dyslexie Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que l’écriture alphabétique?

A

Les lettres codent pour les sons de la langue

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2
Q

Quel code l’apprenti lecteur doit apprendre?

A

Le code phonologique; soit la correspondance entre graphème et phonème

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3
Q

Qu’est-ce qu’un phonème?

A

Le plus petit son dans un mot

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4
Q

Qu’est-ce qu’un graphème

A

une lettre

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5
Q

qU’est-ce que veut décrire l’opacité d’une langue?

A

à quel point il y a correspondance entre le graphème et le phonème

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6
Q

Pourquoi le français est une langue à opacité moyenne?

A

des mots irréguliers font exception au code phonologique; des suites de lettres différentes vont coder pour le même son (sens différent)

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7
Q

Combien y a-t-il de phonèmes de base et graphies

A

35 phonèmes de base, 190 graphies (combinaisons de lettres)

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8
Q

Qu’est-ce qui est similaire au langage au niveau de la neuroanatomie?

A

Latéralisation de la lecture à gauche

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9
Q

Quelles 3 régions interconnectées jouent un rôle dans la lecture en plus de d’autres fonctions ?

A

la zone de broca (sens), occipito-temporal (signal visuel de la lecture), temporo-pariétal (traitement des sons)

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10
Q

Quelle particularité existe danas le développement des capacités de lecture?

A

La lecture est un apprentissage culturel qui doit être ‘forcé’ et pratiqué, pas un apprentissage automatique prédisposé comme le langage

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11
Q

Le développement de quelle fonction est nécessaire à l’apprentissage?

A

la reconnaissance des mots écrits (apprentissage pas majoritairement mnésique)

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12
Q

Vrai ou faux: la lecture est un apprentissage majoritairement mnésique

A

faux, elle demande le développement d’une nouvelle fonction spécifique de reconnaissance

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13
Q

Avec quelles fonctions est mise en relation la reconnaissance des mots ?

A

analyse visuelle, analyse auditive, langage oral (connaissances grammaticales)

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14
Q

Quels compétences nécessitent un affinement?

A

balayage visuel (spécifique à la lecture), reconnaissance visuelle des lettres (orientation, taille, maj/min), analyse phonologique (conscience plus sophistiquée de la présence des phonème dans les mots)

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15
Q

Comment évolue l’analyse phonologique?

A

La conscience de la présence des phonèmes dans les mots évolue selon une séquence développementale, où le son du milieu est d’abord plus difficile à découper

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16
Q

Comment évolue la reconnaissance des mots ?

A

en stade pré-apprentissage; reconnaitre qu’un mot en est un, par exemple reconnaitre son nom sans être capable de le lire (reconnaissance du symbole global)
Apprentissage fait: plus capable de ne pas décoder les mots une fois cet apprentissage est fait (effet stroop)

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17
Q

Quelle aire du cerveau se spécialise dans la reconnaissance des mots/lettres?

A

aire de la forme visuelle (visual word form area)

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18
Q

Avec quelles régions l’Aire de la forme visuelles a-t-elle des projections multiples et simultanées?

A

aires auditives (phonèmes), langagières et occipitales

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19
Q

Quelles sont les 2 voies du modèles cognitif à 2 voies?

A

phonologique et lexicale

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20
Q

qu’est-ce que la voie phonologiques du modèles à 2 voies?

A

la correspondance entre les lettres et les sons, la voie d’entrée à la lecture

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21
Q

Dans quels contextes la voie phonologiques est utilisée?

A

devant des nouveaux mots, des mots moins fréquents ou des pseudo mots

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22
Q

Autres appellations de la voie phono du modèle à 2 voies?

A

assemblage, indirecte, encodage, alphabétique

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23
Q

Dans quel est le rôle de la voie lexicale?

A

dans l’association d’une suite ordonnée dans son ensemble de lettre et son sens

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24
Q

L’utilisation de la voie lexicale se fait dans quel contexte?

A

lors de mots plus connus, lié à une bonne fréquence d’exposition. lecture plus rapide

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25
Q

Vrai ou faux: la voie lexicale est utilisée dans la lecture d’un mot inconnu

A

faux, si le mot ne fait pas partie du registre lexical, il va d’abord le décoder avec la voie phonologique

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26
Q

Comment évolue les capacités de lecture?

A

la fluidité augmente rapidement dans les premières années de primaire, la lecture courante vers la 3e année (suffisamment automatisée pour que l’accès au sens soit fonctionnel) et a courbe du niveau augmente jusqu’à l’adolescence

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27
Q

Pourquoi la fréquence d’exposition est lié à une lecture plus rapide?

A

Parce qu’à force de lire, il y a un développement d’un lexique orthographique (stockage en mémoire spécifique). La voie lexicale va être utilisée en reconnaissant le mot dans son ensemble au lieu de le décomposer par sons

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28
Q

Autres appellations de la voie lexicale dans le modèle à 2 voies?

A

adressage, directe, orthographique

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29
Q

Quels sont les 3 stades du modèles cognitifs à 3 stades ?

A

logographique, alphabétique, orthographique

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30
Q

Comment le modèle à 3 stades se distinguent du modèle à 2 voies?

A

le modèles à 3 stades met l’accent sur la séquence d’apprentissage qui suit les 3 stades

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31
Q

Quelle capacité correspond au stage logographique?

A

La reconnaissance d’un mot comme un symbole/une image. sans être en mesure de connaitre/décomposer les sons

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32
Q

Quelle capacité se développe au stade alphabétique?

A

la correspondance grapho-phonémique

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33
Q

Quelle capacité se développe au stade orthographique?

A

correspondance entre des unités de lettre et le sens (morphèmes ; plus petite unité dans un mot qui possède un sens)

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34
Q

qu’est-ce qu’un morphème?

A

la plus petite unité d’un mot qui porte un sens ex: amical, amicalement, amitié; morphème : ami. préfixes et suffixes

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35
Q

Quelles fonctions cognitives sont en jeu dans l’apprentissage de la lecture?

A

le QI (facteur g), le vocabulaire, la mémoire de travail, attention, fonctions exécutives

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36
Q

Comment le QI est lié à l’apprentissage de la lecture ?

A

cela influence la compréhension et le moment de développement (DI va avoir un développement plus tardif de la lecture)

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37
Q

Comment le vocabulaire/langage oral est impliqué dans le développement de la lecture ?

A

initialement, il est en appui au développement de la lecture par le vocabulaire connu. Par la suite, la relation s’inverse car la lecture va permettre l’élargissement du vocabulaire

38
Q

Comment la mémoire de travail est impliqué dans le développement de la lecture?

A

surtout mémoire auditive et verbale, pour être en mesure de faire du sens et des liens dans le contenu

39
Q

Comment l’attention visuel est impliqué dans le développement de la lecture ?

A

balayage et séquence saccade particulière pour la lecture, aspect neuro-visuel important à développé. elle est très sollicité lors de l’apprentissage si l’attention est touchée l’évolution est plus lente

40
Q

Comment les fx exécutives sont impliqués dans l’apprentissage?

A

passer d’un mot à l’autre, compréhension du texte

41
Q

Quels facteurs cognitifs peuvent prédire l’évolution académique?

A

la mémoire de travail et le facteur g (intelligence)

42
Q

en 3e année, quel est le rythme de lecture normal/courante?

A

100 mots par minute

43
Q

quel facteur est important à considéré en évaluant le rythme de lecture?

A

la difficulté du texte

44
Q

Quelle voie est davantage utilisée lors de l’automatisation de la lecture?

A

voie d’adressage (lexicale)

45
Q

Vrai ou faux: L’écriture demande une connaissance en grammaire encore meilleure qu’à l’oral

A

vrai

46
Q

Comment l’encodage des sons change à l’écrit?

A

il y a plusieurs possibilité d’orthographe pour un même son, doit savoir comment bien l’orthographier

47
Q

Quels éléments ajoutent une charge à l’écriture?

A

la charge liée au contrôle moteur fin important nécessaire pour tracer, maj ou min, espace entre les mots et la charge attentionnelle/exécutive dans l’orthographe

48
Q

Quel élément est nécessaire pour tirer le sens et les bons sons d’un mot?

A

Le contexte, un mot qui s’écrit pareil se lit différemment selon le contexte

49
Q

Quelle est la définition de la dyslexie selon Lyon et Shaywitz?

A

Un trouble spécifique de l’apprentissage caractérisée par des difficultés dans la reconnaissance exacte/fluente des mots, une orthographe et capacité de décodage limitées

50
Q

Comment diffère l’évolution de la dyslexie et dysorthographie

A

ils viennent souvent ensemble mais peuvent évoluer ou être compenser différemment avec le temps

51
Q

Comment distinguer la dyslexie d’n autre trouble?

A

le type d’erreur

52
Q

Quelles particularités neuroanatomiques sont répertoriées dans la dyslexie?

A

sous activation des régions temporo-pariétales et occipito-temporales et sur activation des régions frontales inférieures

53
Q

Quel résultat le plus fiable comme différences neuroanatomique vs controles?

A

différence dans la taille cérébrale totale (ramus)

54
Q

Quelle variable semble avoir une influence sur les différences cérébrales?

A

le sexe (présumément dû aux hormones)

55
Q

Quelle théorie neuropsychologique explicative de la dyslexie est la plus populaire?

A

Phonologique; difficultés d’associations entre lettre et son

56
Q

Qu’est-ce qui expliquerait le trouble ?

A

Il découlerait de déficits multiples et non un type en particulier

57
Q

Quelles théories neuropsy ont été avancées pour expliquer les déficits observés en dyslexie?

A

la théorie visuelle (saccade, fixation, empans, balayage), plus de confusion au niveau lexical; théorie du déficit cérébelleux: implication dans des déficits d’automatisation; théorie auditive (traitement temporel): implication dans le traitement du tempo des sons

58
Q

Comment le SES est important dans l’acquisition de la lecture?

A

influence des ressources sur l’exposition au livre et vocabulaire élaboré en jeune âge

59
Q

Vrai ou faux: les filles sont plus souvent dx avec dyslexie

A

faux, les garçons avec un ratio de 2-3:1

60
Q

Vrai ou faux: il y a une contribution de la génétique dans la prédisposition à la dyslexie

A

Vrai, facteurs héréditaires

61
Q

Quelles comorbidités peut-on voir avec la dyslexie?

A

troubles d’apprentissage, TDAH, trouble de coordination, trouble du langage oral

62
Q

Quel % des enfants Dys présentent plusieurs types de troubles d’apprentissage?

A

40%

63
Q

Dans quel % des cas le TDL est associé à des risques de dyslexie?

A

50%

64
Q

Quel dx est posé pour une dyslexie?

A

Un trouble spécifique des apprentissages, puis il y a ensuite une spécification de ce qui est particulièrement touché (lecture, compréhension en lecture, épeler, expression écrite)

65
Q

Est-ce que la compréhension est un problème primaire de la dyslexie?

A

non, mais les difficultés en lecture entravent la compréhension, qui est donc secondaires aux difficultés initiales

66
Q

Quels aspects temporels sont à considérés dans l’établissement du dx?

A

Une persistance des difficultés malgré 6 mois d’intervention remédiation, et une apparition tôt à l’âge scolaire et continues dans la scolarité (vs des difficultés soudaines) - tr neurodéveloppemental

67
Q

Les habiletés en lecture sont décalées par rapport à quels éléments?

A

Le fonctionnement intellectuel général et l’âge

68
Q

Quels éléments faut-il exclure avant le dx?

A

DI, trouble sensoriel (auditif, visuel, moteur), tr mental ou neurologique autre, adversité psychosociale, langage, scolarisation inadéquate

69
Q

Vrai ou faux: la dx a des origines neurobiologiques

A

vrai

70
Q

Quels répercussions fonctionnelles sont susceptibles de survenir?

A

dans la scolarité, occupations, avq, sphère affective(estime, anxiété, dépression,démotivatiom

71
Q

Quelles sont les étapes de l’approche dx?

A

1- critères d’exclusion
2- critères de divergence
3- réponse à l’intervention
4- nature des difficultés
5- tableau clinique global

72
Q

Qu’est-ce que l’utilité du critère du tableau clinique global

A

pour être en mesure de dire que le retard n’est pas dû à d’autres facteurs que neurobiologiques, doit prendre en considération tout ce qui aurait pu entraver l’apprentissage qui n’est pas la dyslexie (comorb, SES, langage première, scolarisation)

73
Q

Qu’est-ce que le critère de divergence?

A

que les éléments en lien avec la lecture présentent un écart avec les autres capacités d’apprentissage

74
Q

Qu’est ce que le critère de la nature des difficultés

A

observer quel est le type d’erreurs faits

75
Q

Comment se représente les capacités en lecture ?

A

sur un continuum de bon à faible lecteur.

76
Q

Vrai ou faux: il est possible de donner accès aux interventions à l’enfant avant l’obtention du dx

A

vrai, peut observer l’évolution des déficits vs intervention, peu importe la cause hypothétisée des difficultés

77
Q

qu’est ce qui doit être distingué quand une faiblesse en lecture est remarquée?

A

doit être en mesure d’interpréter s’il s’agit d’une faiblesse personnelle ou un déficit

78
Q

Vrai ou faux: le portrait clinique global permet d’évaluer si les difficultés en lecture sont dû seulement au trouble

A

vrai, considéré les facteurs d’hérédité, langage oral, éducation. comorbidités, capacités générales et sensorielles et SSE peuvent nous permettre de déduire si les difficultés sont secondaires à une autre condition

79
Q

Qu’est-ce qui permet de dissocier TDAH et dyslexie?

A

Le pattern d’erreur; la vitesse du TDAH amène plus des difficultés avec la grammaire qu.avec la phono

80
Q

Qu’est ce qui cause les erreurs en lecture/écriture dans le TDAH

A

la grammaire demande de s’arrêter et d’aller appliquer une stratégie; difficultés plus associés à l’impulsivité/inattention

81
Q

Vrai ou faux: le traitement du TDAH ne change pas les habiletés d’apprentissage

A

Faux, une amélioration des apprentissages suite au traitement rapporté dans 80% des études

82
Q

Quel est le modèle scolaire d’intervention selon la réponse à l’intervention?

A

1- enseignement de qualité en classe, avec dépistage universel 3x par année
2- AU BESOIN selon la réponse à l’intervention; intervention intensive et supplémentaires em petits groupes avec évaluation fréquente du progrès
3- AU BESOIN; intervention intensive supplémentaire et ciblée, plus petits groups ou individuel. centré sur des besoins spécifiques avec pistage plus fréquent des progrès

83
Q

Quels sont les types de mesure d’aide à l’école?

A

Flexibilité: adaptation du prof vs son groupe, ex le prof lit la question au groupe (pas besoin de PI)
Adaptation: ici mesures appliquées pour la dyslexie; accompagnement de l.élève et accès à plus d’Outils, pas d’impact sur la note
Modification: dans le cas de difficultés plus généralisées, modifier le parcours scolaire pour ralentir le rythme pédagogique régulier et simplifier la tâche - impact sur la note et bulletin modifié

84
Q

Vrai ou faux: il faut attendre de voir comment les difficultés évoluent seule avant d’intervenir?

A

Faux le plus tôt le mieux

85
Q

Sur quoi l’intervention doit mettre l’accent?

A

La maitrise graphème-phonème

86
Q

Quels types d’interventions sont possibles?

A

rééducation et compensation

87
Q

Qu’est-ce qui est fait lors de la réadaptation en lecture?

A

intensifier les apprentissages et les expliciter davantage les notions que l’enfant ne capte pas par lui-même avec l’expérience de lecture, pour que l’enfant arrive par la suite à le faire par lui-même

88
Q

Qu’est-ce qui détermine le type de compensation?

A

le niveau de besoin et le type de difficulté (accès au sens, vitesse, surchaerge, expression écrite)

89
Q

Pourquoi est-il nécessaire de compenser les difficultés?

A

Pour que l’élève puisse continuer ses apprentissages sans que ses difficultés le fasse stagner ou entrave l’acquisition ou l’expression de ses compétences

90
Q

Comment la technologie est compense dans le cas de la dyslexie?

A

par des mesures compensatrices, comme la synthèse vocale, prédicteur de mots et correcteurs

91
Q

Comment est bénéfique les mesures technologiques compensatrices?

A

soulage les exigences techniques de l’écrit (orthographe, grammaire) et permet d’allouer les ressources cognitives à la compréhension, réflexion et raisonnement (le sens de ce qu’il veut dire)