Diagnostic des neuropathies périphériques Flashcards
(9 cards)
Diagnostic positif de neuropathie périphérique :
Traduit toute atteinte d’un nerf périphérique; association variable de 3 signes :
Signes moteurs :
- Diminution ou abolition des ROT (par interruption de l’arc réflexe)
- Fatigabilité / Déficit moteur +++ (cotation de la force musculaire 0-5)
- Amyotrophie progressive (par dénervation = si axonopathie) : tardive
- Crampes au repos
- Fasciculations (spontanée ou percussion) : lésion proche de la corne antérieure (racine ou motoneurone)
Signes sensitifs :
- Paresthésies : désagréable mais non douloureux (ex: picotement / fourmillement / engourdissement)
- Dysesthésies : douleur lors d’un contact non douloureux (ex: vêtements / draps..)
- Troubles de la sensibilité superficielle : hypoesthésie de contact
- Troubles de la sensibilité thermo-algique
- Troubles de la sensibilité profonde : ataxie (Romberg), pallesthésie
- Remaque (x2):
- Différencier trajet radiculaire (le long du membre) et tronculaire (en aval de cheville ou poignet)
- Si ataxie : penser neuropathie démyélinisante
Signes végétatifs :
- Hypotension orthostatique (avec bradycardie paradoxale) (à savoir)
- Troubles de la sudation : hypersudation ou anhydrose
- Troubles trophiques : peau sèche / chute de poils / ongles cassants / hyperkératose
- Dysfonction urinaire (incontinence, SF urinaires)
- Dysfonction digestive (diarrhée motrice ou constipation)
- Dysfonction érectile
Diagnostic syndromique d’une neuropathie pépriphérique :
Polyneuropathie :
- Installation :
- Progressive : subaiguë à chronique
- Topologie
- Bilatérale et sym é trique
- A prédominance distale +++ (« longueur dépendante »)
- Signes sensitifs « en chaussette » / « steppage » bilatéral
Mononeuropathies multiples :
- Installation :
- Rapide : aiguë (quelques semaines)
- Topologie
- Atteintes successives / asymétrique / asynchrone
- Systématisation dans le territoire d’un ou plusieurs troncs périphériques (n. médian, n. ulnaire…)
- *Cas particuliers**
- *Neuronopathie**
- Sensitive : troubles sensitifs asymétriques non longueur-dépendants / aréflexie /ataxie
- Motrice : troubles moteurs asymétriques / mode d’entrée de la SLA +++
Méningo-radiculite Zoonoses. Autres pathologies d’inoculation :
- Installation progressive / rechercher un érythème migrant +++ (Lyme)
- Atteinte sensitive prédominante (douleur) +/- atteinte radiculaire
Polyradiculonévrite aiguë (Guillain-Barré)
- Polyradiculonévrte = atteinte des racines et des troncs nerveux
- Installation aiguë / recherche infeciton virale récente
- Atteinte diffuse / symétrique / ascendante démyélinisante
- Composante proximale
Diagnostic étiologique devant une polyneuropathie :
- *Polyneuropathie axonale :**
- *Diabète :**
- Contexte : Début 5-10A après diagnostic de diabète / SR = 1 / contexte de mauvais équilibre glycémique
- Formes cliniques :
-
Polyneuropathie diabétique :
- Installation progressive / sensitive >> motrice / distale : «en gants et chaussettes »
- Paresthésies distales / dysesthésies / abolition ROT
- Rechercher dysautonomie +++ (Sd de dénervation cardiaque, HTO, troubles sphinctériens…)
-
Polyneuropathie diabétique :
-
Mononeuropathie multiple du diabétique :
- Installation rapide / asymétrique / asynchrone
- Prédominance motrice proximale / amyotrophie douloureuse de la racine pelvienne ++
- Autres : neuropathies focales (NC, n. fémoro-cutané, n. intercostaux …)
- Prise en charge : équilibration du diabète / ttt de la douleur neuropathique (duloxétine : AMM chez le diabétique)
Alcoolo-carentielle :
- Contexte : 2ème cause de polyneuropathie en France après le diabète / 10% des alcooliques chroniques
-
Forme clinique :
- Polyneuropathie sensitive >> motrice / distale / chronique d’evolution progressive
- Typiquement : fourmillements nocturnes / fatigabilité / douleurs en étau / steppage / anhydrose
- Si carences B1/folates associées : composante motrice +++
- Prise en charge : arrêt intoxication / ttt de la douleur neuropathique / supplémentation B1
Iatrogénie - Toxique :
- Toujours rechercher à l’inte rrogatoire sur une polyneuropathie +++
- Médicaments incriminés : anticancéreux (platines, thalidomide) / amiodarone / métronidazole / Isoniazide
- Intérêt de l’ENMG : dépistage des atteintes infracliniques lors d’une prescription à risque
- Ne pas oublier : rechercher une exposition professionnelle (plomb, benzène, pesticides…)
Amylose :
- Amylose héréditaire (à transthyrétine mutée / portugais) : présentation neuro (SNP) +++
- Clinique : polyneuropathie dysautonomiante / Sd du canal carpien / atteinte cardiaque…
- Paraclinique : biopsie (BGSA, nerf sensitif) = substance amyloïde / test génétique (mutation VAL/MET30)
Neuropathies du VIH :
- Donne tout type de neuropathie périphérique (PRNA typse SGB / polyneuropathie distale…)
- Distinguer la neuropathie induite par le virus / neuropathie induite par les ARV ++
- *Polyneuropathie démyélinisante :**
- *Neuropathie à IgM monoclonale à activité anti MAG :**
- Contexte : > 50A / gammapathie IgM (ex: myélome, maladie de Waldenstrom…)
- Clinique : ataxie +++
- Paraclinique : pic IgM à l’EPP / présence d’Ac anti MAG (myélin-associated glycoprotein)
- Remarque : autre étiologie de polyneuropathie sur myélome = POEMS Sd
Neuropathie héréditaire (maladie de Charcot-Marie Tooth) :
- Contexte : ensemble de maladies génétiques (gènes variables) avec atteinte du nerf périphérique
- Clinique : pieds creux / atrophie fibulaire
- !! ne modifie pas l’espérance de vie (≠ maladie de Charcot = SLA)
Diagnostic étiologique devant une polyneuropathie :
- *Polyneuropathie axonale :**
- *Diabète :**
- Contexte : Début 5-10A après diagnostic de diabète / SR = 1 / contexte de mauvais équilibre glycémique
- Formes cliniques :
-
Polyneuropathie diabétique :
- Installation progressive / sensitive >> motrice / distale : «en gants et chaussettes »
- Paresthésies distales / dysesthésies / abolition ROT
- Rechercher dysautonomie +++ (Sd de dénervation cardiaque, HTO, troubles sphinctériens…)
-
Polyneuropathie diabétique :
-
Mononeuropathie multiple du diabétique :
- Installation rapide / asymétrique / asynchrone
- Prédominance motrice proximale / amyotrophie douloureuse de la racine pelvienne ++
- Autres : neuropathies focales (NC, n. fémoro-cutané, n. intercostaux …)
- Prise en charge : équilibration du diabète / ttt de la douleur neuropathique (duloxétine : AMM chez le diabétique)
Alcoolo-carentielle :
- Contexte : 2ème cause de polyneuropathie en France après le diabète / 10% des alcooliques chroniques
-
Forme clinique :
- Polyneuropathie sensitive >> motrice / distale / chronique d’evolution progressive
- Typiquement : fourmillements nocturnes / fatigabilité / douleurs en étau / steppage / anhydrose
- Si carences B1/folates associées : composante motrice +++
- Prise en charge : arrêt intoxication / ttt de la douleur neuropathique / supplémentation B1
Iatrogénie - Toxique :
- Toujours rechercher à l’inte rrogatoire sur une polyneuropathie +++
- Médicaments incriminés : anticancéreux (platines, thalidomide) / amiodarone / métronidazole / Isoniazide
- Intérêt de l’ENMG : dépistage des atteintes infracliniques lors d’une prescription à risque
- Ne pas oublier : rechercher une exposition professionnelle (plomb, benzène, pesticides…)
Amylose :
- Amylose héréditaire (à transthyrétine mutée / portugais) : présentation neuro (SNP) +++
- Clinique : polyneuropathie dysautonomiante / Sd du canal carpien / atteinte cardiaque…
- Paraclinique : biopsie (BGSA, nerf sensitif) = substance amyloïde / test génétique (mutation VAL/MET30)
Neuropathies du VIH :
- Donne tout type de neuropathie périphérique (PRNA typse SGB / polyneuropathie distale…)
- Distinguer la neuropathie induite par le virus / neuropathie induite par les ARV ++
- *Polyneuropathie démyélinisante :**
- *Neuropathie à IgM monoclonale à activité anti MAG :**
- Contexte : > 50A / gammapathie IgM (ex: myélome, maladie de Waldenstrom…)
- Clinique : ataxie +++
- Paraclinique : pic IgM à l’EPP / présence d’Ac anti MAG (myélin-associated glycoprotein)
- Remarque : autre étiologie de polyneuropathie sur myélome = POEMS Sd
Neuropathie héréditaire (maladie de Charcot-Marie Tooth) :
- Contexte : ensemble de maladies génétiques (gènes variables) avec atteinte du nerf périphérique
- Clinique : pieds creux / atrophie fibulaire
- !! ne modifie pas l’espérance de vie (≠ maladie de Charcot = SLA)
Clinique et étiologies de mononeuropathies multiples :
- *Mononeuropathie multiple :**
- *Clinique**
- Installation aiguë/ asymétrique / asynchrone de plusieurs troncs nerveux
- Evolution confluente à terme (devient symétrique / proche polyneuropathie)
- Atteinte NC évoque diabète ++
- Rechercher autres atteintes des vascularites : arthralgies / purpura …
Paraclinique
- EMG : guidera la biopsie du nerf sensitif +++ (recherche: nécrose fibrinoïde / infiltrat inflammatoire)
- Biologie : NFS, VS-CRP, sérologies virales, immuno (cryo, FR, complément anti-DNA…)
Etiologies :
- Maladies de système : vascularite (PAN, cryo, néoplasie…) / sarcoïdose / lupus
- Infections (hépatites, VIH)
- Diabète
- Lèpre
Cas de la neuropathie motrice à blocs de conduction persistants (CEN 2017) :
- C’est une mononeuropathie multiple purement motrice et dysimmunitaire
- Clinique : H < 50A / atteinte n. radial ++ (déficit moteur, amyotrophie, fasciculations)
- Paraclinique : EMG (blocs de conduction) / biologie (IgM anti-GM1)
- Prise en charge : Ig IV (!! les corticoïdes aggravent)
Clinique et étiologies de mononeuropathies multiples :
- *Mononeuropathie multiple :**
- *Clinique**
- Installation aiguë/ asymétrique / asynchrone de plusieurs troncs nerveux
- Evolution confluente à terme (devient symétrique / proche polyneuropathie)
- Atteinte NC évoque diabète ++
- Rechercher autres atteintes des vascularites : arthralgies / purpura …
Paraclinique
- EMG : guidera la biopsie du nerf sensitif +++ (recherche: nécrose fibrinoïde / infiltrat inflammatoire)
- Biologie : NFS, VS-CRP, sérologies virales, immuno (cryo, FR, complément anti-DNA…)
Etiologies :
- Maladies de système : vascularite (PAN, cryo, néoplasie…) / sarcoïdose / lupus
- Infections (hépatites, VIH)
- Diabète
- Lèpre
Cas de la neuropathie motrice à blocs de conduction persistants (CEN 2017) :
- C’est une mononeuropathie multiple purement motrice et dysimmunitaire
- Clinique : H < 50A / atteinte n. radial ++ (déficit moteur, amyotrophie, fasciculations)
- Paraclinique : EMG (blocs de conduction) / biologie (IgM anti-GM1)
- Prise en charge : Ig IV (!! les corticoïdes aggravent)
Description des neuronopathies :
Sensitive :
- Contexte : dégénérescence des neurones sensitifs dans la racine postérieure
- Etiologies : tumorale (Sd anti Hu des CBPC) ou non tumorale (Sd de Gougerot ++)
- Clinique : troubles sensitifs / aréflexie / ataxie
Motrice :
- Mode d’entrée habituelle de la SLA (cf SLA)
Examens complémentaires devant une suspicion de neuropathie péirphérique :
Pour diagnostic positif et histologique = Electroneuromyograme (ENMG = EMG) :
-
Indications (!! Prise en charge diagnostique des neuropathies périphériques - HAS 07) :
- !! « l’électromyogramme n’est pas recommandé en 1ère intention »
- Seulement si discordance entre clinique (évolution ++) et étiologie supposée
- En pratique : pas nécessaire si étiologie évidente (diabète ou alcool); à faire sinon
- Mais CEN 2017 : «indispensable à la caractérisation de la neuropathie et à la détermination du mécanisme»
-
Comprendre :
- 2 temps d’étude en ENMG :
- Détection : aiguille dans le muscle (étudié au repos puis à la contraction)
- Stimulo-détection : mesure des vitesses et des amplitudes du Potentiel d’action dans le nerf étudié
- 2 temps d’étude en ENMG :
-
Si neuropathie axonale :
-
Détection +++ :
-
Au repos :
- Présence de potentiels de fibrillation ou de dénervation = SdG : axonopathie sévère (signes de dénervation musculaire)
-
A la contraction :
- ↓ des amplitudes et ↑ compensatrice du recrutement temporel
- = tracé de type « simple accéléré »
-
Au repos :
-
Stimulo-détection ! :
- Diminution des amplitudes des potentiels moteurs et sensitifs
- Pas de modification des vitesses de conduction (distales ou proximales)
- Pas de modification des latences distales
-
Détection +++ :
-
Si neuropathie démyélinisante (rare ++) :
-
Détection :
- Au repos : normal (pas d’activité)
- A la contraction : normal
-
Stimulo-détection +++ :
- Ralentissement des vitesses de conduction
- Allongement des latences distales (= atteinte distale)
- +/- allongement des latences tardives F et H (= atteinte proximale)
- Réalisent des blocs de conduction (= rapport A2/A1 < 80%)
- Dispersion des PA
- Remarque : étiologies devant un bloc de conduction = PRNA, polyneuropathie démyélinisante, Sd canalaire
-
Détection :
-
Si neuronopathie :
- Motrice : baisse d’amplitude du PA moteur avec normalité du PA sensitif
- Sensitive : baisse d’amplitude du PA sensitif avec normalité du PA moteur
Pour diagnostic étiologique :
-
Bilan biologique : En 1ère intention (!! Prise en charge diagnostique des neuropathies périphériques - HAS 07) :
- Glycémie à jeun (cf diabète)
- GGT-VGM (cf alcool)
- Créatinine -ionogramme (cf IRC)
- TSH (cf hypothyroïdie)
- Transaminases (cf hépatites)
- NFS-plaquettes / CRP-VS (cf amylose)
- +/- selon orientation étiologique :
- Bilan auto-immun : AAN / ANCA / FR
- Bilan infectieux : sérologies VIH / VZV / CMV / VHB-VHC
- Bilan métabolique : dosages vitaminiques (vitamine B1)
- Hémostase
- Pour amylose : EPP / biopsie des glandes salivaires
-
Ponction lombaire et analyse du LCR :
- A faire devant des arguments pour une atteinte proximale radiculaire (PRNA/méningo-radiculite) ou
neuronal - Lyme : aspect de méningite lymphocytaire
- PRNA : dissociation albumino-cytologique
- Rappel : causes de dissociation albumino-cytologique = PRNA, diabète, néoplasie et patho. onco-hémato
- A faire devant des arguments pour une atteinte proximale radiculaire (PRNA/méningo-radiculite) ou
-
Biopsie neuro-musculaire :
- On peut biopsier : muscle et nerf sensitif (JAMAIS de biopsie d’un nerf moteur !!)
Indications : suspicion de vascularite (PAN +++), PIDC, amylose (après BGSA…)
- On peut biopsier : muscle et nerf sensitif (JAMAIS de biopsie d’un nerf moteur !!)
Examens complémentaires devant une suspicion de neuropathie péirphérique :
Pour diagnostic positif et histologique = Electroneuromyograme (ENMG = EMG) :
-
Indications (!! Prise en charge diagnostique des neuropathies périphériques - HAS 07) :
- !! « l’électromyogramme n’est pas recommandé en 1ère intention »
- Seulement si discordance entre clinique (évolution ++) et étiologie supposée
- En pratique : pas nécessaire si étiologie évidente (diabète ou alcool); à faire sinon
- Mais CEN 2017 : «indispensable à la caractérisation de la neuropathie et à la détermination du mécanisme»
-
Comprendre :
- 2 temps d’étude en ENMG :
- Détection : aiguille dans le muscle (étudié au repos puis à la contraction)
- Stimulo-détection : mesure des vitesses et des amplitudes du Potentiel d’action dans le nerf étudié
- 2 temps d’étude en ENMG :
-
Si neuropathie axonale :
-
Détection +++ :
-
Au repos :
- Présence de potentiels de fibrillation ou de dénervation = SdG : axonopathie sévère (signes de dénervation musculaire)
-
A la contraction :
- ↓ des amplitudes et ↑ compensatrice du recrutement temporel
- = tracé de type « simple accéléré »
-
Au repos :
-
Stimulo-détection ! :
- Diminution des amplitudes des potentiels moteurs et sensitifs
- Pas de modification des vitesses de conduction (distales ou proximales)
- Pas de modification des latences distales
-
Détection +++ :
-
Si neuropathie démyélinisante (rare ++) :
-
Détection :
- Au repos : normal (pas d’activité)
- A la contraction : normal
-
Stimulo-détection +++ :
- Ralentissement des vitesses de conduction
- Allongement des latences distales (= atteinte distale)
- +/- allongement des latences tardives F et H (= atteinte proximale)
- Réalisent des blocs de conduction (= rapport A2/A1 < 80%)
- Dispersion des PA
- Remarque : étiologies devant un bloc de conduction = PRNA, polyneuropathie démyélinisante, Sd canalaire
-
Détection :
-
Si neuronopathie :
- Motrice : baisse d’amplitude du PA moteur avec normalité du PA sensitif
- Sensitive : baisse d’amplitude du PA sensitif avec normalité du PA moteur
Pour diagnostic étiologique :
-
Bilan biologique : En 1ère intention (!! Prise en charge diagnostique des neuropathies périphériques - HAS 07) :
- Glycémie à jeun (cf diabète)
- GGT-VGM (cf alcool)
- Créatinine -ionogramme (cf IRC)
- TSH (cf hypothyroïdie)
- Transaminases (cf hépatites)
- NFS-plaquettes / CRP-VS (cf amylose)
- +/- selon orientation étiologique :
- Bilan auto-immun : AAN / ANCA / FR
- Bilan infectieux : sérologies VIH / VZV / CMV / VHB-VHC
- Bilan métabolique : dosages vitaminiques (vitamine B1)
- Hémostase
- Pour amylose : EPP / biopsie des glandes salivaires
-
Ponction lombaire et analyse du LCR :
- A faire devant des arguments pour une atteinte proximale radiculaire (PRNA/méningo-radiculite) ou
neuronal - Lyme : aspect de méningite lymphocytaire
- PRNA : dissociation albumino-cytologique
- Rappel : causes de dissociation albumino-cytologique = PRNA, diabète, néoplasie et patho. onco-hémato
- A faire devant des arguments pour une atteinte proximale radiculaire (PRNA/méningo-radiculite) ou
-
Biopsie neuro-musculaire :
- On peut biopsier : muscle et nerf sensitif (JAMAIS de biopsie d’un nerf moteur !!)
Indications : suspicion de vascularite (PAN +++), PIDC, amylose (après BGSA…)
- On peut biopsier : muscle et nerf sensitif (JAMAIS de biopsie d’un nerf moteur !!)