Éthique et déontologie Flashcards

cours 1 à 3

1
Q

Énumérer les quatres axes autour desquels s’articulent les valeurs du ts
a. humanistes
b. démocratiques
c. droits humains
d. justice sociale
e. dignité
f. professionnalisme

A

humanistes
démocratiques
droits humains
professionnalisme

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Q

associez axes avec exemples:
1. humanistes
2. démocratiques
3. droits humains
4. professionnalisme

a. Citoyenneté, participation, solidarité, cohésion, justice sociale
b. Intégrité, désintéressement, indépendance professionnelle, confidentialité
c. Civils et politiques, socioéconomiques, droits collectifs
d.Foi en l’être humain, empathie, respect des personnes, autonomie, autodétermination

A
  1. d
  2. a
  3. c
  4. b
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3
Q

principe #1 Reconnaissance de la dignité inhérente à l’humanité

A

Les travailleurs sociaux reconnaissent et respectent la dignité et la valeur inhérentes à tous les êtres humains dans leurs attitudes, leurs paroles et leurs actes. Nous respectons toutes les personnes, mais nous remettons en question les croyances et les actions des personnes qui se dévalorisent ou se stigmatisent ou stigmatisent autrui.

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4
Q

principe # 2 Promouvoir les droits de l’homme

A

Les travailleurs sociaux défendent et promeuvent les droits fondamentaux et inaliénables de tous les êtres humains. Le travail social est basé sur le respect de la valeur inhérente, de la dignité de toutes les personnes et des droits individuels et sociaux/civils qui en découlent. Les travailleurs sociaux travaillent souvent avec les gens pour trouver un équilibre approprié entre des droits humains concurrents

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5
Q

principe #3 Promouvoir la justice sociale

A

Les travailleurs sociaux ont la responsabilité d’impliquer les gens dans la réalisation de la justice sociale, par rapport à la société en général et par rapport aux personnes avec lesquelles ils travaillent.
3.1 Combattre la discrimination et l’oppression institutionnelle
Les travailleurs sociaux promeuvent la justice sociale par rapport à la société en général et aux personnes avec lesquelles ils travaillent.
Les travailleurs sociaux contestent la discrimination, qui comprend, sans s’y limiter, l’âge, la capacité, l’état civil, la classe sociale, la culture, l’origine ethnique, le sexe, l’identité de genre, la langue, la nationalité (ou son absence), les opinions, d’autres caractéristiques physiques, les capacités physiques ou mentales, convictions politiques, pauvreté, race, statut relationnel, religion, sexe, orientation sexuelle, statut socio-économique, croyances spirituelles ou structure familiale.
3.2 Respect de la diversité
Les travailleurs sociaux travaillent au renforcement de communautés inclusives qui respectent la diversité ethnique et culturelle des sociétés, en tenant compte des différences individuelles, familiales, de groupe et de communauté.
3.3 Accès à des ressources équitables
Les travailleurs sociaux défendent et travaillent en faveur de l’accès et de la répartition équitable des ressources et des richesses.
3.4 Remettre en question les politiques et pratiques injustes
Les travailleurs sociaux s’efforcent de porter à l’attention de leurs employeurs, des décideurs politiques, des politiciens et du public les situations dans lesquelles les politiques et les ressources sont inadéquates ou dans lesquelles les politiques et pratiques sont oppressives, injustes ou nuisibles. Ce faisant, les travailleurs sociaux ne doivent pas être pénalisés.
Les travailleurs sociaux doivent être conscients des situations qui pourraient menacer leur propre sûreté et sécurité et doivent faire des choix judicieux dans de telles circonstances. Les travailleurs sociaux ne sont pas obligés d’agir lorsque cela les mettrait en danger.
3.5 Bâtir la solidarité
Les travailleurs sociaux travaillent activement dans les communautés et avec leurs collègues, au sein et à l’extérieur de la profession, pour construire des réseaux de solidarité afin d’œuvrer en faveur d’un changement transformationnel et de sociétés inclusives et responsables.

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6
Q

principe #4 Promouvoir le droit à l’autodétermination

A

Les travailleurs sociaux respectent et promeuvent le droit des personnes à faire leurs propres choix et décisions, à condition que cela ne menace pas les droits et intérêts légitimes d’autrui.

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7
Q

principe #5 Promouvoir le droit à la participation

A

Les travailleurs sociaux s’efforcent de renforcer l’estime de soi et les capacités des personnes, en favorisant leur pleine implication et participation à tous les aspects des décisions et des actions qui affectent leur vie.

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8
Q

principe #6 Respect de la confidentialité et de la vie privée

A

6.1 Les travailleurs sociaux respectent et travaillent conformément aux droits des personnes à la confidentialité et à la vie privée, sauf s’il existe un risque de préjudice pour eux-mêmes ou pour autrui ou d’autres restrictions légales.
6.2 Les travailleurs sociaux informent les personnes avec lesquelles ils travaillent sur ces limites à la confidentialité et à la vie privée.

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9
Q

principe #7 Traiter les gens comme des personnes à part entière

A

Les travailleurs sociaux reconnaissent les dimensions biologiques, psychologiques, sociales et spirituelles de la vie des gens et comprennent et traitent chacun comme une personne à part entière. Une telle reconnaissance est utilisée pour formuler des évaluations et des interventions holistiques avec la pleine participation des personnes, des organisations et des communautés avec lesquelles les travailleurs sociaux travaillent.

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10
Q
A
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11
Q

principe #8 Utilisation éthique de la technologie et des médias sociaux

A

8.1 Les principes éthiques énoncés dans la présente Déclaration s’appliquent à tous les contextes de pratique, d’éducation et de recherche du travail social, qu’il s’agisse d’un contact direct en face-à-face ou de l’utilisation de la technologie numérique et des médias sociaux.
8.2 Les travailleurs sociaux doivent reconnaître que l’utilisation de la technologie numérique et des médias sociaux peut constituer une menace à la pratique de nombreuses normes éthiques, notamment en matière de vie privée et de confidentialité, de conflits d’intérêts, de compétence et de documentation, et doivent acquérir les connaissances et aptitudes nécessaires pour se prémunir contre les pratiques contraires à l’éthique lors de l’utilisation de la technologie.

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12
Q

principe #9 Intégrité professionnelle

A

9.1 Il est de la responsabilité des associations et organisations nationales d’élaborer et de mettre régulièrement à jour leurs propres codes d’éthique ou lignes directrices éthiques, pour être cohérents avec cette Déclaration, en tenant compte des situations locales. Il est également de la responsabilité des organisations nationales d’informer les travailleurs sociaux et les écoles de travail social de cette déclaration de principes éthiques et de leurs propres lignes directrices éthiques. Les travailleurs sociaux doivent agir conformément au code d’éthique ou aux directives en vigueur dans leur pays.
9.2 Les travailleurs sociaux doivent détenir les qualifications requises et développer et maintenir les aptitudes et compétences requises pour faire leur travail.
9.3 Les travailleurs sociaux soutiennent la paix et la non-violence. Les travailleurs sociaux peuvent travailler aux côtés du personnel militaire à des fins humanitaires et œuvrer à la consolidation de la paix et à la reconstruction. Les travailleurs sociaux opérant dans un contexte militaire ou de maintien de la paix doivent toujours considérer la dignité et le libre arbitre des personnes comme leur objectif principal. Les travailleurs sociaux ne doivent pas permettre que leurs connaissances et leurs compétences soient utilisées à des fins inhumaines, telles que la torture, la surveillance militaire, le terrorisme ou la thérapie de conversion, et ils ne doivent pas non plus utiliser d’armes à titre professionnel ou personnel contre des personnes.
9.4 Les travailleurs sociaux doivent agir avec intégrité. Cela implique de ne pas abuser de leur position de pouvoir et de leurs relations de confiance avec les personnes avec lesquelles ils interagissent ; ils reconnaissent les limites entre la vie personnelle et professionnelle et n’abusent pas de leur position pour un bénéfice ou un gain matériel personnel.
9.5 Les travailleurs sociaux reconnaissent que donner et recevoir de petits cadeaux fait partie du travail social et de l’expérience culturelle dans certaines cultures et pays. Dans de telles situations, cela devrait être mentionné dans le code d’éthique du pays.
9.6 Les travailleurs sociaux ont le devoir de prendre les mesures nécessaires pour prendre soin d’eux-mêmes sur le plan professionnel et personnel sur leur lieu de travail, dans leur vie privée et dans la société.
9.7 Les travailleurs sociaux reconnaissent qu’ils sont responsables de leurs actes envers les personnes avec lesquelles ils travaillent ; leurs collègues ; leurs employeurs ; leurs associations professionnelles; et les lois et conventions locales, nationales et internationales et que ces responsabilités peuvent entrer en conflit, qui doivent être négociées pour minimiser les dommages causés à toutes les personnes. Les décisions doivent toujours être éclairées par des preuves empiriques ; pratiquez la sagesse; et des considérations éthiques, juridiques et culturelles. Les travailleurs sociaux doivent être prêts à faire preuve de transparence quant aux raisons de leurs décisions.
9.8 Les travailleurs sociaux et leurs employeurs s’efforcent de créer des conditions dans leurs environnements de travail et dans leurs pays, où les principes de cette Déclaration et ceux de leurs propres codes nationaux sont discutés, évalués et respectés. Les travailleurs sociaux et leurs employeurs encouragent et participent au débat pour faciliter des décisions éthiquement éclairées.

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13
Q

À quel mode de régulation correspond la morale, la déontologie et l’éthique ?

A. Ils correspondent tous au mode de l’hétérorégulation
B. Ils correspondent tous au mode de l’autorégulation
C. Ils correspondent tous au mode de l’hétérorégulation, sauf la déontologie qui est un mode de régulation autonome
D. Ils correspondent tous au mode de l’autorégulation, sauf la morale qui relève de l’hétérorégulation
E. Ils correspondent tous au mode de l’hétérorégulation, sauf l’éthique qui relève de l’autorégulation

A

E

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14
Q

Elle impose des devoirs aux membres d’une profession ou d’une organisation et elle régule les comportements en établissant des normes consignées dans un code. De quoi s’agit-il ?

A. La morale
B. L’éthique
C. La loi
D. La déontologie
E. La culture organisationnelle

A

D

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15
Q

On me considère aujourd’hui comme le mode de régulation des comportements le plus opérant dans les sociétés démocratiques pluralistes. Qui suis-je?

A. Les valeurs
B. Le droit
C. Les normes
D. Les moeurs
E. La morale

A

B

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16
Q

Dans quel document trouve-t-on un énoncé des grandes valeurs qui guident le travail social au niveau international?

A. La définition globale du travail social de la FITS
B. Le code des valeurs du travail social de Dublin
C. La Déclaration des droits de l’homme de l’ONU
D. La déclaration mondiale des principes éthiques du travail social
E. Le code de déontologie de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux

A

D

17
Q

L’usage des technologies numériques et des médias sociaux peut constituer une menace au respect de certaines normes éthiques. Parmi les suivantes, cochez les normes qui sont potentiellement menacées.

A. L’évitement des conflits d’intérêt
B. Le respect de la vie privée
C. Le respect de la diversité
D. La sûreté et la sécurité des travailleurs sociaux
E. Le respect de la confidentialité

A

A, B, E

18
Q

À quel document normatif associez-vous la valeur de promotion des principes de justice sociale?

A. Déclaration mondiale des principes éthiques du travail social
B. Code de déontologie de l’OTSTCFQ
C. A et B
D. Aucune de ces réponses

A

C

19
Q

associez l’énoncé au rôle du Conseil interprofessionnel du Québec :
1. J’assume notamment un rôle de conseiller auprès du ministre responsable de l’application des lois professionnelles et auprès de l’Office des professions.
2. Je contrôle l’exercice illégal de la profession et l’usurpation d’un titre professionnel.
3. Je veille à ce que chaque ordre professionnel s’acquitte de son mandat.
4. Je regroupe l’ensemble des professions règlementées du Québec.
5. Ma mission principale est de protéger les personnes qui utilisent des services professionnels dans les différentes sphères d’activités réglementées.

A

1 et 4

20
Q

associez les énoncés à l’Ordre professionnel :
1. J’assume notamment un rôle de conseiller auprès du ministre responsable de l’application des lois professionnelles et auprès de l’Office des professions.
2. Je contrôle l’exercice illégal de la profession et l’usurpation d’un titre professionnel.
3. Je veille à ce que chaque ordre professionnel s’acquitte de son mandat.
4. Je regroupe l’ensemble des professions règlementées du Québec.
5. Ma mission principale est de protéger les personnes qui utilisent des services professionnels dans les différentes sphères d’activités réglementées.

A

2, 5

21
Q

Associez l’énoncé à l’office des professions :
1. J’assume notamment un rôle de conseiller auprès du ministre responsable de l’application des lois professionnelles et auprès de l’Office des professions.
2. Je contrôle l’exercice illégal de la profession et l’usurpation d’un titre professionnel.
3. Je veille à ce que chaque ordre professionnel s’acquitte de son mandat.
4. Je regroupe l’ensemble des professions règlementées du Québec.
5. Ma mission principale est de protéger les personnes qui utilisent des services professionnels dans les différentes sphères d’activités réglementées.

A

3.

22
Q

Trouvez l’énoncé qui est faux.

A. Un ordre professionnel est responsable de délivrer les permis pour s’assurer que les nouveaux membres aient la compétence requise pour exercer leur profession
B. Le syndic est l’instance qui reçoit les plaintes envers les membres d’un ordre professionnel et qui fait enquête
C. Lors de l’étude d’une plainte, le comité de discipline joue le rôle d’un tribunal et décide de la culpabilité ou non du membre visé par la plainte
D. Le comité d’inspection professionnel analyse les plaintes et impose des sanctions comme des amendes ou une radiation
E. Un ordre professionnel détermine les exigences liées à la formation continue pour ses membres

A

D. Le comité d’inspection a le mandat de surveiller l’exercice de la pratique professionnelle. L’inspection permet au professionnel d’évaluer sa pratique et de recevoir un rapport lui faisant des recommandations spécifiques pour améliorer ses compétences.

23
Q

Un travailleur social peut utiliser son compte Facebook personnel comme il le souhaite et partager ce qu’il veut sur ce dernier.

A.

Oui, puisque la liberté d’expression est un droit constitutionnel
B. Oui, puisque son compte Facebook est utilisé dans le cadre de sa vie privée
C. Oui, car il y a une frontière imperméable entre la vie privée et la vie professionnelle
D. Non, car il doit faire honneur à sa profession, même dans le cadre de sa vie privée
E. Non, puisqu’il est imputable, comme travailleur social, de tout ce qu’il dit, même dans sa vie privée

A

D. Un travailleur social n’est pas imputable de TOUT ce qu’il dit et de TOUT ce qu’il fait dans sa vie privée. Cependant, puisqu’il doit faire honneur à sa profession, il l’est sur certains sujets qui touchent cette dernière. Selon le Conseil interprofessionnel du Québec, les frontières entre la vie privée et la vie professionnelle sont de plus en plus perméables avec l’utilisation des réseaux sociaux et les attentes grandissante du public à l’égard des professionnels.

24
Q

Plusieurs éléments nouveaux ont été introduits dans le code de déontologie des travailleurs sociaux de 2020. Lesquel ou lesquels n’en font pas partie ?

A. Des lignes directrices sur quoi faire en cas de litige avec un employeur
B. Une définition des valeurs importantes en travail social
C. Des lignes directrices au sujet de l’utilisation des réseaux sociaux
D. L’énoncé des valeurs et les principes éthiques de la profession du travail social
E. Un accent plus marqué sur la qualité de la relation professionnelle

A

A et B : Le code de déontologie nomme les valeurs importantes en travail social sans toutefois les définir. De plus, il ne donne que très peu d’information sur la relation avec l’employeur.

25
Q

En vertu de leur code de déontologie, les travailleurs sociaux ont des obligations envers :

(cochez toutes les cases qui s’appliquent)

A. Le public
B. Les clients
C. La profession
D. L’employeur

A

A, B, C

26
Q

Le code d’éthique d’un établissement du réseau de la santé et des services sociaux est :

(Cochez toutes les réponses qui s’appliquent)

A. Un document qui énonce les droits des usagers
B. Un document qui sert de guidance pour les employés d’un établissement
C. Un document qui vise de façon particulière les travailleuses sociales et les travailleurs sociaux
D. Un document qui énonce les sanctions à appliquer quand les droits des usagers ne sont pas respectés
E. Un document obligé par la LSSS

A

A, B et E : Le code d’éthique d’un établissement est pour tous les employés de ce dernier et il énonce les comportements à adopter plutôt que les sanctions à appliquer.

27
Q

Qu’est-ce qui distingue un code de déontologie d’un code d’éthique dans un établissement de santé et de services sociaux ?

A. Il n’y a pas de différence entre les deux, ce sont les mêmes réalités
B. Le code d’éthique fait référence à des règles de conduites professionnelles tandis que le code de déontologie fait davantage référence à des valeurs pour guider des comportements
C. Un code de déontologie couvre l’ensemble des réalités de l’établissement, qu’elles soient professionnelles ou non, alors qu’un code d’éthique s’adresse à un groupe de professionnels particulier
D. Un code d’éthique couvre l’ensemble des réalités de l’établissement, qu’elles soient professionnelles ou non, alors qu’un code de déontologie s’adresse à un groupe de professionnels particulier

A

D. Le code d’éthique d’un établissement en santé et services sociaux s’adresse à TOUTE personne qui intervient dans cet établissement : autant aux travailleurs sociaux, qu’aux membres du personnel d’entretien pour ne donner que ces deux exemples.

28
Q

Laquelle des affirmations suivantes est fausse ?

A. La culture organisationnelle permet d’accroître les ressemblances entre les organisations d’une même sphère d’activité
B. Les mœurs d’une organisation ou d’un regroupement correspondent à la culture organisationnelle
C. La culture organisationnelle peut renforcer le sentiment d’identité et le sentiment d’appartenance de ses membres
D. La culture organisationnelle peut façonner la réputation d’un organisme
E. Le culture organisationnelle peut avoir des effets positifs ou négatifs

A

A. La culture organisationnelle permet plutôt de différencier les organisations entre elles, qu’elles soient de la même sphère d’activité ou non.

29
Q

Laquelle des activités suivantes ne fait pas partie des tâches du Commissaires aux plaintes et à la qualité des services ?

A. Analyser les situations rapportées par les usagers ou leurs répondants
B. Rendre des comptes de ses actions au directeur d’établissement
C. Recevoir les insatisfactions des usagers ou de leurs répondants
D. Faire le lien avec le comité des usagers d’un établissement

A

D. Le Commissaires aux plaintes et à la qualité des services doit rendre des comptes au Conseil d’administration et non au directeur de l’établissement.

30
Q

Martine est travailleuse sociale dans un Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS). Elle rencontre Marc, un client qu’elle suit depuis trois semaines. Celui-ci lui raconte qu’il est venu la voir hier alors qu’elle n’était pas là. Au lieu de lui donner tout de suite cette information, la réceptionniste l’a fait attendre une heure et demie dans la salle d’attente. Il est furieux, car il a perdu inutilement plusieurs heures de travail et de précieux revenus. Il mentionne qu’il veut porter plainte. Que peut faire Martine dans les circonstances ?

A. Orienter Marc vers le Commissaire aux plaintes et à la qualité des services
B. Inviter Marc à porter plainte à l’Ordre des Conseillers en relations humaines et en relation industrielle agréés
C. Rien parce que la réceptionniste n’est pas membre d’un ordre professionnel
D. Rien parce que la réceptionniste est une de ses collègues de travail et que Martine se trouve ainsi en conflit d’intérêts
E. Encourager Marc à aller discuter avec la réceptionniste

A

A. Lorsque les travailleurs sociaux sont conscients d’une insatisfaction de la part d’un usager, ils peuvent l’orienter vers le Commissaires aux plaintes et à la qualité des services de l’établissement qui verra à analyser la situation.

31
Q

Combien existe-t-il de droits pour les usagers du système de la santé et des services sociaux dans la LSSS ?

A. 10
B. 12
C. 15
D. 9

A

B. 12

32
Q

Les droits des usagers du système de santé et des services sociaux inscrits dans la LSSS ne sont pas des droits absolus. Ils sont relatifs. Pourquoi ?

(Cochez toutes les réponses qui s’appliquent).

A. Puisque les intervenants doivent parfois choisir entre deux droits lorsque, dans une situation, ils se contredisent
B. Puisque les usagers eux-mêmes peuvent renoncer à certains droits
C. Puisqu’ils ne peuvent s’exercer qu’en fonction des ressources disponibles
D. Puisque certains corps professionnels ne sont pas tenus de respecter tous ces droits

A

C. Par exemple, malgré sa demande, une personne ne pourrait pas changer de médecin de famille dans une petite localité éloignée où il n’y aurait qu’un médecin pour toute la population. La loi prévoit des droits aux usagers, cependant elle met un bémol à ces droits : ils ne peuvent s’exercer qu’en fonction des ressources disponibles.

33
Q

Mettre en ordre les étapes que doit exécuter le Commissaires aux plaintes et son équipe lorsqu’il y a une plainte.

Le Commissaire analyse la situation

Le Commissaire suggère des pistes d’amélioration

Le Commissaire entre en contact avec la personne qui a porté plainte

Le Commissaire détermine si les droits de la personne ont été respectés ou non

Le Commissaire enclenche des démarches de vérification

A

1.
Le Commissaire entre en contact avec la personne qui a porté plainte

2.
Le Commissaire enclenche des démarches de vérification

3.
Le Commissaire analyse la situation

4.
Le Commissaire détermine si les droits de la personne ont été respectés ou non

5.
Le Commissaire suggère des pistes d’amélioration

34
Q

Associez le mécanisme avec sa description.
1. La délivrance des permis
2. La règlementation de l’exercice de la profession
3. La formation en continue
4. L’inspection professionnelle
5. Les mesures disciplinaires

a. Ces mesures s’appliquent quand une plainte est portée contre un professionnel. Elles sont mises en oeuvre par le syndic et par le comité de discipline. Le premier fait enquête sur les éléments de la plainte et détermine si celle-ci est fondée ou non. Le cas échéant, il porte la cause devant le comité de discipline qui joue le rôle de tribunal professionnel. C’est le comité de discipline qui peut imposer des sanctions comme des amendes ou une radiation. Dans les cas où le professionnel reconnait ses manquements et souhaite les corriger, le syndic peut lui proposer de signer un engagement volontaire à corriger sa pratique plutôt que de déférer son cas au comité de discipline.

b. Chaque ordre émet des exigences concernant la formation continue et propose à ses membres un catalogue d’activités reconnues. Selon la politique actuelle de l’OTSTCFQ, chaque travailleur ou travailleuse sociale doit suivre 30 heures de formation continue par période de deux ans.

c. C’est par ce moyen que les ordres s’assurent de la qualité des services professionnels. Divers mécanismes d’inspection existent. Depuis 2013, l’OTSTCFQ a mis en place un processus écrit qui permet d’inspecter un grand nombre de personnes par année (jusqu’à 10% des membres). Les personnes inspectées doivent remplir un questionnaire d’autoévaluation, remettre trois dossiers d’usagers et remplir un registre d’activités de formation continue. Ces documents sont ensuite analysés par un inspecteur et validés par un comité d’inspection. La personne inspectée reçoit un rapport d’inspection qui confirme la conformité de sa pratique ou, en cas de non conformité, recommande diverses mesures correctrices comme, par exemple, l’inscription à des activités de formation obligatoires.

d. Les ordres émettent une série de directives auxquelles les membres doivent se conformer. Ces directives se retrouvent par exemple dans le code de déontologie, les guides et les normes de pratique.

e. C’est par ce mécanisme que les ordres contrôlent l’entrée dans la profession. Au moment de délivrer le permis, ils s’assurent que les membres ont la compétence requise, notamment en vérifiant qu’ils possèdent un diplôme donnant accès à l’ordre.

A
  1. e
  2. d
  3. b
  4. c
  5. a
35
Q

Vrai ou Faux : Dans les organisations, les moeurs correspondent à ce qu’on appelle «la culture organisationnelle».

A

Vrai

36
Q

Mettre en ordre les étapes du raisonnement normatif

L’interprétation de la norme, Le cas de conscience, La détermination de la norme

A

Le cas de conscience, la détermination de la norme, l’interprétation de la norme

37
Q

qui suis-je : se réfère aux conceptions du bien et du mal, du juste et de l’injustice, de l’acceptable et du répréhensible, à ce qui est noble ou infâme, louable ou blâmable dans les comportements humains. De ces conceptions […] découlent une série de normes définissant les pratiques acceptables, puis des règles permettant de traduire ces normes dans les pratiques. […] La morale devient alors «devoir être» autant que «devoir faire» en conformité avec ces valeurs et ces normes et investit donc, potentiellement, l’ensemble des champs de l’activité humaine»

A

La morale