Exam mardi méthodes qualit Flashcards

(33 cards)

1
Q

Quelle est la démarche en sciences humaines et sciences nath ?

A
  1. Définir le problème/ formuler une problématique.
  2. Choix de la méthodologie.
  3. Collecte des données.
  4. Analyse des résultats et en faire une interprétation.(Analyse+interprétation)
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2
Q

Quelles sont les approches ?

A

L’approche quantitative et l’approche qualitative.

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3
Q

C’est quoi sciences humaines ?

A

Étudier l’humain.

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4
Q

L’éthique de la recherche, science de la morale-> le bien, le mal.

Quels sont les critères ?

A
  1. Le respect de l’intégrité physique et psychologique des personnes.
  2. Les respect de la vie privée des personnes.
  3. La préoccupation pour le bien-être des personnes->consentement libre et éclairé, ex: réduire les inconvénients.
  4. Que la recherche ait une valeur scientifique, qu’elle apporte des connaissances.
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5
Q

Quelles sont les différentes méthodologies qu’on peut utiliser pour une recherche ?

A

La méthode expérimentale.

La méthode historique/l’analyse des traces.

La méthode d’enquête.

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6
Q

De quelle façon peut-on procéder pour recueillir les données si on choisit la méthode d’enquête ?

A

Le sondage.

L’observation participante dissimulée ou non dissimulée ( prendre part aux activités quotidiennes du groupe étudié ). L’observation non participante ( étudier et observer un groupe d’un certaine distance ).

L’entrevue.

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7
Q

À quoi sert et se rapporte l’analyse et l’interprétation des résultats lors d’une recherche ?

A

Cela se rapporte à la question de recherche. Effectivement, l’analyse et l’interprétation des résultats ont pour but de répondre à la question de recherche.

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8
Q

À quoi sert d’utiliser la méthode expérimentale ?

A

À établir un lien de causalité.

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9
Q

Dans la méthode expérimentale, quelle est la cause d’un certain phénomène et quel est ce phénomène (effet) ?

A

La cause d’apparition d’un phénomène est l’application de la variable indépendante ou v.i.

La nature de l’effet causé par la v.i. donc son effet est l’apparition de la variable dépendante ou v.d.

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10
Q

C’est quoi l’opérationnalisation dans la méthode expérimentale ?

A

Rendre concret les éléments théoriques de l’hypothèse en les transformants en éléments observables lors d’une expérience en attribuant par exemple certains types de variables à certaines contraintes de l’expérience.

C’est de traduire les concepts théoriques abstraits en termes concrets et mesurables, permettant leur observation et leur analyse dans une recherche. (transformation théorie en éléments concrets modifiables dans le contexte d’un laboratoire).

  1. Définir variables : identifier et préciser variables indépendantes (manipulées) et dépendantes (mesurées) ainsi que leurs relations.
  2. Choix des mesures : déterminer outils et techniques pour mesurer comportements et phénomènes étudiés, comme échelles ou listes d’observation.
  3. Concordance théorique : s’assurer qu’indicateurs choisi reflètent fidèlement les concepts théoriques étudiés.
  4. Hypothèses opérationnelles : traduire hypothèses générales en hypothèses testables dans un cadre expérimental précis.

(Chaque type de variable est associée à un ou plusieurs indicateurs pour en évaluer les effets ou les relations).

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11
Q

Dans la méthode historique/la méthode d’analyse de traces, quelles sont les deux principales étapes et en quoi consistent-t-elles ?

A

La critique externe du document/source primaire : consiste à vérifier l’authenticité du document et le contexte dans lequel il a été produit en répondant à ces questions : la date, l’identité de l’auteur, son intention, la nature du document.

La critique interne du document/source primaire : porte sur le contenu qui est présenté dans le document, faire ressortir les faits et les informations qui se trouvent dans le document, buts poursuivis par l’auteur, prise de position de l’auteur dans le texte, évaluer sur la fiabilité d’un document.

(Je crois que ces deux étapes peuvent servir à établir la fiabilité du document).

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12
Q

Quelle est la différence entre une source primaire et une source secondaire dans la méthode historique/méthode d’analyse de traces ?

A

Une source primaire est une document de première main qui est écrit par une personne de l’époque traitée, ex: lettre d’un soldat français de la Première Guerre mondiale en 1915.

Une source secondaire est un document de deuxième main écrit par un témoin non-direct, ex: document style manuel ou encyclopédie sur un sujet en particulier. ( Analyse, interprétation ou synthèse basée sur des sources primaires ).

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13
Q

Quelles sont les trois méthodes pour recueillir les données dans la méthode d’enquête ?

A

Le sondage.

L’observation participante ouverte/déclarée ou cachée/dissimulée ainsi que l’observation non-participante ( o/d, c/d ).

L’entrevue.

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14
Q

Quelles sont les différentes entrevues possibles dans la méthode d’enquête ?

A

L’entrevue directe (aucune place à l’improvisation).

L’entrevue semi-directe ( questions + ou - directives, on peut poser des questions similaires à toutes les personnes interviewées et cela procure une certaine homogénéité favorisant la comparaison mais chacune des ces personnes interviewées sont libres de développer leur pensée plus en profondeur en répondant de la manière qu’elle juge appropriée. On peut modifier l’ordre des questions, annuler des questions et ajouter des sous-questions.

L’entrevue non-directive (ex: récits de vie, quelques questions posées sont très larges et la personne interviewées peut y répondre librement, s’intéresse à la perception générale de l’interviewé d’un phénomène ou d’un événement et s’intéresse moins à des réponses sur des points précis, interventions rares de l’intervieweur lors de l’interview).

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15
Q

Construction de la problématique : en quoi consiste la section définition du problème ?

A

C’est la section qui permet de situer dans le temps et dans l’espace le phénomène étudié avec les questions « quel est le sujet de recherche ? Quels grands concepts le sujet de recherche recoupe-t-il ?» et de déterminer et définir les concepts importants liés au sujet qui seront inévitablement utilisés au cours de la recherche.

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16
Q

Quel est « l’importance du problème « dans la construction de la problématique ?

A

C’est section est encore assez générale selon la structure de l’entonnoir et permet, de manière brève, d’expliquer pourquoi est-ce socialement important d’étudier le problème X ? Convaincre la personne que si elle investi son argent dans cette recherche c’est pour une raison fondée et qu’il y aurait de bons avantages.

17
Q

Quel est la partie de la problématique « L’état de la question «, en quoi elle consiste ?

A

C’est la recension des écrits portant sur ce sujet, la «revue de la littérature» spécifique sur ce sujet ( le problème de recherche ), la formulation du problème de la question de recherche. «Comment le sujet de recherche a-t-il été étudié jusqu’à maintenant, qu’est-ce qu’on en sait du phénomène X pour le moment ? «.

18
Q

Quelle est la section « hypothèse ou objectif « de la problématique ? En quoi elle consiste ?

A

C’est la réponse anticipée ou l’hypothèse à la question. Dans l’exemple de la recherche sur la sexualisation précoce, la problématique et les objectifs se concluent comme ci : ressortir préoccupations sur sexualité dans questions posées par garçons et filles de 11 à 14 ans sur site Internet Tel-Jeunes, documenter place qu’occupent pornographie et ses codes dans les préoccupations sur la sexualité de ces jeunes, identifier la place qu’occupe la sexualisation précoce dans leurs préoccupations sur la sexualité. Cet recherche poursuit trois objectifs et un objectif = un questionnement.

19
Q

Quelle technique la méthode historique/méthode d’analyse de traces utilise-t-elle pour interpréter les informations et données d’une recherche effectuée ?

A

Les techniques : l’analyse de contenu indirecte, qualitative.

20
Q

Comment pourrait-t-on qualifier la méthode expérimentale ?

A

Elle est directive : elle impose un contrôle strict sur les variables et suit un protocole défini, guide le déroulement de l’expérience.

Elle est quantitative : repose sur collecte de données mesurables et chiffrées, souvent analysée à l’aide de statistiques. Ces données permettent d’établir des relations objectives entre les variables, de tester des hypothèses et de tirer des conclusions généralisables.

21
Q

Est-ce que l’expérience de Milgram est considérée comme morale ou immorale expliquer la prise de position ?

A

Non, elle n’était pas morale comme elle a enfreint plusieurs principes fondamentaux de l’éthique de recherche :

  1. Le consentement éclairé : les participants n’étaient pas pleinement informés du véritable objectif de la recherche, ce qui peut avoir un impact sur la volonté des participants de réellement participer à la recherche. Constitue une forme de tromperie.

Le manque de respect de l’intégrité physique et/ou (psychologique++++++) des participants : l’expérience a généré un stress émotionnel intense avec des séquelles psychologiques potentiellement durables, ce qui va à l’encontre du principe et du but de minimiser les risques pour les sujets.

Manipulation des résultats : remet en question l’objectivité et la rigueur scientifique du protocole. Effectivement, Milgram a sélectionné ou exagéré certains résultats pour soutenir ses conclusions, comme en minimisant les gens qui ont désobéit ou les doutes des participants sur la réalité des décharges électriques ( impact des participants sur la moralité de leurs actions s’ils savent que ce n’est pas réel, minimiser poids moral de ses actions, à cause par exemple du manque de contact visuel avec l’élève ou des cris préenregistrés ). Remet en question la validité des données et leur généralisation à des situations réelles.

Donc, ni morale ni acceptable scientifiquement.

22
Q

Question sur prison expérience, prostitution Asie et hypothèse formulée différemment dans crise identité + lire exercices sur quelle variable est vi et vd + lire feuilles petit textes. Relire sur l’éthique de la recherche de Zimbado sur la prison Stanford, réviser matière «logis» et sciences humaines des premières notes de cours.effet rosenthal,etc.

23
Q

Est-ce que l’on pourrait dire que la recherche sur la prostitution en Asie de Paul Snyder relève du domaine scientifique ?

A

Oui et non.

Oui : cet écrit porterait plus sur l’aspect sociologique que prend la prostitution en Asie ainsi que les comportements différents des différentes prostituées et le mode de fonctionnement de la prostitution dans le monde asiatique. Analyse sociologique détaillée= méthodologies scientifiques rigoureuses utilisées dans ce domaine. De plus, elle a été publiée dans une revue académique reconnue, ce qui implique une évaluation par les pairs avant publication, un critère clé pour qualifier un article de scientifique.

Non : bien que cet écrit apporte des informations plutôt intéressantes, on ne pourrait dire que c’est une information qui aide tant et avantage tant la société et qui apporte tant au savoir de la science.

24
Q

Est-ce que la recherche sur la prostitution de Paul Snyder est éthique ?

A

Non.

Le consentement éclairé des prostituées: certaines d’entre elles le font à cause de problèmes économiques et l’observation participante était dissimulée ( vie privée et exposition+dignité prostituées ), ce qui a aussi son impact sur le consentement éclairé de ces dernières.

Stigmatisation et dignité humaine : les recherches doivent protéger l’image et la dignité des prostituées en ne renforçant pas les stéréotypes ou en les stigmatisant davantage.

Les règles liées aux lois de la prostitution dans certains pays et à l’âge des prostituées qui peut être une certaine limite.

Protéger intégrité physique et psychologique des prostituées : raisons et consentement des prostituées à se prostituer=conséquences psychologiques.

De plus, leur prostitution peut les exposer à des violences physiques, psychologiques en plus de les exposer aux maladies sexuelles.
Encore sur l’intégrité physique et psychologique.

25
Est-ce que l’expérience de la prison de Stanford était éthique ?
Non. L’intégrité physique et psychologique des participants : les prisonniers ont eu de très mauvais traitements physiques et psychologiques qui pourraient persister dans le temps. De plus, leur fierté d’eux même et leur estime de soi autant pour les gardiens de prisons que pour les prisonniers après cette expérience. Absence de consentement éclairé : les participants n’étaient pas au courant des abus de pouvoir se traduisant par des abus physiques et du dénigrement qu’ils allaient vivre pour cette expérience en plus du véritable motif de l’expérience, ce qui a un impact sur leur consentement éclairé. ( Conditions extrêmes, déshumanisation ). Intervention du chercheur : il a influencé le comportement des gardiens et cela compromet l’objectivité scientifique ( encouragement à la cruauté ), expérience manipulée pour confirmer des hypothèses préétablies et donc les conclusions ne représentent pas nécessairement la réalité. De plus, absence de rigueur scientifique due à un manque de contrôle de l’expérience. ( contrôler variables pour que résultats observés soient directement liés à ce qu’on étudie ).
26
Dans la recherche sur à crise identitaire et backpacking,…
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28
Qu’est que la méthode qualitative ?
Comprendre phénomènes, comportements, données non chiffrées.
29
Qu’est-ce que la méthode quantitative ?
Données chiffrées traitées de manière objective et systématiques.
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