation de constitue que du bruit ou bruit + signal… (parfois il y a des erreur… il y a 4 phases différentes…

17
Q

Quels sont les 4 aires/phases de décision relié au critère de décision lors d’un stimulus et explique l’air est en quelle position p/r au critère de décision.

A

L’aire 1: Hits, situé à la droite du critère de décision et dans la courbe de bruit + signal. Comme c’est à droit du Critère de décision, l’individu décide qu’il y a un signal perçu. Comme l’air se trouve dans la courbe de signal + bruit, l’individu avait raison de s’élancer pour frapper, car il y avait vraiment un signal

Aire 2: fausse alarme, situé à droite du critère de décision, mais dans la courbe de bruit seulement, donc l’individu à décision qu’il y avait un signal et il s’est élancé, mais c’était une erreur et il n’y avait que du bruit. Un baisse de performance est perçu.

Aire 3: Rejets corrects, situé à gauche du critère de décision , et se situe dans la courbe du bruit seulement, l’individu décide qu’il n’y a pas de signal perçu en plus du bruit, et cela était une bonne décision, car il y avait que du bruit en effet… L’arbitre aurait call une balle (mauvais lancé)

Aire 4: Faux rejets, situé à gauche du critère de décision, mais dans la courbe du bruit + signal. L’individu a donc décidé de ne pas s’élancer, car pour lui il n’y avait que du bruit et aucun signal perçu, mais cela était une décision erronée, car il y avait effectivement un signal, l’arbitre aurait donc appelé une prise. La balle était bonne à être frappé.

18
Q

Le critère de décision (amélioré par la pratique)…

Qu’est ce qui influence le positionnement du critère de décision? Explique les deux

A

a) La probabilité qu’un stimulus soit présenté
-lorsque l’individu sait qu’il y a plus de chance qu’un signal soit présent au lieu qu’il y ait que du bruit (ex 90% de chance que le lancer soit bon et qu’il doive frapper), alors l’individu déplacera son critère de décision vers la gauche du diagramme, (ça en prenne moins pour qu’il perçoivent un signal/une bonne balle) pour qu’il fasse un «hits» à plus d’occasion (que sa lui prenne un plus petit bruit pour qu’il frappe) (donc frappe bcp plus souvent)… et il y a seulement 10% des chances que le lancer soit mauvais (qu’il n’y a pas de signal, mais que l’individu va frapper quand même puisqu’il a déjà pris la décision de frapper à presque tout (à déplacer son critère de décision vers la gauche…), cela s’applique dans le cas inverse ou il y a moins de chance que la balle soit bonne que mauvaise et donc le critère de décision peux être placer vers la droite ce qui va augmenter ta décision de ne pas frapper (ne pas percevoir de signal)…
•Donc le bénéfice est supérieur de frapper souvent quitte à frapper même quand il le fallait pas, car 90% des chances ici, il fallait qu’il frappe…. Donc *l’analyse des coûts/bénéfices peut influencer le positionnement du critère de décision

b) Les conséquences associées à chacun des quatre types de réponse possible (hits, rejet correcte, faux rejet, fausse alarme)
-Lorsqu’il est très très payant de faire une hits comparé aux autres (exemple reçoit 10 chaque fois qu’un hits est effectué, tandis que reçoit 1$ si tu fais les autres réponses possibles et que c’est une bonne décision, alors il sera plus tentant d’essayer de faire un hits, même si t’es pas sûr qu’il y aura un signal accompagnant le bruit ou pas) Alors le critère de décision sera vers la gauche pour favorisé la réponse payante et donc l’individu va prendre la décision qu’il va percevoir plus souvent un signal + bruit au lieu de juste bruit. Cela s’applique pour les autres réponses également: exemple si t’es pénalisé de 10$ pour chaque fausse alarme (swing lorsque c’était pas le bon choix), alors l’individu déplacera son critère de décision vers la droite, pour que cela en prenne beaucoup plus pour percevoir un signal et donc moins swing souvent

19
Q

Autre que le positionnement du critère de décision, qu’est ce qui affectera l’individu d’amorcer ou ne pas amorcer une réponse? Et explique c’est quoi

A

Le rapport de confiance: déterminer si une valeur d’activation (d’attention) soit plus probable à se retrouver dans la courbe du bruit ou dans la courbe du bruit + signal.

La formule c’est : RC =P(x/S) / P(x/B)

•RC = critère de décision
•P(x/B) = Probabilité qu’une observation d’intensité « x » fasse partie de la distribution du bruit;
•P(x/S) = Probabilité que la même observation fasse partie de la distribution du « bruit+signal »;

C’est en comparant l’équation rapport de confiance et l’équation de critère de décision que l’individu détermine s’il amorce une réponse ou non: lorsque rapport de confiance est plus grand ou égal au critère de décision = amorce d’une réponse. Au contraire, si rapport de confiance est inférieure au critère de décision = préfère ne pas produire de réponse .

20
Q

Quelle est la formule du positionnement optimal du critère de décision

A

P(x/B) [V(rejet correct)+V(fausse alarme)] CD = _____ X ________________________________

       P(x/S)                               [V(hit)+ V (faux rejet)]

CD = Critère de décision; P(x/B) = Probabilité qu’une observation d’intensité « x » fasse
partie de la distribution du bruit;
P(x/S) = Probabilité que la même observation fasse partie de la distribution
du « bruit+signal »;
V (hit) = Valeur attribuée à un « hit », etc.

21
Q

Qu’est ce que le critère de décision, et le rapport de confiance nous apporte (comment cela différencie les un des autres)

A

Les connaissances présentées dans cette dernière partie laissent donc voir que l’expert peut être avantagé par rapport à un autre individu parce qu’il est plus habile à déterminer subjectivement la probabilité qu’un stimulus soit présenté dans une situation donnée. Par exemple, un excellent joueur de défense au hockey a peut-
être plus de facilité à déterminer la probabilité que l’attaquant lance (signal) ou conserve la rondelle (bruit) dans une situation donnée. Il lui est donc plus facile de placer son critère de décision à un endroit optimal et, de ce fait, d’obtenir une bonne performance. Une autre différence peut être une meilleure capacité à évaluer les conséquences associées à chacun des divers types de réponse possibles. Encore une fois, cela permet à l’individu de placer son critère de décision à un endroit optimal. C’est-à-dire à l’endroit où le ratio « coût/bénéfice » est le plus avantageux pour lui.

22
Q

La détection des signaux en contexte sportif:

Un expert, en situation de sport, exemple frapper au baseball, est nettement avantagé que sa réponse est instantanée et complété beaucoup plus rapidement (temps de réaction et temps de mouvement supérieur).

-avec la pratique, l’expert parvins à déceler des indices qui le permettront de préparer une réponse et/ou d’appréhender un meilleur positionnement pour la réponse … donc l’expert décèle plus rapidement ce qui est un signal ou ce qui est que du bruit et il arrive à trouver plus d’information pertinente dans un même laps de temps.

-aussi, un deuxième aspect, l’expert se démarque par sa «lecture» de la situation (son estimation de la probabilité qu’il doive défendre une telle situation plutôt qu’un autre), ex expert et novice on des lunettes PLATO (px enlever la vue qd les testeurs décident, et expert à plus de réussite, car se positionne avant même que l’attaque soit poser. Donc, l’expert prédit plus peuvent être ont plus de succès dans leur prédiction de bon positionnement.

-Qui souffre le plus et pourquoi dans le fait de retirer des informations pertinentes sur l’adversaire (ex, cacher sa: raquette, sa main + raquette, sa tête ou son bas du corps).

A

L’expert, car il est plus capable de trouver, dans les gestes de son adversaire, des indices qui lui permettaient de découvrir le coup que ce dernier allait lui faire avant même que celui-ci ne soit exécuté. Ce qui pour le novice n’était que du « bruit » se révélait être un « signal » pour l’expert.

23
Q

Qu’est-ce que le jugement comparatif

A

C’est la différence entre 2 stimulus (s’ils sont identique ou different) entre la perception de deux objet ou deux sensations (exemple déceler là différence entre 2 poids

Mais ne permet pas de détecter la différence entre 2 stimulus à travers 2 sens (exemple comparé le poids en grammes comparé à l’audition en décibels…..

Aussi, la discriminabilité d’un sens était pas équivalente peu importe la grandeur du standard de référence

Weber a solutionner les deux problèmes…..

24
Q

-quelle est la loi de Weber et Donne un exemple

-quelle est la limite à cette loi

A

K = ΔI/I

•K = La précision relative du sens
•ΔI = La différence entre 2 stimulus (la plus petite différence perçues)
•I = Standard de références (initial)(caractéristique)

-Exemple: L’exemple suivant peut nous aider à mieux comprendre la loi de Weber. Supposons que quelqu’un vous donne un poids critère de 15 Kg. Ensuite, cette même personne vous remet des poids de différentes masses (de 1 Kg à 25 Kg) que vous devez comparer un à un au poids critère. Supposons maintenant que vous êtes capable de déceler que les deux poids ne sont pas identiques dès que ceux-ci sont de 12 Kg ou moins, ou de18 Kg et plus. Quelle sera la valeur de la constante de Weber? On s’aperçoit que la plus petite différence perçue est de 3 Kg (15 Kg - 12 Kg ou 18 Kg - 15 Kg). La constante est donc de (3 Kg/15 Kg), soit 0.2.
*3 Kg = ΔI / 15Kg = I –> 0,2 = constante de weber.

-Il y a une limite de perception (seuil de perception), au delà du seuil, le calcul de Weber ne se vérifie plus, exemple si trop léger, les mécano-récepteurs n’arrive même pas à être activé, si trop lourd, les mécano-récepteurs sont saturé (essayer de lever poids de 800 lbs c’est trop lourd, ça change rien si on ajoute 20 lbs, ce sera pas perceptible parce que trop lourd anyway….)

25
Q

Quelle est le jugement absolus

-quelle est la limite et quelle est la spécialité de cette limite.

A

Le jugement absolu est un processus de reconnaissance:
Le jugement absolu compare un stimulus se produisant dans l’environnement à un standard de référence remisé en mémoire qui était dans un environnement similaire ou différent mais attribuable…(Exemple un joueur de hockey joue au hockey cosom ou fait du golf…) (s’applique pas seulement à des mouvements complets, peut aussi être lever un poids de 2 lbs et ensuite devoir retrouver le poids entre un poids de 2 lbs et un de 1 lbs…)

-la limite du jugement absolu est qu’il y a un plafonnement Miller (1956) a démontré qu’il y a un nombre maximal d’éléments pouvant être reconnus et identifiés correctement et c’est 7 (+ ou - 2 éléments similaires par sens)
*La spécificité de cette limite est qu’on px la tricher en créant des catégories (théorie de Bruner) où plus il y à de vécu/expériences, plus on pourra faire d’association, et plus on pourra assimiler et différencier des choses. (Exemple: comment un expert en vin peux reconnaître des trentaine de vin différent: on px assimiler environ 7 (+ ou - 2 éléments), mais en catégorie c’est 7 éléments similaire par sens, mais avec des catégories ça devient 7^n…)

~ De plus, l’expert est peut-être capable de considérer plus de dimensions sur un même stimulus. Finalement, l’expert est peut-être capable de déterminer avec plus de facilité les dimensions importantes d’un stimulus dans une situation donnée.
Ces quelques constatations peuvent peut-être nous aider à devenir de meilleurs intervenants. Premièrement, comme un individu peut reconnaître plus d’éléments lorsqu’il considère plusieurs dimensions de cet élément, le bon intervenant devrait attirer l’attention de ses étudiants sur plusieurs facettes de la tâche à apprendre. Deuxièmement, l’intervenant devrait essayer de déterminer quelles sont les dimensions les plus importantes à considérer pour faciliter l’apprentissage de l’étudiant.

26
Q

Est ce possible de porter attention à deux choses simultanément?

Où se situe la limite

A

Oui et non

Oui, on peut traiter deux stimulus en même temps (exemple nommer un couleur, pendant que cette couleur est représenté par une autre couleur, c’est tout à fait possible) la limite se situe pas au niveau d’identifier les stimulus

Oui, on peut marcher, parler et jongler avec une balle simultanément, Donc l’être humain est parfaitement capable de faire deux activités simultanément

La limite se situe donc, à certaines tâche requiert beaucoup d’attention et certaines non, donc il faut pouvoir alterner notre atttention à certains moments non-critiques de la performance. * Donc: nous pouvons faire deux activités simultannément tant que l’une des deux tâche soit automatisée (ne requiert plus d’attention, comme la marche).*

Non, on ne peut pas porter notre attention sur plusieurs tâches simultanément sans affecter la performance à chacun comparativement â quand elle est effectué individuellement. (Exemple fait en classe la vidéo des joueurs blanc qui font des passes pendant que dans les joueurs noirs y’a un gorille qui arrive)

27
Q

La PRÉPARATION d’une réponse motrice requiert-elle de l’attention?

A

Oui, par exemple lorsque l’on voit un stimulus (S1) et qu’on le traite (R1) et qu’il y a un autre stimulus présenté (S2), il y aura un petit retardement pour la réponse à ce stimulus (R2) le temps de traiter le stimulus. Ce temps de traitement s’appelle: La période réfractaire psychologique

28
Q

L’EXÉCUTION d’une tâche motrice requiert-elle de l’attention?

Par, contre, qu’elle est la spécificité?

A

La conclusion est donc la suivante: l’exécution d’une tâche motrice requiert de l’attention, et ce, d’autant plus qu’elle est compliquée. Par exemple, si le diamètre de la cible à atteindre est réduit (la longueur du déplacement est maintenue constante), la détérioration de la tâche secondaire est plus grande. Sur la base de ces résultats, on pourrait donc conclure que le seul moyen dont nous disposons pour réaliser deux tâches simultanément est d’alterner notre attention d’une tâche à l’autre. Ce qui pourrait amener une baisse de la performance aux deux tâches.

LA SPÉCIFICITÉ: Toutefois, qu’en est-il pour une tâche motrice qui est vraiment bien apprise?
-Plus la quantité de pratique augmente, moins la tâche motrice requiert d’attention; pour qu’une tâche motrice ne requiert pas d’attention, celle-ci soit être hautement pratiquée (même 7000 essaies de pratique ne sont pas suffisant)

29
Q

Quel aspect limite le traitement l’information

A

Au niveau de l’organisation de la réponse motrice

30
Q

1.Qu’est ce que l’attention comme concept de sélection perceptuelle, est-ce réelle, est-ce que ça fonctionne

2.Qu’elle sont les deux théorie de ce concepts et explique les

  1. Les théories ont elles été accepté ou refusé. Pourquoi?
A

1.C’est le fait de bloquer l’attention nécessaire pour une effectuer une activité/traiter un stimulus. (Par exemple dans un Party y’a plein de bruit, mais on px réussir à entretenir une conversation avec une personne)
-Nous sommes possible de poser un filtre, sur l’information non-pertinente

2.
•Théorie du filtre de Broadent: le filtre en question, ne laisserait passer que l’info pertinente ce qui permettrait de ne pas encombrer notre système de traitement de l’info. La différente entre un expert et un non-expert, est que le filtre de l’expert est meilleur, où celui-ci bloque complètement info non nécessaire, tandis que non-expert se focalise sur certaines infos non pertinentes ce qui explique sa moins bonne performance.
-Théorie rejeté avec l’effet de Stroop: si il est démontré que l’information non pertinente peut traverser ce filtre, alors cette théorie serait donc rejeté, (Test de lecture des mots = 6 secondes et test de lecture des mots écrit par des couleurs divers = 9 secondes, donc il a prit bcp plus de temps pour lire le 2ieme, donc il n’a pas pu bloquer toute les infos non pertinentes, donc théorie rejeté
*L’effet de stroop est l’interférence que produit une information non pertinente lors d’une activité cognitive

• La théorie d’atténuation de Treisman:
Elle aussi proposait l’existence d’un filtre. Toutefois, au lieu de postuler un filtre qui bloquerait toute l’information non-pertinente, elle proposait que ce filtre ne faisait qu’atténuer les informations non pertinentes. De plus, au lieu de proposer un filtre passif comme celui de Broadbent, elle proposa un filtre actif. Ainsi, ce filtre avait pour fonction de réaliser certains tests sur l’information disponible. Par exemple, le filtre vérifiait si le message qui lui parvenait véhicule une information de danger, le nom de l’interlocuteur, etc. L’atténuation additionnée aux caractéristiques de sélection du filtre entraîne que l’information de la source primaire a une plus haute probabilité d’être reconnue comme pertinente.
-Théorie rejetée, car:
Au bout du compte, le filtre traitait à peu près toute l’information présentée au sujet et perdait tout pouvoir de « sélection ». Cette théorie ne jouait donc pas son rôle: expliquer l’attention sélective.

31
Q

La capacité limité de l’attention:
-Quels sont les modèles basé sur cette théorie? Pourquoi on-t-elle été rejetée

A

•La théorie de Kahneman:
les différentes activités que
nous menons nécessitent attention et effort qui se traduisent par une augmentation de l’état d’éveil jusqu’à l’atteinte de la limite de nos capacités. Des règles d’attribution de cette capacité sont déterminées en fonction de l’état d’éveil ou d’activation actuel, de certaines dispositions permanentes (trait de caractère, intérêt pour l’activité, etc.), de conditions particulières (conduite automobile en hiver plutôt qu’en été, entrevue téléphonique pour un emploi plutôt que sondage non sollicité, etc.), et des demandes intrinsèques des différentes tâches (conduire une automobile avec transmission automatique ou manuelles, parler avec un passager ou au téléphone cellulaire, écouter la radio ou lire un texto, etc.). Une plus grande proportion de nos capacités est attribuée à la tâche principale, ce qui, bien entendu, augmente le temps requis pour réaliser la tâche B.
-La théorie de Kahneman à été grandement critiqué: Premièrement, rien ne supporte hors de tout doute l’idée d’une capacité centrale unique. Il se peut fort bien que la baisse de performance notée lorsque l’on réalise deux tâches simultanément soit due à des demandes spécifiques de chacune de ces deux tâches. Deuxièmement, la notion d’effort, bien que mesurable de nos jours, était relativement vague à l’époque à laquelle cette théorie avait été proposée. De fait, une fois que cette notion d’effort a pu être mesurée, on remarqua rapidement qu’il n’y avait pas une source unique et indifférenciée d’ « énergie attentionnelle ».

• La deuxième théorie, celle de McLeod: (théorie un peu bizz)
Cette théorie propose que l’interférence d’une tâche secondaire est fonction de sa difficulté et qu’il y avait un seul pool d’attention, mais rejeté parce qu’il y a plusieurs pool d’attention (exemple la nature ET la difficulté de la tache secondaire)
-rejeté car l’interférence d’une tâche secondaire n’est pas fonction de sa difficulté…

32
Q

Nomme quelle est le jugement comparatif et quel est le jugement absolu

Ex 1:
Tu vx acheter une pair de jeans et tu la compares dans la salle d’essayage avec ton jeans actuel.

Ex 2:
Tu vx acheter un jeans, mais tu es en short alors tu dois te souvenir de tes jeans à la maison pour comparer le jeans avec ceux-ci mais sans avoir une référence présente

A

Ex1 = comparatif

Ex 2 = absolu