cours 8 Flashcards

(23 cards)

1
Q

psychose vs névrose explication mpsychanalitique

A

névrose. pulsion fit pas avec réalité donc refoulement.

psychose. pulsion fit pas avec réalité fec projection (tu associe tes pensées aux autres .

donc névrose= accepte la réalité mais cause du stress
psychose= accepte pas la réalité et l’altere

quand tu est en psychose t comme en nudité psychologique car tu expose tes désir et pulsions a travers délires et hallucinations

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2
Q

phase schizo-parano

A

le bebe de 0 a 6 mois voit maman comme deux objets. quand il se fait nourir il se sent tou puissant et quand pas nourir= menace de la mere.méchant et gentil apres pase a position dépressive et voit la mere comme objet total et ambivalent. ls psychotiques de passent pas par cette phase donc quand qqch de mauvais=extérieur et qqch de bon =idéee délirante.

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3
Q

EXPLICATION COMPORTEMENTALE DE LA PSYCHOSE

A

ENFANT MAL TRAITÉ-S’SISOLE, DEVIENT SOCIALEMENT BIZARE, COMPORTEMENT RENFORCÉ CAR A DE L’ATTENTION, DONC DEVIENT ENCORE PLUS BIZARE. IL S’APPROPRIE LE ROLE QUI LUI EST DONNÉ PAR LES AUTRES. C COMME UNE PROPHÉTIE QUI S’AUTORÉALISE

Paul et Lentz ont par ailleurs démontré qu’on peut modifier les comportements bizarres avec le renforcement positif.

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4
Q

Étude de Huq, Garety & Hemsley (1988)

A

les personnes avec délires, lorsque confrontées à une tâche de déterminer de quel bocal proviennent des billes, répondent trop rapidement.
Cet effet est encore plus marqué avec du matériel significatif

ILS ONT UN BIAIS DE SAUTER A DES CONCLUSIONS HATIVES. inférences.

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5
Q

Résultats de
Kaney & Bentall (1989),
utilisant le ASQ

A

les gens qui sont schizophrenes utilisent un style d’attribution éronné. Il est similaire au biais quon a tous mais plus extreme. ils tendent à attribuer les evenement négatifs à des causes stables externes et globales.

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6
Q

quelle nuance Kinderman & Bentall (1996) amene dans le sujet de l’inférence et de l’attribution des gens shcizo

A

non seulement ils tendent à attribuer events négatifs à l’exterieur mais aussi comme étant personnel et non situationnel

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7
Q

quand il y a une situation négative quest-ce qui différencie dépressifs de schizo

A

shizo va dire externe personnel. depress va dire interne et quand c externe il va dire situationnel

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8
Q

selon bentall, kess ce qui réduit l’écart entre le soi et le soi idéal mais augmente l’écart entre le soi et le monde externe

A

le fait de faire des attribution externe personnelles pour les situation negatives

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9
Q

critique du modele humaniste

A

explique pas vrm la cause du developpement de la maladie. explique plutot pourquoi fonctionnement est diff. pour la personne.

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10
Q

explique le modele humaniste.

A

le tmg est du au fait que ya pas d’auto actualisation de la personne (concordanace entre soi et soi idéal). cet absence d’auto actualisation est due à pauvre valeur personnelles (donc mauvaise estime de soi).

mauvaise estime de soi car les gens malades sont stigmatisé et ils vont internalisé cette stigmatisation.

le but pour les guérir est de réconcilier soi actuel avec soi idéal. très associé à l’acceptation de soi.

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11
Q

explique le modèle de délire paranoïque (de persécution) selon freeman

A

ya 3 facteurs:

précipitant(qqch qui c’est deja passé. un évenement négatif dans ton environnement

-biais cognitif lié à la psychose ex: attribution externe personnelle

-émotions et croyance négatives par rapport à soit et le monde. proviennent de l’enfance. émotion ex dépressif.

ensuite:

ya un evenement stressant, la recherche de sens (les 3 facteurs sont utilisés) et finalement ya un choix d’explication et croyance en la menace

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12
Q

théorie de l’intersubjectivité

A

Le mouvement intersubjectif est une rencontre entre la psychanalyse et la thérapie humaniste (mais considéré comme humaniste).
Cette théorie veut que les personnes co-construisent leur réalité en interaction avec les autres. (chacun à a propre réalité subjective)

Toutefois, dans le cas des psychoses, des expériences perceptuelles anormales font en sorte que la personne ne comprend plus les regards, les visages et émotions des autres et perd confiance en son environnement social et la co-construction du sens se détruit et laisse place à la construction d’une cohérence interne délirante.
Selon Fuchs, les personnes souffrant de psychose sur-mentalisent, dans le sens que l’autre prend un rôle très important, s’intéressant trop à lui, mais d’une manière menaçante.

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13
Q

quel modèle est dit athéorique

A

métacognitif

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14
Q

hallucinations et stress

A

Plusieurs stresseurs tels que le deuil (Reese, 1971), des opérations militaires soutenues (Belanky, 1979) et des attaques terroristes (Siegel, 1984) ont été associés aux hallucinations.
Grimby (1993, 1998) a trouvé que 71% des personnes agées récemment endeuillés ont des hallucinations (auditives ou visuelles) du décédé. Surtout commun dans les mariages heureux et perçu de manière positive – réconfortant.

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15
Q

les hallucinations Augmente dans bruit minimal/ white noise. v ou f

A

v

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16
Q

les voix

A

Les voix :
Se produisent quand le discours interne est mal interprété comme provenant de l’extérieur de soi.
Le discours interne :
Est le dialogue, la plupart du temps interne, que nous avons avec nous-même;
Il est accompagné de sous-vocalisations (McGuigan, 1978);
Est appris dans l’enfance (Vygotsky, 1961).

17
Q

Les hallucinations sont accompagnées de sous-vocalisations (Gould, 1984; Green &Kinsbourne, 1990; Inouye & Shimizu, 1970; McGuigan, 1966).
L’hémisphère gauche s’active pendant les hallucinations ainsi que pendant le discours interne.
Les activités qui bloquent le discours interne bloquent aussi les hallucinations auditives (Erickson & Gustafson, 1968; James, 1983).

18
Q

analyse de reconnaissance de la source.

kess ce qu’un biais de réponse positive vs sensibilité perceptuelle

A

Biais de réponse positif : beaucoup de Hit correct, moins de rejet correct et plus de fausses alarmes

Sensibilité perceptuelle (peu d’erreurs) : beaucoup de Hit correct et de rejet correct

19
Q

ecq les gens avec des hallucinations ont de la diff. a percevoir les stimulus

A

non mais ont un biais de réponse positive

20
Q

50% des « patients » hospitalisés mentionnaient des effets positifs des hallucinations :
Relaxantes, appaisantes
Compagnie – moins seuls
v ou f

21
Q

le role des croyance pour les hallucinations

A

Il y a de grandes différences culturelles entre la façon dont les hallucinations sont vécues, la reconnaissance ou non d’hallucinations et leur pouvoir (voir Al-Issa, 1995) – les croyances, valeurs et attentes influencent grandement l’expérience des hallucinations.
Certaines études expérimentales ont démontré que les voix peuvent être influencées par la suggestion (Haddock et al., 1995; Mintz & Alpert, 1972; Young et al., 1987).
Des études cliniques ont démontré l’importance des croyances liées à l’omnipotence ou l’omniscience des voix et que ces croyances affectent comment la personne gère ses voix(Chadwick & Birchwood, 1994; Romme & Escher, 1993).

donc si tu crois que les voit ca existe bin ca va influencer. preuve on peut te faire halluciner juste par la suggestion

22
Q

3 théories sur les symptomes négatifs

A

Selon les cognitivistes, les symptômes négatifs sont issus d’une croyance que « cela ne sert à rien d’essayer, car ce sera un échec », donc la personne s’isole (Beck & Rector, 2005). On parle ici de biais cognitif défaitiste pour les symptômes négatifs.
D’autres postulent plutôt que les symptômes négatifs seraient une façon de prendre une pause suite à une surcharge sensorielle (liée aux symptômes positifs) – se coupant ainsi intentionnellement du monde émotif épeurant et chaotique (Hemsley, 1996).
Symptômes négatifs sont aussi vus de manière similaire à la dépression et semblent répondre aussi à l’activation comportementale.

23
Q

modele metacognitif

A

Lysaker propose que la personne avec une psychose voit 4 sphères de sa réalité métacognitive affectées, soit :
L’auto-réflexivité : la capacité à nommer et comprendre ses états d’âmes (cognitifs et affectifs).
Le regard sur l’autre : la théorie de l’esprit – la capacité à extrapoler des états d’âmes (émotifs et cognitifs) chez les autres à partir de leurs comportements et paroles.
La décentralisation : le fait de ne pas se voir comme étant le centre de l’univers, mais plutôt avoir une certaine distance de son vécu par rapport au vécu des autres.
La maîtrise : la capacité à utiliser ses ressources personnelles pour reconnaître et surmonter des obstacles.

Le modèle méta-cognitif se veut « athéorique » dans le sens où un thérapeute d’approche psychodynamique, intersubjective, humaniste ou cognitive-comportementale peut s’y référer.