Dépendance (Exam 1) Flashcards

(62 cards)

1
Q

définition drogue

A

toutes subs chimiques qui peuvent modifier le fctment du cerveau et provoquer ainsi des modif psychiques et comportementales

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2
Q

Drogue: agit sur le système…

A

nerveux central

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3
Q

Drogue: altère l’état de conscience en :

A

affectant les neurotransmetteurs qui agissent sur toutes les régions du cerveau, particulièrement sur le sys limbique

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4
Q

Drogue: peut affecter:

A
  • humeur et émotions
  • perceptions
  • sensations
  • mémoire
  • comportements
  • attitudes
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5
Q

Drogue: synonymes

A

substances psychoactives (SPA_
psychotropes
stupéfiants (pour drogues illicites)

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6
Q

V/F

L’alcool est aussi une substance psychoactive, au mm titre que le tabac

A

V

  • -> Drogues licites
  • -> vente ctrlée par l’état
  • —> Comme le cannabis maintenant
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7
Q

quel est l’une des drogues les plus dangereuse selon prof?

A

alcool

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8
Q

3 plus grandes catégories de drogues

A
  • dépresseurs du SNC
  • Stimulants du SNC
  • Perturbateurs du SNC
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9
Q

dépresseurs du SNC:

effet + subs

A

ralentit le SNC

Alcool, GHB, opiacés (héroïne, etc), substances volatiles (ex: essence inhalée)

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10
Q

V/F

La catégorie des perturbateurs est la + dangereuse en terme de surdose… souvent qud associé avec alcool

A

F

dépresseurs

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11
Q

Stimulants du SNC

effet + subs

A
Garde + réveiller, pour être plus performants
stimulants majeurs (cocaïne, amphétamine [speed, ice, Cristal Meth]), stimulants mineurs récréatifs (caféine, chocolat, théine, nicotine, boissons énergisantes, etc)
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12
Q

Perturbateurs du SNC

effet + subs

A

effet principal=perturbe, mais peut aussi stimuler ou déprimer
cannabis et dérivés, hallucinogènes (PCP, Kétamine, LSD, mescaline, champignons magiques, etc)

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13
Q

2 autres catégories de drogues:

A

Médical

Sport

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14
Q

Catégorie de drogues médicales

A

médicaments psychoactifs (psychothérapeutiques)
ex: anxiolytique, sédatifs, somnifères, hypnotique, anti-dépresseurs, antipsychotiques, stabilisateurs (pas tous les mdx = drogues)

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15
Q

Catégorie de drogues sportives

A

androgène et stéroïdes anabolisants (produits de perfo)

ex: testostérone et dérivés, danazol, nandrolone

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16
Q

le concept d’addiction ou de dépendance aux substances (toxicomanie), aux jeux de hasard et d’argent (jeu pathologique), à Internet (cyberdépendance), au sexe, etc… partagent les éléments suivants:

A
  • obsession mentale
  • besoin vécu comme irrésistible
  • incapacité de s’abstenir
  • tolérance
  • plusieurs prob associés (ex: délinquance)
  • certains facteurs de risques communs

comportement –> habitude –> nécessité

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17
Q

Distribution de dépendance dans la population

A
  • dépendance, addiction ou assuétude : 5%
  • usages à risque incluant l’abus : 5-10%
  • usages récréatifs : 85-90%
  • -> voir cours 1 p.9
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18
Q

continuum de la consommation de psychotropes

A

p.9 cours 1

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19
Q

historique de la toxicomanie: 19e siècle

A
  • Produits destinés à un usage thérapeutique (traditionnel
    ou médicaux) (drogue était pas illégale avant, mais était utilisé ds coutume/rituel de façon récréative ou de façon médicinale ex: opium, cocaïne)
  • Tolérance socio-culturelle dans les pays producteurs
    — Intégration de la prise de substances dans les rituels
  • But hédoniste surtout observé dans les milieux
    scientifiques ou artistiques (milieux mieux nantis)
  • 1849: le suédois Magnus Huss établit le concept
    d’alcoolisme
  • 1853: ajout du terme « manie » pour décrire les
    comportements qui sont les symptômes de l’usage des
    substances (ex.: cocaïnomanie, morphinomanie, etc.)
  • 1880: apparaît le générique: toxicomanie
    **hédonisme: doctrine qui prend pour principe de la morale la recherche du plaisir et l’évitement de la souffrance
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20
Q

historique de la toxicomanie: 20e siècle

A
  • 1950: distinction entre la dépendance physique et la
    dépendance psychologique
  • 1960: observation de toxicomanes en provenance surtout de milieux artistiques, médicaux, paramédicaux et sociaux
    — Soldats (guerre du Viêtnam)
  • 1970: Etats-Unis aux prises avec le phénomène d’injection des opiacés (héroïne)
    — Perception du « toxicomane » comme étant un individu UDI (UDI: utilisateurs de drogues injectables)
    — Sevrage: seule piste de réhabilitation (ajd: meilleure méthose et pas de sevrage pour tt les cas)
    — Prise en charge psychiatrique
  • 1980: problématiques de santé publique amplifiées reliées aux usagers des drogues injectables ou inhalées
    — SIDA, hépatites, etc.
    — Changement de mentalité: contrôle des risques
    —— Politique de réduction des méfaits (travaille pas sur abstinence, plus de réduire les risques associés à la conso ex: prog d’échanges de seringues)
    —— Toxicomane VS Usager de drogues
  • 1990: Explosion de la polyconsommation (souvent alcool et drogue)
    — Reliée à la mondialisation du trafic des pays producteurs des différentes substances (complique les interventions médicales…)
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21
Q

historique de la toxicomanie: 21e siècle

A
  • Les nouvelles drogues de synthèse: imitent les effets de d’autres produits (ex: cocaïne), produits chimiquement en labo
    ex: sel de bain: imitateur amphétamine, spice: imitateur de cannabis majorité des labs clandestins en Amérique du Nord, mais un peu partout, nouvelle sorte presque à ch jour, souvent sous forme de pilule, mais pas tjrs
  • la crise (ou épidémie) des opioïdes: psychotropes de synthèse, aug de l,utilisation des opioïdes…. au départ en lien avec l’aug des prescriptions…
    bcp de gens consomment des opioides en vente libre et l’utilise en loisir…mais risque de surdose très fort et de mort!
    un qu’on connait plus: fentanil, mais plusieurs comme oxydone, oxycontin
    souvent mdx pour contrer la dlr
    crise: aug fulgurente de décès liée à des surdoses d’opioïdes
    +: légalisation du cannabis au Canada marque aussi 21e siècle (était déjà légal ds d’autres pays ou états des USA) Légalisation souvent + a/n politique que mdx…
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22
Q

Conceptions de la toxicomanie (4) + descriptions

A

–> toutes ces conceptions existent encore !, mais sys de tx tente bcp d’aller plus autour de style de vie… mm si modèle md fait ressortir de plus en plus la conception maladie/mdx..(combat entre les 2.. médical contre psychosocial…)

  • Vice moral: vision plus moralisatrice car était les religieux qui s’occupait des toxico
    ex: diable de l’opium, l’enfer de l’alcool…
    le toxico est mauvais comparé aux autres
  • Déviance et crime (menace): pense que la drogue cause absolument le crime… le fait de consommé en soi est criminel!
    comparé au vice moral… c’est la drogue qui était le coupable et non le consommateur
  • maladie et médicalisation (influence de la psychiatrie! ): toxicomanie = maladie… utilisation de mdx pour le contrer… unité d’hospit pour toxico = ds sections psychiatriques
    en gros: la pilule, ça aide bcp….
    toxico: malade qui doit se faire soigné, mais pas vrm le coupable… est responsable de se faire soigner… sevrage = volontaire
  • style de vie (façon + enveloppante, intégrative): ind fait choix de consommer, car considère que c’est la meilleure façon pour lui de s’adapter à sa situation
    donne le pouvoir à la personne de s’en sortir… (pers malade c’est un peu de le déresponsabiliser)
    je me suis mis dans cette situation, je suis capable de m’en sortir, avec aide ou pas !
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23
Q

Toxicomanie comme style de vie (plus révision que question!)

A

Plus récente est la tendance à considérer la
toxicomanie comme l’adoption graduelle d’une
orientation générale, un style de vie organisé autour de
la consommation d’alcool ou d’autres drogues…
Considérée sous cet angle, la toxicomanie en vient à
représenter pour la personne sa technique d’adaptation
privilégiée.» (Cormier, 1993: p.12)

toxico = pas positif, mais sans la conso, plusieurs pers toxico se seraient enlevés la vie sans la conso… moyen temporaire pour faire face aux épreuves
–> Imp de parler aux pers pour voir la façon qu’ils voient les choses

style de vie organisé autour: les toxico prennent la majorité de leur temps pour acheter, trouver, préparer et consommer… et pensent tjrs à comment ils vont s’y prendre la prochaine fois… tout tourne autour de la conso

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24
Q

Que veut dire la nouvelle appellation TUS?

A

Trouble d’utilisation de substances (terme utilisé ds DSM-V)
un ensemble de symptômes cognitifs, comportementaux et physiologiques indiquant que le sujet continue de consommer la substance malgré des problèmes significatifs liés à cela ».
Ce continuum caractérise la dépendance aux SPA allant de légère à sévère (pas tout blanc ou tout noir ds nouveau DSM)

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25
4 types de tolérance + définition
TOLÉRANCE: un symptôme de la dépendance - Métabolique (naturelle ou innée)  Adaptation progressive à la substance: nécessite des doses croissantes pour obtenir le même effet  Métabolisation plus rapide (phénomène courant, pas nécessairement positif (par ex: tolérer alcool), car ça peut être un risque parmi d'autres de devenir dépendant) - Naturelle  Facteurs génétiques (si parents portent bien alcool, risque que tu portes plus l'alcool aussi... pas nécessairement un risque de dépendance) - Inversée  Réaction à de très faibles doses (en prends vrm pas bcp pour ressentir les effets d'être saoul... foie ne métabolise pu bien l'alcool, ce qui fait en sorte que petite qut peut avoir gros effets sur la pers... plutôt rare !)  Intoxication survient plus rapidement - Croisée  Tolérance aux substances apparentées sur le plan pharmacologique  Molécules chimiques similaires (ex: benzodiazépines: md psychotropes pour traiter sommeil/anxiété. on peut avoir déjà dév une certaine tolérance sans avoir consommé de benzo, pcq dév une tolérance à une substance ayant des effets similaires (ex: alcool, car dépresseur du SNC comme les benzo)... plus fréquent que inversée)
26
Qu'est-ce que le craving?
envie impérieuse et irrésistible de consommer un produit, dans une grande intensité et impulsivité
27
Qu'est-ce que le sevrage?
- Ensemble de symptômes physiques et psychologiques désagréables lorsqu’il y a diminution brusque ou arrêt de la consommation. - Souvent un effet contraire à l’effet principal (ex. souvent humeur dépressive en sevrage de cocaïne) - Durée du sevrage dépend du temps que l’organisme met à se rééquilibrer - DEUX phases:  Phase aiguë: liée à la dépendance physique. C’est l’étape de désintoxication (qq jours à qq semaines) (doit souvent être accompagné d'un suivi médical lors de cette période... souvent recommandé de ne pas arrêter tout d'un coup)  Phase subaiguë: liée à la dépendance psychologique. L’attraction du produit disparaît en quelques mois ou quelques années incluant les « craving » (souvent négligée et bcp plus longues que la phase aigüe... c'est malheureusement la dépendance psychologique qui risque plus de faire recommencer la pers) Peut nécessiter un encadrement médical  Certains produits doivent être arrêtés graduellement (vrm pas tt les produits qui nécessite un suivi md)
28
Troubles liés à l'usage d'une subs (DSM-V)
présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois: ◦ durée et quantité plus importantes que prévues; ◦ désir persistant de limiter l’usage ou efforts infructueux; ◦ consacrer beaucoup de temps pour obtenir, utiliser ou récupérer; ◦ Sentiment de manque (craving); ◦ Manquement dans les obligations majeures au travail, à l’école ou à la maison; ◦ Usage malgré les problèmes sociaux ou interpersonnels causés par la consommation; ◦ activités importantes abandonnées ou réduites à cause de l’usage; (sports, loisirs, implications familiales, sociales, communautaires, ...) ◦ Usage dans des situations pouvant être physiquement dangereuses. (ex: partage de matériel d'injection, overdose, ...) ◦ utilisation continue malgré la conscience des problèmes physiques ou psychologiques causés par la consommation; ◦ tolérance; (aug de la dose pour obtenir les mm effets) ◦ sevrage;
29
V/F | Lorsque surtout tolérance et sevrage, probablement besoin d'un sevrage assisté car dépendance physique
V
30
3 degrés de dépendance différents (DSM)
◦ léger (2 à 3 manifestations) ◦ modéré (4 à 5 manifestations) ◦ sévère (6 et +).
31
V/F | dépendance légère: souvent en déni et on plus d'effets positifs de la conso que négatifs...
V
32
dose efficace:
dose nécessaire pour que 50% de la pop obtienne un effet spécifique
33
dose léthale
dose nécessaire pour que 50% de la pop meurt
34
demi-vie
temps nécessaire pour éliminer 50% d'une subs de l'organisme
35
black out
perte momentanée de mémoire après avoir consommé une drogue | ex: alcool ou GHB
36
badtrip
épisode désagréable survenant après la prise de substances. il est caractérisé par un état de malaise général, anxiété, instabilité de l'humeur, panique et délires paranoïdes
37
surdose(overdose)
prise intentionnelle ou accidentelle d'un produit qqconque en qut sup à la dose limite supportable pour l'organisme, provoque des symptômes divers pouvant aller jusqu'à la mort
38
effet de synergie (déf + 2 types)
Il y a synergie entre deux psychotropes A et B, quand leur association se traduit par un effet pharmacologique supérieur à celui de chaque psychotrope pris isolément» 1) Synergie additive: Effet total = effet de A + Effet de B La synergie additive peut se faire par Addition (ds cas de subs avec mm mécanismes d'actions (mm catégorie) ou par sommation (subs avec effet différents qui se contredisent) 2) Synergie renforçatrice ou de potentialisation : Effet total > Effet A + Effet de B Exemple : Alcool et Diazépam (valium) (MULTIPLICATION! uniquement avec dépresseurs du SNC)
39
antagoniste
Une substance est un antidote ou un antagoniste lorsqu’elle diminue, annule, bloque ou inverse l’activité biologique d’un composé chimique sur l’organisme ◦ Ex.: alcool et méthanol, antigel et alcool pour contrer les effets
40
agoniste
Une substance est un agoniste lorsqu’elle agit comme une autre substance et peut la remplacer ◦ Ex.: Méthadone versus héroïne.
41
Binge drinking (synonymes, critères et conséquences)
Synonymes: ◦ Épisode de consommation excessive/abusive ◦ Intoxication alcoolique aiguë ◦ Hyperalcoolisation ◦ Alcoolisation paroxystique intermittente Critères: ◦ 5 verres hommes et 4 verres femmes Conséquences ◦ Niveau très élevé d’alcool dans l’organisme en peu de temps
42
Élimination de l'alcool
- L’alcool est éliminé par oxydation à 90 % par le foie (15 mg / heure) --- Transformation en oxyde de carbone et en eau (si le foie est en bon état…) - Le reste est éliminé par les poumons, les reins et la transpiration - Seul le temps permet d’éliminer l’alcool dans le sang efficacement: --- pas le café, la bouffe, le cardio ou la douche froide!!!
43
``` V/F Selon la SAAQ (2016): L'alcool au volant demeure, avec la vitesse, l'une des principales causes d'accidents avec décès sur les routes du Québec. De 2010 à 2014 1. annuellement, les accidents dus à l'alcool ont causé en moyenne 33 % des décès 2. 18 % des blessés graves 3. 5 % des blessés légers. Ce qui représente… 1. 140 décès 2. 340 blessés graves 3. 1900 blessés légers. ```
V | le danger est souvent plus imp pour les passagers que le conducteur car qud saoul: plus mou
44
``` Effets de l'alcool (alcoolémie --> effets) 0 à 0,04 0,06 0,08 0,10 0,15 0,20 0,30 0,40 ```
``` 0 à 0,04: • Parfois baisse de l’anxiété et désinhibition 0,06 • Euphorie (sensation de b-ê et satisfaction) • Personnalité plus expressive et bavarde 0,08 • Diminution progressive de l’attention, de la concentration et du jugement 0,10 • Réflexes plus lents •Incoordination motrice •Atteinte progressive de la vision 0,15 • Élocution difficile • Instabilité émotionnelle 0,20 • Propos incohérents •Confusion mentale •Risque de « black-out » 0,30 • Sommeil profond et stupeur • Incontinence urinaire 0,40 • Coma ou mort par arrêt respiratoire ```
45
quels sont le 2 taux d'alcool où il y a le plus de conducteurs mortellement blessés
``` 54%: 0 27%: 151 mg/100mL et + 10%: 81-150 mg/100ml 7%: 1 à 50 mg/100ml 2%: 51-80 mg/100ml ```
46
V/F les femmes s'intoxiquent plus rapidement que les hommes car l'alcool est plus concentré chez la femme car son corps contient moins de sang que celui des hommes (hommes ont plus de M (plus de sang) et les femmes plus de graisses (moins de sang)
V
47
taux d'alcoolémie d'un homme de 150 lbs/5 conso (19h à minuit)
- selon le tableau : 145mg/100ml de sang - élimination de 15 mg/h (sans compter la 1ère heure)=5h-1h - 4h x 15 mg = 60 mg 145 mg - 60mg = 85 mg ou 0,085 g
48
consommation à faible risque selon éduc'alcool (femmes/hommes et tous)
Les femmes: ◦ se limiter à 2 verres par jour et à un maximum de 10 verres par semaine. ◦ ne pas prendre plus de 3 verres en une même occasion. Les hommes: ◦ se limiter à 3 verres par jour et à un maximum de 15 verres par semaine. ◦ ne pas prendre plus de 4 consommations en une même occasion. TOUS: ◦ ne pas consommer d’alcool au moins une ou deux journées par semaine.
49
V/F | L'alcool renferme bcp de vitamines
FAUX --> calories vides (explique pk bcp d'alcoolique dév des probs de santé tel que le syndrome de Korsakoff)
50
V/F La concentration d'alcool dans une bouteille de bière équivaut (correspond) en moyenne à 1,5 onces de whisky ou 5 onces de vin de table
vrai (diapo 13)
51
V/F | Une bonne bière froide désaltère (hydrate)
faux--> déshydrate !
52
V/F | L'abus d'alcool stimule et rend plus puissant sexuellement
faux
53
V/F | L'exercice, les douches froides et le café accélèrent le métabolisme de l'alcool
faux (seul le temps aide)
54
V/F Il n'y a aucun risque d'observer des symptômes d'alcoolisation fœtale chez les enfants dont la mère a pris une consommation d'alcool par jour pendant la grossesse
faux --> Pas de doses prouvées sécuritaire p/r à l'alcool et la grossesse
55
crise des opioïdes
- peut-être fatals, mm à très petite dose - peuvent être mélangés aux drogues de la rue ou être vendus en tant que drogues : --- l’héroïne, la cocaïne, les médicaments d’ordonnance contrefaits comme l’oxycodone et autres drogues de rue - les surdoses suspectées d’être liées aux opioïdes au Canada sont survenues: --- majoritairement chez des hommes (71%) de 20 à 29 ans - 94 % sont des surdoses accidentelles, majoritairement liées au Fentanyl. - Entre 2016 et 2017, le taux de visites à l’urgence pour intoxication liée aux opioïdes a augmenté de 73% en Ontario. - Décès: Augmentation rapide du nombre de décès reliés au Canada --- 9 000 vies perdues au Canada par surdoses apparemment liées aux opioïdes de janvier 2016 à juin 2018. ----- Majoritairement en Colombie-Britannique (754) et en Ontario (638). Au Québec: 195 --- De janvier à juin 2017, le pourcentage de décès impliquant le fentanyl ou les analogues du fentanyl était de 74 % en comparaison de 53 % en 2016. - Hospitalisations: en plus de celles qui ont perdu la vie, des milliers de personnes au Canada ont été touchées par des surdoses d’opioïdes non mortelles et des méfaits connexes au cours des dernières années: --- augmentation de 27 % du nombre d’hospitalisations pour des intoxications liées aux opioïdes au cours des cinq dernières années. --- En 2017, les taux d’hospitalisation étaient 2,5 fois plus élevés dans les collectivités de plus petite taille (comptant entre 50 000 et 100 000 habitants) que dans les grandes villes du Canada.
56
CLASSIFICATION AUTRES STIMULANTS
 Stimulants majeurs - Les plus demandés par les consommateurs - amphétamine et dexamphétamine (Dexedrine®) - Méthamphétamine  Médicaments pour les troubles de l’attention - Moins puissants que les stimulants majeurs - Méthylphénidate (Ritalin®) et autres)  Cathinone et méthcathinone (Nouvelles drogues de synthèse)  Anorexigènes ou inhibiteurs de l’appétit (traitement adjuvant de l’obésité) - Moins puissants que les stimulants majeurs - Diéthylpropion (Tenuate ®)) - Mazindol (Sanorex ®)) - Phentermine (Ionamin)
57
dessiner modèle de la loi de l'effet
Voir diapo 5 p.5 * *jamais tout noir ou tout blanc... va dépendre bcp de la substance elle-mm, mais aussi du contexte dans lequel elle est consommée et par qui elle est consommée ex: violence: pas seulement du à la substance, mais aussi pcq pers plus susceptible de ou contexte...
58
trois composantes de la loi de l'effet
produit(substance) - individu - contexte
59
Loi de l'effet: Produits (subs)
- propriétés (dépresseurs, stimulants, perturbateurs) - interaction entre les drogues - qualité du produit - mode de consommation (poudre: peut être mélangée avec plein d'autres subs, aspect de pureté) dosage-réaction (quantité) temps de réaction, modalités (intervalle des prises, durée de l ’usage) (ex: comestible au cannabis, plus long de ressentir des effets donc en prend plus que nécessaire)
60
Loi de l'effet : Individu
``` conditions biologiques: ■ Hérédité (ex: fils d'alcoolique a plus de chance de devenir alcoolique) ■ Sexe – conditions physiques: ■ Âge ■ Santé ■ Poids et taille – conditions psychologiques: ■ État d’esprit ■ Vision du monde ■ Expériences antérieures (ex: bad trip en consommant une subs, plus de risque de refaire un bad trip) ■ Attentes ■ Valeurs... ```
61
Loi de l'effet : Contexte
``` environnement immédiat de l’expérience: ■ Lieu ■ Ambiance ■ Disposition ■ Présences – contexte d’appartenance: ■ Famille ■ Groupe d’amis ■ Milieu socio-professionnel ■ Classe économique et culturelle – contexte socio-historique: ■ Époque (ex: anciennement: vin = richesse, bière=pauvreté) ■ Pays (ex: vodka: bcp plus populaire en russie qu'ici) ```
62
Aspests neurophysiologiques (notions de base + dessin)
``` ■ Neurone ■ Neurotransmetteur (neuromédiateur) ■ Récepteur (synaptique): protéine qui permet transmission des neurotransmetteurs) ■ Synapse dessin cours 5 p.8 ```