COMPRÉHENSION Flashcards

1
Q

/ types de traitement de l’information, quelles sont les 3 grandes catégories d’activités mentales ?

A

1- compréhension
2- raisonnement
3- mécanismes de contrôle de l’activité

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2
Q

Un texte est caractérisé par une structure d’ensemble qui constitue un schéma
général de ce qu’est un récit. Cette structure serait stockée en mémoire à long terme et constituerait la trame sur laquelle un sujet peut s’appuyer pour comprendre un récit.

A

vrai

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3
Q

Un lecteur est capable de faire toutes les inférences possibles dans une narration

A

faux

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4
Q

Le principe de suffisance n’est pas important pour le déclenchement et la spécificité de l’inférence anticipatrice.

A

faux

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5
Q

La recherche des relations causales est guidée par les seuls principes de la priorité
temporelle et de l’opérativité (Dans le modèle de Van den Broek & al. ,1990).

A

vrai

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6
Q

La distinction entre inférences backward et inférences forward est l’objet de
critiques. La pertinence psychologique de cette distinction entre inférences retour et inférences anticipatrices n’est pas facile à établir.

A

vrai

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7
Q

Selon Mc Koon & Ratcliff (1989 ;1992), pour comprendre la phrase « l’étudiant a bien travaillé son cours. Il peut maintenant se présenter à l’examen », il est nécessaire de mettre en relation le pronom « il » et l’antécédent « l’étudiant ». Ce processus est une structure conceptuelle élaborée en mémoire à long terme.

A

faux

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8
Q

Dans le modèle de Dijk & Kintch (1983), la recherche des relations causales est guidée par 4 principes. : la priorité temporelle, de l’opérativité, de nécessité circonstancielle et de de suffisance.

A

faux

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9
Q

Il est possible que la sélection opérée par la stratégie du bord d’attaque échoue et
que les propositions sélectionnées ne puissent pas être rattachées aux nouvelles propositions.

A

vrai

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10
Q

Au cours de la lecture, le principe de construction intégration est essentiel puisqu’il
vise à maintenir d’un cycle à l’autre un nombre raisonnable de propositions en mémoire de travail.

A

vrai

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11
Q

Parmi les inférences, certaines sont automatiques. Leur déclenchement ne dépend
pas des buts du lecteur et elles ont essentiellement le rôle d’assurer le lien entre deux phrases. On les nomme les inférences de liaison.

A

vrai

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12
Q

Quels sont les 3 grands mécanismes à l’oeuvre dans la construction e la représentation d’un texte ?

A

1- particularisation d’un schéma
2- construction d’une structure conceptuelle d’interprétation
3- particularisation de la représentation d’une situation à l’aide d’un modèle situationnel

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13
Q

Expérience Bartlett, (30’) ?

A

1- Théorie: la structure d’un récit serait stockée en mémoire à long terme et constituerait un SCHÉMA (=structure canonique)

2- Tâche: ait lire texte et plusieurs tâches de rappel (15 mn à plusieurs mois)

3- Résultat: la forme littérale n’est jamais rappelée, le texte rappelé est bcp plus simple, certaines infos sont supprimées, d’autres rajoutées

4- La reconstruction du récit par les sujets tend à suivre une trame générale

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14
Q

Sulin et Dooling (70’)

A

1- Vérifier si le schéma relève d’une organisation générale du récit OU de l’expérience passée d’un sujet

2- Construisent 2 récits identiques, sauf le nom du personnage principal (Gérard Martin/Hitler)

3- Résultats: confusions avec connaissances préalables plus élevées avec Hitler

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15
Q

Johnson (70) (déjà demandé l’an dernier)

A

1- Etudie l’impact du niveau hiérarchique des propositions dans la mémorisation et le rappel d’un texte.

2- Demande aux sujets de segmenter le texte de Barlett, puis demande à 3 groupes de sujets de supprimer 1 quart, la moitié ou les 3/4 du texte segmenté ->hiérarchise ainsi les éléments du texte. Enfin il a soumis quatre groupes de sujets à une tâche de rappel après lecture du texte original en faisant varier le délai entre la lecture et rappel

3-Résultats: les éléments les plus hauts placés dans la hiérarchie ont plus de chance d’être rappelés, même 63 jours après

4-CCL: Les informations contenues dans un texte n’ont donc pas toutes la même importance. Certaines apparaissent plus centrales que d’autres, ce qui influence fortement la représentation construite à partir de ce texte.

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16
Q

Grammaire de récits = ?

A

Hypothèse: les individus possèderaient dans leurs
connaissances un schéma général de ce qu’est un récit

Un récit serait composé:

1- EXPOSITION: présente personnages, lieu, temps, circonstances
2- THEME: but des personnages
3- INTRIGUE: épisode(s) qui se décompose comme le récit général (exposition/sous-but/actions=tentatives pour réaliser les sous-buts

Exemple: Fermier et son âne, (Fletcher & Bloom, 80)

17
Q

Stein et Nezworski (1978) ?

A

1- Vérifier la validité psychologique des grammaires de récits

2- ont comparé dans une tâche de mémorisation de textes quatre versions d’un même texte.
La première version est conforme à la structure canonique d’un récit.
Dans la seconde version, le résultat est présenté avant le but.
Dans la troisième version, les différentes parties du récit sont présentées dans un ordre aléatoire.
La quatrième version respecte le schéma d’un récit, mais les différentes parties sont empruntées à différentes histoires. Les sujets sont répartis dans des groupes ayant chacun à traiter trois histoires différentes.
Au moment du rappel, on demande aux sujets de rappelés le texte soit dans l’ordre original des différentes parties, soit dans un ordre correspondant à une « bonne histoire ».
Le plan expérimental comporte donc huit groupes indépendants (4 types d’histoires*2 types de consignes). La variable dépendante dans cette expérience est le nombre d’énoncés correctement rappelés.

3- Résultats: plus la structure du récit s’éloigne de l’ordre canonique des énoncés, plus la performance au rappel se trouve affectée. la performance au rappel dans l’ordre initial est moins importante que la performance au rappel respectant une structure correcte du récit

4- Ccl: La structure du récit affecte donc bien sa mémorisation, mais les sujets s’avèrent également capables, dans une certaine mesure, de reconstituer cette structure.
La différence de performance entre les différentes versions pourrait s’expliquer en termes de charge mentale

18
Q

Schank et Abelson (70)

A

Notion de script

= schéma exprimant la structure générale d’une classe d’actions ou d’événements comme “aller au restau”