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Primatologie > Cours 8 : au cours de la vie > Flashcards

Cours 8 : au cours de la vie Flashcards

1
Q

Quelles sont les deux stratégies d’histoire de vie.
Quels sont les primates

A
  1. Stratégie r : reproduction rapide, grandes portées, taux de mortalité élevé, courte durée de vie
  2. Stratégie K (primates) : reproduction tardive, petites portées, faible taux de mortalité, longue durée de vie
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2
Q

Durée d’histoire de vie des groupes de primates

A

Strepsirrhiniens < singes < grands singes

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3
Q

Durée de vie des primates en fct des autres mammifères

A

Pour leur taille, les primates vivent plus longtemps et atteignent leur maturité sexuelle plus tard (durée de vie augmente plus rapidement en fct de leur masse)

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4
Q

Altricialité (nidicole) vs Précocité (nidifuge)

A

Altricial : bébés sous-développés et impuissants à la naissance. Dépendent des parents.
Précoce : bébés bien développés à la naissance. Actifs ou mobiles peu après la naissance. Indépendants des parents rapidement.

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5
Q

Primates les plus et moins altriciaux

A

+ : Haplorrhiniens (tarsiers, singes, grands singes, humains)

  • : Strepsirrhiniens (lémuriens, loris, galagos). La mère peut laisser le bébé sur une branche pour aller se nourrir.
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6
Q

Les primates donnent naissance à cb de nourrissons à la fois

A

1
Exception : 3 ou 4 chez callitrichidés

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7
Q

Vrai ou faux.
Les naissances des primates sont assistées

A

Faux.
Les humains, colobinés et callitrichidés font exception

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8
Q

Quel est l’avantage des bébés d’être portés en tout temps (s’ils ne sont pas parked)

A

Leur permet d’apprendre par observation et expérience

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9
Q

Facteurs contrôlant la lactation

A
  1. L’accès aux ressources
  2. La stimulation du mamelon
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10
Q

Qu’est-ce que l’aménorrhée de lactation et qu’est-ce qui la maintient

A

L’infertilité temporaire postnatale lorsqu’une femelle allaite.

Maintenue par la stimulation mécanique du mamelon par le nourrisson

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11
Q

Quels primates vont sevrer leurs nourrissons l’année même où ils sont nés + stratégies de pic de lactation

A

Strepsirrhiniens et la plupart des singes du nouveau et ancien monde

Stratégie 1 :
-Durant la saison où il y a bcp de nourriture, la mère produit bcp de lait (pic) en profitant d’une meilleure nutrition
-Cela fait en sorte que le bébé sera sevré en période où il y a peu de nourriture (risqué)

Stratégie 2 :
-La mère a son pic de lactation à la saison où il y a peu de nourriture (utilise les graisses de son corps pour synthétiser du lait)
-Le bébé sera sevré durant la plus grande disponibilité alimentaire pour maximiser sa survie

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12
Q

Vrai ou faux.
Il y a un pic de lactation chez tous les primates

A

Faux. Plus une bonne stratégie pour les primates dont les nourrissons dépendent du lait maternel plusieurs années.

ex : certains singes du nouveau et ancien monde, grands singes, humains

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13
Q

Comment se déroule l’effort de lactation chez les primates dont les nourrissons sont sevrés après plus d’un an

A

Effort de lactation stable et constant au cours des années jusqu’au sevrage. Le bébé complète de plus en plus avec de la nourriture solide jusqu’à ce qu’il soit assez mature pour se faire sevrer et commencer à s’alimenter seul entièrement

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14
Q

Vrai ou faux.
Les nourrissons attirent souvent l’attention des membres du groupe

A

Vrai

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15
Q

Qu’est-ce que la socialisation. Quand commence-t-elle

A

Modification du comportement par l’observation et l’interaction avec d’autres membres du groupe social.

Commence très tôt lorsque les nourrissons jouent et explorent

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16
Q

Les nourrissons comptent-ils plus sur l’apprentissage ou l’instinct de survie

A

L’apprentissage

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17
Q

Agents de socialisation des nourrissons

A
  1. Mères
  2. Mâles adultes
  3. Alloparents
  4. Pairs
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18
Q

Mères en tant qu’agent de socialisation

A

Liens mère-enfant toujours très fort et peuvent persister toute une vie.
-Philopatrie femelle : lien mère-fille
-Philopatrie mâle : lien mère-fils

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19
Q

Variabilité des soins de la mère en fct de l’âge

A

Une femelle plus âgée va plus investir dans son bébé car c’est peut-être sa dernière reproduction et elle veut s’assurer d’augmenter le fitness de son enfant au maximum

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20
Q

Qu’est-ce que la parité d’une femelle et en quoi est-ce que cela va influencer les soins maternels

A

Nombre de naissances qu’une femelle a eu (nullipare = 0, primipare = 1, multipare = plusieurs)
-Les femelles primipares n’ont peut-être pas encore fini leur croissance et vont donc moins investir pour le bébé
-Aussi lié avec l’âge de la mère (une mère ayant eu bcp de bébés est rendue plus vieille et va plus investir)

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21
Q

Influence du rang de dominance de la mère sur les soins maternels

A

Dans les sociétés de primates despotiques (hiérarchie de dominance), -les femelles de haut rang sont plus détendues pour élever leurs nourrissons car ceux-ci ont aussi un statut élevé, donc personne ne s’en prendra à eux.
-les femelles de bas rang sont plus stressées car leurs nourrissons peuvent se faire agresser par des individus de plus haut rang. Aussi, comme les bébés sont attrayants, une femelle de haut rang peut en prendre un dans ses bras et si elle ne le ramène pas rapidement il pourrait être blessé.

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22
Q

Variabilité des soins maternels selon le tempérament de la mère

A

Certaines mères sont plus protectrices de leur nourrisson alors que d’autres leur permettent de plus explorer et faire ce qu’ils veulent

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23
Q

Variabilité des soins maternels selon le tempérament du nourrisson

A

Certains jeunes sont timides alors que d’autres sont plus audacieux, ce qui peut affecter les relations mère-enfant

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24
Q

Mâles adultes en tant qu’agent de socialisation

A
  1. Sélection sexuelle et choix de la femelle : femelles préfèrent parfois un mâle qui montre qu’il s’investirait avec les nourrissons
  2. Investissement parental : un mâle va s’investir dans les soins d’un nourrisson s’il est certain d’être le père (car il contient la moitié de ses gènes)
  3. Sélection de parentèle : un mâle peut donner des soins aux nourrissons d’un de ses parents car ils partagent une portion de matériel génétique
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25
Q

Types de soins paternels

A
  1. Indirects : détection et défense contre les prédateurs, défense des ressources pour le groupe
  2. Directs : -soins directs aux nourrissons lorsqu’ils ont besoin d’un investissement parental élevé (ex : callitrichidés)
    -soins aux nourrissons plus élevés lorsque la certitude de parenté est élevée (monogamie)
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26
Q

Quel est le continuum d’interaction entre les mâles adultes et les nourrissons

A

Utilisation et abus < tolérance < affiliation occasionnelle < affiliation < soins intensifs

27
Q

Que sont les soins intensifs des mâles

A

-Mâles passent une grande partie de la journée à s’occuper des nourrissons
-Tâches parentales partagées
-Soins prennent fin quand le nourrisson peut bouger de manière indépendante
-Courant chez les primates monogames et polyandres

28
Q

Par quelle hormone sont médiés les soins intensifs + impacts

A

Par la prolactine.
-Stimule les glandes mammaires à produire et sécréter du lait
-Niveaux élevés de prolactine chez les mâles prodiguant des soins parentaux

29
Q

Qu’est-ce qui vient en premier chez les mâles prodiguant des soins intensifs aux nourrissons : la prolactine ou les soins parentaux

A

La prolactine inhibe la testostérone (hormone de forte compétition mâle-mâle et d’agressivité) et stimule la prestation de soins aux nourrissons

30
Q

Interaction d’affiliation mâle-nourrissons

A

-Interactions amicales des mâles avec certains nourrissons sans prodiguer de soins intensifs
-Les nourrissons vont vers ces mâles en périodes de détresse ou si la mère est absente
-Les mâles protègent les nourrissons affiliés des autres membres du groupes

31
Q

Interaction d’affiliation occasionnelle et de tolérance mâle-nourrisson

A

-Dans certaines sociétés, mâles n’interagissent pas bcp avec les nourrissons
-Affiliations occasionnelles
-Certains mâles auront rarement des comportements d’affiliation mais vont tolérer les nourrissons quand même
ex : macaque japonais et rhésus

32
Q

Interaction d’utilisation et d’abus mâle-nourrisson

A

Interaction bénéfique pour le mâle mais nuisible pour le nourrisson
1. Agonistic buffering : un mâle peut prendre un nourrisson lors de rencontres agressives mâle-mâle pour diminuer l’agression de l’autre. Si le mâle blesse le bébé, la famille viendra supporter celui qui tient le bébé
2. Infanticide

33
Q

Qui sont les alloparents et quel est leur avantage de socialiser/aider avec les nourrissons

A

Femelles apparentées et jeunes femelles
1. Hypothèse du « Learning to Mother » : Femelles nullipares vont apprendre comment devenir mère (peut être avantageux pour l’alloparent, sélection individuelle)
2. Hypothèse du « Maternal relief » : Filles plus âgées de la mère aident la mère avec les bébés (sélection de parentèle)

34
Q

Deux généralisations sur l’alloparentage chez les primates

A
  1. Les jeunes nourrissons sont les plus intéressants pour les membres du groupe et ils sont les plus tenus/portés.
  2. Les femelles sous-adultes/jeunes/nullipares sont les plus intéressées aux nourrissons
35
Q

Comment les petits attirent les alloparents

A

Parfois un potage coloré, ce qui attire les adultes qui viennent s’occuper d’eux

36
Q

Quelles sont les espèces de primates plus permissifs et lesquels sont plus despotiques

A

Permissifs : colobes
Despotiques : cercopithèques

37
Q

Qu’est-ce que le Aunting to death + fonction évolutive.
Chez quel type de société cela se produit-il

A

Les femelles alloparentes sans expérience ne savent pas comment s’occuper d’un nourrisson et elles peuvent devenir agressive plus le bébé pleur. Si la mère ne le récupère par rapidement il peut même mourir.

Fct évolutive : femelle se débarrasse de la compétition pour les ressources.

Se produit dans les sociétés despotiques et les femelles inférieures sont donc plus réticentes à laisser leur bébé

38
Q

Qui sont les pairs des nourrissons comme agent de socialisation

A

Des compagnons de leur âge pas nécessairement apparentés
-Permet d’acquérir des compétences sociales

39
Q

Causes de mortalité infantile

A
  1. Maladies : parasites, virus, infections.
    -Souvent transmis par les humains
  2. Événements stochastiques : prédation (nourrissons souvent visés)
  3. Infanticide :
    Mâle : tue un nourrisson pour pouvoir s’accoupler avec la mère (ex : colobes noirs et blancs)
    Femelle : tue un nouveau-né pour que sa propre progéniture ait accès à plus de ressources (ex : chimpanzés)
40
Q

Pourquoi la mortalité infantile augmente durant la période de sevrage

A

Difficultés à satisfaire leurs besoins alimentaires de façon autonome

41
Q

Différences de sevrage entre les sexes

A

Fils souvent sevrés plus tard que les filles (ex : chimpanzés) car la possibilité d’avoir plus de bébés est bcp plus grande chez les mâles (augmente la valeur inclusive et leur permet d’avoir plus de petits-enfants)

42
Q

Comment les humains ont raccourci leur âge de sevrage

A

Reproduction coopérative :
1. Alloparentage des frères, soeurs et parenté (s’occupent et nourrissent des nourrissons)
2. Alimentation complémentaire : on donne aux bébés des aliments complémentaires très nutritifs et faciles à digérer
3. La mère est approvisionnée par le père durant la grossesse et l’allaitement (évite qu’elle ait besoin de sortir chercher de la nourriture)

43
Q

Impacts de la reproduction coopérative

A

-La tâche des soins aux nourrissons est répartie avec plus de personnes par les alloparents (mère diminue une portion de son investissement parental)
-> permet aux mères de sevrer bcp plus tôt sans mettre en danger la survie de la progéniture
-> augmentation du taux de fécondité et augmentation de la croissance démographique

44
Q

Qu’est-ce que la période juvénile

A

Période du sevrage à la maturité sexuelle
-Contrairement aux nourrissons, ils ne dépendent plus de leur mère pour s’alimenter

45
Q

Deux stratégies de survie pour les juvéniles (+ quel groupe fait chaque stratégie) avec avantages et coûts de chacun

A
  1. Croissance rapide pendant la période juvénile (période juvénile courte, strepsirrhiniens) :
    A : minimise le temps passé dans une période vulnérable de la vie
    C : Croissance rapide demande bcp d’É
  2. Croissance lente pendant la période juvénile (période juvénile longue, haplorrhiniens) :
    A : croissance lente = besoins alimentaires réduits
    -> minimise le risque de mourir de faim
    C : Vulnérabilité accrue aux prédateurs
46
Q

Quand se fait l’émigration

A

Durant la période juvénile

47
Q

Avantages et inconvénients d’être un juvénile pour trouver de la nourriture

A

A : accès à des ressources inexploitables par les adultes (ex : fruits aux bout des branches)
I : trouvent de la nourriture moins efficacement que les adultes

48
Q

Comment les juvéniles acquièrent leurs compétences sociales, avec qui formeront-ils leurs alliances

A

Par le jeu.
Les partenaires de jeu peuvent devenir de bons alliés à l’âge adulte (alliances souvent avec membres du même sexe car c’est avec ceux-ci qu’ils jouaient)

49
Q

Caractéristiques du jeu

A

-Exagéré
-Répété
-Maîtrisé
ex : combats contrôlés

50
Q

Façons de jouer

A

-Solitaire
-Solitaire avec objets de l’environnement
-Social avec les autres

51
Q

Les juvéniles de groupes monogames jouent avec qui

A

-Voisins, frères, soeurs, parents
-Jeu solitaire courant

52
Q

Qu’est-ce que la puberté + changements physiques

A

Processus de maturation sexuelle
-Testicules commencent à produire testostérone (mâles)
-Ovaires commencent à produire progestérone et oestrogène (femelles)
-Développement de caractéristiques sexuelles secondaires

53
Q

Différences de comportement selon le sexe à la puberté

A

Juvéniles mâles :
-Plus agressifs
-Jeu plus brutal
-Plus indépendants de leur mère
-Moins intéressés par le toilettage
-Moins intéressés par les autres nourrissons

54
Q

Comment se passe la transition vers l’âge adulte pour les juvéniles

A

-Plus graduel pour les mâles que les femmes
-La dispersion se produit avant que l’individu devienne sexuellement actif
-Mortalité élevé dans le sexe qui se disperse

55
Q

Que se passe-t-il à l’âge adulte

A

Pas de grandes étapes, assez continu jusqu’à la mort. Doivent seulement se reproduire.

56
Q

Qu’est-ce qui influence l’espérance de vie des primates

A

Leur taille. Plus ils sont gros, plus ils vivent longtemps.

57
Q

Durée de vie mâle vs femelle

A

Femelles vivent plus longtemps que les mâles :
-Mâles ont tendance à avoir des vies plus risquées (plus grande compétition intra-sexuelle -> bagarres physiques)
-Testostérone diminue syst. immunitaire -> plus faible résistance aux maladies

58
Q

Qu’est-ce que la ménopause

A

Arrêt de la reproduction alors que les autres organes restent en bonne santé.
-Mâles peuvent continuer à se reproduire jusqu’à la mort

59
Q

Comment les femelles primates non humaines ont tendance à rester fertile jusqu’à la mort malgré la ménopause

A

Peu de femelles vivent jusqu’à ce qu’elles soient assez âgées pour tomber en ménopause (autour de 50 ans)

60
Q

Différences liées à la ménopause en primates non humains et humains

A

-Pas de période post-reproductive chez les primates non humain (contrairement aux humains où la ménopause se produit en milieu de vie)
-Chez les humains, associé à l’augmentation de la survie des petits enfants qui devient plus avantageux que de se reproduire soi-même (pas vrm d’avantage chez primates non-humains)

61
Q

Qu’est-ce que l’hypothèse de la grand-mère

A

Devient plus avantageux pour leur fitness d’aider la reproduction des ses enfants après un certain âge que d’en avoir plus soi-même car :
-Augmente la fertilité de leur fille
-Raccourcissement des intervalles de naissance de leur fille
-Approvisionnement alimentaire aide les enfants à prendre du poids

62
Q

Expérience du vieillissement chez les primates

A

-Dépend de l’organisation sociale du groupe. Un primate dominant dans un groupe népotique sera mieux inclut lorsqu’il sera vieux
-Les vieux se reposent plus et se nourrissent moins
-Locomotion peut changer (ex : marcher au sol plutôt que sauter entre les arbres)
-Peuvent devenir plus isolés socialement

63
Q

Qu’a permis la reproduction coopérative chez les humains

A

De sevrer les enfants plus rapidement, d’avoir une fécondité plus élevée et de connaître une forte croissance démographique

Primatologie (12 decks)

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