exam 1 Flashcards

(364 cards)

1
Q

L’électroencéphalographie (EEG) offre une excellente précision spatiale mais pas temporelle.

A
  • faux

- Au contraire, l’EEG offre une excellente précision temporelle, mais pas spatiale.

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2
Q

L’effet d’une stimulation magnétique transcrânienne (TMS) appliquée au cortex moteur peut être enregistré au niveau des muscles.

A

-vrai
-Induit champ électrique modifiant act. neuronale
Activité électrique musculaire induite par activation du cortex moteur = étude des voies motrices

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3
Q

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) nécessite l’injection d’une substance radioactive.

A
  • faux

- champ magnétique de l’appareil aligne celui des protons des atomes d’H contenus dans l’eau des tissus de l’organisme

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4
Q

Avec la technique de magnétoencéphalographie (MEG), on mesure la réponse hémodynamique (changements de débit sanguin).

A
  • faux
  • technique de mesure des champs magnétiques induits par l’activité électrique des neurones du cerveau
  • PET-scan, IRMf, fNIRS = changements de débit sanguin
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5
Q

Les approches de neuroréadaptation les plus utilisées telles que Bobath sont fondées sur les découvertes permises par les nouvelles approches d’études du système nerveux.

A
  • faux
  • Au contraire, plusieurs des approches les plus utilisées (telle que celle de Bobath) datent des années 1950 et ne reflètent donc pas l’état actuel des connaissances sur le système nerveux.
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6
Q

La thérapie contrainte consiste à forcer l’utilisation du membre atteint.

A

-vrai

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7
Q

La neurobiologie moléculaire consiste à étudier, par exemple, les messagers chimiques assurant la communication entre les neurones.

A

-vrai
-consiste à étudier différentes molécules composant le SN et leurs différentes fonctions
Ex : messagers chimiques assurent connexion entre les neurones; facteurs de croissance du neurone, etc.

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8
Q

L’ergothérapie est un exemple de neurosciences intégrées

A

-faux
-Étudier comment les différents circuits neuronaux réalisent tel ou tel processus
Ex : analyse des infos sensorielles, perception, décider et ordonner les mouvements
-ensemble des structures intégrées dans une seule fonction

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9
Q

La neurobiologie moléculaire est un niveau d’analyse des neurosciences

A
  • vrai
  • 4 niveaux d’analyse: neurobiologie moléculaire, neurobiologie cellulaire, neurosciences intégrées et neurosciences cognitives et comportementales
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10
Q

La neuroanatomie est un niveau d’analyse des neurosciences

A
  • faux
  • c’est une méthode d’étude du cerveau qui identifie les structures internes du SN, la topographie ainsi que le rapport entre ces structures.
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11
Q

Les méthodes d’imagerie anatomique visent à identifier les différentes structures, leur topographie et le rapport entre les différentes structures

A

-vrai

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12
Q

L’imagerie optique fonctionnelle (fNIRS) est plus affectée par les mouvements de la personne que la technique d’imagerie par résonance magnétique (IRM).

A
  • faux
  • » principe : éclairer le cerveau avec des lasers et mesurer la lumière résultante
  • » sensible à l’oxygénation du sang (hémodynamique)
  • » mesure indirecte de l’activité neurale
  • » quasiment même chose que IRMf sauf :
    • NIRS sensible aux parties superficielles seulement
    • Moins affecté par mouvements
    • Beaucoup moins cher
  • » Technique émergente rapide
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13
Q

Les méthodes d’imagerie fonctionnelle mesurent l’activité d’un ou de plusieurs neurones ou de population de neurones

A

-vrai

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14
Q

La résolution spatiale de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) est moins bonne que la technique de magnétoencéphalographie (MEG).

A
  • faux
  • » IRM = meilleure technique d’imagerie car la plus précise (meilleure définition)
  • » MEG a une excellente précision temporelle, mais pas spatiale
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15
Q

L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) est une mesure indirecte de l’activité neurale

A
  • vrai
  • » activité neuronale = vasodilatation
  • » hémoglobine a propriétés magnétiques différentes selon qu’elle transporte de l’O2 ou qu’elle en a été débarrassée
    • concentration de désoxyhémoglobine que l’IRMf va détecter
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16
Q

La magnétoencéphalographie (MEG) permet de mesurer facilement les régions situées en profondeur dans le cerveau

A
  • faux

- » ne mesure que l’activité de surface (cortex cérébral), mais pas des sources profondes

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17
Q

La stimulation magnétique transcrânienne (TMS) est une méthode invasive.

A
  • faux

- Modifie l’activité des neurones de façon relativement focale

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18
Q

La NIRS (imagerie optique fonctionnelle) a des propriétés similaires à l’IRM (imagerie par résonance magnétique)

A
  • faux
  • A certaines propriétés similaires à l’IRMf sauf :
  • » NIRS sensible aux parties superficielles seulement
  • » moins affecté par mouvements
  • » beaucoup moins cher
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19
Q

L’état de conscience de la personne a une importance prédominante sur la fréquence de l’électroencéphalographie (EEG)

A
  • vrai

- Mesure l’activité électrique du cerveau provoquée par les courants générés dans les neurones

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20
Q

La magnétoencéphalographie est peu utilisée en clinique mais beaucoup en recherche

A

-vrai

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21
Q

Le CT-scan (TACO) est une technique d’imagerie anatomique

A

-vrai

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22
Q

Le PET-scan (tomographie par émission de positrons) est une technique d’imagerie anatomique

A

-faux
-» 1ère technique d’imagerie cérébrale fonctionnelle
-» étude de mécanismes spécifiques à l’activité cérébrale, ce qui fait partie des méthodes d’étude du cerveau, section fonctionnelle
Il y a une injection d’une substance radioactive, il y a alors une plus grande radioactivité émise dans les zones du cerveau active due à la vasodilatation

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23
Q

La NIRS (imagerie optique fonctionnelle) est une technique d’imagerie fonctionnelle

A
  • vrai
  • mesure indirecte de l’activité neurale
  • Cette méthode est sensible à l’hémodynamique et calcule indirectement l’activité neuronale en éclairant le cerveau avec des lasers et en calculant la lumière résultante
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24
Q

L’électroencéphalographie (EEG) est une technique d’imagerie anatomique

A
  • faux
  • fonctionnelle, car permet de mesurer l’activité électrique du cerveau provoquée par le courant généré dans les neurones
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25
L'IRM permet à la fois des images anatomiques et fonctionnelles
- vrai - Anatomique car image de coupe de tissus de différente orientation - Fonctionnelle: intensité de la résonance magnétique est proportionnelle à la densité des protons et donc au taux d’hydratation
26
L'IRM, le PET-scan et l'imagerie optique permettent de détecter l'activité électrique du cerveau
- faux - IRM: détecte le champ magnétique - PET-scan: mécanismes spécifiques de l'activité cérébrale - NIRS: mesure indirecte de l'activité neurale
27
La MEG et l'EEG sont sensibles à la réponse hémodynamique
- faux - MEG sensible aux champs magnétiques induits par l’activité des neurones - EEG permet de mesurer l’activité électrique du cerveau provoquée par le courant généré dans les neurones - PET-scan, l’IRMf et le fNIRS sont sensibles à l’hémodynamique
28
L'IRMf a une excellente résolution temporelle
- faux - » cette approche offre une excellente précision spatiale, mais pas une bonne précision temporelle car la réponse hémodynamique est lente
29
La TMS (stimulation magnétique transcrânienne) permet, entre autres, de réaliser des lésions virtuelles du cerveau
- vrai | - On peut créer des lésions virtuelles pour comprendre le rôle de certaines régions données du cerveau.
30
L'EEG permet de détecter l'épilepsie
- vrai | - état de conscience
31
L'EEG permet de détecter la présence d'une tumeur
- faux - c’est une technique d’imagerie fonctionnelle et non anatomique; mesure activité électrique du cerveau provoqué par courant généré dans neurones
32
L'EEG permet de détecter l'état de conscience
- vrai | - Importance déterminante sur la fréquence de l’EEG.
33
Prenons un neurone dont le potentiel de membrane est de -65 mV. Si la concentration de potassium est 30 fois plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur de cette cellule, que se passerait-il lors de l’ouverture de canaux perméables au potassium? Les ions K+ sortiraient du neurone et le neurone serait hyperpolarisé
- vrai - L’intérieur du neurone est plus concentré en potassium que l’extérieur alors le K+ va sortir du neurone selon son gradient de concentration. Par la suite, comme le K+ est sorti de la membrane, l’intérieur de la membrane devient plus négatif, ce qui entraîne une hyperpolarisation
34
Prenons un neurone dont le potentiel de membrane est de -65 mV. Si la concentration de potassium est 30 fois plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur de cette cellule, que se passerait-il lors de l’ouverture de canaux perméables au potassium? Les ions Na+ sortiraient du neurone et le neurone serait hyperpolarisé
- faux - Selon le gradient de concentration et le gradient électrique, les ions Na rentrerait dans la cellule et le neurone serait dépolarisé. De plus, l’ouverture des canaux perméable au potassium permet le déplacement des ions K et non Na
35
Prenons un neurone dont le potentiel de membrane est de -65 mV. Si la concentration de potassium est 30 fois plus grande à l’intérieur qu’à l’extérieur de cette cellule, que se passerait-il lors de l’ouverture de canaux perméables au potassium? Les ions Na+ entreraient dans le neurone et le neurone serait dépolarisé
- faux | - L’ouverture des canaux perméable au potassium permet le déplacement des ions K et non Na
36
On peut définir un canal ionique membranaire comme étant
Formé de protéines intégrées permettant de transporter les ions à travers la membrane cellulaire selon leur gradient de concentration
37
Une entrée d’ions calcium dans la terminaison nerveuse présynaptique permet
Le phénomène d’exocytose
38
Lors de la phase abrupte de dépolarisation qui constitue le potentiel d’action, les canaux s’ouvrent et laissent passer
Principalement des ions sodium, les canaux à potassium étant encore fermés
39
Comment appelle-t-on un canal ionique membranaire qui s’ouvre en réponse à des modifications du potentiel de membrane?
Un canal à fonction active voltage-dépendant
40
Comment appelle-t-on un canal ionique membranaire qui s’ouvre en réponse à la liaison d’un neurotransmetteur?
Un canal à fonction active ligand-dépendant
41
Comment appelle-t-on un canal ionique membranaire qui s’ouvre en réponse à un stimulus mécanique?
mécanorécepteur
42
Comment appelle-t-on un canal ionique membranaire toujours ouvert?
Un canal à fonction passive
43
Lors de la période réfractaire relative une nouvelle stimulation exceptionnellement intense permettra de rouvrir les canaux Na+ et ainsi déclencher un potentiel d’action.
- vrai | - Le potentiel membranaire est nettement inférieur au seuil d'excitation (inférieur au potentiel de repos)
44
Le potentiel d’action est un courant électrique local dont le voltage diminue avec la distance
- faux - L'influx nerveux conserve toutes ses caractéristiques (amplitude, fréquence) durant sa progression : il est conservatif.
45
Le potentiel d’action est généré par l’ouverture de canaux ioniques voltage-dépendants
- vrai - Canaux à fonction active voltage-dépendants sont initialement fermés, puis quand stimulus arrive, canaux spécifiques au sodium vont s’ouvrir = PA.
46
Durant la phase 2, la perméabilité membranaire au sodium diminue, de même que celle du potassium; (ANNEXE 1)
- faux | - la perméabilité au sodium augmente et celle au potassium reste inchangé
47
Durant la phase 5, les canaux à sodium sont fermés mais les canaux à potassium sont encore temporairement ouverts; (ANNEXE 1)
- vrai - Phase de l’hyperpolarisation : - » canaux à K+ sont plus longs à se refermer que les ions sodium - » k+ sortent plus longtemps que les autres donc plus de potassium vont sortir de la cellule - » devient plus négatif et plus tard, pompe s'occupe de retrouver le potentiel de repos de la membrane à -70 mV
48
Les potentiels d’action ont des amplitudes différentes, ce qui permet de transmettre des informations de différentes intensités
- faux - Ils ont toutes la même amplitude, donc les informations sont de la même intensité, mais ils peuvent avoir une fréquence et un nombre différent
49
Les synapses chimiques sont capables d’intégration.
vrai
50
Les synapses chimiques permettent une communication bidirectionnelle
- faux | - Les synapses électriques permettent une communication bidirectionnelle
51
Les synapses chimiques laissent passer non seulement des ions, mais aussi des petites molécules
- faux | - Laisse passer les ions, mais pas de petites molécules.
52
Les synapses chimiques comportent des jonctions communicantes étroites qui permettent aux courants ioniques de circuler passivement
- faux | - ce sont les synapses électriques.
53
Les synapses chimiques transmettent l’information plus rapidement que les synapses électriques
- faux - Contraire; synapses électriques transmettent information plus rapidement que les synapses chimiques grâce à la jonction communicante (canaux face à face ayant des portes)
54
la vitesse de propagation de l’influx nerveux est plus faible dans les neurofibres amyélinisées de petit diamètre
- vrai - la myélinisation permet la conduction saltatoire qui est plus rapide et un grand diamètre permet une vitesse de propagation plus rapide
55
Un potentiel post synaptique excitateur induit une dépolarisation de la membrane postsynaptique et rapproche le potentiel de membrane du seuil d’excitation du neurone
- vrai | - Augmente la probabilité que le neurone postsynaptique émette un PA)
56
un potentiel gradué est de courte durée
-vrai
57
Pour être considérée comme un neurotransmetteur, une molécule doit 1. Être libérée par la terminaison axonique présynaptique après stimulation 2. Être synthétisée et stockée dans le neurone présynaptique 3. Lorsqu’appliquée au niveau de la cellule postsynaptique, doit générer une réponse qui imite celle produite physiologiquement par sa libération à partir du neurone présynaptique
-vrai
58
Laquelle ou lesquelles de ces images correspond(ent) à un réseau de neurones de type divergent (voir annexe 2)
B
59
Pour générer un potentiel d’action, la dépolarisation doit dépasser un certain seuil.
- vrai | - Le seuil de -55 mV (loi du tout ou rien)
60
Le déclenchement d’un potentiel d’action obéit à la loi du tout ou rien
- vrai | - Pour qu’il y ait un potentiel d’action, la dépolarisation au point stimulé doit dépasser un seuil de -55 mV.
61
Le potentiel d’action peut avoir différentes valeurs selon l’intensité du stimulus
- faux - Le potentiel d’action reste toujours à la même intensité; - » plus un stimulus est fort, plus la fréquence des PA est importante - » plus le stimulus est fort, plus le nombre de PA généré est important
62
Plus le stimulus est fort, plus le nombre de neurotransmetteurs relâchés sera grand
- vrai - Il s’agit d’un des mécanismes pour que le SN perçoive les modulations d’intensité des stimulations: le nombre de potentiel généré sera plus important. S’il y a un plus grand nombre de potentiel d’action, il va y avoir un plus grand nombre d’influx nerveux au corpuscule nerveux terminal et donc une plus grande libération de neurotransmetteurs
63
Le potentiel gradué correspond à un plus petit potentiel, ce qui lui permet de se déplacer sur de plus longues distances
- faux | - Type de signal qui se déplace sur de courtes distances.
64
La conduction saltatoire permet une propagation de l’influx nerveux plus rapide : gaine de myéline joue rôle d’isolant, empêche les fuites
- vrai - Augmentation de la vitesse de conduction par la gaine de myéline - » Se déplace de myéline en myéline - » Aucune perte de charge tout au long de la gaine de myéline
65
Il se produit une dépolarisation à chaque nœud de Ranvier : nœud de Ranvier se trouve entre 2 gaines de myéline où le neurone va être dépolariser
- vrai | - Comme les noeuds de Ranvier sont des endroit non myélinisées (isolé) la dépolarisation peut s’effectuer à cet endroit
66
Le départ du potentiel d’action se fait dans la terminaison pré-synaptique
- faux | - Le départ du potentiel d’action se fait dans le corps cellulaire (cône d'implantation). Zone de point gâchette
67
Le 1) représente un neurone sensoriel unipolaire (voir annexe 3)
vrai
68
Le 1) fait synapse avec un motoneurone afin de produire la réponse motrice (voir annexe 3)
vrai
69
D’après ce schéma, il y a transformation d’un stimulus mécanique, en un stimulus électrique qui devient chimique (voir annexe 3)
- vrai | - Étirement → PA → neurotransmetteur (synapse chimique)
70
Les neurotransmetteurs à action indirecte impliquent un second messager comme la protéine G
- vrai | - Effets plus étendus/durables via un second messager
71
Le GABA est le principal neurotransmetteur excitateur du système nerveux
- faux | - Principal neurotransmetteur inhibiteur du cerveau
72
Un neurotransmetteur est uniquement excitateur ou inhibiteur
- faux | - Il peut être inhibiteur comme être excitateur, ex : acétylcholine (selon le récepteur avec qui il agit).
73
Les peptides sont de très petites molécules
- faux | - Contraire; grosse molécule
74
Une cellule peut intégrer à la fois des potentiels post-synaptiques excitateurs et inhibiteurs provenant de différents neurones.
-vrai
75
La sommation spatiale correspond à l’intégration de plusieurs potentiels post-synaptiques au même endroit
- vrai | - Reçoit stimulus en même temps de différents neurones
76
Dans le cas d’un réflexe, il va y avoir une excitation du muscle antagoniste et une inhibition du muscle agoniste
- faux | - Excitation du muscle agoniste pour effectuer le mouvement
77
Le traitement de l’information repose principalement le recueil des informations sensorielles qui vont être intégrées dans le but de fournir une réponse motrice
-vrai
78
La communication se fait grâce à des cellules spécialisées qui propagent des signaux nerveux rapides et spécifiques
-vrai
79
Les neurites des neurones comprennent les axones et les dendrites
-vrai
80
Le corps cellulaire permet l’intégration de l’information tandis que l’axone sert de transmission
-vrai
81
Le traitement en parallèle implique différents systèmes sensoriels qui acheminent chacun une information
- vrai - Informations sensorielles réparties entre plusieurs voies. L’information que chacune d’entre elles achemine est traitée simultanément par des réseaux différents
82
Les neurones multipolaires sont souvent des interneurones
- faux - Type de neurone qui possède un seul (généralement long) axone et de nombreuses dendrites, permettant l'intégration d'un grand nombre d'informations provenant d'autres neurones - Les neurones multipolaires sont souvent des neurones moteurs, les neurones bipolaires sont souvent des interneurones, les neurones unipolaires sont souvent des neurone sensitif
83
Les neurones sont classés uniquement selon la forme de leur dendrites
- faux | - Basés sur les dendrites, le nombre de neurites et les connexions.
84
Un neurone sensitif permet de transmettre l’information jusqu’au muscle directement
-faux -neurone sensitif= afférent -Axones efférents transmettent information provenant du SNC vers le muscle (périphérie). Neurone moteur fait le lien entre le neurone sensitif et le muscle. Parfois un interneurone entre neurone sensitif et moteur
85
lorsque le milieu extracellulaire est positif, le sodium aura tendance à sortir de la cellule (voir annexe 4)
- faux | - il entrera dans la cellule en suivant son gradient électrique et de concentration.
86
Lorsque le milieu extracellulaire est positif, le chlore aura tendance à sortir de la cellule via son gradient électrique (voir annexe 4)
-vrai
87
Lorsque le milieu intracellulaire est négatif, le potassium aura tendance à sortir de la cellule via son gradient électrique (voir annexe 4)
- faux - Il aura tendance à sortir de la cellule selon son gradient de concentration et de rentrer dans la cellule selon son gradient électrique
88
Lorsque le milieu intracellulaire est négatif, le calcium aura tendance à entrer dans cellule via son gradient électrique et de concentration (voir annexe 4)
- vrai | - Le calcium est positif et est présent en plus grande quantité à l’extérieur de la cellule
89
Le système nerveux central est composé uniquement de la moelle épinière et du cerveau
- faux - Composée de 7 structures distinctes : Moelle épinière, mésencéphale, pont, bulbe rachidien, cervelet, diencéphale, télencéphale.
90
Le bulbe rachidien fait partie du système nerveux central
-vrai
91
Le cervelet ne fait pas parti du système nerveux central
-faux
92
Le système nerveux central est composé de 7 structures distinctes
- vrai | - Moelle épinière, mésencéphale, pont, bulbe rachidien, cervelet, diencéphale, télencéphale.
93
La substance blanche, aussi appelée cortex cérébral, permet la transmission de l’information
- faux | - C’est la substance grise qui est également appelée cortex cérébral, pas la substance blanche.
94
La substance blanche, aussi appelée cortex cérébral, permet la transmission de l’information
- faux - C’est la substance grise qui est également appelée cortex cérébral, pas la substance blanche. - substance blanche=axone et gaines de myéline
95
La substance grise contient les corps cellulaires des neurones qui permettent de traiter l’information
- vrai | - substance grise= corps cellulaires, dendrites et cellules gliales
96
On retrouve de la substance grise et blanche dans le télencéphale
-vrai -Substance grise = cortex cérébral, contient les corps cellulaires des neurones et traite l’information. Substance blanche : contient les axones des neurones et transmet l’information.
97
Le télencéphale est divisé en 2 hémisphères via une scissure frontale
- faux | - Scissure sagittale sépare l’hémisphère gauche du droit
98
Les scissures divisent chaque hémisphère en 4 lobes
- vrai | - Lobes frontal, pariétal, occipital et temporal.
99
Les scissures sont plus profondes que les sillons
-vrai
100
Les gyrus représentent des replis sinueux du cortex
-vrai
101
Le lobe le plus postérieur est le lobe occipital
-vrai
102
La scissure de Rolando se situe entre le lobe frontal et pariétal
- vrai | - Scissure centrale
103
Les 4 lobes sont divisés en aires de Brodmann.
- vrai | - Aires corticales = aires de Brodmann, de 1 à 52
104
Le lobe frontal est impliqué dans la motricité volontaire
- vrai | - Cortex préfrontal, prémoteur, moteur primaire, orbitofrontal et aire motrice supplémentaire
105
Le cortex somatosensoriel fait partie du lobe temporal
- faux - fait partie du lobe pariétal - lobe temporal impliqué dans l'audition
106
Le lobe occipital est principalement impliqué dans l’audition
- faux | - Cortex visuel primaire et d’association visuelle
107
Le diencéphale fait partie du cerveau
- vrai | - Le cerveau comprend le diencéphale et le télencéphale
108
Le thalamus, qui fait partie du diencéphale, sert de centre de relais vers le cortex
- vrai - Comprend un grand nombre de noyaux - Chaque noyau projette des fibres vers une région du cortex - Chaque noyau reçoit des fibres provenant des différentes régions du cortex
109
Les ganglions de la base ont un rôle dans la maladie de Parkinson
- vrai - Parkinson : dégénérescence des neurones dopaminergiques, donc plus de communication entre les neurones = moins de contrôle du mouvement.
110
Le striatum est composé du noyau codé et du globus pallidus
- faux | - Composé du noyau caudé et du putamen.
111
Les ganglions de la base sont impliqués dans le mouvement
- vrai | - Impliqués dans initiation et contrôle du mouvement (dopamine agit comme neurotransmetteur).
112
Les ganglions de la base sont un ensemble de noyaux
- vrai | - Composé du striatum (noyau caudé + putamen); globus pallidus; substance noire et noyau sous-thalamique.
113
Le système limbique est un réseau complexe comprenant plusieurs structures
- vrai | - Hypothalamus, thalamus, cortex, noyaux profonds (amygdale et striatum) et hippocampe.
114
Le système limbique n’est impliqué que dans le processus de mémoire
- faux | - Impliqué dans émotions, comportements sociaux et sexuels, motivation ainsi que dans la mémoire.
115
Le système limbique et les ganglions de la base font partie du système nerveux central
-vrai
116
Le cervelet fait partie du cerveau
- faux | - Partie sous le cerveau
117
Un dommage au cervelet peut provoquer des troubles d’équilibre
- vrai | - Responsable de la coordination des mouvements, de l’équilibre, de la posture, apprentissage moteur et la parole.
118
Le tronc cérébral est composé de 3 structures dont le diencéphale
- faux | - Mésencéphale, pont et bulbe rachidien.
119
Le tronc cérébral sert de relais pour les informations sensorielles et motrices
-vrai
120
La moelle épinière est divisée en 4 niveaux
- vrai | - Cervicales, thoraciques, lombaires et sacrales
121
Les vertèbres lombaires sont la partie la plus caudale
- faux | - Vertèbres sacrées
122
Le faisceau cortico-spinal fait partie des voies descendantes
-vrai
123
La moelle épinière sert de relais entre les neurones périphériques et le cerveau
-vrai
124
Les méninges représentent le seul mode de protection de l’encéphale
- faux | - Méninges, système ventriculaire, liquide cérébro-spinal, ossature et barrière hématoencéphalique
125
Les méninges sont constituées de 3 membranes superposées
- vrai | - Dure-mère, arachnoïde et pie-mère.
126
La moelle épinière et l’encéphale ne possèdent que 2 moyens de protection en commun
- faux | - Méninges, système ventriculaire et liquide cérébro-spinal et ossature.
127
Le liquide cérébro-spinal permet de réguler le milieu extracellulaire
- vrai | - Régule milieu extracellulaire et assure flottabilité de l’encéphale et de la moelle épinière.
128
Dans le système nerveux central, le cervelet n’est pas irrigué
- faux | - Cervelet est irrigué par artère cérébelleuse supérieure, antéro-inférieure et postéro-inférieure.
129
Une artère carotide interne et une artère vertébrale permettent de vasculariser les 2 hémisphères
- faux | - Dépend des 2 artères carotides internes et des 2 artères vertébrales.
130
Le tronc basilaire est formé par l’union des 2 artères vertébrales.
-vrai
131
Le système vertébro-basilaire permet de vasculariser le tronc cérébral
- vrai - Constitué des 2 artères vertébrales et du tronc basilaire irriguant le tronc cérébral (basilaire irrigue cervelet aussi)
132
Le système vertébro-basilaire permet de vasculariser le tronc cérébral
- vrai | - Constitué des 2 artères vertébrales et du tronc basilaire irriguant le tronc cérébral et le cervelet
133
Le système nerveux central et périphérique communiquent via des nerfs
-vrai
134
Les nerfs crâniens font partie du système nerveux central
- faux | - Pas tous; ils font partie du sn périphérique, SAUF les nerfs I et II.
135
Les nerfs spinaux ne font eux, parti que du système périphérique
-vrai
136
Les nerfs mixtes sont au nombre de 4
-vrai
137
Les nerfs spinaux ont leur origine de la moelle épinière et du tronc cérébral
- faux | - Origine seulement de la moelle épinière, pas du tronc cérébral.
138
Les nerfs spinaux sont au nombre de 31
- faux | - 31 paires de nerfs spinaux
139
Les ganglions spinaux sont situés sur la racine ventrale
Noyau situé sur la racine dorsale de la moelle épinière.
140
Les ganglions spinaux sont situés sur la racine ventrale
- faux | - Noyau situé sur la racine dorsale de la moelle épinière.
141
Les axones efférents passent par les ganglions spinaux
- faux | - Ganglions spinaux (afférent) reçoivent l’information de la périphérie et la transmettent au SNC
142
Les récepteurs sensoriels sont activés par des stimuli
- vrai | - Activés par stimulus et déclenchent potentiel.
143
Les récepteurs sensoriels peuvent être classés selon le type de stimulus auquel ils répondent
- vrai | - Mécanorécepteurs, thermorécepteurs, photorécepteurs, nocicepteurs, etc.
144
Les récepteurs sensoriels peuvent aussi être classifier selon leur taille
- faux | - Classer selon type de stimulus ou selon leur emplacement (propriocepteurs, extérocepteurs)
145
Il existe plusieurs types de cellules dans le système nerveux
- vrai | - Cellules gliales (astrocytes, microglies, épendymocytes et oligodendrocytes)
146
Les neurones sont composés d’un corps cellulaire, de dendrites, d’un axone et d’une terminaison pré-synaptique
-vrai
147
Les neurones permettent la transmission de signaux
- vrai | - Corps cellulaire + dendrites + axone + terminaison pré-synaptique = neurones = transmission du signal.
148
Les microglies ont un rôle dans la fonction immunitaire
-vrai
149
Les cellules de Schwann forment la myéline entourant les dendrites
- faux | - Forment la myéline entourant les axones.
150
Les astrocytes sont reliés à la fois aux neurones et aux capillaires sanguins
- vrai | - Participent au maintien de l’homéostasie et apportent nutriments aux neurones par capillaires sanguins
151
Il existe 3 types de macroglias.
- vrai 1. Oligodendrocytes : forment myéline autour d’axone 2. Cellules de Schwann : forment myéline entourant axone 3. Astrocytes : participent au maintien de l’homéostasie et apportent nutriments aux neurones
152
Un stimulus active des récepteurs sensoriels à la surface de la peau qui produisent des potentiels qui se transmettent via des axones afférents jusqu’à la moelle épinière
- vrai | - Axones afférents transmettent l’information des récepteurs périphériques (ex : peau) jusqu’au SNC.
153
La moelle épinière sert de relais de l’information jusqu’au cortex
- vrai | - Relais d’informations sensorielles et motrices.
154
L’information est traitée, puis ramenée vers la périphérie via les axones efférents.
- vrai | - Axones efférents transmettent l’information provenant du SNC vers la périphérie (ex : muscle).
155
La régénération dans le système nerveux central est facilitée par les cellules de Schwann
- faux | - Il n’y a pas de cellules de Schwann dans le SN central.
156
Dans des maladies telles que la poliomyélite, les axones des motoneurones vont dégénérer suite à l’atrophie musculaire.
- faux - La poliomyélite entraîne la mort de motoneurone. Cependant, lors de la récupération, les fibres musculaires orphelines sont ré-innervées par d’autres motoneurones, ce qui empêche l’atrophie musculaire.
157
La poliomyélite est un exemple de repousse (sprouting) collatérale.
- vrai - Entraîne la mort de motoneurones -» lors de la récupération, les fibres musculaires orphelines sont ré-innervées par d’autres motoneurones -» souffrent d’un vieillissement prématuré dû à la grande demande énergétique métabolique
158
L'apprentissage est une forme d’habituation
- faux - Acquisition de nouvelles informations ou connaissances = plasticité basée sur l’expérience; c’est l’habituation qui est une forme d’apprentissage, mais pas le contraire. -Habituation = réponse à un stimuli s’atténue à force de répéter ce stimuli. À un moment donné, retour au comportement initial quand on arrête le stimuli à répétition
159
Si deux cellules sont activées en même temps, la force de leur connexion augmente
- vrai - Quand stimulation voie 1 est délivrée en même temps de stimulation voie 2, les deux ensembles de synapses sont renforcés.
160
Lorsqu'un œdème comprime une structure nerveuse, on parle de dégénérescence Wallérienne.
- faux - Deux choses différentes : 1. Dégénérescence Wallérienne : portion distale de l’axone dégénère et meurt + gaines de myéline dégénèrent + changements métaboliques du corps cellulaire + rétraction partie présynaptique + dégénérescence de la partie post-synaptique 2. Récupération de l’efficacité synaptique suite à lésion sn central ou périphérique : œdème comprime l’axone -» diminution flux sanguin -» diminution synthèse et transport des neurotransmetteurs = synapse inactive -» quand œdème disparu, cellule redevient active.
161
L'hippocampe est une des régions dans laquelle on ne retrouve pas de potentialisation à long terme
- faux - Très étudié dans l’hippocampe (mémoire), cortex somatosensoriel, visuel, moteur ainsi que dans le cervelet (apprentissage).
162
La dépolarisation nécessaire à l’ouverture des récepteurs NMDA ne se produit que par des stimulations à haute fréquence.
-vrai -AMPA peuvent s’ouvrir et laissent passer le sodium = dépolarisation de la fibre. Par contre, NMDA ne s’ouvrent pas, car il n’y a pas assez de glutamate pour que NMDA s’ouvre (magnésium forme alors un bouchon). Une stimulation à haute fréquence entraîne un influx nerveux → il y a alors beaucoup de glutamate qui se fixe sur AMPA et NMDA → beaucoup de sodium entre → il y a une forte dépolarisation → le mg est alors expulsé → les canaux NMDA sont ouvert

163
Les canaux NMDA sont impliqués dans la potentialisation à long terme suite à la capture de glutamate concomitante à un potentiel d’action post-synaptique.
- vrai - Influx nerveux -» bcp de glutamate se fixe sur AMPA et NMDA -» bcp de sodium qui entre -» forte dépolarisation de la fibre -» expulsion du magnésium -» calcium entre et permet de déclencher PLT.
164
La potentialisation à long terme est un processus de renforcement synaptique très étudié pour son rôle probable dans la mémoire.
- vrai - Processus de renforcement synaptique entre 2 neurones activés simultanément; différent selon type de synapse et leur localisation.
165
La mémoire est une forme de plasticité.
- vrai | - Rétention de l’information acquise (plasticité basée sur l’expérience).
166
Lorsque la réponse à un stimulus diminue à la suite de l’application répétée de ce même stimulus, on parle d’habituation.
- vrai - Diminution de l’activité synaptique entre neurone sensoriel et interneurone = moins de neurotransmetteurs communiquent.
167
Une lésion axonale n’entraine pas la mort du neurone.
- vrai | - Lésion axonale amène dégénérescence, mais pas la mort du neurone.
168
Les aires visuelles chez les non-voyants sont activées pendant la lecture de Braille.
-vrai
169
Les canaux AMPA sont impliqués dans l’hyperpolarisation rapide à la suite de la capture de GABA.
- faux | - Suite à la capture de glutamate
170
L'entrée de magnésium en intracellulaire provoque l'insertion de récepteurs AMPA dans les synapses post synaptiques.
- faux | - L’entrée de calcium en intracellulaire provoque l’insertion de récepteurs AMPA dans les synapses post-synaptiques
171
Lorsque les récepteurs NMDA sont inhibés, la mémoire est affectée.
-vrai
172
La dépression à long terme augmente la sensibilité au glutamate.
- faux | - Diminution de la sensibilité au glutamate.
173
Lorsqu’un potentiel d’action arrive en présynaptique, le bouchon de magnésium est éjecté des canaux NMDA.
- faux | - Il doit y avoir une forte dépolarisation de la fibre post-synaptique pour qu’il y ait l’expulsion du magnésium
174
La loi de Hebb n’implique pas nécessairement une sommation temporelle
- faux | - Neurones coactifs s’associent et réalisent une unité fonctionnelle lorsqu’ils sont activés simultanément
175
Lorsqu’une partie pré-synaptique est détruite, de nouveaux récepteurs se forment sur la fibre orpheline et les neurotransmetteurs des axones voisins viennent se fixer dessus. On parle alors d’hypersensibilité de dénervation.
- vrai - De nouveaux récepteurs se développent sur la membrane post synaptique, car il y a désormais moins de neurotransmetteurs relâchés. Il va aussi y avoir une hypersensibilité augmenté des nouveaux récepteurs
176
Lorsqu'une fibre neuronale est sectionnée, la partie distale produit un nouveau corps cellulaire.
- faux | - La partie distale produit un nouvel axone.
177
Le système nerveux périphérique constitue un milieu défavorable à la repousse neuronale.
- faux | - SN périphérique est justement le plus favorable.
178
La plasticité peut survenir en réponse à une lésion, mais aussi lors d’une nouvelle tâche effectuée.
- vrai - Oui, car est là à chaque nouvel apprentissage. De nouveaux récepteurs se développent sur la membrane post synaptique, car il y a désormais moins de neurotransmetteurs relâchés. Il va aussi y avoir une hypersensibilité augmentée des nouveaux récepteurs
179
Une synapse est dite silencieuse quand elle ne possède pas de récepteur NMDA.
- faux | - Pas de récepteurs AMPA, mais a des récepteurs NMDA.
180
L’efficacité synaptique peut se rétablir à la suite d’une diminution de la pression.
- vrai - Œdème compresse l’axone, ce qui diminue le flux sanguin ainsi que la synthèse et le transport des neurotransmetteurs, menant à une synapse inactive. Une fois l’œdème enlevé (diminution de la pression), la cellule redevient active
181
Les canaux AMPA sont impliqués dans la dépolarisation rapide suite à la capture de GABA.
- faux | - Suite à la capture du glutamate.
182
La douleur est une forme de plasticité
- vrai | - Réponse à une stimulation
183
Le fait de ne pas utiliser une fonction cérébrale peut amener à sa dégradation fonctionnelle.
- vrai | - Utilisez-le ou perdez-le.
184
La repousse régénérative apparait lorsque l’axone pré synaptique et post synaptiques est lésé, et lorsque l’axone post synaptique est mort.
- vrai - L’axone pré synaptique va se régénérer ( car il est lésé) et se diriger vers une autre cible ( car post synaptique mort)
185
La potentialisation à long terme agit au niveau post-synaptique uniquement.
- faux | - Post-synaptique (efficacité et nombre de récepteurs) et pré-synaptique (relâche neurotransmetteurs)
186
La plasticité négative peut survenir à la suite d’une lésion
- vrai - Lésion → extension des champs de récepteurs, augmentation de leur réponse à une stimulation, décharges spontanées (neurones de la douleur hyper-excités)
187
La plasticité ne requiert pas de répétition pour être induite.
- faux | - Nombre de répétitions suffisant est nécessaire pour induire la plasticité cérébrale
188
La formation de tissu cicatriciel à la suite d’une lésion axonale du système nerveux central empêche la repousse régénérative
- vrai 1. Bloquent régénération cellulaire 2. Pas de régénération cellulaire dans le SNC 3. Repousse collatérale à la place
189
À la suite d’une lésion au système nerveux, les changements synaptiques sont les seuls mécanismes de récupération.
- faux - En modifiant des synapses, en réorganisant le système nerveux central et/ou en modifiant la relâche des neurotransmetteurs.
190
La potentialisation à long terme a été démontrée dans le cervelet.
- vrai | - Hippocampe, cervelet, cortex moteur, cortex visuel et cortex somatosensoriel.
191
La dépolarisation à long terme (DLT) permet d’augmenter le nombre de récepteurs à la surface post-synaptique en stimulant des kinases.
- faux | - Non, car ne stimule pas les kinases, mais plutôt les phosphatases.
192
La DLT est déclenchée par des stimulations à basses fréquence
-vrai
193
La lésion axonale périphérique est la plus fréquente
- vrai | - Causé par objets tranchants ou diabète.
194
La neuroplasticité est définie uniquement par la capacité des neurones à réarranger leur connectivité fonctionnelle.
- faux - Capacité de changement du système nerveux, l’habileté des neurones à réarranger leur connectivité anatomique, fonctionnelle et chimique en réponse à un stimulus environnemental.
195
La neuroplasticité est un phénomène qui se maintient dans le temps.
- vrai | - Tout ce qui est acquis par le cerveau; toujours en changement, mais se maintient constamment.
196
La sensibilisation est une forme de plasticité négative.
-vrai -On ne devrait pas avoir de sensibilité donc si on en a, problème dans les connexions neuronales Devient plus sensible aux stimulus de base fréquences due à l’extension des champs de récepteurs, l’augmentation de leur réponse à une stimulation et décharges spontané
197
La syncinésie est causée par une mauvaise innervation neuronale
- vrai | - quand motoneurone se trompe de cible (innerve un autre muscle).
198
La stimulation du système sensoriel est utilisée comme approche en clinique pour traiter les problèmes d’hypersensibilité
- vrai | - Permet le phénomène d’habituation. Stimuler de façon graduelle et répétée.
199
À la suite d’une stimulation haute fréquence, le potentiel post synaptique excitateur reste inchangé.
- faux - À la suite d’une stimulation à haute fréquence, le potentiel post synaptique va être beaucoup plus grand, puisque ça cause une dépolarisation assez grande pour que Mg2+ partent, débloquant le récepteur de NMDA et entraîne l’entrée massive de Ca 2+.
200
Au début de la phase d’apprentissage, les zones du cerveau activées vont être focalisées.
- faux - Il y a de nombreuses aires qui sont activées dans le cerveau lors d’un nouvel apprentissage. Va devenir plus focalisé avec le temps
201
À la suite d’une lésion, les neurones responsables de la douleur effectuent des décharges spontanées
-vrai
202
C’est l’entrée de sodium dans la cellule qui permet de déclencher une potentialisation à long terme.
- faux - C’est l’entrée du calcium. Sodium permet de dépolariser la fibre donc l’expulsion du mg (si dépolarisation assez grande)
203
Effectuer un entrainement n’importe quand post lésion suffit pour produire une plasticité optimale.
-faux -Interférence : il faut savoir quels objectifs sont à atteindre, mais également il faut prendre le temps de guérir sa blessure Répétition importante et entraînement doit être spécifique. Différentes formes de plasticité apparaissent à différents moments de l’entraînement (temps).
204
À la suite d’une lésion, un type de plasticité peut être la réorganisation des cartes corticales.
- vrai | - 3 types de plasticité dont : réorganisation du SNC → réorganisation du cortex → réorganisation des cartes corticales
205
L’homunculus est identique chez tous les individus.
- faux | - Modifiable selon l’expérience, l’apprentissage et suite à des lésions
206
Une stimulation haute fréquence produit: influx nerveux --> grande quantité de glutamate qui se fixe sur les récepteurs AMPA et NMDA --> beaucoup de sodium entre dans la cellule --> forte dépolarisation post-synaptique --> expulsion du magnésium --> calcium entre et permet de déclencher PLT-» renforcement synaptique, potentiel augmenté = neurones hyper-excités
-vrai
207
L’activation de protéines kinases permet de supprimer des récepteurs.
-faux -Activation des protéines kinases vont : 1.Créer de nouveaux récepteurs AMPA 2.Augmenter la sensibilité au glutamate Protéines phosphatases suppriment récepteurs glutamate.
208
La dépression des synapses permet de diminuer une erreur déjà effectuée.
- vrai | - Permet de modifier le circuit neuronal qui conduisent à des erreurs
209
La bande de Bungner permet de créer un environnement favorable à la repousse axonale.
- vrai - Les cellules de Schwann favorisent la prolifération des cellules, la régénération de la gaine de myéline ainsi que la formation de la bande de Bunger - » repousse axonale (sprouting régénératif)
210
Une lésion à la moelle épinière n’entraine pas de dégénérescence Wallérienne.
- faux - Lésion moelle épinière entraîne : - Dégénérescence Wallérienne et dégénérescence de corps cellulaire - Dommages dans la matière blanche - Cascade cellulaire à la suite de la lésion - Dérégulation des échanges ioniques diminuant le transport de l’information
211
Plus un cerveau sain est jeune, plus la plasticité y est propice.
- vrai | - Cortex cérébral se réorganise mieux et plus rapidement si la personne est plus jeune.
212
Une réorganisation au niveau du cortex signifie la perte de l’utilisation d’une zone cérébrale.
- faux | - Empêcher la dégénérescence ou bien favoriser la protection neuronale.
213
Émotion et humeur sont des concepts identiques
- faux - » Émotion : dure quelques secondes à quelques heures - » Humeur : quelques heures à quelques jours
214
Le syndrome général d'adaptation est une réaction pathologique face à des situations stressantes
- faux | - Réaction physiologique face à la menace
215
La dépression unipolaire majeure est associée à une hypoactivité du cortex préfrontal
-vrai
216
Le système limbique est uniquement impliqué dans les émotions
- faux | - Ensemble de structures impliquées dans les émotions, la mémoire, l’apprentissage, etc.
217
La réaction d'alarme du syndrome général d'adaptation est associée à une sécrétion d'adrénaline et de noradrénaline
-vrai -Stade 1 : la réaction d’alarme Activation de l’axe sympathique = décharge d’adrénaline
218
L'hippocampe appartient au système limbique
- vrai | - Il a un rôle clé dans la mémoire
219
Les troubles obsessionnels compulsifs sont associés à des changements dans la neurotransmission sérotoninergique et dopaminergique
-vrai
220
Le DSM-V est un manuel de référence en santé mentale
-vrai
221
La dépression unipolaire majeure est associée à une hypoactivité du cortex cingulaire antérieure
- faux | - Associé à une hyperactivité du cortex cingulaire antérieure
222
Les hallucinations auditives dans la schizophrénie s'expliquent par une suractivation des aires impliquées dans la perception du langage (par exemple aire de Wernicke) et une sous-activation des aires impliquées dans la production des aires du langage (par exemple aire de Broca)
-faux -» perception d’un discours extérieur en l’absence de stimulation auditive -» hyperactivation aire de Wernicke -» hyperactivation aire de Broca (les aires impliquées dans la perception et dans la production du langage sont hyperactivées)
223
Les troubles obsessionnels compulsifs se déclarent rarement avant 25 ans
- faux | - Pathologie qui se déclare avant 25 ans dans 65% des cas
224
La réaction physiologie à la menace s'appelle le syndrome général d'adaptation et est composée de trois stades
- vrai - » Stade 1 : Réaction d’alarme - » Stade 2 : Phase de résistance - » Stade 3 : Retour à la normale
225
La dépression unipolaire majeure est associée à une déficience en cortisol
- faux | - Déficience en sérotonine, dopamine et noradrénaline
226
La dépression unipolaire majeure est associée à une déficience en dopamine
-vrai
227
La dépression unipolaire majeure est associée à une déficience en sérotonine
-vrai
228
Dans la dépression, la déficience en sérotonine explique la perte de sommeil et la diminution de l'appétit
-vrai
229
Dans la dépression, la déficience dopaminergique explique la perte d'énergie et le manque de plaisir
- faux | - la déficience dopaminergique explique la diminution de l’activité physique et la baisse de motivation
230
Dans la dépression, la déficience en noradrénaline explique une diminution de l'activité physique
- faux | - La noradrénaline explique une perte d’énergie et un manque de plaisir
231
Les symptômes positifs de la schizophrénie regroupent les idées délirantes, les hallucinations, un discours désorganisé et un comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
-vrai
232
Les symptômes positifs de la schizophrénie sont en partie expliqués par l'hypothèse dopaminergique
- vrai - Lors d’un épisode psychotique induit par des amphétamines, il y a une expression des symptômes positifs qui sont extrêmement similaire à ceux notés dans la schizophrénie. L’amphétamine stimule la production et favorise l’action de la dopamine
233
L'hypothèse glutamatergique ne permet pas d'expliquer les symptômes observés dans la schizophrénie
- faux - Les symptômes de la schizophrénie seraient en partie liés au blocage des récepteurs NMDA (inhibe les synapses glutamatergique).
234
L'amphétamine stimule la production et l'action de la dopamine, et produit des symptômes similaires à ceux observés dans la schizophrénie
- vrai - Se traduit par un épisode psychotique avec expression de symptômes positifs extrêmement similaires à ceux de la schizophrénie
235
La schizophrénie est uniquement d'origine génétique
- faux | - 50% de chance d’avoir schizophrénie si génétique. Il y a aussi des facteurs environnementaux
236
Le trouble d'anxiété sociale est associé à une hyperactivation des circuits de la peur
- vrai | - La peur ou l’anxiété sont disproportionnées face à la situation, et en fonction du contexte socio-culturel.
237
Le système limbique est impliqué dans les émotions
- vrai | - Émotions, mémoire et apprentissage
238
L'axe corticotrope est également appelé l'axe hypothalamo-sympatico-adrénergique
- faux | - Axe hypothalamo-sympatico-surrénalien
239
La "décharge d'adrénaline" dans une situation stressante est associé à une activation de l'axe sympathique
- vrai | - Au stade 1 -» réaction d’alarme du syndrome général d’adaptation
240
La dépression unipolaire majeure est associée à une hyper-activation de l'amygdale
- vrai | - Traitement émotionnel, réaction de peur et d’anxiété = hypervigilance vers les stimuli négatifs
241
Dans le trouble de l'anxiété sociale on observe des altérations au niveau frontal et au niveau du système limbique
- vrai - Circuit de la peur est suractivé au niveau de l’amygdale, de l’insula, du cortex cingulaire antérieur et du cortex préfrontal
242
L'inhibition permet d'interrompre ou de réprimer les pensées ou les actions inutiles pour l'exécution d'une tâche
-vrai
243
La sécrétion de noradrénaline a une action anti-inflammatoire
- faux | - Sert à énergie et plaisir. Le cortisol a une réaction anti-inflammatoire
244
Les compulsions sont des pensées, impulsions ou représentations récurrentes et persistantes ressenties comme inappropriées
-faux -Ce sont les obsessions Compulsions : comportements répétitifs ou actes mentaux que le sujet se sent poussé à accomplir
245
Les troubles obsessionnels compulsifs sont associés à un déficit des capacités d'inhibition
-vrai
246
L'axe sympathique s'appelle également l'axe hypothalamo-sympatico-adrénergique
-vrai
247
La dépression unipolaire majeure est associée à une hyperactivité du cortex cingulaire antérieure
-vrai
248
La dépression unipolaire majeure est associée à une augmentation du volume hippocampique
- faux - Associée à une diminution du volume hippocampique = - » difficultés d’apprentissage (mémoire), à encoder l’information - » pas stable dans le temps (changements réversibles avec le temps)
249
Le cortex préfrontal dorsolatéral est impliqué dans la régulation émotionnelle
- vrai | - Contrôle cognitif et régulation émotionnelle
250
Le cortex préfrontal orbital est impliqué dans le sentiment de plaisir
- faux - » Orbital : inhibition des comportements non-désirés et utilisation des récompenses pour guider son comportement - » Plaisir : Ventromédial
251
Le cortex préfrontal ventromédial est impliqué dans l'inhibition des comportements moteurs non-désirés
- faux - C’est le cortex orbital - Ventromédial est impliqué dans le sentiment de plaisir et le renforcement positif
252
La réaction d'alarme dans le syndrome général d'adaptation active le système nerveux autonome
- vrai | - stresseur active le système limbique, qui active l’hypothalamus, qui active le SNA
253
La phase d'épuisement du syndrome général adaptation est un état pathologique lorsqu'il n'y a pas de retour à la normale
-vrai
254
Les troubles obsessionnels compulsifs sont associés à un défaut des capacités d'inhibition
-vrai
255
La dépression unipolaire est plus fréquente chez les personnes âgées (65 ans et plus) que chez les jeunes (15-24 ans)
- faux | - Plus présente chez les jeunes entre 15 et 24 ans que chez les 65 ans et plus.
256
Les changements dans la neurotransmission sérotoninergique et dopaminergique contribueraient à la pathogenèse des troubles obsessionnels compulsifs
-vrai
257
L'hypothèse glutamatergique dans la schizophrénie a été mise en évidence grâce aux effets de la phencyclidine
- vrai | - Ils occasionnaient des effets secondaires tels que la paranoïa et des hallucinations
258
L’homonculus de Penfield c’est la représentation somatotopique motrice du corps.
-vrai
259
Le réflexe d’étirement phasique aide au maintien de la posture (rôle antigravitaire).
-vrai
260
Pour bouger dans 3 plans de mouvements, il faut en théorie au minimum 6 muscles.
- Faux | - il faut N+1 muscles pour produire du mouvement dans N degrés de libertés, donc ici 4
261
Les corps cellulaires des motoneurones supérieurs du faisceau latéral innervent surtout les muscles du tronc.
Faux | surtout les muscles plus distaux
262
La copie d'efference explique pourquoi on ne peut pas de chatouiller soi-même
Vrai pour chaque commandes motrices envoyé vers la périphérie, une copie est envoyée à d’autres aires motrices, ce qui permet de prédire et de supprimer l’information sensorielle attendue
263
Un générateur de patron central permet de simplifier le contrôle de mouvements rythmiques tels que la marche.
Vrai | il faut une seule commande motrice par synergie plutôt que par muscle
264
Le faisceau latéral descend dans la colonne postérieure de la moelle épinière.
- Faux - descend dans la colonne latérale de la moelle - faisceau médial : descend dans la colonne antérieure de la moelle épinière
265
Pour bouger dans 3 plans de mouvements, il faut en théorie au minimum 3 muscles.
Faux, il faut N+1 muscles pour produire du mouvement dans N degrés de libertés, donc ici 4
266
Les commandes descendantes projettent uniquement sur les motoneurones inférieurs (alpha et gamma).
Faux, ils projettent sur les motoneurones supérieurs qui transmettent aux motoneurones inférieurs et aux interneurones
267
Les corps cellulaires des motoneurones situés en latéral innervent la musculature distale.
-vrai
268
Les copies d’efférence expliqueraient l’augmentation de sensibilité somatosensorielle pendant le mouvement.
Faux, explique plutôt la suppression de l’information sensorielle attendue et explique les ajustements posturaux anticipés.
269
Selon le principe de taille de Henneman, les fibres motrices sont recrutées dans un ordre différent selon le mouvement exécuté
Faux, dans un ordre fixe des plus faible au plus forte. Les motoneurones de petite taille sont plus excitables que les motoneurones de grande taille.
270
Le réflexe de retrait se traduit par une activation des muscles extenseurs contralatéraux à la stimulation afin d’éloigner le membre d’un stimulus nociceptif.
Faux, active les muscles fléchisseurs afin d’éloigner le membre du stimulus
271
Un circuit réverbérant permet une amplification spatiale.
Faux | permet une amplification temporelle. Le circuit divergent permet une amplification spatiale
272
Les fibres extrafusales de type I (lente) ont peu de mitochondries
Faux Les fibres de type I à action lente et résistante ont beaucoup de mitochondrie et les fibres de type II rapide et fatigable ont peu de mitochondrie (réponse phasique)
273
La voie corticospinale est seulement latérale
Faux, latéral et médial
274
Le concept d’unité motrice ne s’applique pas aux motoneurones gamma.
Vrai, une unité motrice contient un motoneurone alpha et des fibres musculaires
275
Les réflexes sont des réponses motrices involontaires identiques pour des stimuli sensoriels identiques.
Faux, représente une réponse motrice stéréotypée associée à une stimulation sensorielle afférente. Les réflexes spinaux sont modulés par les motoneurones supérieurs
276
La représentation motrice corticale n’est pas à l’échelle, en particulier main et visage sont surreprésentés.
-vrai
277
Les corps cellulaires des motoneurones sont organisés par groupe (pool) occupant une sous-partie d’un segment spinal unique.
Faux - le pool de motoneurone pour un muscle donné peut s’étendre sur plus d’un segment spinal - Les corps cellulaires des motoneurones sont organisés par groupe (pool) selon les muscles innervés
278
Une articulation permettant 3 degrés de liberté et étant entouré de 4 muscles se trouve dans une situation d'abondance (ou redondance) musculaire.
Faux, il faut n+1 muscles pour produire du mouvement dans N degrés de liberté. 5 muscles auraient causé une situation d’abondance
279
Le réflexe d’étirement phasique ne s’observe normalement pas chez un adulte sans atteinte neurologique.
Faux, il est important chez tous les adultes. Le réflexe d’étirement tonique est présent seulement en cas d’atteinte neurologique
280
Un muscle est associé à une seule synergie
Faux, peut être associé à plus d’une synergie
281
Les fibres motrices à contraction lente (type 1) se trouvent en grande concentration dans les muscles posturaux tels que le soléaire.
Vrai, car ce sont des muscles qui n’ont pas besoin de contraction puissante, mais ils travaillent tout le temps
282
La copie d’efférence et le feedback sensoriel sont intimement lié lors d’un apprentissage moteur.
Vrai, le feedback est utilisé pour les apprentissages moteur tout comme la commande motrice. Il y a un modèle prédictif soumis par la copie d’efférence qui prédit le feedback sensoriel attendu. Il y aura ensuite comparaison du feedback et du feedback sensorielle attendu
283
Une unité motrice, c’est un ensemble composé d’un motoneurone et des fibres musculaires extrafusales que ce motoneurone innerve.
-vrai
284
Les motoneurones inférieurs sont les seuls à activer les muscles directement.
Vrai, les motoneurones supérieurs passent par les interneurones ou les fibres inférieurs et les motoneurones passent par les fibres inférieures
285
Les commandes descendantes projettent uniquement sur les motoneurones alpha.
Faux, les commandes descendantes projettent sur les interneurones et les fibres inférieures
286
La copie d'efference permettrait d'expliquer le sentiment d'agentivité (=sentiment d'être l'auteur de ses propres actions)
-vrai
287
Une lésion des voies corticospinales latérales produit un déficit controlatéral
Vrai, fait synapse avec les neurones situés dans la portion antérolatérale de la moelle du côté controlaéral
288
Les corps cellulaires des motoneurones situés dans la partie postérieure de la corne ventrale de la moelle épinière innervent surtout les fléchisseurs
-vrai
289
Lors de mouvements très rapides, la rétroaction sensorielle ne permet pas de corriger le mouvement une fois qu'il est débuté.
Vrai, c'est du feedforward. La rétroaction sensorielle sera utile lors du prochain mouvement
290
Les fibres musculaires ont des caractéristiques qui dépendent du type de motoneurone qui les innerve.
Vrai, peuvent être de type lent, rapide, résistant et fatigable
291
La couture est un exemple de contrôle moteur feedforward
Faux, la couture est un exemple de mouvement lent avec feedback. Lancé une balle rapidement serait un exemple de feedforward Le saut à ski est un exemple de contrôle moteur feedforward / balistique.
292
Une synergie, d’un point de vue théorique, c’est une activation de plusieurs muscles orientée vers un but unique
Vrai, c’est plusieurs muscles qui travaillent ensemble afin de réaliser une tâche
293
L'aire de Broca est impliquée dans la production du langage
-vrai
294
Dans la moelle épinière, il y a à peu près 30% plus d’interneurones que de motoneurones.
Faux, 30x plus
295
Les commandes descendantes projettent à la fois sur les motoneurones inférieurs et les interneurones.
-vrai
296
Les motoneurones alpha sont responsables de la contraction musculaire
Vrai, car ils sont dans l’unité motrice
297
Les corps cellulaires des motoneurones situés en antérieur de la corne ventrale innervent surtout les extenseurs.
-vrai
298
La décharge des motoneurones gamma permettent d'éviter qu'une tension trop grande soit imposée aux fibres intrafusales.
Faux, c’est les motoneurones alpha qui jouent ce rôle, suite aux informations transmises par les fibres intrafusales.
299
Lors d’une lésion de la moelle épinière, les réflexes spinaux sont souvent diminués en raison de l’interruption des afférences de motoneurones supérieurs.
Faux, plus de reflexe.
300
Dans un système nerveux intact, les réflexes spinaux sont modulés par les motoneurones supérieurs
-vrai
301
Les unités motrices lentes sont les plus fatigables.
Faux, sont plus résistantes à la pratique
302
Le principe de Henneman permet de choisir automatiquement les synergies motrices en fonction de l’intensité de la commande descendante.
Faux, Il permet au système nerveux de contrôler l’ensemble des motoneurones comme un tout sans se soucier des unités motrices à recruter.
303
Le réflexe de retrait est un réflexe polysynaptique
Vrai | dans la moelle épinière, excitation d'un interneurone puis des motoneurones associés aux muscles
304
La sclérose latérale amyotrophique est une maladie dégénérative touchant uniquement le motoneurone supérieur.
Faux, maladie neuromusculaire dégénérative s’attaquant aux motoneurones supérieurs et inférieurs
305
La paralysie ciblée d’un muscle est le signe d’atteinte du motoneurone inférieur.
Vrai, il y a paralysie individuelle du muscle.
306
La spasticité touche très rarement les personnes souffrant d’une paralysie cérébrale.
Faux, touche 90% des personne ayant une paralysie cérébrale
307
Le hoquet est un exemple de myoclonus.
Vrai, un myoclonus est une contraction involontaire d’un groupe de muscle comme le hoquet
308
L’hyperréflexie à l’étirement est observée à la suite d’une lésion du motoneurone inférieur.
Faux, suite à une lésion du motoneurone supérieur
309
L’hémiplégie et la paraplégie sont des conséquences très fréquentes après un accident vasculaire cérébral.
Faux, c’est l’hémiplégie et l’hémiparésie.
310
La faiblesse musculaire a plus d’impact négatif sur la fonction que la spasticité.
Vrai, la faiblesse a plus d’impact sur la fonction que les troubles du tonus
311
La fasciculation est une contraction musculaire involontaire pathologique.
Faux, la fasciculation est une saccade rapide des fibres d’une unité motrice, visible sur la surface de la peau qui n’est pas forcement pathologique.
312
La quadriplégie est principalement observée à la suite d’un trauma violent.
Vrai principalement suite à un trauma violent ou une maladie
313
À la suite d’un AVC, l’hypertonie vélo-dépendante est due à une hyperréflexie.
Faux, est due à une hyperexcitabilité du motoneurone supérieur au niveau du tronc cérébral. L’hyperréflexie est à la suite d’une lésion médullaire
314
La spasticité peut être causée par une hyperréflexie du réflexe d’étirement.
-vrai
315
La sclérose latérale amyotrophique est due à une dégénération du motoneurone inférieur atteignant principalement les membres inférieurs.
Faux, s’attaque aux motoneurones supérieurs et inférieurs
316
Une personne avec une lésion médullaire au niveau thoracique inférieur n’aura pas de difficulté à maintenir une station assise.
Faux, car la flexion de la hanche va être atteinte au niveau de L2
317
La maladie de Parkinson est due à une dégénérescence de la substance noire.
-vrai
318
L’hypotonie est principalement observée à la suite d’une lésion du motoneurone inférieur.
Vrai, on observe une paralysie flasque
319
La fibrillation est un signe de mort axonale à la suite d’une lésion du motoneurone supérieur.
Faux, signe d’une lésion du motoneurone inférieur
320
Une personne ayant subi une lésion médullaire au niveau cervical aura des difficultés à exécuter des mouvements précis, mais pourra marcher normalement.
Faux, à partir de C8 la personne est paraplégique donc n’a plus l’usage de ces membres
321
Aucun trouble de la parole n’est observé à la suite d’une atteinte du cervelet.
Faux, il y a une dysarthrie cérébelleuse donc des paroles saccadées (manque de coordination des muscles de la phonation
322
Une atteinte du motoneurone supérieur peut rendre la manipulation de petits objets difficile.
Vrai, il y a perte des mouvements fractionnés, l’interruption des voies corticospinale latérale amène une diminution de la capacité à effectuer des mouvements fins et donc une atteinte de la dextérité fine
323
Les motoneurones supérieurs sont situés dans les nerfs périphériques.
Faux, dans le cortex moteur et la moelle épinière
324
L’hémiplégie est controlatérale à la lésion cérébrale.
Vrai, car les voies sont croisées
325
Après un AVC, la faiblesse musculaire est principalement due à deux facteurs.
Vrai, due aux changements physiologiques et au manque d’activité musculaire
326
La boucle directe des noyaux gris centraux permet d’initier le mouvement.
-vrai
327
Le clonus soutenu de la jambe est un signe d’atteinte du motoneurone inférieur.
Faux, motoneurone supérieur
328
L’augmentation de lien entre l’actine et la myosine s’observe autant à la suite d’un AVC, d’une lésion médullaire que lors d’une paralysie cérébrale.
Vrai, car la myoplasticité fait suite à une lésion du motoneurone supérieur
329
La parésie est une perte complète de la contraction musculaire volontaire observée à la suite d’une lésion du motoneurone supérieur.
Faux, perte partielle
330
La voie dopaminergique renforce la voie directe des noyaux gris centraux et ainsi facilite l’initiation du mouvement.
Vrai, la voie dopaminergique renforce la voie directe et inhibe la voie indirecte pour faciliter le mouvement
331
Un entrainement en force en présence de spasticité a un effet néfaste sur la fonction.
Faux, un entrainement en renforcement augmente la force et la fonction motrice sans effet néfaste sur la fonction.
332
Le réflexe d’étirement tonique est une résistance à l’étirement passif.
-vrai
333
Un positionnement prolongé va provoquer des changements au niveau du muscle comme l’augmentation de liens entre l’actine et la myosine et le changement de nombre de sarcomères.
Vrai, il peut aussi y avoir un changement dans la distribution des types de fibres musculaire dans le muscle
334
Une réaction anormale du réflexe cutané, flexion de tous les orteils, est observée à la suite d’une lésion du motoneurone inférieur.
Faux, la flexion des orteils est une réaction normale du réflexe cutané, l'extension des orteils est la réaction anormale
335
Le clonus est une réaction pathologique.
Faux, pas nécessairement pathologique | un clonus soutenu est pathologique
336
L’hypertonie observée à la suite d’une lésion médullaire est due à une hyperactivité du tronc cérébral et à une hyperréflexie.
Faux, seulement une hyperréflexivie, c’est l’AVC qui est due à une hyperactivité du tronc cérébral
337
L’hypermétrie est un symptôme du syndrome cérébelleux.
Vrai, lié au trouble de l’exécution du mouvement volontaire rapide
338
Les personnes souffrant d’une paralysie cérébrale ne souffrent pas de contractures.
-faux
339
La fibrillation est un signe clinique visible, couramment utilisé en thérapie.
Faux, il est non visible
340
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurone supérieur) entraîne une perte des réflexes.
Faux, pas de perte de réflexe mais réflexe anormaux
341
Les motoneurones supérieurs ont une influence modératrice (inhibition) sur les motoneurones inférieurs.
Vrai, comme dans l’hyporéflexie à l’étirement
342
Aucun traitement ne permet de renverser l’atrophie musculaire.
Faux, en cas d’atteinte du système nerveux, la stimulation électrique est parfois utilisée pour prévenir/ renverser l’atrophie
343
L’hypertonie s’observe uniquement à la suite d’une lésion chronique du motoneurone supérieur.
Faux, peut aussi être causé par les ganglions de la base
344
Grâce aux interneurones, une contraction musculaire est possible malgré une lésion du motoneurone inférieur.
Faux, car les motoneurones inférieurs font des liens entre la moelle et le muscle donc sans motoneurones pas de contractions musculaire
345
Une lésion sévère au niveau du tronc cérébral entraine une rigidité des membres inférieurs et supérieurs en extension.
Vrai, entraine une extension des membres et une rotation interne du tronc. C’est une décérébration rigide
346
Une lésion sévère supérieure au tronc cérébral entraîne une extension des membres inférieurs et du tronc et une flexion des membres supérieurs
vrai | c'est une décortication rigide
347
Une lésion de la voie corticospinale (motoneurone supérieur) entraine une perte des réflexes.
Faux, pas de perte de réflexe mais réflexe anormaux
348
L’alcoolisme n’est pas une des causes possibles de l’ataxie cérébelleuse.
-faux
349
Le spasme est une contraction musculaire rapide et involontaire.
Vrai, le spasme est une contraction involontaire plus ou moins sévère
350
La classification de l'ASIA permettant de déterminer la sévérité d’une lésion de la moelle épinière a 5 niveaux.
Vrai, il y a le stade de A à E, E étant une moelle normale
351
Le dysfonctionnement des noyaux gris centraux entraîne des difficultés à initier des mouvements volontaires.
Vrai, car leur activation est indispensable au déclenchement du mouvement normal des mouvements volontaires
352
Il existe au moins deux stratégies pour limiter le « freezing » chez les personnes atteintes de Parkinson.
-vrai
353
L’hyperréflexie à l’étirement est due à un manque d’inhibition des motoneurones inférieurs.
Vrai, la lésions du motoneurone supérieur désinhibe les interneurones et les motoneurones inférieurs
354
L’atrophie neurogénique est la diminution du cortex moteur observé chez les personnes ayant une atteinte cérébrale.
Faux, c’est une diminution du volume d’un muscle suite à une atteinte du système nerveux
355
La spasticité peut provoquer des limitations d’amplitudes articulaires et des déformations
Vrai, provoque des limitations d’amplitude articulaire et des limitations fonctionnelles. Elle peut aussi caser des déformations
356
Les noyaux gris centraux permettent d’initier le mouvement, mais ne peuvent pas moduler ce dernier une fois celui-ci commencé.
Faux, sont actifs avant et pendant
357
Le cervelet joue un rôle important dans l’apprentissage moteur.
-vrai
358
La perte des mouvements fractionnés s’observe uniquement chez les enfants ayant une paralysie cérébrale.
Faux, s’observe lors d’interruption de la voie cortico-spinale latérale
359
À la suite d’un accident vasculaire cérébral, la spasticité est causée par une co-contraction agoniste/antagoniste.
Faux, due à l’hyperexcitabilité du motoneurone supérieur au niveau du tronc cérébral. C’est suite à une paralysie cérébrale que la spasticité est causée par une une co-contraction agoniste/antagoniste.
360
Une personne ayant une lésion médullaire au niveau lombaire de classe ASIA B va percevoir un stimulus sensoriel au niveau du genou, mais ne pourra pas mobiliser son genou activement
Vrai, les classe ASIA B présente des lésions incomplètes et ont une présence d’une fonction sensitive sans motricité
361
Le signe de Babinski est une réaction normale chez un bébé de 15 mois.
Faux, normal chez les enfants avant 7 mois
362
La bradykinésie est un symptôme hypercinétique observé dans la maladie de Parkinson.
Faux, est un symptôme hypocinétique
363
Il est difficile d’évaluer la force musculaire de manière exacte chez la population ayant subi un accident vasculaire cérébrale.
Faux, la force musculaire peut être évaluée de façon reproductible
364
La stabilisation debout est difficile chez les personnes atteintes d'une ataxie cérébelleuse.
Vrai, la station debout est difficile, faite d’oscillations brusques et irrégulières