Cours 4 Flashcards
Je suis une représentation mentale utilisée dans une variété de fonctions cognitives. Qui suis-je?
a) Une catégorie
b) Une connaissance conceptuelle
c) Une catégorisation
d) Un concept
D
Je suis une connaissance qui me permet de reconnaître des objets ou des événements et de faire des inférences à propos de leurs propriétés. Qui suis-je?
a) Une catégorie
b) Une connaissance conceptuelle
c) Une catégorisation
d) Un concept
B
Je suis le processus par lequel les choses sont placées ensemble dans des groupes. Qui suis-je?
a) Une catégorie
b) Une connaissance conceptuelle
c) Une catégorisation
d) Un concept
C
Je suis l’ensemble des exemples possibles d’un concept. Qui suis-je?
a) Une catégorie
b) Une connaissance conceptuelle
c) Une catégorisation
d) Un concept
A
Donne un exemple de catégorie.
Dans la catégorie « meuble », on retrouve les concepts « chaise », « table », « lit », etc.
Qu’est-ce qui n’est pas une utilité des catégories?
a) Aide à comprendre les cas individuels qu’on n’a jamais rencontrés auparavant.
b) Permet de suivre l’évolution d’un item au travers du temps.
c) Fournit une grande quantité d’information générale à propos d’un item.
d) Permet d’identifier les caractéristiques spéciales d’un item.
B
À partir de quel âge l’absence ou la difficulté de catégorisation est-elle anormale et potentiellement problématique?
a) 2 ans
b) 3-4 ans
c) 5-6 ans
d) 8 ans
B
La catégorisation par approche par définition est-elle valide? Si non, pourquoi?
a) Oui
b) Non, parce qu’elle n’inclut que quelques caractéristiques (3 ou 4 max).
c) Non, parce qu’elle ne gère pas les éléments avec des caractéristiques diagnostiques différentes (les « exceptions »).
d) Non, parce que les caractéristiques diagnostiques sont floues et imprécises.
C
La catégorisation par approche par prototype fonctionne en utilisant un/une/des _____________.
a) Cadre spécifique avec des limites définies de ce qui fait partie ou non de la catégorie.
b) Reconnaissance des couleurs
c) Mémoire photographique
d) Moyenne des caractéristiques.
D
Dans l’approche par prototype, on dit d’un membre d’une catégorie qui ne ressemble pas à son prototype qu’il a…
a) Une haute prototypicité.
b) Une faible prototypicité.
c) Une atypicité.
d) Une antypicité.
B
Quelle phrase ne décrit pas l’effet de typicalité décrit par Smith et al. (1974) et Rosch (1975) à propos de l’approche par prototype?
a) Les objets à prototypicalité élevée sont traités de façon préférentielle
b) Les objets à prototypicalité faible sont traités de façon défavorisée.
c) Les membres à haute prototypicalité d’une catégorie seront affectés par une manipulation d’amorçage.
d) Aucune de ces réponses
e) Toutes ces réponses
D
Qu’est-ce qui est vrai de l’approche par exemplaire?
a) Les concepts sont représentés par de multiples exemples, plutôt que par un prototype unique.
b) Les exemples sont de vrais membres de la catégorie, pas des exemples abstraits.
c) Pour catégoriser un nouvel item, on le compare avec les exemples en mémoire.
d) Toutes ces réponses
e) Aucune de ces réponses
D
Quelle est la variable qui fera en sorte qu’un exemplaire sera catégorisé plus ou moins rapidement?
Son degré de ressemblance à un membre existant de la catégorie.
Quel approche entre celle par prototype et celle par exemplaires utilise-t-on?
a) Les prototypes
b) Les exemplaires
c) Les exemplaires pour les petites catégories, les prototypes pour les grandes catégories.
d) Les exemplaires pour les grandes catégories, les prototypes pour les petites catégories.
C
On peut qualifier la façon dont les gens catégorisent les objets d’organisation ___________.
a) Spécifique
b) Générale
c) Catégorique
d) Hiérarchique
D