exam 1 Flashcards

1
Q

Qu’est ce que le développement humain ?

A

comme un processus de croissance et de différenciation d’un organisme vivant qui aboutit à la maturité et qui
implique un ensemble de modifications biologiques,
physiologiques et fonctionnelles qui se succèdent de la
conception à la mort.»

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2
Q

Nommer 4 Notions importantes étroitement liées au développement humain et les définir

A

§ Maturation
§ Croissance
§ Apprentissage
§ Engagement occupationnel

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3
Q

quelles sont les Périodes de développement

A

division arbitraire et variances selon pays
EX :
• Prénatale (la mieux définie en terme de début fin)
• Périnatale (entre 154e jour de gestation et 7e jour
après la naissance)
• Néonatale/nouveau-né (naissance à 28e jour)
• Nourrisson (entre 28e jour et 2 ans)
• Petite enfance
• Enfance
• Préadolescence
• Adolescence
• Jeune adulte
• Adulte
• Adulte d’ âge avancé/personnes âgée/aînés

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4
Q

Nommer les sphères ou domaines de développement

A
Divisions arbitraire 3 domaine vs 6 vs 12 sphères
EX : 12 sphères
§ Motricité grossière
§ Motricité fine
§ Perception/cognition
§ Communication/langage § Socio-émotionnelle
§ Concept de soi et identité
§ Participation dans la communauté et les
tâches domestiques § Alimentation
§ Continence
§ Habillage
§ Soins personnels §Jeu
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5
Q

À quoi réfère les perspectives développementales

A

1 Longitudinale : séquence développementale pour chacune des sphères du développement (suivre une personne sur longue période de temps)
2 Transversale : habiletés acquises à un âge donné dans toutes les sphères du développement (focus sur une période précise)
3 Holistique : influence des sphères entre elles et des différences individuelles (perspective la + englobante)

Savoir que par exemple, la fierté des parents peut favoriser l’accomplissement d’une tâche (constitue une réponse de l’environnement)

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6
Q

Différenciez continuités et changements (dans développement)

A

Continuités : Notion de persistance dans le temps Prédispositions liées génétiques (comportements, traits)
Interaction entre la génétique et l’environnementcest ce qui influence le plus

Changements : Quantitatifs: se calculent ou se mesurent.Concept de séquences ou de maturation.
Ex : nombre de mot du vocabulaire d’un enfant
ou Qualitatifs: denature,destructureoud’organisation d’un phénomène qu’on peut catégoriser. Concept de stades.

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7
Q

Différenciez Généralités vs Différences individuelles(dans développement)

A

Généralités : NORMES développementales
Influencées par la maturation
Séquentielles, universelles, relativement imperméables à l’ environnement.

Différences : Quotient de développement utilisé pour quantifier les différents patrons de trajectoires développementales

âge fonctionnel sur âge chronologique

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8
Q

quest ce quon entend par le terme Caractéristiques ou règles générales (dans développement)

A
§ Phénomène dynamique et complexe
§ Synchronie
§ Phénomène non linéaire § Poussées
§ Plateaux
§ Régressions
§ Rôle de la personne :  Passif vs actif
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9
Q

Facteurs influençant le développement

A
  • Influences normatives associées à l’âge §Horloge biologique
  • Horloge sociale
  • Influences historiques normatives §Influences non-normatives
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10
Q

Influences normatives associées à L’âge (du développement)

A
horloge biologique : croissance, puberté, 
retraite
permis de conduire
droit de vote
devenir parent
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11
Q

Facteurs d’influences (du développement)

A

Personnelles (ex: génétique, tempérament, maladies)
Maternelles (ex: comportements durant la grossesse, âge, niveau de scolarité)
Parentales (ex: eux-mêmes en développement, qualité de la relation, style éducatif)
Familiales (ex: habitudes de vie, structure familiale, niveau d’engagement, relations fraternelles)
Socioculturelles
Environnementales (ex: socioculturel, physique, toxicité)
Temporelles, historiques

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12
Q

Débat «Nature vs Nurture»

définition et différenciation des termes

A

Génome : Information portée par nos 23 paires de
chromosomes
- Ensemble de l’information génétique (20 000 à 25 000 gènes)
- The Human Genome Project
Génotype :Constitution génétique d’un individu § Phénotype, Somme des caractères morphologiques, physiologiques, cellulaires ou comportementaux qui sont identifiables de l’extérieur
Hérédité : Partie du phénotype attribuable au génotype

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13
Q

Débat «Nature vs Nurture» applications
Iné Vs acquis
nurture = the sum of the environmental factors influencing the behavior and traits expressed by an organism

A

§ Études sur les jumeaux
§ Environnements partagés VS non-partagés
§ Neuroscience
§ Théorie du modèle interne
§ Système intériorisé d’interprétations et de significations construit selon ses expériences propres
§ Influences gènes à environnement
§ parents à bagage génétique + env.
§ traits héréditaires à comportements à réactions
§ Influence environnement à gènes § Épigénétique

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14
Q

def épi-génétique

A

Étude des mécanismes moléculaires qui modulent l’expression ainsi que la modification du patrimoine génétique en fonction de l’environnement.
§ Potentielles transmissions intergénérationnelles

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15
Q

quels sont les 3 grands débats autour de «Nature vs Nurture»

A
  1. gênes OU environnement
  2. gênes ET environnement
  3. «—–gênes «—-» environnement—-» dynamique
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16
Q

gêne et environnement sont en étroite relation avec quel autre facteur

A

santé vs maladie

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17
Q

Interaction des facteurs d’influence

A

-Extrinsèques: Conditions adverses VS Facteurs de protection

-Intrinsèques:
-Vulnérabilité : augmentent les risques
en présence d’expériences négatives
-Résilience: augmentent les possibilités d’adaptation en présence d’expériences négatives

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18
Q

définir Matrice de la résilience

A

regroupe facteurs intrinsèque ET extrinsèques

  1. évolution facilité si facteur de protection + vulnérabilité
  2. situation idéale si facteur de protection + résilience
  3. À risque si : condition adverse et vulnérabilité
  4. possibilité d’adaptation si conditions adverses et résilience

*facteur de protection et condition adverse sont extrinsèque. tandis que vulnérabilité et résilience intrinsèque

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19
Q

développement et Importance du moment d’influence

définir 2 périodes

A

Périodes critiques: Sensibilité particulière à la présence ou à l’absence de certains stimuli. comporte 2 phases

Périodes sensibles : Intervalles temporelles durant lesquelles le cerveau est particulièrement réceptif à certaines expériences.

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20
Q

Developement Aussi une question d’apprentissage et de cohérence. expliquez

A

Just Right Challenge (Défi parfaitement ajusté)
§Cohérence avec le niveau développemental (habiletés et intérêts) actuel
§Goodness of Fit
§ Cohérence entre l’environnement et la personne

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21
Q

Quelle est la raison d’être des théorie du développement humain ?

A
  • Organisation des comportements observables
  • Analyse et interprétation des comportements observables par la génération d’hypothèses vérifiables
  • Proposition de solutions efficaces aux problèmes -Organisation des comportements observables
  • Analyse et interprétation des comportements observables par la génération d’hypothèses vérifiables
  • Proposition de solutions efficaces aux problèmes
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22
Q

à quoi fait on référence en parlant du développement comme résultante de l’influence de l’environnement

A

§Théories behavioristes
§ Auteurs importants: Pavlov, Watson, Skinner,
Bandura
§Apprentissage = acquisition de nouveaux comportements façonnés de façon prévisible par ses interactions et ses expériences
§Conditionnement classique – Pavlov §Conditionnement opérant - Skinner §Apprentissage social (vicariant) - Bandura

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23
Q

Critique et évolution des théories behavioristes

A

points forts : Explication de l’acquisition, du maintien et de la modification d’un comportement

  • Pistes concrètes et efficaces pour intervenir à peut ! facilement être testé
  • très utilisées (ex: évaluation, éducation, traitement des phobies, …)

point faible : Apprentissage tant chez l’enfant que chez l’adulte
- Comportement davantage expliqué que le “ développement

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24
Q

À quoi fait référence Le développement en termes de motivation et de besoins

A

Théorie humaniste
§ Auteurs importants: Maslow, Rodgers
§ Principaux principes théoriques:
§ Développement humain = organisme en entier
§ Tendance innée à s’auto-actualiser, à mobiliser ses forces positives et à développer son potentiel (MÉCANISME DE CHANGEMENT)
§ Satisfaction des besoins de base selon un ordre hiérarchique → développement normal (MÉCANISME DE CHANGEMENT)
§ Perception subjective du monde est plus importante que la réalité objective

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25
Q

Critique et évolution de la perspective humaniste

A

points forts : Vision optimiste de l’humain
§ Fondement de base humaniste en ergothérapie
(approche centrée sur le client) !
§ Impact sur les attentes sociétales: responsabilisation § Approche par compétence en éducation
§ Prise en charge par les individus de leur santé

point faible Insistance sur la séquence/hiérarchie des besoins et “ non sur les stades développementaux.

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26
Q

décrire Le développement des processus de la pensée et leur influence (cognitif)

A

§Théories cognitives (constructivisme) §Auteur important: Piaget
§Conceptualisation du développement de l’enfant selon une série de périodes hiérarchiques :
§ Sensorimoteur (0-2 ans)
§ Préopératoire (2 à 6 ans)
§ Opérations concrètes (6 ans à 11 ans) § Opérations formelles (de 11 à 16 ans)

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27
Q

Le développement cognitif selon Piaget

A

Produit d’une motivation interne
§Lié au développement des capacités motrices
-Mécanismes de changement : trois processus 1.Assimilation (généralisation)
2. Accommodation (nouveau).
3. Équilibration (adaptation)

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28
Q

Le développement comme résultante des interactions sociales

A

§Théorie socioculturelle
§ Auteur important: L. Vigotsky §Principaux principes théoriques:
§Développement cognitif = extérieur de l’ individu
§Développement = échange entre un apprenant et une personne plus expérimentée
§Concepts clés:
§Zone proximale de développement (ZPD) §Aide et soutien offerts par les autres §Discours intérieur

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29
Q

4 Étapes d’acquisition d’une habileté

A

4: Désautomatisation et régression en cas d’oubli ou de pratique insuffisante
3. Automatisation. L’aide est peu nécessaire, voir même nuisible
2. La personne s’aide à réaliser la tâche en se parlant (ex: auto-guidance, autorégulation)
1. ZPD: la personne peut réaliser la tâche avec l’aide
d’une personne plus expérimentée (MKO) (on parle d’aide assisté)

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30
Q

quelles théorie démontrent que Le développement social influencé par le développement cognitif

A

Théorie sociale cognitive, théorie de l’esprit §Auteurs importants: Bandura, Frith, Baron-
Cohen
§Principaux principes théoriques:
§ Influence des habiletés cognitives sur le développement des comportements sociaux et de la personnalité
§Théorie de l’esprit
§ Ensemble des idées qui permettent de se représenter l’état d’esprit d’autrui et de prédire ses comportements

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31
Q

Le développement moteur a quoi correspond til

A

§ Amélioration du contrôle musculaire nécessaire pour : prendre/tenir une position, se déplacer et interagir avec son environnement.
§ Subdivision arbitraire usuelle: § Motricité globale
§ Motricité fine
§ Oro-motricité

concepts a distinguer 
\:Habiletés perceptivo- motrices
 ́ ex: coordination visuo-motrice
 ́ Schéma corporel ́
 Force musculaire
 ́ Tonus musculaire
 ́ Réflexes
 ́ Posture, contrôle postural, réactions posturales
 ́ Équilibre
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32
Q

définition terme moteurs

A

Force musculaire
§ Capacité du muscle à exercer une force contre une
résistance
§Tonus musculaire
§ État permanent de tension qui s’exerce sur les muscles
afin de s’opposer à l’action de la gravité sur le corps
-Hypertonie ou hypotonie
§ Réflexe
§ Patron de mouvement hautement prédictible en réponse à un stimulus donné
§ Posture
§ Alignement du corps à un temps donné
§ Contrôle postural (postural control)
§ Capacité à maintenir (contre gravité) le corps dans un alignement adéquat qui fait en sorte que le centre de gravité est au dessus de la base de sustentation, et à pouvoir y retourner suivant un déplacement.
§ Nécessite un équilibre entre la stabilité et la mobilité
§ Statique: capacité à maintenir le corps dans une position fixe
§ Dynamique: capacité à maintenir l’alignement du corps durant le mouvement
§ Équilibre (Balance – postural stability)
§ Maintien d’une posture en équilibre § Stat vs dynamRéactions posturales (Postural equilibrium)
§ Processus qui permet de ramener le centre de gravité au-
dessus de la base de sustentation lorsque déplacé. § Anticipées
§ Compensatoires
§ Réaction de redressement (Righting)
§ Ramener l’alignement des parties du corps
§ Tête/corps, Corps/corps (ceinture scapulaire /ceinture pelvienne), Corps/tête
§ Réactions d’équilibre (equilibrium reactions)
§ Mouvements du tronc et des membres dans la direction opposée au sens de déplacement afin de rétablir le centre de gravité et de ramener la verticalité
§ Réactions de protection (protective reaction / parachute reactions)
§ Extension des membres en direction de la chute en réponse à des déplacements précipités et/ou de trop grande amplitude.Habiletés perceptivo-motrices
§ Actions motrices qui découlent du traitement dynamique
des informations sensorielles
§ Coordination visuo-motrice implique que les mouvements des différents segments du corps soient coordonnés à l’information visuelle perçue préalablement et en cours d’exécution
§Schéma corporel
§ « construction définie par la conscience interne du corps
et la relation entre les différentes parties du corps »

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33
Q

Théorie de l’apprentissage moteur consiste a

A

Mouvement résulte de l’interaction:
1. des habiletés actuelles et émergentes de la
personne
2. des caractéristiques de la tâche 3. du contexte, de l’environnement
§ Découle des théories de l’apprentissage
§ Pratique et expérimentation
§Variation des contextes de pratiqueà généralisation
§ Niveau de support approprié (zone prox. de dév.)
§ Rétroaction bien ajustée

§ Principaux principes théoriques:
phase d’apprentissage
1. cognitive
• effort conscient, attention, verbalisation, variabilité,
erreurs 2. associative
• habileté se raffine, constance, moins d’erreurs,
3. automatisation
• habileté motrice est acquise, demande peu de ressources
cognitives
type de phase dapprentissage influence le choix :
§ Types de tâche
• Discrète,continue,ensérie
• Variable ou non, ouverte (env. changeant), fermée (env.
stable, prédictible)
§ Type de pratiques § Type de feedback § Type de support

34
Q

théories de l’apprentissage moteurs et critiques

A

points forts Explication de l’acquisition, du maintien et de la modification d’un comportement d’une habileté motrice
§ Pistes concrètes et efficaces pour intervenir à peut facilement être testée
§ très utilisées (ex: réadaptation, éducation physique, entraînement sportif, …)
§ Apprentissage d’une tâche motrice chez l’enfant et l’adulte
§ Stratégies résultent de la considération des caractéristiques
de la tâche, de la personne et de son environnement

points faible § Explique davantage le comportement moteur X dans une situation X que le développement moteur humain, car très peu d’information sur les changements associés à l’âge.

35
Q

le développement par la maturation

A

Théorie Maturationniste
§Auteurs importants: A. Gesell, M. McGraw
§Mécanismes de changement § Maturation du SNC
§ Âge
§ Développement prévisible (Voir: les «lois»)
§Grandes contributions
§ Gesell Schedules, Quotient de développement,
§ Régressions lors de périodes de réorganisation du système, périodes critiques et sensibles (McGraw)

36
Q

les directions du développement (gesell)

A

Céphalocaudal
§ Proximodistal
§Médial vers latéral
§Graduellement contre gravité

37
Q

autres regles de Gesell

A

§Flexion avant extension
§Simple avant complexe
§Général avant spécifique
§ Asymétrie à symétrie à asymétrie fonctionnelle

38
Q

Le développement par la résolution de conflits (domaine socio affectif )

A

Théories psychodynamiques
§Auteurs importants: Freud, Erikson , Jung,
Klein
§Principaux principes théoriques:
§Changements développementaux résultent d’émotions et de pulsions internes qui influencent le comportement.

39
Q

Freud et les stades psychosexuels

A

Développement de la personnalité résulte de la résolution, + ou – réussie de conflits propres à cinq stades psychosexuels** durant les premières années de vie.
§Appareil psychique :
§ 1ère topique: l’inconscient // le préconscient
et le conscient
§ 2e topique: le Ça (pôle pulsionnel), le Moi (médiateur) et le Surmoi (structure morale et judiciaire)

40
Q

Erikson et les stades psychosociaux

A

0 à 12-18 mois :Confiance ou Méfiance
12-18 mois à 3 ans :Autonomie ou Honte et Doute
3 à 5-6 ans : Initiative ou Culpabilité
6 à 11 ans : travail ou infériorité
12 à 18 ans : Identité ou Confusion des rôles
18 à 34- 40 ans intimité ou isolement
35-40 à 65 ans générativité ou stagnation
65 ans et + : Intégrité personnelle ou Désespoir

41
Q

Critique et évolution de la perspective psychodynamique

A

Points forts : Importance des premières relations dans la formation des modèles internes, des habitudes et de la personnalité.
§ Explication qu’être un «bon parent» n’est pas une qualité immuable
§ « Non passivité » de l’enfant

points faibles Définitions peu opérationnelles à difficiles à valider
§ Conviction «pessimiste» à peu de solutions concrètes et efficaces aux problèmes

42
Q

Le développement et le tempérament (principaux principes theoriques)

A

§Théories du tempérament
§Auteurs importants: Thomas & Chess
§Principaux principes théoriques
§Observable dès les premiers jours de vie
§Impact sur les réactions de l’enfant aux nouvelles situations
§Base de la personnalité
§Relativement stable en fonction du temps
§Influencé par les interactions gène- environnement
§Rôle central de l’adéquation de l’ajustement (« goodness of fit »)

43
Q

Le développement et le tempérament définitions (connaitre les traits associés)

A

Chess and Thomas’s Dimensions of Temperament (Chess & Thomas, 1987)
Niveau d’activité : Motor activity and the proposition of active and inactive periods
Rythmicité : The predictability or unpredictability of biologic functions (régularité des cycles biologiques)
Approche/retrait : The individual’s response to new or altered situations
Adaptabilité : Overall (not immediate) response to new or altered situations
Intensité de réponse : The energy level of the person’s responses
Seuil de réponse : Level of sensory stimulation needed to evoke a response
Qualité de l’humeur : Relative proportions of positive and negative mood behavior
Distractibilité : The degree to which outside stimuli interfere in ongoing behavior
Persistence : The continuation of an activity in the face of obstacles
Attention : The length of time an activity is pursued without interruption

44
Q

Le développement supporté par l’attachement

A
Théorie de l ’attachement
§Auteurs importants: Bowlby, Ainsworth
§Pierre angulaire du bien-être des enfants et essentiel pour un développement sain
§Quatre patrons
 1. Sécure
2. Évitant
3. Résistant-ambivalent
4. Désorganisé-désorienté
45
Q

résumé 4 domaine du developement et théories associé

A
  1. Cognitif : Piagétienne
    Socio-culturelle (Vigotsky),
    Théorie de l’esprit/sociale-cognitive
  2. Moteur : Définition et concepts importants Apprentissage moteur Maturationnisme
  3. Socioaffectif : Psychodynamiques (Freud et Erickson) Tempéramment
    Attachement
  4. Multiples : Behaviorisme Humanisme Intégration sensorielle
  • Ce classement peut varier selon les auteurs et il n’exclut pas l’inter-influence entre les différents domaines
46
Q

conclusion

A

Champs d’étude complexe et toujours actuel
§ Théories
§ compréhension du développement humain
§ Organisation et compréhension des changements au fil du temps
§ Hypothèse sur comment les influencer positivement

47
Q

Qu’est-ce que le développement humain ?

A

«Le développement humain peut être défini comme un processus de croissance et de différenciation d’un organisme vivant qui aboutit à la maturité et qui implique un ensemble de modifications biologiques, physiologiques et fonctionnelles qui se succèdent de la conception à la mort.» (Case-Smith & O’Brien, 2010; Office québécois de la langue française, 1984)
–Notion de changements sur les plans … –des sphères de développement
–de l’apprentissage –de la pensée
–de la personnalité
–Processus influencé par des interrelations complexes évolution constante, intéraction de différents facteurs
pas juste pendant l’enfance

48
Q

Intérêt de l’ergothérapeute face au développement

A

–Impact(s) du développement sur l’engagement et la participation de la personne
Comment la personne effectue ses activités en fonction de son niveau de développement?
–Facteurs (humains et non-humains, facteurs sociaux environnementaux ) qui influencent le développement
…pour amener la personne à fonctionner dans son environnement propre au meilleur de ses capacités

49
Q

Comprendre le développement

A

Rôle des expériences précoces
–Contribution du contexte culturel
–Différences individuelles dans les trajectoires de développement ———-» Évaluation, intervention, organisation des services et élaboration des politiques populationnelles

50
Q

Qu’est-ce que la normalité ?

A

Définitions multiples en fonction des disciplines scientifiques et des perspectives théoriques
–Psychologie: état d’équilibre et de bien-être, d’adaptation à son milieu
– Statistique : moyenne, médiane, distribution normale
Définitions multiples en fonction des disciplines scientifiques et des perspectives théoriques
–Ergothérapie: une appréciation subjective? (approche centrée sur le client)
pas approprié dans tous les cas

51
Q

La normalité varie en fonction de…

A
Génétique
–Stade développemental
–Culture
–Règles éthiques, sociales et culturelles
– Expériences – Contexte
– Époque
Etc...
52
Q

quels sont les modèles de classification international de la normalité ?

A
  1. Classification internationale du fonctionnement, de l’handicap et de la santé (CIF) (ICF en anglais) date de 2001 et existe version pour les enfants ado (CIF-EA) 2012
  2. CIM-10 classification statistique internationale des maladies et des problèmes de santé 1990
53
Q

But de la CIF

A

–Bases scientifiques pour comprendre/étudier: –États de la santé
– Conséquences – Déterminants
–Langage commun –Comparaison des données
– Pays
– Disciplines – Services –Temps
–Codage systématique
santé = bien etre physique et psychologique selon OSM.
santé est pas seulement absence de maladie.

54
Q

Différenciez santé Vs condition de santé

A

Fonctions organiques et
structures anatomiques
[Déficience (vs Intégrité) fonctionnelle ou structurelle]

ACTIVITÉS
[Limitation de l’activité]
Qualifie la capacité

PARTICIPATION
[Restriction de la participation]
Qualifie la performance

de l’activité découle ces 2 composante :
Facteurs contextuels extrinsèques
ENVIRONNEMENTAUX Obstacles/barrières vs. Facilitateurs
Facteurs contextuels intrinsèques
PERSONNELS Obstacles/barrières vs. Facilitateurs

voir photo du schéma

55
Q

Définitions des structures anatomiques

A

Les structures anatomiques : parties anatomiques du corps (ex. organes, membres, leurs composantes).
comprend :
Structures du système nerveux
– Oeil, oreille et structures annexes
– Structures liées à la voix et à la parole
– Structures des systèmes cardio-vasculaire, immunitaire et respiratoire
– Structures liées aux systèmes digestif, métabolique et endocrinien
– Structures liées à l’appareil génito-urinaire
– Structures liées au mouvement
– Peau et structures annexes

Intégrité (fonctionnement) «——–» Déficience (handicap) (écart +/- à une norme)

56
Q

Décrire fonctions organiques

A

Les fonctions organiques : fonctions physiologiques des systèmes organiques (y compris les fonctions psychologiques).
comprend :
–Fonctions mentales
–Fonctions sensorielles et douleur
–Fonctions de la voix et de la parole
–Fonctions des systèmes cardio-vasculaire, hématopoïétique, immunitaire et respiratoire
–Fonctions des systèmes digestif, métabolique et endocrinien
–Fonctions génito-urinaires et reproductives
–Fonctions de l’appareil locomoteur et liées au mouvement –Fonctions de la peau et des structures associées

57
Q

Activités et participation à quoi cela réfère til

A

Une activité : exécution d’une tâche ou d’une action par une personne dans un environnement contrôlé.
–Ce qu’une personne peut faire dans un environnement optimal, où les facteurs extrinsèques sont contrôlés.
Capacité «—————–» à Limitation d’activité –

La participation : implication d’une personne dans une situation de vie réelle
Performance «————————-» à Restriction de participation

58
Q

Activités, participation et développement

A

Au cours du développement, les situations de vie changent en nombre et en complexité et influencent les opportunités de participation sociale.

59
Q

Activités et participation – domaines de performance et de capacité

A
– Apprentissage et application des connaissances – Tâches et exigences générales
– Communication
– Mobilité́
– Entretien personnel*
– Vie domestique**
– Relations et interactions avec autrui
– Grands domaines de la vie
– Vie communautaire, sociale et civique
60
Q

Décrire ce qu’est un Facteurs contextuels

A

Facteurs qui influencent le fonctionnement d’une personne dans ses activités, ses structures ou ses fonctions organiques:
– Personnels (intrinsèques)
– ex: sexe, âge, ethnicité, profession, origine sociale, mode de vie,
éducation, …
– Environnementaux (extrinsèques) : environnements physiques, sociaux et attitudinaux
– Individuel: environnement immédiat
– Sociétal: structures sociales, services et règles de conduite ou
systèmes, formels ou informels
Facilitateurs «—————» à Barrière/obstacle

61
Q

Décrire ce que sont les facteurs environnementaux

A

Produits et systèmes technologiques – Internet, système MF, …
– Environnement naturel et changements apportés par l’homme à l’environnement
– ex: distances à parcourir et défis à surmonter, climat, salubrité, accessibilité, …
– Soutiens et relations
– famille, proches, amis, collègues, voisins, médecin, animaux
domestique/d’assistance,…
– Attitudes
– coutumes, idéologies, valeurs, normes, croyances, racisme, âgisme, sexisme, …
– rôles comme patrons de comportements culturellement prescrits
– Services, systèmes et politiques
– local, régional, national, international,…

62
Q

Facteurs environnementaux et développement

A

–Changements important au cours de la vie (nature et complexité)

–Importance de considérer l’enfant dans le contexte familial : Interactions constantes avec l’environnement social ———————» Acquisition de compétences pendant les vingt premières années de la vie.

–Importance de l’influence des interactions familiales sur le fonctionnement varie en fonction de l’âge développemental.
Petite enfance : Parents, Fratrie, Grands-parents, Gardien(ne) Oncles/tantes/Cousins Amis de la famille
Enfance s’ajoute Communauté, Classe, Enseignants, École, Médias
Adolescence: amis, voisins,

63
Q

pourquoi s’intéresse ton à la Culture et le Développement de la personne? buts ?

A

définir la culture, comprendre son influence sur les occupations, être sensibilisé à l’évolution de l’ergo par rapport à l’aspect culturel, impact de la diversité culturelle sur la pratique en ergothérapie
-le terme culture va au dela de l’ethnie

64
Q

a quoi fait référence le terme diversité

A

La diversité peut prendre plusieurs formes (âge, sexe, langue, religion, orientation sexuelle, race, handicap, etc.). Bref tous les motifs de discrimination reconnus dans nos chartes des droits et libertés (il y a en a 13 au total au Québec). Ce cours met l’accent sur la diversité culturelle, sans nier les autres formes qui, d’ailleurs, peuvent se chevaucher.

65
Q

définition du mot RACE

A

§Terme utilisé pour définir un groupe social particulier en faisant référence à l’apparence physique (ex.: couleur de la peau, couleur des cheveux, forme des yeux, etc.) des personnes qui en font partie. (traduction libre de Cronin et Mandich, 2016)
§Le racisme est une idéologie qui, partant du postulat de l’existence de races au sein de l’espèce humaine, considère que des personnes présentant certaines caractéristiques ethnoculturelles sont intrinsèquement supérieures (ethnocentrisme) ou inférieures (xénophobie) à d’autres.
objectivable mais ne nous permet pas d’aller plus loin

66
Q

ETHNIE ET ETHNICITÉ concept

A

éthnos signifiant « gens de même origine », §Référence à la famille, au clan, à la tribu.
• Dictionnaire Larousse: idée de structure et d’organisation sociale (familiale, économique) et d’unité linguistique et culturelle.
• Max Weber (1864-1920): idée d’ascendance commune (réelle ou imaginée). Elle est liée à : patrimoine, culture, origine historique ou géographique, langue ou dialecte, idéologie religion, mythologie, alimentation, habillement, musique.
• Selon l’anthropologue Fredrik Barth (1969): Qu’est-ce qu’il faut pour faire partie du groupe? Comment se construisent les frontières entre groupes? Il y a parfois des enjeux politiques, des clivages sur fonds de rapports sociaux inégalitaires ou conflictuels.
-ethnie est le sentiment d’appartenir a un groupe social spécifique a plus d’influence sur comportement possible
1- Idée de structure qui encadre une certaine organisation sociale.
2-Dépasser l’impression d’ homogénéité.
3-Éviter les pièges de la catégorisation, de l’ethnicisation, et du «culturalisme (qui est une doctrine anthropologique qui considère comme primordiale l’influence du milieu culturel, des formes acquises de comportement sur la formation des individus et de la société.)
4- C’est du senti.
5. Elle prend forme (ou devient consciente) dans le contact avec «les autres».
6- Elle peut être utilisée à des fins politiques.

On peut s’identifier à un groupe ethnique (ou à plusieurs: enfants de couples mixtes), on peut aussi nous « assigner » une identité ethnique: rapports sociaux minoritaires et asymétriques, ethnocentrisme de la majorité ou de la culture dominante, ethnicisation (construction de l’autre pouvant conduire à la discrimination, au rejet, à l’exclusion).

67
Q

terme d’IDENTITÉ

A

«Ensemble des caractéristiques physiques, psychologiques, morales, juridiques, sociales, culturelles à partir desquelles la personne peut se DÉFINIR, se présenter, se connaître et se faire connaître, ou à partir desquelles autrui peut la définir, la situer ou la reconnaître»

  • Multiples facettes identitaires
  • Identité affirmée vs. identité assignée
68
Q

terme de CULTURE

A

« De nos jours en anthropologie, la culture n’est pas considérée comme [une entité] homogène ou statique. Les anthropologues insistent sur le fait que la culture n’est pas une seule variable [ou catégorie], mais [elle en regroupe] plutôt une multitude concernant TOUS LES ASPECTS DE L’EXPÉRIENCE HUMAINE. La culture est inséparable des conditions économiques, politiques, religieuses, psychologiques et biologiques. La culture est un processus par lequel les activités et conditions [de vie] ordinaires comportent une charge émotionnelle et une signification morale pour les [personnes concernées].

« L’ENSEMBLE DES PHÉNOMÈNES DE LA VIE SOCIALE TANT MATÉRIELS QUE SYMBOLIQUES qui caractérisent une société à un moment spécifique de son histoire. Elle touche l’organisation sociale, la famille, le droit, les modes de production matérielle, les différents systèmes philosophiques, scientifiques, religieux ou idéologiques, ainsi que les représentations esthétiques, et la manière de communiquer ces informations (expression, transmission, échange). »

Exemples: • Modes d’expression orale, écrite, verbale ou non-verbale
• Modes de transmission et d’intériorisation des normes: éducation, mass-médias, famille, religion
• Mode de transformation: adaptation, influence extérieure, innovations, rapports dichotomiques
• Orientation individuelle vs collective

69
Q

quelle analogie peut on faire avec le concept de culture

A

Iceberg.
CONNU au dessus : comportements externe, manières, coutume langue histoire,
INCONNU en dessous : mode de pensée, vision du monde, valeurs, présomptions. composante encore ++++ émotive que le connu

70
Q

facteurs contextuels de la CIF

A

Facteurs qui influencent le fonctionnement d’une personne dans ses activités
PERSONNELS (intrinsèques)
§ ex: sexe, âge, culture, motivation,…

ENVIRONNEMENTAUX (extrinsèques) qui incluent les
environnements physiques, sociaux et
attitudinaux qui peuvent être qualifiés en terme de facilitateurs ou d’obstacles. § Individuel
§ sociétal

vont avoir une influence sur les occupations

71
Q

la culture est un facteur intrinseque ou extrinseque ?

A

les 2

72
Q

en quoi la culture influence telle le développement normal de la personne ?

A

Avec la culture viennent différentes opportunités occupationnelles (Qui fait quoi? Comment? Quand? Où? Pourquoi?)
§ Avec la culture viennent différentes sources de motivation pour s’engager ou non dans diverses occupations (et dans les soins offerts).
§ Des exemples :
§Le jeu chez l’enfant, la santé et sécurité chez les travailleurs, le milieu de vie des aînés, l’expression verbale et non-verbale de la douleur, etc.

73
Q

la culture comme thème transversal

A

O (diversité des modes opératoires, …)
P (diversité des croyances et attitudes, …)
E (diversité des conditions physiques, sociales et attitudinales, …)

74
Q

quelle est la place de la culture d’un point de vue ergothérapique ?

A

au states commence années 20 white rich girl et
en 1991 :…“ensure that all future practitioners will appreciate cultural differences and be
aware of the impact of these differences on client–therapist interaction”…»

75
Q

certains concept ergotherapique sont teintés par la culture donner exemple

A

en chine le fait de s’occuper d’un ainé avec alzheimer a la maison est vecu differement quau etat unis. moins de symptome de depression et anxiete ressentie par aidant naturel

76
Q

certains concept ergotherapique sont teintés par la culture

A

La spiritualité : est la croyance en un chemin intérieur qui donne un SENS, un BUT et une ORIENTATION à la vie . Elle peut, ou non, inclure la croyance en une puissance supérieure telle que cela est le cas dans une perspective religieuse. «Elle est façonnée par l’environnement et donne un sens aux occupations […] une force vitale et motivationnelle dirigées vers l’atteinte de buts, de rêves et d’aspirations élevés qui découlent du soi essentiel […] organise la vie et pousse la personne vers l’avant […] imprègne et relie les gens, non seulement à leur identité individuelle, à leurs occupations et à leur environnement, mais également aux autres et au monde au sens large.»
métaphore de la voiture autonome

La notion de religiosité : s’inscrit à l’intérieur même du concept de spiritualité (Büssing et al., 2009; Cammalleri, 2008) et représente plutôt les attitudes et les comportements qui relient les individus à des pratiques religieuses particulières

77
Q

spiritualité et engagement occupationnel

A

§Diversité des perspectives.
§ Données probantes de plus en plus abondantes sur le rôle important de la spiritualité et de la religion face au bien-être, à la santé et à la résilience, et également face à la
prévention de la maladie, la promotion de la santé et au rétablissement. (Brémault-Phillips, 2018)
§Sujet peu ou pas abordé en clinique.
§Peu d’études dans la littérature scientifique ont exploré la relation entre la spiritualité et l’histoire occupationnelle de personnes vivant avec un problème de douleur chronique
§Interdépendance vs. indépendance
§Accomplissement actif (Active Achievement) vs. Acceptation passive (Passive Acceptance) §Perception des causes (ex.: de la maladie)
§Perception de l’autorité (ex.: du médecin)
§Les catégories d’occupations et leurs impacts sur la qualité de vie (Hammell, 2004) §Occupations utiles (soins personnels, productivité, loisirs)
vs. §Occupations signifiantes (faire, être, appartenir, devenir)
** notions importantes à considérer pour tx efficace ***

78
Q

Exemple de validation transculturelle d’un instrument de mesure

A

DASH

79
Q

la rencontre interculturelle s’imagine comme

A
mettre côte à côte nos icebergs. position asymetrique
va avoir impact sur pratique
le patient et l’intervenant évoluent et 
sous tous deux porteurs de culture
enjeux INTERculturel
80
Q

quest ce qun ergo culturellement sensible ??

A

§Les ergothérapeutes sont conscients qu’il y a des différences entre eux et leurs patients concernant leurs valeurs, leurs coutumes et leurs façon de pratiquer ou non une religion.
§La compétence culturelle n’implique pas seulement d’être conscient de ces différences mais bien de comprendre et considérer comment l’autre perçoit la vie afin de comprendre les enjeux cliniques à travers son point de vue également.
§Ainsi, l’ergothérapeute intervient de façon plus significative et efficace.
faire le suivi et adapter
Le client ET le thérapeute sont porteurs de cultures qui leur sont propres.
Le client ET le thérapeute sont influencés par leurs environnements respectifs.
Les parcours occupationnels client ET le thérapeute influencent le processus et le contenu de la relation thérapeutique.
Le client, le thérapeute et les environnements dans lesquels ils évoluent changent au fil du temps.
§Conscience culturelle (cultural awareness) : Capacité à explorer les éléments communs et divergents entre sa propre culture et de celle de l’autre.
§Fluidité culturelle (cultural fluidity) : Capacité à comprendre l’influence des éléments culturels sur le fonctionnement de la personne dans ses activités.
§Compétence culturelle (cultural competence/cultural proficiency) : Capacité à adapter les soins de façon congruente à la culture du client.
§ Au niveau personnel : Comportements et attitudes
§ Au niveau organisationnel : Règlements et politiques § Un processus évolutif

ethnocentric VS culturally proficient

81
Q

differents contextes de traitements a considerer

A

§Le contexte sociétal est le cadre extérieur à la prise en charge en ergothérapie, il est omniprésent.
§ Le client ET le thérapeute sont tous deux situés à l’intérieur d’un vaste contexte sociétal composé d’éléments culturels, institutionnels, physiques et environnementaux qui influencent la relation client- thérapeute.

§Le contexte de la pratique (le cadre intérieur) est un aspect particulier du contexte sociétal. §Les deux contextes (sociétal et de la pratique) sont la TOILE DE FOND de la relation client- thérapeute, ils sont intégrés l’un dans l’autre et s’influencent mutuellement.

82
Q

des normes existent en ergothérapie sont elle toujours applicable ?? (models, outils de mesure)

A

NON developper