Cours 10 Flashcards

1
Q

Différence entre les problèmes difficiles et simple de la conscience ainsi que leurs caractéristiques

A

“Problème difficile” de la conscience :
o L’expérience subjective (e.g. le “je” cartésien, les qualias)
o Comprendre l’origine de l’expérience subjective.
o Les qualias (L’expérience subjective d’événements qui sont communs chez beaucoup de personnes)

Problèmes faciles de la conscience :

  • Problèmes qui peuvent être scientifiquement tester
  • La connaissance de soi
  • La méta-cognition
  • L’état de vigilance
  • L’accès à l’information
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2
Q

Quels sont les deux types de connaissance de soi

A

Celle de Gordon Gallup :
- Conscience de son corps—le « mirror self-recognition ». Il a donc développé le « mirror test

Celle de Socrate :
- Connaissance de soi (Plus abstraite) - une connaissance de ses traits de personnalité, de ses limites—cognitives et physiques—de ses peurs, de ses ambitions, de ses intérêts, de son histoire, etc..

• C’est aussi le but de certaines psychothérapies comme celles proposées par les approches psychodynamiques (e.g. la catharsis  prise de conscience de nos pulsions).

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3
Q

Qu’Est-ce que la méta-cognition dans les problèmes faciles?

A

 La capacité d’examiner ce que l’on fait et de corriger le tir si nécessaire—peut-être aussi de comprendre pourquoi on le fait (connaissance de soi).

 Semblable aux processus homéostatiques dont est largement responsable l’hypothalamus : la thermorégulation du corps, évidemment, mais aussi la régulation du volume sanguin, etc..

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4
Q

Qu’est-ce que l’état de vigilance dans les problèmes faciles?

A

o L’état de vigilance (e.g. comateux, endormi, éveillé, hyper-vigilant)

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5
Q

À quoi sert l’échelle de Glasgow?

Elle évalue?

A

o Initialement développée pour la surveillance des traumatisés crâniens, cette échelle qui va de 3 (coma profound) à 15 (personne normalement consciente), est actuellement utilisée pour évaluer la profondeur d’un coma.

  • L’échelle de Glasgow évalue 3 critères : ouverture des yeux, réponse verbale et réponse motrice. (Moins de points = Inconscient) –> P-e Pression sur l’ongle
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6
Q

Qu’est-ce que le syndrome d’enfermement?

Ce syndrome disprouve quoi?

A

Il s’agit d’un état neurologique rare dans lequel le patient est éveillé et totalement conscient — il voit tout, il entend tout — mais ne peut ni bouger ni parler, en raison d’une paralysie complète excepté le mouvement des paupières et parfois des yeux

La règle qui dit que les fonctions cognitives et les fonctions motrices varient ensembles chez les traumatisés crâniens

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7
Q

Qu’est-ce que le coma?

A
  • Le coma est l’abolition de la conscience et de la vigilance en réponse aux stimulations.

o Plus précisément, il s’agit d’une abolition de la vie de relation (conscience, sensibilité, motricité) tandis que les fonctions végétatives sont plus ou moins bien conservées.
o Il témoigne d’un dysfonctionnement cérébral sévère (d’origine traumatique, toxique ou médicale—pensez à Adonis Stevenson).

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8
Q

Décrit les état de vigilance selon les stades de sommeil

A

. Il est plus faible pendant les stades de sommeil profond (3 et 4) et plus élevé pendant les stades de sommeil léger (1 et 2) et pendant le sommeil paradoxal…

o L’état éveillé vous connaissez. Là aussi le niveau de vigilance peut varier. Allant de faible—comme en ce moment—à très élevé pendant l’ascension d’une parois rocheuse sans corde (

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9
Q

Décrit l’étude de (Stetson, Fiesta et Eagleman, 2007) sur l’hypervigilance et perception du temps

Quelle est la deuxième hypothèse testée?

A
  • Les chercheurs ont mesuré la perception du temps chez des participants avant et après que ceux-ci aient exécuté des chutes libres de 31 m. Plus spécifiquement, chaque participant estimait la durée de la chute d’un autre participant et, juste après sa propre chute, il estimait la durée de cette chute.
  • Les résultats montrent que les participants ont estimé durée de leurs chutes 36% plus longue que celles des autres participants
  • Les auteurs étaient aussi intéressés à tester l’hypothèse selon laquelle cette expansion du temps serait la conséquence d’un traitement perceptif (et possiblement cognitif et moteur) plus rapide, ce qui pourrait donner un avantage adaptatif à l’organisme. (La mouche aurait un traitement perceptif plus rapide que nous donc difficile de l’écraser)

o Le lien entre ce traitement accéléré et la perception du temps n’est pas évident à ce stade de l’explication. Ce qui manque à l’explication c’est l’étalon pour juger de la durée du temps dans les deux situations—en état normal de vigilance et en état d’hypervigilance –> Si on force le participants à répondre en « secondes », il répondra donc qu’un événement d’une 1 seconde en état normal de vigilance dure 2 secondes en état d’hypervigilance.

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10
Q

Comment (Stetson, Fiesta et Eagleman, 2007) ont testés la deuxième hypothèse?

Résultat

A

Les auteurs de l’étude ont testé cette hypothèse avec l’appareil illustré à l’écran.
o D’abord, ils ont mesuré la vitesse de traitement perceptif de chaque participant en état normal de vigilance. Plus exactement, le seuil de ce traitement pour une performance de 33% (période ~40 ms ou une fréquence de 25 cycles à la seconde). Ensuite, ils ont programmé l’appareil pour qu’il montre un chiffre avec cette fréquence pendant le vol du participant et ont demandé au participant d’identifier ce chiffre.

Si le traitement s’Accélaire pendant l’hypervigilance, les participants seront capable de lire le chiffre avec une probabilité plus haute que 33%

o Les résultats sont montré sur l’histogramme présenté à l’écran. Les participants ne traite pas l’information visuelle plus rapidement en état normal de vigilance qu’en état d’hypervigilance. Ceci suggère que l’expansion du temps serait plutôt un effet mnésique.

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11
Q

Qu’est-ce que l’Accès à l’information dans les problèmes faciles de la conscience

A

 L’essentiel de ce qui se passe dans le cerveau est inconscient, c’est-à-dire inaccessible à celui qui ressent les qualias.

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12
Q
Caractéristiques Top-down et conscience (Oui-non) des termes suivants
o	Pop-out. 
o	Description complète. 
o	Priming ou amorçage.
o	Images consécutives
A

o Pop-out. (Donne accès à la conscience, sans top-down)
o Description complète. Notez aussi la mémoire de travail. (Demande top-down, et donne accès à la conscience)
o Priming ou amorçage. (Donne pas accès à la conscience, mais top-down demander)
o Images consécutives—un effet consécutif à une adaptation particulière. (Donne pas accès à la conscience, sans top-down)

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13
Q

Qu’Est-ce qu’une tâche de Gabor

A

Des grilles sinusoïdales présentées à travers une ouverture gaussienne

Présentation dichoptique.

Votre système visuel est capable d’interpréter les petites différences entre les projections du monde extérieur sur les deux rétines—la disparité binoculaire—comme un indice de profondeur.

Si ces différences sont trop grandes, votre système visuel n’Arrive pas à interpreter comme un indice de profondeur

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14
Q

Le cube de necker et le canard-lapin sont?

A

des ambiguité de profondeur pour cube et de perception pour canard-lapin

Même chose pour le volume illusoire (Cylindre et anneeaux)

Ce sont des stimulus bistable

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15
Q

Qu’est-ce qui est commun à toutes les illusions

A
  • Dans tous ces cas, la stimulation des rétines ne change pas ici.
  • Seulement l’accès à l’information change.
  • Ceci fait des stimuli bistables, des stimuli de choix pour l’étude de la conscience visuelle.
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16
Q

Décrit l’étude de Logothetis, Leopold et Sheinberg (1996, Nature) sur l’Activité neuronale

A

Ils veulent savoir l’Activité de quels neurones dans le cerveau corrèlent avec la visibilité (i.e. l’accès à l’information ou la concience visuelle) en rivalité binoculaire.

Présentation de deux stimuli étaient suffisamment différents pour produire de la rivalité binoculaire lorsque présentés dichoptiquement.

o Ont entrainé des singes à discriminer quand le stimulus A était présenté aux 2 yeux de quand le stimulus B (Jaune) était présenté au deux yeux. Avec deux leviers. Tâche de discrimination ordinaire pour l’instant.
o Ensuite, pendant la portion critique de l’expérience, les auteurs ont truqué les singes en présentant les stimuli dichoptiquement. Seul le singe testé sait ce qu’il voit mais il continue à répondre comme avant donc on suppose qu’il ne différentie pas cette situation de la précédente.

o Le neurones dont l’activité est montrée sur le graphique déclenche seulement quand le singe voit le stimulus A (en rouge).
 Il s’agit d’un corrélat neuronal à la conscience. Ou CNC.

17
Q

Ou trouve-t-on ces CNC dans le système visuel

A

Dans les régions de traitement visuel de haut niveau : ~90% dans le cortex inféro-temporal (IT) et dans le sulcus temporal supérieur (STS).

Pourquoi un accès aussi limité au traitement visuel? Possiblement parce que cela demanderait sans doute des ressources importantes et que ce n’est pas nécessaire pour les besoins de l’animal.

18
Q

Dans l’Expérience sur les réponses neuronales des Monke quelles sont les mesures directes et indirecte

A

Mesure “directe” (ou de la conscience visuelle)
o Ici, la réponse comportementale du singe
Mesure “indirecte” (ou du traitement visuel)
o Ici, la réponse des neurones

  • Traitement inconscient : Les neurones répondait à la stimulation qui pour le singe était invisible
19
Q

Qu’est-ce que la suppression permanente

A
  • Forme particulièrement « stable » de rivalité binoculaire.
  • Plus facilement utilisable que la rivalité binoculaire dans des expériences parce que la visibilité et l’invisibilité est contrôlée par l’expérimentateur.
20
Q

Explique l’étude du Continuous flash suppression de (Tsuchiya et Koch, 2005)

Mesure directe
Mesure indirecte

A

o Images présentées dans un 1 oeil supprime tout les stimuli dans l’Autre oeil
o Image consécutives : Résultat d’Adaptation à des objets colorés (Les deux se fondent ensemble et les couleurs changent de place)
- Quand les deux séquences de stimuli seront vu dichotiquement, les barres obliques seront supprimés par la suppression permanente
- Donc les images consécutives dépendent de structures neuronales qui traitent la couleur inconsciemment en partie au moins (moins fortes que dans la situation ordinaire).
- Les images deviennent moins foncer par la suite

Mesure “directe”
o	Visibilité
Mesure “indirecte”
o	L’intensité de l’image consécutive
	L’intensité de l’image consécutive est un indice de la « profondeur » du traitement inconscient dans le système visuel.
21
Q

Décrit l’étude de Mack et Rock sur le Inattentional blindness

Les différentes mesures?

A

La première tâche des participants est de dire laquelle des deux droite est la plus longue. Longeurs relatives ajustées pour que ce soit difficile.
o De temps en temps, rarement, un mot est présenté avec les lignes. La majorité des participants n’ont pas conscience de ce mot. Ceci est vérifié après la tâche.
o Ensuite, les participants doivent faire une deuxième tâche apparemment sans lien avec la première : terminaison de préfixe. Une majorité des participants complète avec la terminaison présentée (mais invisible).
o Donc traitement inconscient.

Mesure “directe”
o Conscience des mots

Mesure “indirecte”
o Terminaison de préfixes

22
Q

Différence entre humain et monke par rapport au lésion du cortex visuel primaire

A

les singes sans cortex visuel primaire sont capables de discriminer certaines formes, ont une courbe de sensibilité au contrastes (limitée par rapport à la normale) et ont une acuité visuelle (réduite par rapport à la normale).

o Pendant longtemps on a pensé que ce n’était pas le cas chez les hommes.

23
Q

Décrit l’étude fait pour voir si il avait un traitement visuel du coté controlatéral d’une lésion V1

Les différentes mesures

A

D.B. :
o V1 détruit dans l’hémisphère droit donc…
o D.B. : le premier et le plus testé des patients dit « blindsight ».
o Ablation du cortex occipital droit pour traiter une tumeur bénigne.

Lawrence Weiskrantz, un psychologue anglais, a découvert dans les années 1970s que sa performance à des tâches forcées était supérieure au hasard.
 Par exemple, pouvait deviner l’orientation d’une tache de Gabor (horizontal ou vertical), si un stimulus était en mouvement ou stationnaire.
 Son acuité a été mesurée en faisant varier la fréquence d’une tache de Gabor et en le forçant à dire s’il y avait (tache de Gabor) ou pas des lignes (champs homogène).

V1 détruit dans l’hémsphère droit donc “aveugle” dans l’hémichamp gauche
 Mesure “directe” : “Vois-tu une grille? Quelle est son orientation?” (Non je vois pas de grille)
 Mesure “indirecte” : “Est-ce que la grille est verticale ou horizontale? Prends une chance.” (Supérieur au hasard)

24
Q

Quelles sont les explications derrière le traitement visuel possible de DB

A

 Utilise des circuits sous-corticaux alternatifs?

 Ou ablation de V1 incomplète…

25
Q

Décrit l’étude sur l’amorcage de (Marcel, 1983)

Mesures?

A

Croix de fixation –> mot (De facon subliminale) –> masque

Mesure “directe”
o Seuil de détection de la présence d’un mot masqué (RED, BLUE, GREEN et YELLOW)
o Entre 30 et 80 ms

Mesure “indirecte”
Tâche de Stroop (nommer une couleur qui suit ou non un mot présenté “inconsciemment”)
 Essais cohérents : - 22 ms (Mot présenté = couleur du carré)
 Essais incohérents : +24 ms (Mot présenté pas égale à la couleur du carré)

Traitement inconscient du mot de couleur

26
Q

V/F On pense que la conscience visuelle est sur un continuum

A

Faux

 Aujourd’hui on pense que la conscience visuelle est un phénomène tout ou rien

27
Q

Décrit l’étude sur le masquage de Deheane et al. 2001

A

Deheane et al. (2001) ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour visualiser le traitement cérébral de mots masqués invisibles (ou visibles).
o (A) Séquences de stimulation.
o (B) Performance dans divers tests de comportement évaluant la perceptibilité des mots.

Conditions (L’intervalle entre le dernier masque et le mot change entre les deux conditions)
o 1 blanc après et avant le mot lion
o Masque avant le mot et après –> Produirait une invisibilité

Résultats d’Activation
o Dans les zones associées à la lecture consciente, des mots masqués (Invisibles) activent les zones extrastriées, fusiformes et précentrales.
o Par rapport à une situation non masquée, cependant, l’activation évoquée par les mots masqués était considérablement réduite et était indétectable dans les zones préfrontales et pariétales, corrélant avec l’incapacité des participants à rapporter les mots masqués.

28
Q

Décrit la Global neuronal workspace theory

A
  • Selon la théorie de l’espace de travail neuronal global, l’activité sensorielle doit d’abord être propagée aux stades supérieurs de la hiérarchie corticale.
  • Si elle est suffisamment forte, elle peut accéder à la conscience en provoquant un «allumage global», un processus qui permet le maintien et le partage d’informations sur le stimulus entre les processeurs corticaux, qui se manifeste par une augmentation de l’activité.
29
Q

Quelles sont les 4 principales caractéristiques des Qualias

A

Ils sont ineffables : on ne peut les communiquer, ni les appréhender autrement que par expérience directe.

Ils sont intrinsèques : ce ne sont pas des propriétés relationnelles.

Ils sont privés : toute comparaison interpersonnelle est impossible.

Ils sont appréhendés directement par la conscience : avoir l’expérience d’un qualia, c’est savoir que l’on a l’expérience d’un qualia et savoir tout ce que l’on peut savoir sur ce qualia.

30
Q

Quand nous étudions les qualias que faisons-nous?

A

On quitte ici le domaine de la science donc l’approche hypothético-déductive ne fonctionne plus parce qu’on ne peut pas faire de tests empiriques « objectifs » — pour lesquels tout le monde peut observer les résultats et s’entendre à savoir si les hypothèses sont corroborées ou infirmées.

31
Q

Décrit les dialogues de Salviati et Simplicio

A

En gros, On dit que la masse la plus lourde va tomber plus rapidement que la petite. En les mettant ensemble on dirait que A ralenti B. Pourtant, ensemble ils sont plus lourd, donc il devrait aller plus vite

32
Q

Qu’est-ce que le physicalisme?

A

l’idée que l’univers, y compris tout ce qui est mental, est entièrement physique.

33
Q

Qu’Est-ce que le spectre inversé?

A

Le spectre inversé est une expérience par la pensée envisageant que deux personnes partagent le même vocabulaire et les mêmes distinctions de couleur, bien que leurs qualias soient systématiquement inversés.
o Les partisans de l’hypothèse des qualia en tant qu’entités non physiques admettent que, puisque nous pouvons imaginer que cela se produise sans contradiction, il s’ensuit que les qualias n’ont aucune base physique…

34
Q

Selon Marvin minsky pourquoi le raisonnement du zombie philosophique est ciruclaire?

A

o La proposition qu’il est possible que quelque chose soit physiquement identique à un humain mais sans expérience subjective (le point 3 de Chalmer) suppose que les caractéristiques physiques des humains ne sont pas ce qui produit ces expériences, ce qui est exactement ce que l’argument prétend montrer.

35
Q

Qu’est-ce que le fossé explicatif?

A
  • Le fossé explicatif est la difficulté qu’ont les théories physicalistes à expliquer comment les propriétés physiques donnent naissance à la façon dont les choses sont ressenties lorsqu’elles sont vécues
  • Il a utilisé comme exemple la phrase “La douleur est une série d’influx nerveux dans les fibres C”, soulignant que, bien que cela puisse être exact physiologiquement parlant, cela ne nous aide pas du tout à comprendre comment nous ressentons la douleur.
36
Q

Explique se qui se passe avec la machine de turing

A

o E.g. on peut fabriquer une machine capable de discriminer le rouge du vert.
o Et peut-être que cette machine a des qualias. Mais je n’ai aucune prise en tant que scientifique—ou programmeur du modèle—sur ces éventuels qualias.
o S’ils émergent du mouvement incessant de la tête de lecture écriture, je ne peux l’expliquer.
o Mais des changements radicaux à la science sont envisagés qui pourrait peut-être y inclure le qualias…