Exam 1 Flashcards

1
Q

La cognition peut-elle dépendre du langage

A

Non, seulement le contraire

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2
Q

Concepts en faveur de l’interaction de la cognition et du language

A
  1. Permanence de l’objet et la catégorisation grammaticale ont lieu en même temps que l’explosion de language (17-18 mois)
  2. Utilisation de concepts grammaticaux complexes - utilisent du langage abstrait, mais sont incapable d’abstraction
  3. Peuvent utiliser des verbes et des modalités abstraites, mais la théorie de l’esprit se développe plus tard
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3
Q

Théorie de l’esprit et concepts sous-jacents

A

Compréhension de l’état d’esprit d’autrui, neurones miroirs, impact sur la communication, influencé par le développement et les troubles neuro/psy.

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4
Q

Neurones miroirs

A

Les neurones miroirs peuvent être définis comme un groupe de neurones qui s’activent lorsque nous effectuons une action ou lorsque nous voyons une action en cours.

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5
Q

Façons principales pour établir lien entre cognition et langage

A

Les pathologies et le développement cognitif et linguistique chez l’enfant

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6
Q

Pathologies développementales affectant la cognition et le language

A

Syndrome de Down, autisme

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7
Q

Aspects cognitifs du syndrome de Down

A

Attention limitée, mémoire à court terme affectée, discrimination perceptuelle déficiente, difficulté de représentation symbolique

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8
Q

Aspects langagiers du syndrome de Down

A

Développement phonologique ralenti, vocabulaire limité, style télégraphique, meilleure compréhension que production, habilité se dégrade avec le temps, grande variété chez les individus

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9
Q

Aspect cognitif de l’autisme

A

Difficulté à entrer en relation avec l’environnement, difficulté avec la théorie de l’esprit, difficulté à voir la valeur de la communication

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10
Q

Aspect langagier de l’autisme

A

Possibilité de rester muet jusqu’à 5 ans, tous les aspects du langage sont affectés (sauf phonologie)

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11
Q

Pathologies ayant un lien moins direct entre cognition et langage

A

Trouble spécifique du langage, syndrome de Williams, surdité/mutisme

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12
Q

Aspects du trouble spécifique du langage

A

Pas de déficit cognitif, atteinte du vocabulaire, de la compréhension et production, erreurs de grammaire, cherche ses mots, difficulté à suivre une conversation

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13
Q

Aspects du syndrome de Williams

A

QI d’environ 50, compétence linguistiques normales

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14
Q

Aspects surdité et mutisme

A

perception diminuée et cognition parfois ralentie, compétences linguistiques normales

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15
Q

Étude de cas Laura

A

QI 40, compréhension et production de phrases complexes

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16
Q

Étude de cas Christopher

A

QI 65, Traduction en 15 langues- questionnement de la maîtrise

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17
Q

Étude de cas Génie

A

Presque sans contacts humains pendant 13 ans, compréhension d’environ 20 mots - pouvait parler comme enfant de 18-20 mots après un an, mais n’a jamais développé langage

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18
Q

Victor de L’Aveyron

A

N’a jamais appris à parler (11 ans), association vague au référent, faible production sans compréhension, pas d’intention de communication (affecte la cognition)

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19
Q

Problème avec les liens des études de cas

A

Les problèmes langagiers sont associés à une cognition déficiente et dissociation perceptible chez Laura et Christopher

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20
Q

Dissociation perceptible

A

Certaine dissociation entre les capacités langagières et les capacités cognitives - Laura et Christopher ont des gros retards cognitifs, mais capacités langagière non proportionnelle (séparation complète ou partielle de la cognition et du langage)

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21
Q

FoxP2

A

Gène du langage - questionnement des racines génétiques du langage, mêmes problèmes de langage chez les membres d’une même famille ou chez des jumeaux identiques

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22
Q

Famille KE et CS

A

Même problème langagier et défaut sur la même partie du chromosome 7 (FOXP2) MAIS souvent accompagé de problèmes cognitifs ou d’articulation oro-spatiale chez KE

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23
Q

Théories liées au développement du langage

A

Constructivisme de Piaget et Innéisme de Chomsky

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24
Q

Stades de Piaget

A

Sensorimoteur 0 - 18: Appréhendent la vie selon les sens, acquisition de la permanence de l’objet et représentation abstraite du monde extérieur
Préopérationnel 2 - 7: Raisonnement limité et égocentrisme
Opérations concrètes 7 -11: Raisonnement moins limité par la perception, émergence de la pensée logique

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25
Q

Processus complémentaires au développement de la cognition

A

Assimilation : appliquer les connaissances acquises sur le monde
Accommodation : ajuster ces connaissances sur des évènements nouveaux

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26
Q

Points importants de l’approche de Piaget

A

1) La connaissance est extraite de l’expérience
2) Le langage est un processus cognitif comme les autres - même courbe de développement que les autres habiletés

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27
Q

Représentations mentales abstraites et langage

A

Les représentation abstraites (symboles) émergent 2 ans +, langage = manipulation de symboles donc langage est impossible sans ces représentations

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28
Q

Contre points Piaget

A
  • Les enfants produisent déjà des mots à 1 an (représentation mentales 2 ans+) et en comprennent beaucoup.
  • Explosion de langage entre 2 et 4 ans, mais ralentissement de la cognition au même moment (égocentrisme).
  • Pauvre/pas lexique vers un an, mais habilités cognitives plus avancées
  • Contribue à la compréhension de l’acquisition du lexique mais pas du développement de la grammaire
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29
Q

Théorie de Chomsky

A

Innéisme : Le langage est inné
L’information pertinente n’est souvent pas disponible dans l’environnement de l’enfant : Pauvreté du stimulus - Énoncés agrammaticaux, incomplets, non représentatif de la grammaire et inintelligible. On réussit quand même à apprendre le langage

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30
Q

Cognitivon vs Langage

A
  • La notion linguistique (nom de masse/nom comptable) est acquise avant la distinction cognitive de substance/objet
  • La quantification n’est pas apprise au même rythme selon le langage
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31
Q

Modularité

A

Indépendance du développement cognitif et langagier

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32
Q

Conclusion du lien entre le développement du langage et de la cognition

A

Interaction (certains concepts comme la quantification et la modalité doivent être appris avant d’ajouter la linguistique), mais les deux concepts se développent indépendamment

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33
Q

Hypothèse de Whorf-Sapir

A

Déterminisme linguistique : le langage forme la pensée. Expérience du pompier, nomme des couleurs, difficulté à dénombrer objets

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34
Q

Problèmes du déterminisme linguistique

A

Circularité de l’argument (les membres d’un groupe s’exprime différemment donc pensent différemment)
S’explique par les expériences/profession, de la mémorisation, lien avec la pertinence culturelle

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35
Q

Couleurs et langage

A
  • De façon générale, on se rappelle mieux les couleurs faciles à nommer
  • Traitement interculturel des couleurs est le même indépendamment du lexique des
    couleur (stéréotype)
  • Rôle de la biologie dans la différenciation des couleurs (vénimeux, vert des feuilles, etc)
  • L’analyse des tests est valide seulement si la relation couleur-lexème est arbitraire
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36
Q

Hypothèse faible de Whorf-Sapir

A

Relativisme linguistique : la structure de la phrase peut influencer la pensée pré-élocution - la structure d’une langage influence notre façon de penser (Effet faible, mais notoire) Aucun effet sur la perception et la conceptualisation des objets/événements
(verbes de déplacement)

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37
Q

Prédictions pour les locuteurs anglophones

A

a) Verbes d’actions acquis plus tôt en anglais qu’en français
b) Permettent plus facilement la création de néologismes
c) imagerie mentale plus riche des déplacements
d) Verbes plus saillants en mémoire lors de la narration d’évènements

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38
Q

Types de mémoire

A

Mémoire sensorielle, mémoire à court terme (mémoire de travail), mémoire à long terme

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39
Q

Types de mémoire à long terme

A

Déclarative :
Épisodique(Événements biographiques)
Sémantique (faits, concepts généraux, mots et leur sens, fluence)

Non Déclarative :
Procédurale (habitudes et habiletés)
Apprentissage non-associatifs (association d’un stimulus non-instinctif)
Conditionnement classique simple (réponse instinctive à un stimulus)
Amorçage (influence d’une information sur réponse)

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40
Q

Première théorie de la mémoire

A

1 seul système ; traces mnésiques s’efface avec le temps

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41
Q

Différences MLT et MCT

A
  • Performance de mémorisation
  • Lésions
  • Traitement du son ou du sens
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42
Q

Performances de mémorisation

A

Vitesse de présentation des stimuli, familiarité avec les stimuli, distraction par une autre tache, etc. - l’effet de récence

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43
Q

Lésions et mémoire

A

Peut affecter la capacité de créer de nouveaux souvenirs, mais garder les anciens et vice versa

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44
Q

Traitement de l’info dans la mémoire

A

La mémoire à court terme est retenue à travers le son et la mémoire à long terme est retenue par le sens
*les mots acoustiquement semblables sont plus difficiles à mémoriser dans la MCT mais pas vrai pour MLT

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45
Q

Mémoire sensorielle

A

stockage temporaire de 1/10 de seconde, mémoire iconique (perception visuelle), mémoire échoïque (perception auditive, limité 1 à 2 éléments)

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46
Q

Mémoire à court terme

A

Retient et peut récupérer l’info pour court lapse de temps, meilleure rétention à l’oral qu’au visuel (répétitions rapide dans systèmes échoïques), 7 plus ou moins 2 éléments, effet de récence, effet de primauté, MDT - tâches cognitives à court terme, se développe même après l’adolescence

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47
Q

Mémoire à long terme

A

Encodage de faits récents (fragiles) puis consolidés, stockage de l’info plus ou moins permanente, restitution de l’info (passe par la MCT)

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48
Q

Parties du cerveau impliquées dans la MLT

A

Hippocampe, lobes temporaux, système limbique, striatum, amygdale,

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49
Q

Parties du cerveau impliquées dans la MCT

A

Cortex préfrontal, hippocampe (système limbique lors du passage en MLT)

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50
Q

Parties du cerveau impliquées dans la mémoire sensorielle

A

Tout, surtout aires auditives et visuelles

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51
Q

Hippocampe et mémoire

A

Partie la plus importante, gère surtout la MLT, mais nécessaire à la MCT. Traces mnésiques profondes (souvenirs jeunesse)

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52
Q

Système limbique et mémoire

A

Ensemble de structures : amygdale, hippocampe, hypothalamus - traitement des émotions (charge émotive + mémorisation), mémoire, pulsions sexuelles

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53
Q

Cortex entorhinal

A

“input” de l’hippocampe, information spatiale et non spatiale

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54
Q

Gyrus dentelé

A

Simplifie l’info complexe pour l’envoyer à l’hippocampe pour former les souvenirs de la MLT (purification des stimulus complexes)

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55
Q

Circuit synaptique de l’hippocampe

A

Info sensorielle - cortex entorhinal (traitement) - gyrus dentelé (simplification) - hippocampe (stockage)

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56
Q

Parties du cerveau et MLT non-déclarative

A

Procédurale (striatum)
Apprentissage associatif (amygdale)
Amorçage (Néocortex)
Réflexes conditionnels (réseaux des réflexes)

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57
Q

Mémoire à long-terme et stockage des mots

A

Les mots sont souvent stockés aux endroits associés à leurs natures/modalité
-Sons dans la région du lobe temporale
- Infos visuelles prêts des aires visuelles
- Concepts abstraits/complexes vers les lobes frontaux

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58
Q

Consolidation mémoire

A

Passage à répétition de la mémoire à long terme à la mémoire à court termme

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59
Q

MDT pour

A

Opération arithmétiques, longues phrases, opération immédiates (mémorisation momentanée)

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60
Q

Modèle de la mémoire de travail

A

Boucle phonologique(langage et son), buffer épisodique (événements), calepin visio-spatial (sens de l’info visuelle), Administrateur central

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61
Q

Parties du cerveau et modèle de la MDT

A

Boucle phonologique(Lobe temporal de l’hémisphère gauche), calepin visio-spatial (lobe temporal de l’hémisphère droite), administrateur central(cortex préfrontal)

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62
Q

Stratégies pour palier aux limites du memory span

A
  1. Regroupement (chunking)
  2. Remplacer l’info concrète par une abstraction
  3. Passage de l’info en MLT
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63
Q

L’effet de récence disparait si

A

On dépasse la fenêtre de la mémoire à court terme
On introduit une distraction

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64
Q

Caractéristiques de l’effet de primauté

A

S’appuie sur les fonctions attentionnelles

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65
Q

Mémoire orale vs visuelle

A

Meilleure mémorisation à l’oral - stockage temporaire dans la mémoire échoïque (échos répétés)

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66
Q

Boucle phonologique

A

Boucle articulatoire basée sur la répétition, mène les tâches cognitives langagières. Endroit où le codage acoustique est fait - moteur d’acquisition du lexique

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67
Q

Raisons de postuler l’existence du codage acoustique

A

1) Plus difficile de se remémorer des séquences de lettres qui se ressemblent
2) un stimulus visuel est plus difficile à se remémorer si on doit faire affaire à une stimulus oral (linguistique) au même moment
3) Plus difficile de se remémorer un mot long qu’un mot court

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68
Q

Buffer épisodique

A

Lie l’info de plusieurs sources pour en faire un objet cohérent (grouper les différents stimulus), lié à la MLT sémantique

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69
Q

Calepin visio-spatiale

A

Information spatiale temporaire, planification spatiale (itinéraire), pas d’influence de l’acoustique, Hémisphère droit (tâche simple : lobe occipital, tâches complexes : lobe pariétal)

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70
Q

Administrateur central

A

Gère les systèmes et répartit les tâches entre le calepin visio-spatial et la boucle phonologique en cas de surcharge

71
Q

Mémoire et apprentissage

A

Une bonne MCT aide à l’apprentissage,
corrélation entre compréhension d’un texte et MDT,

72
Q

Mémorisation d’un mot

A

Répétition dans la boucle phonologique (stockage phonologique), mot reste en mémoire pendant 1-2 sec

73
Q

Décodage d’un énoncé longuistique

A

Seulement mots parlés, décodé étape par étape automatiquement .5s après le début du signal. (Les mot écrits sont automatiquement décodés)

74
Q

Attention et mémoire

A

Des phrases complexes et ambiguës jusqu’à la fin sont plus facile à mémoriser verbatim (nécessite des plus grandes capacités attentionnelles). Le niveau d’attention nécessaire est contrôlé par les fonctions exécutives.

75
Q

Patiente PV

A

Italophone, problème de mémoire phonologique à court terme (lésion hémisphère gauche).
Expérience où deux mots italiens étaient collés ensembles et où un mot italien et un mot russe l’était aussi. Se souvenait du premier, mais pas du deuxième. (apprentissage sémantique plutôt que phonologique)

76
Q

Sous-composantes du langage

A

Phonétique, phonologie, syntaxe, sémantique, morphologie

77
Q

Éléments connexes aux sous-composantes du langage

A

Pragmatique, sociolinguistique

78
Q

Composantes de parler une langue

A
  • Connaitre sa grammaire (ses sous-composantes, ses règles syntaxiques et phonologiques)
  • Établir des liens entre différentes phrases (voix active vs passive)
  • Tirer les conclusions appropriées
79
Q

Grammaire

A

Ensemble de règles qui décrit les énoncés de la langue, connaissante inconsciente de se qui constitue notre langue maternelle, intuition

80
Q

Parler une langue c’est

A

Des intuitions sur lesquels se
basent tous les locuteurs d’une langue et qui leur permettent de se comprendre, est purement descriptive

81
Q

Compétence

A

Connaissance de la grammaire - problème de représentation mentale

82
Q

Performance

A

Usage de la langue - prononciation

83
Q

Phonétique

A

Ensemble de sons produit par le tractus vocal qui est linguistiquement significatif
Consonnes, voyelles

84
Q

Consonnes

A

Selon le : Point d’articulation (endroit de l’obstruction du passage de l’air)
Mode d’articulation (comment passe l’air)
Voisement (vibration des cordes vocales)

85
Q

Effet McGurk

A

Interférence entre ce qu’on peut lire sur les lèvres et entendre

86
Q

Voyelles

A

Selon la :
-Position de la langue
-Ouverture de la bouche
-Arrondissement des lèvres
-Nasalité

87
Q

Phonologie

A

Comment les sons s’organisent dans une langue, phonèmes, allophones

88
Q

Phonème

A

Unité distinctive et autonome d’un langage /d/

89
Q

Allophone

A

Variation sonore d’un phonème, seulement utilisé dans des cas particuliers, pas autonome [dz]

90
Q

Distribution complémentaire

A

Un phonème et ses allophones

91
Q

Paires minimales

A

Deux sons identiques avec une prononciation différentes /po/ et

92
Q

Contrastes suprasegmentaux

A

Éléments prosodiques, intonation, rythme, accent qui distingue des éléments linguistique (vietnamien)

93
Q

Morphologie

A

Structure interne des mots, composé de morphèmes (unité de base des mots)

94
Q

Morphème libre

A

Morphème pouvant être employé seul “je”, “parle

95
Q

Morphème lié

A

Morphème ne pouvant pas être utilisés seuls “-ment”,

96
Q

Mot

A

Morphème libre ou morphème lié + morphème libre

97
Q

Types de mots

A

De fonction (conjonction, prépositions, pronoms..) CLASSE OUVERTE
De contenu (nom, adjectifs, verbes..)
CLASSE FERMÉE

98
Q

Aphasie de Broca et Wernicke et mots

A

AB : Incapacité à produire les mots de fonction
AW : Difficulté à produire des mots de contenu

99
Q

Procédés de formation des mots

A

Composés (garde-manger)
Acronyme (CHUM)
Abréviations (dégeu)
Éponymes (kleenex)
Blending (brunch)

100
Q

Affixes

A

Préfixe (devant le mot)
Suffixe (après le mot)
Infixe (à l’intérieur du mot)
Circonfixe (au deux extrémités)

101
Q

Affixe dérivationnels

A

Formation de nouveau mot (camion/camionnette)
Peuvent changer la catégorie lexicale du mot (brave/bravement)

102
Q

Affixe flexionnels

A

Ne peuvent pas changer la catégorie léxicale
Ajout d’info grammaticale (mange/mangeons) temps de verbe

103
Q

Théories morphologie/cognition

A

Conexionnisme
Règles et mémorisation

104
Q

Conexionnisme

A

Les règles émergent de la manipulation de forme (longue liste contenue dans le cerveau)

105
Q

Règles et mémorisation

A

Manipulation de symboles (une seule règle que l’on applique par patterns, sauf certaines formes irrégulières stockées dans la mémoire associative (stimulus, stimuli))

106
Q

Syntaxe

A

Connaissance de la structure d’une phrase

107
Q

Caractéristique de la syntaxe

A

Dépendance de la structure (n’est pas une suite linéaire de mots + + + =)
Ambiguïté structurale (Selon la syntaxe, parfois deux sens possible)
Relation paraphrastique (voix passive vs voix active)

108
Q

Terminologie syntaxique

A

Syntagme (groupe du nom, groupe du verbe, groupe adjectival, groupe prépositionnel, selon le noyau)

109
Q

Verbes

A

Transitifs (ne peut pas être utlisé seul - regarde quoi?)
Intransitifs (Peut être utilisé seul - dors)
-innacusatifs = être
-inergatif = avoir
(construction impersonnelle ou participiale)
Verbe à contrôle : il veut
Verbe à montée : il semble

110
Q

Pronom explétif

A

Pronom qui en est pas un (il semble que)

111
Q

Syntaxe et cognition

A

Apprentissage des phrases passives plus tard, lésés de Broca ont de la difficulté à comprendre les phases passives (++ réversible)

112
Q

Spécificité du langage humain

A

Il est récursif et la syntaxe est récursive (imbriquer à l’infini)

113
Q

Sémantique

A

Sémantique lexicale (sens des mots), Sémantique formelle (quantification, plusieurs/tous),
Négation,
Structure d’argument (x,y,z, dormir, frapper, déposer),
Ambiguïté de portée (Différentes interprétations),
Présupposition (suppose quelque chose), Point de référence

114
Q

Pertinence clinique de la sémantique

A

La sémantique formelle décrit et vise à
expliquer toute la complexité des phénomènes
Éléments essentiels de la communication verbale qui touchent le raisonnement logique, l’induction, la déduction, la transitivité (MCT)

115
Q

Pragmatique

A

Facteurs qui régissent nos choix de langage et leurs effets (tour de parole, approprié selon le contexte)

116
Q

Pertinence clinique de la pragmatique

A

Enfants autistes et théories de l’esprit

117
Q

Sociolinguistique

A

Registre de parole
Variables sociolinguistiques (voyelles longues, diphtongue)
Changement linguistique selon l’individu/communité

118
Q

Traitement de l’information

A

Information à traiter lors d’une occurence linguistique (acoustique, syntaxique, sémantique)
Prend en compte la production et la compréhension

119
Q

Production

A

Savoir ce qu’on va dire avant de le dire
(niveau conceptuel -> mots et structures -> niveau phnologique/phonétique.
Niveau top-down (Tête à la bouche)

120
Q

Étape de la production

A

1) Identification de l’idée
2) Recherche de l’information en mémoire
3) Capture de l’information
4) Transformation de l’info en mot
5) Organisation syntaxique
6) Formation d’une proposition
7) Prononciation

121
Q

Compréhension

A

Info phonologique et phonétique -> “chunks” ->mots et structures -> niveau conceptuel
Niveau bottom-up (bouche à la tête)

122
Q

Étape de la compréhension

A

1) Séquence acoustique
2) Oreille
3) Décodage de l’info acoustique
4) Reconnaissance des mots/chunks/structure
5) Saisie de l’info structurale et lexical en mémoire
6) Activation des concepts reliés aux mots et à la structure
7) Compréhension

123
Q

Réversibilité

A

Inversion des agents

Utilisation de la pragmatique pour déterminer les fonctions grammaticales impossibles

124
Q

Réversibilité indépendante

A

Difficulté pour aphasique de Broca si 2 phrases syntaxiquement correcte
Voix passive
Le danseur applaudit le chanteur
Le chanteur applaudit le danseur
Qui fait quoi? 75% réussite
50% de réussite dans le cas d’une phrase passive

125
Q

Théories de traitement de langage

A

Modulaire vs Interactice

126
Q

Théorie modulaire

A

Analyse de façon séquentielle, stock les mots dans la MCT jusqu’à la fin de la phrase
Traitement syntaxique avant tout puis ensuite pragmatique

127
Q

Théorie interactive

A

Interagit avec la phrase en temps réel
Possibilité d’être surpris selon ses attentes
Analyse de la syntaxe et de la pragmatique au même moment

128
Q

Types d’ambiguïté

A

Ambiguïté lexicale (polysémie) 🫀 ou <3
et
**Ambiguïté syntaxique
“Flying planes can be dangerous”

129
Q

Minimal attachement

En faveur de?

A

Favoriser la phrase qui est syntaxiquement plus simple

Modularité : assignation de structure puis retour pour intérprétation

130
Q

Garden path

A

Phrase grammaticalement correcte qui commence de telle manière que l’interprétation la plus probable d’un lecteur sera incorrect - doit revenir sur nos pas pour retrouver le sens
**surprise = théorie interactive

131
Q

Garden path et prosodie

A

Les indices prosodiques enlève la surprise/difficulté, intonations aide l’auditeur

132
Q

Prosodie

A

Facteur non structural - Pauses et intonations qui donne des informations sur la limite des constituants

133
Q

Facteurs non-structuraux

A

Trait plus ou moins animé du sujet
Contexte
Fréquence lexicale
Prosodie

134
Q

Trait plus ou moins animé du sujet

A

Facteur non structural - Est-ce que le sujet a un volonté propre?
Si non, bloque le garden path

135
Q

Le contexte

A

Facteur non-structural - Permet de lier le sujet à plusieurs référents, facilite l’interprétation

136
Q

Fréquence lexicale

A

Facteur non-structural -
Si le deuxième verbe ne permet pas une lecture intransitive, pas de garden path

137
Q

Traitement et mémoire à court terme

A

Début du traitement 0.10 sec après le début de l’énoncé, fin du traitement 200ms après la fin de l’énoncé.
Possible que le langage soit plus ou moins indépendant de la MACT (patients difficulté avec MCT mais pas avec langage)

138
Q

Electrophysiologie

A

Permet d’observer les corrélats neuronaux des sous-composantes linguistiques
Permet d’observer l’influence simultané d’un sous-système sur un autre

139
Q

Composantes de l’EEG

A

MMN
N400
ELAN
P600
CPS

140
Q

MMN

A

Mismatch negativity - rx du cerveau après présence d’un éléments rare dans une suite

141
Q

N400

A

Centro-pariétal - rx à un type de phrase avec un problème de sémantique (pas de sens dans le contexte/mauvaise untilisation)

142
Q

ELAN

A

Antérieur négative - traitement syntaxique et morphosyntaxique

143
Q

P600

A

Révision syntaxique, garden path

144
Q

CPS

A

Closure positive shift - traitement de la prosodie

145
Q

Cortex

A

Structure superficielle faite de neurones. Matière blanche - axones myélinisés
Matière gris - axone non myélinisés
6 couches
Épaisseur et type de neurones variable

146
Q

Cytoarchitectonie

A

Étude des différences d’épaisseur, permet d’identifier les différentes aires du cerveau

147
Q

Fonction du cortex

A

Fonctions cognitives supérieures
(sensations, mémoire, mvmt musculaire volontaire, pensée, raisonnement, vision)

148
Q

Cortex préfrontal

A

Dans le lobe frontal, responsable des fonctions exécutives, dernière structure è s’être développée chez l’humain, se développe vers 5-6 ans

149
Q

Fonctions exécutives

A

Exécution du comportement, processus cognitif de haut niveau, traitement et intégration de l’info, adaptation et utilisation de l’info, planification/élaboration/organisation

150
Q

Lobes

A

Frontal
Pariétal
Occipital
Temporal

151
Q

Lobe frontal

A

Impliqué dans : fct cognitives supérieures, fct exécutives, production du langage, cortex moteur

152
Q

Lobre temporal

A

Première aire de l’audition, perception, reconnaissance des visages, mémoire, émotions, compréhension du langage

153
Q

Lobe occipital

A

Aire visuelle, prononciation des mots vus, ++ lecture

154
Q

Lope pariétal

A

Cortex somatosensoriel (sensations et propriosceptiques, stockage du vocab, verbes d’états, caractéristiques, ect)
Intègre l’info des différents sens
Aspect supérieur de la vision
Prononciation de mots

155
Q

Type de neurones

A

Unipolaire, bipolaire, pyramidale, multipolaire

156
Q

Aire de Broca

A

BA44, BA45 (BA47) - gyrus frontal inférieur, lésion entrâine un déficit de production (pas de mots de fonction)

157
Q

Aphasie de Broca

A

Pas de production de phrases complexe, comprennent pas phrases passives, bon vocabulaire

158
Q

BA44

A

Pars triangulaire : sémantique lexicale, syntaxe

159
Q

BA45

A

Pars opercularis : traitement de la phonologie, production de parole

160
Q

BA47

A

Possiblement la syntaxe
HG : fct exécutives, MDT, Mémoire épisodique, raisonnement moral, déduction
HD : musique, catégorisation, complexité articulatoire, génération séquences rythmique

161
Q

Aire de Wernicke

A

BA22, Planum temporal - plus développé dans l’hémisphère gauche (latéralisation de langage), traitement phonologique, traitement de la parole, tâches de production

162
Q

Aphasie de Wernicke

A

Langage fluide, mots de fonctions, ne comprennent pas la sémantique

163
Q

Territoire de Geschwind

A

Lobule pariétal inférieur - BA39: Gyrus angulaire et BA40 : Gyrus supramarginal
Jonction des aires visuelles, auditive et somatosensorielle
Chemin alternatif si lésion du faisceau arqué

164
Q

Gyrus supramarginal

A

Traitement phonologique et articulatoire

165
Q

Gyrus angulaire

A

Traitement sémantique

166
Q

Faisceau arqué

A

Faisceau de fibre nerveuses, assure la communication de aire de wernicke -> aire Broca, travaille en tandem

167
Q

Gyrus frontal inférieur

A

AB

168
Q

Théories rôle Broca et Wernicke

A

TH1
Broca : production de la parole
Wernicke : compréhension
TH2
Broca : syntaxe
Wernicke : Phonologie, sémantique

169
Q

Gyrus de Heschl

A

BA41 : devant le planum temporal, traite info auditive

170
Q

Cervelet

A

Contrôle du langage, motricité fine, coordination

171
Q

Régions sous-corticales

A

Insula - homéostasie du corps, symptômes de aphasie de Broca
Striatum - putamen (ganglisons de la base) et noyau caudé (mémoire et apprentissage)

172
Q

Régions sous-corticales

A

Insula - homéostasie du corps, symptômes de aphasie de Broca
Striatum MDT - putamen (ganglisons de la base) et noyau caudé (mémoire et apprentissage)

173
Q

Putamen

A

Ganglions de la base - Ensemble de structures nerveuses, sélection et déclenchement des mvmt volontaire, apprentissage procédural, émotions, traitement de la morphologie