Cours 4 Flashcards
Un manque important avec le traitement…
ascendant
Photo de la dame (jeune et vieille): On ne peut pas seulement se fie sur les propriétés physiques des stimuli entrant pour les reconnaitre et les identifié (car au début, on ne reconnait rien, après on voit la jeune dame et après la plus vielle)
Ne tient pas compte du contexte et des attentes
Pour tenir compte de ces effets, on doit postuler un autre type de traitement
Traitement descendant (ou basé sur les concepts)
- Traitement qui est influencé par le contexte et les connaissances de haut niveau
- Utilise l’information visuelle aussi, mais… - Utilisation d’information déjà acquise pour guider notre interprétation du stimulus (patron) entrant
Le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin (1968)
Mémoire à long terme <—>Mémoire à court terme <— Mémoire sensorielle <— entrée
Comment le système cognitif reconnaît-t-il les objets en utilisant sa connaissance du monde réel?
Preuve empirique pour traitement descendant
- Effet de supériorité du mot (Reicher, 1969)
Participant(e)s: sujets très entraînés (14 hrs)
Tâche: Identification de lettres avec choix forcé (certains nombres d’alternative et on devra choisir parmi les choix (un peu comme qcm) (Forced-choice letter identification task)
Matériel: Trois types de stimuli utilisés
- Mot de 4 lettres
- Anagrame de 4 lettres qui ne sonne pas comme un mot
- Juste une lettre
Voir schéma
On présente un masque: efface la mémoire sensorielle
Duré exacte du stimulus: Clan pendant 60ms, mais imprimer dans mémoire sensorielle pendant 750ms, stimulus disponible pendant 810ms mais nous on voulait juste 60ms
Masque visuelle peut être plein de chose
Identifie la lettre qui était identifié en première place et on donne deux choix
Effet de supériorité du mot Résultats
Mot = taux d’erreur beaucoup moins bas (moyenne d’erreur de 5) vs une lettre (moyenne d’erreur de 11) ou non-mot (moyenne d’erreur de 12)
En moyenne, plus facile d’identifier une lettre lorsqu’elle fait partie d’un mot
- Taux d’exactitude: Mot > Non-mot
- Taux d’exactitude: Mot > Lettre
Même lettre testée avec 3 types de stimuli dans la même position
- Ne peut pas être un effet ascendant (même entrée)
Interprétation : pour obtenir ce résultat, on doit postuler:
- Un mécanisme ascendant
- Un mécanisme descendant
- Qui interagissent et traitent l’info en parallèle
Modèle d’activation interactive
(McClelland & Rumelhart, 1981)
Comment nos connaissances établies interagissent-elles avec l’entrée perceptuelle?
Un pandémonium connexioniste ++! (remplace les demon par des unites)
- Reconnaissance de lettres et mots (+ lecture…)
- Composé de couches d’unités de traitement
- Interconnexions
- Transfert d’activation
- Ascendant + Descendant
Stimulus active des unités de caractéristiques, puis des unités de lettre, puis des unités de mot = permet la reconnaissance
Voir shcema
Modèle d’activation interactive: Postulats généraux
- Une unité pour chaque mot et chaque lettre (dans chaque position dans lequel elle pourrait être dans le mont dans le modèle)
- Unités organisées en niveaux
- Connexions peuvent être ascendantes ou descendantes
Modèle d’activation interactive: Postulats de représentations
- Traitement perceptuel se fait dans un système dans lequel:
v Il y a plusieurs niveaux de traitement
v Chaque niveau forme une représentation à un niveau d’abstraction (complexité) différent (Caractéristiques, Lettres, Mots)
- Perception visuelle implique traitement en parallèle - Traitement visuel se fait à plusieurs niveaux simultanément (en parallèle)
Modèle d’activation interactive: Postulats d’opérations
- Lors de la présentation d’un stimulus, un ensemble d’entrées sous forme de caractéristiques est disponible au système
- Initialement, toutes les unités sont en mode inactif
- Caractéristiques activent lettres (ascendant)
- Lettres activent mots (ascendant)
- Mots retournent activation aux lettres (descendant)
- Réponse du système: Lettre/Mot avec le plus d’activation à un moment précis (lorsqu’on doit prendre une décision)
Modèle d’activation interactive Reconnaissance de lettre Reconnaissance de mot
4 lettres = une unité par lettre pour chaque position dans le mot de 4 lettres
Mot = une unité par mot
Voir notes
Modèle d’activation interactive Traitement descendant
Unité va transmettre de l’activation descendante vers les unités qui compose ce mot là, ce qui va précativé maximalement ses lettre là dans le système. Elle seront donc prête a être identifié ou reconnu, puisqu’elle ont été préactivé
Modèle d’activation interactive
Supériorité du mot
Traitement descendant
On présente les alternatives = ascendant vers les lettres car analyse des caractéristiques.
L’activation finale pour les unités de lettre= la somme de l’activation ascendante qui est reçu par la présentation des alternative et l’activation descendante qui vient de la présentation préalable du mot fork
Puisque F était déjà preactivé en 1er position = plus activé au final donc on peut identifier que c’est F
C’est lettre la ne peuvent pas activer les unités au niveau mot, donc pas d’activation descendante du niveau mot vers lettre
Puisque aucune activation de mot, on doit seulement se fie sur ascendance
(L’activation finale pour les unités de lettre= la somme de l’activation ascendante qui est reçu par la présentation des alternative et l’activation descendante qui vient de la présentation préalable du mot)
Erreur et choisir la mauvaise lettre car pas d’aide de descendante
Même chose pour lettre seule
Modèle d’activation interactive Conclusions
- Avec un nombre limité de postulats clairement définis, le modèle propose une explication formelle de l’effet de supériorité du mot
- Souligne la nécessité du traitement descendant dans la compréhension du processus de reconnaissance de patrons - Précurseur des modèles connexionistes modernes
Objets dans des scènes connues
Palmer (1975): The effect of contextual scenes on the identification of objects
On connaît bien la position attendue des objets dans le monde extérieur
Plausible que l’on utilise cette connaissance pour identifier les objets que l’on voit
Prédictions
v Contexte approprié aide à l’identification
v Contexte inapproprié nuit à l’identification
v Indices contextuels devraient transférer à objets similaires
Rôle du context
4 conditions:
- Contexte approprié (objet match avec la scène)
- Contexte innaproprié (selon nos connaissances, on ne se s’attend pas à voir cet objet dans cette scène), objet similaire (boite au lettre et mie de pain)
- Contexte innaproprié, objets différents (tambour et mie de pain)
- Aucun contexte (condition contrôle = rectangle vide (pas d’attente))
Effets de contexte
Voir graphique
Résultats
Rôle du context
Contexte approprié aide (>Pas de contexte)
- Contexte facilite interprétation d’objet
Contexte inapproprié nuit (<Pas de contexte)
- Contexte complique interprétation d’objet
- Similarité à l’objet valide a un effet négatif
Lorsque pas de contexte: identifie en moyenne l’objet 65% du temps
Objet approprié au contexte: 90%
Inapproprié/différent: 55% = complique l’identification plus que de ne rien avoir du tout (pas de contexte)
Inapproprié/similaire: 35%
Conclusions
Rôle du context
Ces expériences et modèles démontrent un rôle crucial du contexte et de la mémoire pour la perception
Pour expliquer la reconnaissance d’objets, on doit absolument baser nos explications sur le traitement ascendant ET descendant
Traitement ascendant vs. Descendant
Traitement ascendant ou basé sur les données
- Guidé/influencé seulement par données entrantes
Conditions dégradéespeut causer des erreurs de récupération
Condition normale = on ne devrait pas faire d’erreur
Traitement descendant (ou basé sur les concepts)
- Influencé par contexte/connaissances de haut niveau
VOIR GRAPHIQUE
Recup.1 = interprétation juste car attendu dans le contexte
Recup.2 = mauvaise interprétation car pas attendu dans le contexte
Ascendant = pas importance du contexte
Descendant = interprétation dépend du contexte
La perception = interaction constante entre les entrée perceptuel (ascendant) et les connaissance (descendant)
Why are there more neurons that respond to horizontals and verticals?
One possible answer is based on the theory of natural selection, which states that characteristics that enhance an animal’s ability to survive, and therefore reproduce, will be passed on to future generations. Through the process of evolution, organisms whose visual systems contained neurons that fired to important things in the environment (such as verticals and horizontals, which occur frequently in the forest, for example) would be more likely to survive and pass on an enhanced ability to sense verticals and horizontals than would an organism with a visual system that did not contain these specialized neurons. Through this evolutionary process, the visual system may have been shaped to contain neurons that respond to things that are found frequently in the environment.
Although there is no question that perceptual functioning has been shaped by evolution, there is also a great deal of evidence that learning can shape the response properties of neurons through the process of experience-dependent plasticity
Perception et action
- La perception visuelle et le mouvement sont intimement liés
- Mouvement p/r à l’objet change l’information visuelle disponible (améliore la perception) - Interaction constante pour atteindre nos «buts» Pour prendre la tasse: perception constante entre notre tasse, notre main, etc…
Perception et action Neurophysiologie
Deux «flux de traitement» (processing streams) liés à la perception (et peut-être l’action)
Deux hypothèses
- Ungerleider et Mishkin (1982)
v Quoi vs. Où (l’objet dans l’espace)
- Goodale, Milner, Jakobson et Carey (1991)
v Perception visuospatiale vs. Contrôle visuospatial de l’action (permet le mouvement avec un but)
why it is important that we are able to experience objects in scenes and words in conversations?
The answer to that question is that an important purpose of perception is to enable us to interact with the environment. The key word here is interact, because interaction implies taking action. We are taking action when we pick something up, when we walk across campus, when we have an interaction with someone we are talking with. Interactions such as these are essential for accomplishing what we want to accomplish, and often are essential for our very survival.
Quoi vs. où
Ungerleider & Mishkin (1982)Two cortical visual systems
Sujets
v Singes rhésus
Méthode
v Ablation cérébrale: lobes temporaux ou pariétaux
But
v Double dissociation entre flux de traitement pour les caractéristiques d’un objet vs. sa position
Tâches
v Problème de discrimination d’objet
- Object discrimination problem
v Problème de discrimination de repère
- Landmark discrimination problem
Tâches
Quoi vs. où
Discrimination objet
v Le singe doit choisir l’objet présenté précédemment pour obtenir récompense
v Flux du QUOI (forme et couleur) (Caractéristiques de l’objet)
Discrimination repère
v Soulever la plaque du côté du repère pour obtenir récompense
v Flux du OÙ (position) (Position de l’objet dans l’espace)
Ungerleider and Mishkin presented monkeys with two tasks: (1) an object discrimination problem and (2) a landmark discrimination problem. In the object discrimination problem, a monkey was shown one object, such as a rectangular solid, and was then presented with a two-choice task like the one shown in Figure 3.30a, which included the “target” object (the rectangular solid) and another stimulus, such as the triangular solid. If the monkey pushed aside the target object, it received the food reward that was hidden in a well under the object. The landmark discrimination problem is shown in Figure 3.30b. Here, the tall cylinder is the landmark, which indicates the food well that contains food. The monkey received food if it removed the food well cover closer to the tall cylinder.
Résultats
Quoi vs. où
Résultats des ablations
- Ablation temporale (ventral) affecte seulement réapprentissage pour discrimination d’objet (QUOI) (1000 essaie pour objet mais 200 pour repère)
- Ablation pariétale (dorsal) affecte seulement réapprentissage pour discrimination de repère (OÙ) (200 essaie pour objet vs 900 essaie pour repère)
In the ablation part of the experiment, part of the temporal lobe was removed in some monkeys. Behavioral testing showed that the object discrimination problem became very difficult for the monkeys when their temporal lobes were removed. This result indicates that the neural pathway that reaches the temporal lobes is responsible for determining an object’s identity. Ungerleider and Mishkin therefore called the pathway leading from the striate cortex to the temporal lobe the what pathway