Deck 1 Flashcards
(715 cards)
Diagnostic histologique de la maladie coeliaque ?
Aspect macroscopique en mosaïque
Atrophie villositaire variable et quasi pathognomonique
Augmentation des lymphocytes intra épithéliales enterocytaires (T CD3+, CD8+)
Hyperplasie des cryptes
TJRS au niveau du Duod.
Vers quoi peut évoluer, dans de rares cas, la maladie coeliaque ?
Vers un lymphome digestif de type T
Citer des manifestations extra digestives de la maladie coeliaque ? (4)
Dermatite herpétiforme
Arthralgies
Diab type 1
Manifestations auto-immunes diverses ( déficit en IgA, thyroidite, Sjörgen,…)
Les gliadines, c’est quoi ?
Fragments de protéines contenues dans le gluten, provoquant l’intolérance au gluten
Comment se fait le dépistage de la maladie coeliaque ?
Anticorps anti-endomysium
Diagnostic de la maladie coeliaque évoqué quand ?
Évoqué devant signes mineurs ou dissociés de malabsorption associés à une diarrhée chronique, parfois très discrète. Dans certains cas, les signes carentiels révèlent la maladie.
Citer : signes carentiels
Anémie ferriprive
Syndrome ostéomalacique
Aphtose récidivante
Syndrome intestin irritable
Manifestations neurologiques
Élévation transaminase
SEP caractérisée par 2 types de lésions :
- Démyélisation inflammatoire de la substance blanche en plages circonscrites bien limitées : les plaques
- Démyélinisation inflammatoire paucicellulaire du cortex cérébral
Mécanisme lésionnel des plaques de SEP? (Physiopath)
C présentatrices d’Ag-> activation de T CD4+ capables de passer la BHE ( anormal) -> pullullation de cellules auto-réactives mais également de cellules B
Diagnostic SEP :
Démontrer dispersion spatiale et dispersion temporelle
NB: BOC peut remplacer le critère de dissémination temporelle s’il n’est pas présent d’emblée
SEP : quelles séquences à l’IRM ? (3)
Flair/T2 : plaques hyper intenses (blanc) > doigts de Dawson ( dirigées de manières radiaires)
T1/Gadolinium : plaque active laisse passer Gado car BHE perméable
STIR (technique d’inversion récupération) : T2/flair + sensible pour la moelle
SEP : quelles séquences à l’IRM ?
Flair/T2 : plaques hyper intenses (blanc) > doigts de Dawson ( dirigées de manières radiaires)
T1/Gadolinium : plaque active laisse passer Gado car BHE perméable
Origines de la SEP, 3 catégories de facteur
Raciaux, génétiques, environnementaux (agents infectieux/Ebv, vit D, tabac, jeune)
Nouvelle classification SEP ?
Selon l’activité inflammatoire ( poussée clinique, T1+Gd) et selon la progression ( détérioration fonctionnelle sans poussée identifée )
Age pic fréquence SEP ?
Entre 20 et 40 ans, femmes ++
Définition d’une poussée de SEP ?
Apparition de nouveaux signes neurologiques ou aggravation de signes préexistants pdt + de 24h et à distance d’un épisode fébrile
SEP : symptômes inauguraux principaux
- Signes moteurs : mono-para parésie ( rarement hémi )
- Névrite optique retrobulbaire : baisse acuité visuelle svt accompagnée de D+ oculaires assez vives ( stt qd mvmt des yeux) avec FO normal. Dyschromatopsie rouge vert scotome possibles.
-Troubles sensitifs (dont signe de Lhermitte)
-Atteinte autres nerfs crâniens : V, VI.
-Ophtalmoplégieinternucléaire - Atteinte cérébelleuse
- Syndrome vestibulaire - troubles spincteriens et sexuels ( rarement inauguraux, + formes tardives)
Névralgie du trijumeau chez une femme jeune, penser à ?
SEP
SEP : symptômes à la phase d’état (accumulation de déficit ayant persisté après apparition des plaques)
-Troubles cognitifs
-Fatigue
-Douleurs
-Manifestations paroxystiques diverses (non D+, plutôt motrices : spasmes, dystonies des membres, …)
SEP : symptômes à la phase d’état (accumulation de déficit ayant persisté après apparition des plaques)
-Troubles cognitifs
-Fatigue
-Douleurs
-Manifestations paroxystiques diverses (non D+, plutôt motrices : spasmes, dystonies des membres, …)
Explorations SEP ?
-IRM: dispersion
-Bio : exclure autre diagnostics, infections ( HIV, Borrelia, syphilis, mycoplasme …) + bilan auto immun
-PL: fractionnement oligoclonal IgG + exclure cytorachie élevée
- Potentiels évoqués
Myopathies inflammatoires immunologiques (locales ou systémiques) à connaître par 💎
- Polymyosite
- Dermato-polymyosite
- Myosite nécrosante
- Myosite à inclusion
Citer LA myosite paranéo ?
La dermato-myosite : dans 70% des cas les manifestations locales du cancer précèdent
Signes et symptômes des dermatomyosites ?
Signes cutanés ( œdème couleur lilas périorbitaire, érythro-oedeme visage cou décolleté épaule, papules de Gottron, érythème periunguéal)
Signes musculaires : parésies essentiellement proximale, sans amyotrophie et prédominant aux ceintures, atteintes fléchisseurs de la nuque, dysphagie fréquente, d+
Autres : parfois d+ articulaires, phénomène de Raynaud, atteinte cardiaque infra-clinique et un syndrome intersitiel pulmonaire