Cours 9 Flashcards

1
Q

Stress ________ :
Un ou plusieurs à la fois
Gravité des événements de vie
Fréquence des tracas de la vie quotidienne

Stress ________ :
Stress relationnel (par exemple, personnes séparées et divorcées plus malades que personnes en couples ou mariées)

Stress professionnel (par exemple, personnes dans professions stressantes plus malades que personnes dans professions non stressantes).

A
  1. aigü
  2. chronique
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2
Q

de quoi s’agit-il?

Variables qui peuvent modifier le lien entre deux variables.
Par exemple, un ______ _______ qui modifie le lien entre l’agent stresseur et l’état de stress en augmentant ou en diminuant l’état de stress.

A

Facteurs modérateurs

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3
Q

nommez des Facteurs modérateurs:

A

Coping
Soutien social
Personnalité
Contrôle

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4
Q

Le coping consiste dans le processus de ..? (Lazarus et Launier, 1978).

A

gestion des sources de stress évaluées par l’individu comme menaçant ou dépassant ses ressources

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5
Q

Les styles de coping font référence à un 1. (être stable dans la manière de s’ajuster),

tandis que les stratégies de coping font référence à un 2. (s’ajuster de manière différente en fonction du moment et des exigences de la situation).

A
  1. trait
  2. état
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6
Q

La confrontation versus l’évitement (Roth et Cohen, 1986):

  1. confrontation au problème, recueil d’information et action directe.
  2. minimisation de l’importance de l’événement. Est équivalent à coping répressif (Myers, 2000) et à la non-expression émotionnelle (Solano et coll., 2001).
A
  1. Confrontation (coping actif)
  2. Évitement (coping évitant)
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7
Q

vrai ou faux

les personnes ont tendance a utiliser les deux formes de coping (évitement et confrontation)

A

faux

Les personnes ont tendance à utiliser une forme ou l’autre de coping.

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8
Q

Évitement est plus efficace pour 1.____ ______ (ex. visite chez le dentiste)
Confrontation est plus efficace pour 2. _____ _____ (ex. conflit marital)

A
  1. stress aigu
  2. stress chronique
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9
Q

Désigne différents types de stratégies de coping plutôt que des styles antagonistes comme c’est le cas dans les styles de coping de confrontation versus d’évitement.

A

Coping centré sur le problème versus coping centré sur l’émotion:

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10
Q

Les personnes peuvent même utiliser en même temps des stratégies de coping centrées sur le problème et sur l’émotion; ce qui est le cas des personnes souffrant _____ _______.

A

d’arthrite rhumatoïde

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11
Q

Il s’agit d’actions visant à réduire les exigences de la source de stress (ex. mettre en place un plan d’action et s’y tenir) ou à augmenter les ressources disponibles pour la gérer (ex. se former pour améliorer sa qualification en vue d’une évolution de carrière).

A

Coping centré sur le problème

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12
Q

A pour objectif de réduire l’impact négatif du stress en atténuant les émotions désagréables qu’il suscite. Ces stratégies peuvent être comportementales (ex. en discuter avec un ami ou consommer de l’alcool) et/ou cognitives (faire comme si rien ne s’était passé ou voir les bons côtés des choses).

A

Coping centré sur l’émotion

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13
Q

associer ses stratégies de coping selon s’ils sont orientées sur le problème ou l’émotion.

Maîtrise de soi (j’ai essayé de ne pas suivre ma première impulsion)

Esprit combatif ou acceptaion de la confrontation

Prise de distance ou minimisation des menaces

Auto-accusation (j’ai compris que c’est moi qui ai créé le problème)

Fuite-évitement (manger, boire, se droguer)

Résolution du problème, dont la recherche d’information.

Recherche d’un soutien social (j’ai discuté avec quelqu’un pour me faire une idée plus précise)

A
  1. Coping centré sur le problème

Résolution du problème, dont la recherche d’information.

Esprit combatif ou acceptation de la confrontation

  1. coping centré sur l’émotion
    Prise de distance ou minimisation des menaces

Auto-accusation (j’ai compris que c’est moi qui ai créé le problème)

Fuite-évitement (manger, boire, se droguer)

Recherche d’un soutien social (j’ai discuté avec quelqu’un pour me faire une idée plus précise)

Maîtrise de soi (j’ai essayé de ne pas suivre ma première impulsion)

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14
Q

Facteurs influençant le type de stratégie utilisé

Type de problème
1. Stress professionnel = ?

  1. Stress dû à la maladie = ?
A
  1. coping centré sur le problème
  2. coping centré sur les émotions
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15
Q

Facteurs influençant le type de stratégie utilisé

Âge:

  1. Enfants = ?
  2. Dans la cinquantaine =?
  3. Personnes âgées (65 ans et +) = ?

(Folkman et coll., 1997).

A
  1. coping centré sur le problème
  2. coping centré sur le problème
  3. coping centré sur les émotions
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16
Q

Facteurs influençant le type de stratégie utilisé:

Contrôlabilité :

  1. Stress contrôlable =?
  2. Stress incontrôlable (parfois par manque des ressources comme temps, argent, soutien des autres, éducation) =?
A
  1. coping centré sur le problème
  2. coping centré sur l’émotion.
17
Q

Les mesures générales du coping les plus utilisées sont le

A

Ways of Coping Checklist (WCC; Folkman et Lazarus, 1988) et le COPE (Carver et coll., 1989).

18
Q

Il existe aussi des mesures spécifiques du coping :

  1. l’échelle de coping de Latack (1986), l’échelle de Parks (1984), l’échelle de coping de Long (1990);
  2. (Coping with Health Problems and Injuries Scale CHIP; Endler et Summerfeldt, 1998),
  3. (Coping Strategies Questionnaire CSQ; Rosentiel et Keefe, 1983),
  4. (Medical Coping Modes Questionnaire MCMQ; Feifel et coll. 1987).
A
  1. Face à des stresseurs professionnels ?
    • Face à des stresseurs de maladie comme pour le coping face à la maladie
  2. le coping face à la douleur
  3. le coping face à une hospitalisation
19
Q

Le soutien social implique non seulement le nombre de personnes proposant un soutien social, mais aussi …? (Sarason et coll., 1983).

A

la satisfaction qu’entraîne ce soutien social

20
Q

Une augmentation du soutien social permet de prédire …? (Berkman et Syme, 1979).

A

une diminution du taux de mortalité

21
Q

Types de soutien social: Selon Lett et coll. (2005):
1. (nombre et fréquence des contacts) ?

  1. (perception des bénéfices apportés par le soutien structurel).
A
  1. Soutien structurel
  2. Soutien fonctionnel
22
Q

La mesure la plus communément utilisée est la version longue du ? (QSS; Sarason et coll., 1987) qui mesure le nombre de personnes disponibles pour apporter du soutien et le bénéfice rendu à l’individu.

A

Questionnaire de Soutien Social

23
Q

vrai ou faux

Il existe un consensus concernant la relation entre les personnalité de type A (hostilité, impatience, sens aigu d’urgence, ambition) et les maladies cardiovasculaire comparativement au type B.

A

faux.

Plusieurs études ont confirmé la relation entre la personnalité de type A (hostilité, impatience, sens aigu d’urgence, ambition) et les maladies cardiovasculaires, comparativement au type B (calme, au ralenti) (Rosenman et coll., 1975; Haynes et coll., 1980).

Toutefois, d’autres études (e.g. Johnston et coll., 1987) n’ont pas montré de relations entre la personnalité de type A et les maladies cardiovasculaires.

Par la suite, les études se sont donc concentrées sur certains traits de personnalité afin de découvrir quel est le «noyau toxique» présent chez la personnalité de type A, qui expliquerait leur plus grande vulnérabilité aux maladies cardiovasculaires.

24
Q

Plusieurs synthèses et méta-analyses (e.g. Smith et coll., 2004; Vollrath, 2006) quel est le trait de la personnalité de type a qui explique une relation stable, mais modérée, avec les pathologies coronariennes?

A

l’hostilité.

25
Q

L’hostilité englobe des attitudes, croyances et perceptions négatives vis-à-vis des autres, qui sont supposés être la ? (Smith, 1994).

A

source de nos problèmes

26
Q

Il existe deux types de contrôle situationnel, que sont-ils?

A

Le contrôle effectif ou situations directement contrôlables

le contrôle non effectif ou situations qui ne sont pas directement contrôlables.

27
Q

de quel type de contrôle situationnel s’agit-il?

Les recherches montrent que les individus ayant à affronter une situation stressante, mais contrôlable ont un état de santé équivalent à celui d’individus non stressé (Bruchon-Schweitzer et Boujut, 2014, p. 290).

A

(contrôle effectif)

28
Q

de quelle type de contrôle situationnel s’agit-il?

Lorsque les situations stressantes ne sont pas directement contrôlables

A

contrôle non-effectif

29
Q

il existe des modalités indirectes de contrôle pouvant être induites ou facilitées par le contexte. que sont-ils?

A

contrôle décisionnel, cognitif ou informatif.

30
Q

En majorité, les études montrent l’effet bénéfique d’un lieu de contrôle interne sur la santé. pourquoi? (Bruchon-Schweitzer et Boujut, 2014, pp. 301, 302).

A

Ce serait en grande partie parce que l’internalité favorise les comportements de protection

31
Q

Contrôle transactionnel: Le contrôle transactionnel (ou perçu) ____, _______ en général l’impact des situations aversives sur les issues de santé (Bruchon-Schweitzer et Boujut, 2014, p. 303).

En psycho-neuro-immunologie, des niveaux de contrôle \_\_\_\_\_\_ sont associés à une altération des réponses immunitaires, ce qui pourrait favoriser l’évolution des infections et des tumeurs; au contraire, des niveaux de contrôle \_\_\_\_ sont associés à un meilleur fonctionnement immunitaire, ce qui aurait un impact bénéfique sur la santé (Argaman et coll., 2005; Griffin et Chen, 2006; Reynaert et coll., 1995).
A

fort, atténue

faible,

forts